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Les accident et anatomie en plongée sous marine à la remontée

Les accident et anatomie en plongée sous marine à la remontée. Fumeur !!. Surpression Pulmonaire. Normal . Causes. Il s’agit surtout d'un blocage volontaire ou non de l'expiration lors de la remontée vers la surface. Endogènes :

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Les accident et anatomie en plongée sous marine à la remontée

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Presentation Transcript


  1. Les accident et anatomie en plongée sous marine à la remontée

  2. Fumeur !! Surpression Pulmonaire Normal

  3. Causes Il s’agit surtout d'un blocage volontaire ou non de l'expiration lors de la remontée vers la surface. Endogènes : • Spasme réflexe de la glotte par irruption brutale d'eau au niveau des muqueuses nasales ou de la gorge, • Spasme provoqué par le froid, • Blocage par perte de connaissance avec spasme : noyade en plongée, • Essoufflement, • Excroissance des bronches occasionnant des poches d'air qui se vident mal à la remontée. Exogènes sont rares et font référence • à une défectuosité du matériel. • -

  4. Plèvres et espace pleural trachée bronches mediastin alvéoles

  5. Prévention de la surpression pulmonaire • Ne jamais bloquer sa respiration à la remontée • Attention à la remontée sans embout ou à deux sur un embout • Ne jamais alimenter en air comprimé un plongeur en apnée.

  6. Symptômes • Douleur dans la poitrine, surtout lors d'une inspiration profonde, • Sensation d'étouffement, d'angoisse, cyanose, • Respiration superficielle, toux, • Crachat, écume de sang, • Suffusions plasmatiques : passage de plasma dans les alvéoles, ce qui perturbe les échanges gazeux ; d'où risque d'œdème pulmonaire, • Hémothorax • Pneumothorax • Embolies diverses • Paralysies : hémiplégie, monoplégie, tétraplégie, • Emphysèmes • Syncope, mort.

  7. Question 1 • 05ACC-SP-4-03(1) Question à 4 points • Vous êtes guide d’une palanquée constituée de niveaux 1. • a) Quels conseils donnez-vous à ces plongeurs afin d’éviter une surpression pulmonaire ? • b) Expliquez pourquoi cet accident est grave ? • a) Laisser libre cours à sa respiration au cours de la plongée et surtout à la remontée, • Regarder vers le haut en fin de remontée • Ne jamais bloquer sa respiration à la remontée • Pas de poumon ballast à la remontée (remontée stab) • b) La surpression pulmonaire par la rupture alvéolaire permet le passage de bulles d’air dans la circulation, dans la plèvre, dans le médiastin. • L’irruption d’air dans la plèvre entraîne une inefficacité de la ventilation, et c’est grave • L’irruption d’air dans le médiastin peut gêner le fonctionnement normal du coeur, et c’est grave • L’irruption d’air dans la circulation peut entraîner une embolie gazeuse à direction préférentiellement carotidienne, et c’est grave.

  8. Accident de désaturation Concerne tous les plongeurs La profondeur multiplie les risques ainsi que certains profils de plongée • Conséquences • Parfois graves, rarement mortelles • Séquelles invalidantes • ADD inexpliqués malgré une connaissance de plus en plus approfondie de la physiologie de la décompression • Nécessité d’une prise en charge rapide

  9. Accident de désaturation 4-Troubles de l'oreille interne. 5-Troubles respiratoires. 6-Troubles cardiaques. 7-Accidents médullaires (moelle épinière).

  10. Particularité anatomique : Foramen Ovale Perméable Cette ouverture se referme normalement à la naissance. Elle persiste néanmoins chez l’adulte sous la forme « perméable ou perforée » et concerne quelque 25 à 30 % de la population.

  11. Question 3 05ACC-GP-4-03(1) Question à 4 points Dans l'organisation de la plongée, quels sont les éléments susceptibles d’engendrer ou d’aggraver un accident de décompression Avant la plongée (2 points) Pas envie de plonger, méforme, froid Mauvaise préparation de la décompression : systèmes de décompression différents, plus de 2 plongées par 24 h, Intervalle mal pris en compte, cumul des plongées (2 profondes le même jour, plongées 7j/7). Site et conditions mal choisies : courant, vagues, houle, conditions stressantes (visibilité, conditions météo et embarcation …) Pendant la plongée (1 point) Efforts, couple profondeur/temps Mauvaise gestion de l’air Après la plongée (1 point) Efforts (remontée de l’ancre, conditions météo et embarcation inadaptée, sites de plongée …).

  12. BAROTRAUMATISMES DE L'ESTOMAC ET DE L'INTESTIN

  13. Si l'accidenté est conscient • administrer de l'oxygène pur au masque à 15 l/min. : mesure la plus importante. • On peut en administrer pendant plusieurs heures d'affilée sans problèmes. • Donner de l'aspirine non effervescente, sauf en cas d'allergie : 500 mg au maximum. • Administrer de l'eau douce : 500 ml toutes les 30 minutes, sans dépasser 2 litres au maximum. • Positionner le plus confortablement possible • Protéger du froid ( couverture de survie) du soleil, du matériel sur le bateau…

  14. Traitement hyperbare Indication à l'OHB La pose de l'indication et le choix de la table de recompression thérapeutique sont le domaine du médecin hyperbariste. Pendant le transport vers un centre hyperbare, le patient doit être mis sous O2 100%, et, en cas de symptomatologie marquée (parésie, nausle...), doit recevoir une perfusion de Hartmann, 500 cc en 3 heures (167 ml/h = 56 gttes/min). Cave : une rétention urinaire est fréquente. Les tables de traitement étant longue et le diagnostic parfois très difficle, seuls des centrex expérimentés en médecine hyperbare sont capables d'assurer une prise en charge correcte de ce type de patient. Les bénéfices d’un traitement hyperbare Plusieurs mécanismes sont associés à des expositions intermittentes d'O2 sous pression. Seuls ou associés à des procédures médicales ou chirurgicales, ces mécanismes participent tous à faire progresser les conditions de traitements. Ces mécanismes sont : L'hyperoxygénation : elle permet une venue imédiate d'O2 aux tissus faiblement irrigués par l'apport sanguin. Une pression élevée obtenue dans un caisson hyperbare augmente la concentration plasmatique en oxygène de 10 à 15 fois. Cette augmentation permet aux valeurs artériels d'augmenter de 1'550 à 2'000 mmHg, ce qui permet d'accroître d'environ 4 fois la diffusion d'O2 à partir des capillaires.Ce mécanisme est une mesure temporaire, ce qui permet de gagner du temps en maintenant les tissus viables, jusqu'à ce que d'autres mesure de correction prennent le relai. La néovascularisation : elle représente une réponse indirecte et retardée à une exposition d'oxygène hyperbare. La thérapie provoque une division accélérée des fibroblastes, une néoformation de collagène et une angiogenèse de capillaires dans les zones endommagées par des radiation par exemple, ou encore dans les ostéomyélites, les ulcèrations chroniques des tissus mous. L'activité anti-microbienne : cette activité, lors d'hyperoxie, a été démontrée à différents niveaux. Elle cause une inhibition et une inactivation de l'activité des toxines lors d'infection à Clostridia perfringens (gangrène gazeuse). L'hyperoxie augmente la capacité de phagocytose et des lymphocytes T-killer. Des recherches récentes ont démontrées un prolongement de l'effet de la tobramycin, lors de traitement des infections à Pseudomonas aeruginosa. La pression directe : elle utilise le concept de la Loi de Boyle, afin de réduire le volume des gazs intravasculaires et/ou des bulles gazeuses.Pendant plus d'un siècle, ce mécanisme a formé la base de l'OHB dans le cadre des maladies de décompression (accidents de plongée p. ex.) et des embolies artérieles gazeuses au niveau cérébral. Communément associée aux plongeurs, l'embolie gazeuse artérielle cérébrale est une conséquence fréquente de la médecine moderne. Elle présente une morbidité et mortalité signifiante, et rest encore mal diagnostiquée. La vasoconstriction : encore un autre mécanisme découlant de l'O2 sous pression. Cela sans passe sans hypoxie, et aide pour manager les problèmes de compartiment intermédiaire et autres ischémies sévères dans les extrémités blessées, réduit l'oedème interstitiel. Les études en applications sur brûlures ont indiqués une diminution significante des besoins en perfusions lors de thérapie hyperbare, ajouté au traitement habituel des grandes brûlures. La diminution des préjudices dû à la reperfusion : c'est le mécanisme découvert le plus récemment. La plupart des dommages associés à une reperfusion est causé par une activation inapropriée des leucocytes. Suite à un interval ischémique, les dommages sont dûs à deux composantes : une composante irréversible liée directement à l'hypoxie, et une composante indirecte liée à l'activation inapropriée des leucocytes. L'OHB réduit la composante indirecte en prévenant une telle activation. L'effet induit préserve les tissus marginaux qui serait autrement perdus lors d'une reperfusion de ces tissus ischémiés.

  15. Diminuer les facteurs de risques • Dépendants de l’individu • Age, obésité, Méforme, manque d’entraînement • ATCD d’ADD ou pathologie en cours (rhume, …) • FOP, • Intoxication Tabac, alcool, médicament • Dépendants de la plongée • Plongée saturante (profonde), Yo-Yo, consécutives • Effort physique, courant • Erreur de remontée, de paliers, RSE, panne d’air • Essoufflement pendant le plongée, effort

  16. Dépendants du matériel (défectueux ou mal maîtrisé) • Mauvaise utilisation des procédures de décompression, des instruments… • Mauvaise utilisation d’un SSG • Les facteurs de risques non visibles • La déshydratation +++ • La fatigue et les troubles psychiques (angoisse, peur…) • FOP, • Hernie discale????…………..

  17. Règles à respecter • Pendant la plongée (suite) • Allonger les paliers à - 3m en cas de refroidissement ou essoufflement (qu’il faut éviter) • PAS DE VALSALVA lors de la remontée ni après la plongée ++++ • Après la plongée • Décompression de surface à l’O2 • Pas d’apnée ni d’efforts excessifs • Pas de voyage en altitude • Poursuivre la réhydratation +++ • si on n'est pas au mouillage, il faut viser un point en avant du bateau, puis s'accrocher au bout traînant à l'arrière du bateau et à se déhaler dessus pour rejoindre le bateau. • Dans tous les cas la palanquée doit rester grouper et au besoin il faut aider le plus faible.

  18. Accidents cutanés • « PUCES » : • Démangeaisons généralisées ou localisées. • « MOUTONS » : • Boursouflures rouges sous la peau, la poitrine, l’abdomen, les membres supérieurs

  19. Les grandes lignes de la prise en charge • Donner l’alerte et communiquer un bilan précis • voir RIFAP • téléphone : 15 (SAMU) ou 18 (pompiers) • téléphone portable : 112 • CROSS : canal 16 par VHF, 112 avec votre portable • remplir la fiche de renseignements concernant les ADD (FFESSM) • NB : Ne pas appeler soi -même le caisson hyperbare directement, c'est le médecin régulateur qui coordonnera les moyens à mettre en œuvre de façon appropriée (hélicoptère, bateau, véhicule...), en fonction des possibilités

  20. S'il n'y avait que quelques points à retenir Il y a 4 causes essentielles à l’ADD : • La plongée profonde (> 35-40m). • Le non respect de la vitesse de remontée (manque de repères…). • Des erreurs dans la gestion de l'autonomie (panne d’air) • Une organisation de plongée irresponsable (facteurs de risques mal appréciés…) • Les conseils vont au delà du simple « respect des tables », c’est TOUTE la formation du plongeur qui est en cause

  21. Question 4 05ACC-GP-4-04(2) Question à 4 points Une remontée en respirant à deux sur le même détendeur peut être à l’origine d’au moins deux types d’accidents de plongée. a) Quels sont ces deux types d’accidents ? b) Quel est le moyen de prévenir ces accidents ? a) ADD, Surpression Pulmonaire. b) Quel est le moyen de prévenir ces accidents ? (3 points) Contrôle de l’expiration à la remontée Entraînement régulier Contrôle régulier de la consommation Entretien régulier du matériel. Maîtrise de la stab, et du lestage.

  22. Merci a tous pour votre attention

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