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Recherche sur l’impact économique Survol des innovations et

Recherche sur l’impact économique Survol des innovations et des meilleures pratiques internationales. I mpact économique 101. Accent : Les effets intégraux d’une action de dépense sur l’activité commerciale d’un domaine donné .

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Recherche sur l’impact économique Survol des innovations et

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Presentation Transcript


  1. Recherche sur l’impact économique Survol des innovations et des meilleures pratiques internationales

  2. Impact économique 101 • Accent : Les effetsintégrauxd’une action de dépensesurl’activitécommerciale d’un domainedonné. • P. ex. : Pour chaque dollar investidansyouth sport Ontario, combien de dollars de l’activitééconomiqued’entraînementsont-ilsengendrés? • Portée : Non seulementl’impact direct, maisaussi le suivi (effetssur les fournisseurs et consommateurs). • Limites :L’impactéconomiqueN’EST PAS l’impact social; l’analyse de l’impactéconomique (AIÉ) ne mesure pas l’efficacité et représenteseulement la moitié de l’équationcoûts-avantages.

  3. Questions prioritaires • Comment la FTO peut-ellemesurerl’impactéconomique de sesinvestissementscommunautaires? • Comment la FTO peut-elledémontrerl’impactéconomique du secteur sans but lucratif (SBL) en Ontario? • Comment la FTO peut-elleoffrir du leadership et de la vision pour faciliter la prise en charge et l’évaluationaxéessur le développementdans le secteur SBL de l’Ontario?

  4. L’AIÉ dans la perspective générale Évaluation Application Que vaut ce changement?

  5. 1. Analyse de l’impact économique : outils, options et meilleures pratiques

  6. Équation de l’impact économique

  7. 1a. Mesure de l’impact économique des biens à valeur marchande

  8. Biens à valeur marchande

  9. Biens à valeur marchande Analyse du retour surinvestissement (ROI) Mesure les profits en tantque % des coûtstotaux. – P. ex. : 50 $ en revenusur 25 $ en investissement= 100 % de ROI De nombreusesentreprisesétablissent des échelles de seuil de ROI pour prendre des décisionsconcernant les investissements. – P. ex. : 0 % > 10 % = « Non », 10 % > 25 % = « Peut-être», 25 % < = « Oui ». Indicateurstatique/ instantané d’un moment dans le temps Un intervenant : valorise seulement les avantages pour l’investisseur. Le ROI est un bon point de départ pour évaluerl’impactmonétaire d’un investissement unique sur un intervenant à un moment précis.

  10. Biens à valeur marchande Analyse globale des dépenses (pratiqueactuelle de la FTO) Mesurel’informationsur les dépenses pour des organismescomparablesafin de distinguer les impacts économiques directs. AVANTAGES : Approche simple et économique Faiblescoûts de conformité, trèssouple INCONVÉNIENTS : non normalisée, peufiable, portéelimitée Certainsintervenants : mesure les avantages pour l’investisseur et l’agence, concernecertainsavantages pour certainsfournisseurs. • L’analyseglobale des dépensesest pour la FTO un moyen facile et économiqued’évaluerapproximativement les impacts directs (de 1erordre) de sesdépenses.

  11. Biens à valeur marchande Modèle entrées-sorties (norme du ministère des Finances) Analyse complète de la façondont les secoussesdans un secteur de l’économieaffectenttous les autressecteurs. Avantages :Normalisé, approchecomplète – Rigoureux, fiable et trèsinstructif Inconvénients : Imposition de la conformité – Requiert de l’informationprécise et uniformesur les dépenses et la production. Tous les intervenants : Le modèle entrées-sorties tientcompte de toutevaleurajoutée pour tous les intervenants, directement et indirectement. Le modèle entrées-sorties est la norme gouvernementale internationale d’analyse de l’impact économique, du calcul du multiplicateur et de l’équivalence ETP.

  12. Biens à valeur marchande Biens / services achetés et utilisés Biens / services fabriqués et vendus Modèle entrées-sorties de base Cette information n’est pas disponible en français. Il s’agit d’un exemple de tableau entrées-sorties. Les modèles entrées-sorties suivent les biens et services fabriqués et vendusdans les principales industries de l’économieainsique les biens et services achetés et vendus. (Input-Output Economics, 2nd Ed., By WassilyLeontieff (Oxford, 1986)) Cequ’unsecteurfabrique, un autresecteurl’utilise pour fabriquerautre chose. Lorsque des bienssontvendus au rabaisoudonnés, leurvaleurréellen’est pas reflétéedansces tableaux; la plupart des extrants du secteur SBL DISPARAISSENT!

  13. 1b. Évaluation de l’impact économique des biens à valeur non marchande

  14. Biens à valeur non marchande Nous savons qu’une bonne santé et l’eau potable ont une valeur intrinsèque, mais comment pouvons-nous mesurer cette valeur lorsqu’elles sont rarement achetées ou vendues?

  15. Valeur marchande c. valeur non marchande Valeur marchande • Peut être appliquée seulement sur les biens achetés et vendus à des taux d’équilibre. • La valeur est déterminée par le prix (préférence révélée). • Dévoile seulement la moitié de l’histoire (valeur des biens marchandisés). Valeur non marchande • Peut être appliquée sur les biens troqués, vendus au rabais ou donnés. • La valeur est déterminée par la possession ou la privation. • Dévoile seulement l’autre moitié de l’histoire (valeur des biens non marchandisés). Valeur déterminée par la disposition à payer, telle que reflétée par le prix. En absence de prix, comment déterminer la valeur?

  16. Valeur marchande c. valeur non marchande Valeurmarchande (VM) • Q :Quecelavaut-il pour vous? • R : Préférencerévélée (le prix quevousavezpayé) Valeuréconomique simple • Q : Quecelavaut-il pour l’économie? • R : Valeurajoutéenette des intrants par rapport aux extrants Valeur non marchande (VNM) • Q: Quecelavaut-il pour vous? • R :Valeurcontingente (p. ex. coût de remplacement) Valeuréconomiquemixte • Q: Quecelavaut-il pour la société? (VM + VNM) • R : Valeurnette de tousles résultatssouhaitéspar rapport à tousles intrants pour tous les intervenants.

  17. Évaluation des biens sociaux Retour social surinvestissement (SROI) • Nous vivonsdans des sociétés, non seulementdans des économies (profit, personnes, planète). • Les bienssociauxontunevaleurintrinsèque– TOUTE valeurestmesurable. • Les bienssociauxontdifférentesvaleurs pour différentespersonnes. • Les bienssociauxcomme le temps de bénévolat ne sont pas seulement des résultatsde l’investissementcommunautaires, ilssontaussi des intrants. • Le SROI estuneméthodologiesolideutilisée par les gouvernements (p. ex. le R.-U.) et respectée par des économisteslauréats de prix Nobel. Dans le commerce, valeur= prix; le SROI évalue les intrants et les extrants des intervenants en déduisantl’informationsur le prix sans transaction.

  18. Évaluation des biens sociaux Retour social surinvestissement (SROI) – Comment : • repérertous les intervenants? • déterminercequechaqueintervenantinclutdans un projet et cequ’il en retire? • déterminerceque les intrants et extrantsvalent pour chaqueintervenant (« valeurcontingente » : coût de replacement, disposition à payer, valeurapproximative, prime de substitution, etc.)? • déterminer le niveau de changement pour lequelvouspouvezvousattribuer le mérite? • calculer le bénéfice net (niveau de changementpositif)? • calculer le SROI (appliquer les valeurs au bénéficenet)? Le SROI estunenormeinternationale de mesure de la valeurintrinsèque des bienssociaux, qui ontunevaleur, maissont non marchandisés.

  19. Évaluation des biens sociaux Quelques exemples de valeur contingente (VC) • Y a-t-il des biens à valeurmarchandepouvantservir de représentationprécise de la valeur des bienssociaux? • Quelest le coût de remplacement d’un bien social? • Quel prix paieriez-vous pour continuer à bénéficier des avantagesd’une chose donnée? • Quel prix paieriez-vous pour éviter de perdrequelque chose? • À queltarifévaluez-vousvotre temps? En 1993, les économisteslauréats d’un prix Nobel Robert Solow et Kenneth Arrow ontrecouru à uneapproche de VC primitive pour estimer le coût du déversement de pétrole de 1988 de l’Exxon Valdez. À l’aide d’un cadre de disposition à payer, ilsontévalué les coûts du déversement entre 2,8 et 4,2 milliards de dollars, en fonction du prix quel’Américainmoyenétaitdisposé à payer pour des programmes qui préviendraient un déversementfutur. Les méthodesactuellessont beaucoup plus sophistiquées.

  20. Exemple d’analyse SROI : I

  21. Exemple d’analyse SROI : II

  22. Valeur mixte = Valeur de biens marchandisés+ Valeur des biens sociaux

  23. Valeur mixte Pour tous les intervenants / secteurs

  24. 2. Indicateurs sociaux et économiques de communautés dynamiques et résilientes

  25. Pourquoi la résilience? Résilience = La capacité de se rétablir rapidement de difficultés, de défis et de changements imprévus de circonstances. • Les développeurs communautaires axés sur la résilience commandent des projets qui remédient aux aspects particuliers de vulnérabilité de sorte que les communautés s’approprient le pouvoir de prendre soin d’elles-mêmes, quoi qu’il arrive. • L’analyse de la résilience est à la pointe des commandes de projets, offrant de l’orientation, des détails, des objectifs de rendement et des indicateurs de mesure en vue d’un développement communautaire efficace.

  26. Recette de la résilience Système d’alerte Actifs (vulnérabilités)

  27. Relation entre bien-être et résilience Le niveauabsolu de bien-êtreest-ilélevé? Non Oui La communauté peut-elle s’adapter / réagir / rebondir? Le niveauest-il stable / durable? Oui Oui Communautérésiliente Non Non Vulnérable aux secousses Vulnérable aux secousses Développer la capacité de résilience

  28. Choix d’indicateurs Descendants (modèle théorique) Ascendants (modèle empirique) • Repérer les personnes déclarant les plus hauts niveaux de satisfaction générale. • Isoler les indicateurs objectifs et subjectifs du bien-être selon la plus forte corrélation statistique avec la satisfaction générale. • Cerner les menaces locales au bien-être et les actifs locaux qui peuvent atténuer les effets de secousses imprévues. • Commander des projets qui appuient les défenses existantes ou en créent de nouvelles. • Demander aux personnes quelles sont les caractéristiques les plus importantes du bien-être. • Élaborer un jeu d’indicateurs qui cerne convenablement ces caractéristiques et est capable de les suivre précisément au cours du temps. • Cerner les aspects qui fonctionnent bien et ceux qui ne fonctionnent pas bien par rapport au jeu, en les séparant par indicateur. • Commander des projets pour s’attaquer aux mauvais résultats en fonction des indicateurs. Exemple : Wellbeing and Resilience Measure (WARM) – Young Foundation, R.-U. Exemple : Canadian Index of Wellbeing – Université de Waterloo, Ontario

  29. Approches descendantes Régression / Analyse de la sensibilité (Cerner les indicateurs ayant le plus gros impact sur la satisfaction générale.)

  30. Approches ascendantes Trouver / élaborer des indicateurs pour suivre les priorités

  31. Exemples d’indicateurs : objectifs • Niveaux de vie : Différence de revenu, salaires c. coût de la vie, nombre de postes vacants, nombre de ménages sans emploi, impact sur les personnes à faible revenu, etc. • Santé : Espérance de vie, mortalité infantile, pourcentage de personnes obèses / de fumeurs, médecins/10 000 personnes, etc. • Communauté : Taux de criminalité, bénévolat, proximité de la parenté, distance du lieu de travail, proximité des loisirs, etc. • Gouvernance : Taux de vote, ratio entre votants inscrits et admissibles, abonnements aux journaux, nombre de consultations publiques, etc. Remarque : Certains indicateurs sont positifs (plus ils augmentent, plus le bien-être augmente), alors que d’autres sont négatifs (plus ils augmentent, plus le bien-être diminue).

  32. Exemples d’indicateurs : subjectifs • Niveaux de vie : Sentiment de sécurité économique, satisfaction professionnelle, pouvoir, prévisions d’inflation, état matrimonial, soins aux personnes handicapées, etc. • Santé : Capacité d’accomplir des tâches courantes, confiance en soi, impact de la dépression ou de l’anxiété, disponibilité perçue de soins ou d’aide, etc. • Communauté : Sécurité perçue, niveau de contacts avec les voisins, niveau d’intégration sociale, embourgeoisement, bénévolat, etc. • Gouvernance : Capacité de réaction / de représentation, possibilités d’apport, etc.

  33. Suivi ascendant Indicateur de vitalité communautaire Canadian Index of Wellbeing (composé) http://ciw.ca/reports/en/Domains%20of%20Wellbeing/CIW-GDP-AllDomains.jpg http://ciw.ca/en/CanadianIndexOfWellbeing/CompositeIndex.html

  34. Suivi descendant Mesure du bien-être et de la résilience Cette information n’est pas disponible en français. Le graphiqueillustreuneanalyseeffectuéedans le quartier Ardwick, au R.-U., à l’aide de la Well-Being and Resilience Measure (WARM), qui mesure le bien-êtrecommunautaire. Le graphique-araignée compare Ardwick aux tendancesnationales, et le tableau montre les aspects où la communautéest la plus vulnérable et oùelleest la plus forte.

  35. Mandala de la résilience

  36. Analyse du bien-être Bien-être général de la population entière Accent sur un aspect du bien-être / de l’expérience de vie de la population entière Mesure du bien-être de groupes et sous-groupes particuliers pour un aspect ou une population

  37. Variations internationales

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