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Les retrouvailles

Les retrouvailles Quand Léa était petite , elle allait chercher son père à la gare avec sa maman. Elle se réjouissait à l’idée de le retrouver. Il se déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t- il pas auprès de nous  ? » pensait- elle parfois.

euclid
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  1. Les retrouvailles Quand Léa était petite, elle allait chercher son père à la gare avec sa maman. Elle se réjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  2. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, elle allait chercher son père à la gare avec sa maman. Elle se réjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  3. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher son père à la gare avec sa maman. Elle se réjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  4. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec sa maman. Elle se réjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  5. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Elle se réjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  6. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tuse réjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  7. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tuteréjouissait à l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  8. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensait-elle parfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  9. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant Léa, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  10. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, bousculant la fillette sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  11. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, te bousculant sur leur passage. Sur le quai, Léa cherchait longuement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  12. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, te bousculant sur leur passage. Sur le quai, tu cherchaislonguement son papa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  13. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, te bousculant sur leur passage. Sur le quai, tu cherchaislonguement tonpapa du regard, puis des bras la serraient et l’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

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  15. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, te bousculant sur leur passage. Sur le quai, tu cherchaislonguement tonpapa du regard, puis des bras teserraient et t’emportaient dans les airs. Léa était tellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  16. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, te bousculant sur leur passage. Sur le quai, tu cherchaislonguement tonpapa du regard, puis des bras teserraient et t’emportaient dans les airs. Tu étaistellement émue qu’elle ne pouvait pas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

  17. Les retrouvailles Quand tu étaispetite, tu allaischercher tonpère à la gare avec tamaman. Tute réjouissaisà l’idée de le retrouver. Ilse déplaçait souvent à l’étranger, pour son travail. « Pourquoi ne reste-t-il pas auprès de nous ? » pensais-tuparfois. Enfin, le TGV gris et bleu apparaissait au bout de la longue voie, avec son grand nez qui plongeait vers les rails. Il grossissait, ralentissait et s’arrêtait devant toi, toujours ébahie de le voir d’aussi près. Les portes automatiques s’ouvraient.Des centaines de voyageurs envahissaient le quai, te bousculant sur leur passage. Sur le quai, tu cherchaislonguement tonpapa du regard, puis des bras teserraient et t’emportaient dans les airs. Tu étaistellement émue que tune pouvaispas prononcer un seul mot. Heureusement, cela ne durait jamais bien longtemps...

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