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Hadronthérapie Contexte International et National

Hadronthérapie Contexte International et National. Cancer Hadronthérapie Asie (Japon) USA Europe. Le cancer Contexte 1/2. Nouveaux cas en France. 800 000 français vivent avec un cancer 1 français / 3 a eu, a, ou aura un cancer 280 000 nouveaux cas détectés / an

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Hadronthérapie Contexte International et National

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Presentation Transcript


  1. HadronthérapieContexte International et National Cancer Hadronthérapie Asie (Japon) USA Europe Hadronthérapie Roscoff 2005

  2. Le cancer Contexte 1/2 Nouveaux cas en France 800000 français vivent avec un cancer 1 français / 3 a eu, a, ou aura un cancer 280000 nouveaux cas détectés / an 150000 morts / an (2000) 63 % de progression en 20 ans Hadronthérapie Roscoff 2005

  3. Le cancer Contexte 2/2 Taux de survie à 5 ansen Europe • Chirurgie • Chimiothérapie • Radiothérapie Entre 40 et 50 % des malades Plus d’1/3 des 15 000 accélérateurs dans le monde(W > 1 MeV hors radio) • Association de traitements Guérison et qualité de vie Hadronthérapie Roscoff 2005

  4. Hadronthérapie 1/2 Pourquoi ? Protons et ions (carbone)  Précision balistique  Efficacité (organes à risque préservés)  Préserver les tissus sains  Meilleure qualité de vie post traitement Contrôle 4D Précision = 1 mm X – Y = déviateurs (15 x 15 cm) Z = énergie (pic de Bragg) 250 MeV p 400 MeV / u C pour 25 cm W/W  0,5 % t = contrôle du déversement « gating » respiratoire qq 109 pps (p ou C) Standard accélérateurs Hadronthérapie Roscoff 2005

  5. Hadronthérapie 2/2 Pourquoi du carbone ? Précision balistique • Moins de diffusion (X, Y) • Problème de fragmentation des ions « traînée » après le pic de Bragg Efficacité biologique • Efficacité biologique des protons = efficacité biologique des XEBR p = 1,03 (même LET) • EBR C = 3 – 4dans le pic de Bragg Hadronthérapie Roscoff 2005

  6. Japon 1/5 -1- NIRS, Chiba, p, C, O, Ne…, 2 synchrotronsProtons @ cyclotron dès 1979 (145 patients – 2002)2000 patients ions depuis 1994 -2- HIBMC, Hyogo, p + C, synchrotron500 patients depuis 2001 (OK C mars 2005) -3- PRMC, Tsukuba University, protons, synchrotron, KEK  Hitachi 1998700 patients (1983 – 2000) + 500 patients nouveau centre -4- Wakasa Wan Energy Research Center, protons, synchrotron 200 MeVMultipurpose (Region + JAERI + 3 private electricity compagnies)-5- NCC, Kashiwa, protons, cyclotron300 patients depuis 1998 -6- SCC, Shizuoka, protons, synchrotron, juillet 2003100 patients Hadronthérapie Roscoff 2005

  7. Japon 2/5 NIRS / HIMAC 2000 patients traités C (stat +) R&D Recherche clinique Hadronthérapie Roscoff 2005

  8. Results of carbon ion radiotherapy in 5 major tumors at NIRS (June 1994~Feb 2002) Japon 3/5 NIRS / HIMAC Protocol phase Material Treatment No. Response 2yr 4yr (fractions/week) of patients rate a) local control b) survival H&N-1 I/II Locally advanced 18/6 17 73% 80% 47% H&N-2 I/II Locally advanced 16/4 19 68% 71% 32% H&N-3 II Locally advanced 16/4 148 52% 69% 36% H&N-5 II 16/4 7 100% - - Lung-1 I/II Stage I (peripheral) 18/6 47(+1) 54% 62% 78% Lung-2 I/II Stage I (peripheral) 9/3 34 85% 86% 65% Lung-3 I/II Stage I (Hilar) 9/3 14 93% 100% - Lung-4 II Stage I (peripheral) 9/3 50(+1) 65% 98% 63% Lung-6 I/II Stage I (peripheral) 4/1 32 66% - - Liver-1 I/II T2~4 MONO 15/5 24(+1) 75% 74% 46% Liver-2 I/II T2~4 MONO 4~12/1~3 82(+4) 72% 85% -% Liver-3 II T2~4 MONO 4/1 26 81% - - Prostate-1 I/II B2~C C ion+Hormone 35 11% 100% 94% Prostate-2 I/II A2~C C ion+Hormone 61 21% 100% 89% Prostate-3 II T1C~C C ion+Hormone 74 8% 100% - Bone/Soft-1 I/II un-resectable 16/4 64 36% 77% 47% Bone/Soft-2 II un-resectable 16/4 47 62% 92% - Response rate : Percent of tumors with >50% reduction in size. Local control rate : Percent of tumors with no evidence of local recurrence or relapse. Hadronthérapie Roscoff 2005

  9. Japon 4/5 NIRS / 3ième centre Carbone uniquement (pas de protons) R&D = NIRS + KEK + RIKEN + industriels Construction Mitsubishi (objectif 100 M$ @ 140) Contacts avec + de 10 régions / investisseurs Hadronthérapie Roscoff 2005

  10. Japon 5/5 Shizuoka Cancer Center Hadronthérapie Roscoff 2005

  11. Chine, Corée Wanjie Proton Therapy Center, Zibo, ChineWanjie Irradiation Co LTDProtons 230 MeV, Cyclotron IBA, 3 gantries + 1 HPremier patient en décembre 2004 China-Japan Friendship Hospital, Beijing, ChineProtons 230 MeV, Cyclotron IBA, en attente de livraison Xian, Shanxi Province, Chine, Chang An Group (privé)Protons 230 MeV, Cyclotron IBA, National Cancer Center, Goyang-Si, CoréeProtons 230 MeV, Cyclotron IBA2 gantries + 1 H + 2 lignes recherche Hadronthérapie Roscoff 2005

  12. USA 1/2 Les pionniers L’idée : RR Wilson, " Radiological Use of Fast Protons ", 1946 Premier patient : Berkeley 1954 Les pionniers à Berkeley : Cornelius Tobias … José Alonso, Joseph Castro Harward (p, 1961) Los Alamos (-, 1974) Loma Linda 1990 Premier hôpital hadronthérapie Synchrotron Protons 70 – 250 MeV Design et fabrication Fermilab 9585 patients traités / 11-04 Hadronthérapie Roscoff 2005

  13. USA 2/2 4 nouveaux centres protons Northeast Proton Therapy Center, Massachusetts General Hospital, Boston, 2001 Midwest Proton Radiation Institute, Indiana University, Bloomington, 2004 MD Anderson Cancer Center, Houston, protons, synchrotron Hitachi, 2005 University of Florida, Jacksonville, protons, cyclotron IBA, 2006 (110 M$) Hadronthérapie carbone (SIEMENS) ??? Hadronthérapie Roscoff 2005

  14. Europe Passé - Présent Uppsala (1) p 1957 – 1992 2054 patients Dubna (1) p 1967 – 1996 124 patients ITEP Moscou p 1969 3785 patients 12-04 St Petersbourg p 1975 1145 patients 04-04 PSI (SIN) - 1980 – 1993 503 patients PSI 72 MeV p 1984 4182 patients 12-04 Uppsala (2) p 1989 418 patients 01-04 Clatterbridge (UK) p 1989 1372 patients 12-04 Louvain la Neuve p 1991 – 1993 21 patients Nice p 1991 2555 patients 04-04 Orsay p 1991 2805 patients 12-03 PSI 200 MeV p 1996 209 patients 12-04 GSI C 1997 198 patients 12-03 HMI Berlin p 1998 546 patients 12-04 Dubna (2) p 1999 296 patients 12-04 INFN-LNS Catane p 2002 82 patients 11-04 Hadronthérapie Roscoff 2005

  15. Europe Présent - Futur PROTONS PSI Zurich Cyclotron supra ACCEL, 2 gantries, Actif Rinecker Center Munich Cyclotron supra ACCEL, 4 gantries Privé, 4000 patients / an Rinecker #2 Cologne En construction ICPO Orsay Jouvence CPO CARBONES HICAT Heidelberg CNAO Pavie MedAustron Wiener N. 40 % état, recherche " investisseur " ETOILE / CNRH Lyon Marcel Bajard ASCLEPIOS Caen Robin Ferdinand Hadronthérapie Roscoff 2005

  16. ICPO (protons) Institut Curie – Centre de Protonthérapie d’Orsay ~350 en 2005 700 patients par an en 2008 Effort principal pour les enfants(medulloblastome, tête et cou, etc.) Extension des indications pour les adultes(tête et cou, tumeurs proches de la colonne vertébrale, etc.) REM : Pierre Bey a visité Shizuoka Hadronthérapie Roscoff 2005

  17. ICPO Synchrotron (8 m) Sans arrêter les traitements ! Cyclotron (Boston) 4 m 220 T Bras isocentrique 7 – 10 m (~ 10 M€) Hadronthérapie Roscoff 2005

  18. HICAT Heidelberg (carbones) @ GSI … et le groupe Kraft – Haberer @ expérience acquise à GSI Actif spot scanning (pb tumeurs mobiles) Gantry 600 Tonnes 72 M€ (90) Premier patient en 2007 Hadronthérapie Roscoff 2005

  19. CNAO Pavie (carbones) PIMMS  TERA (Amaldi)  CNAO CERN - INFN Hadronthérapie Roscoff 2005

  20. Contexte national Cabinet de Philippe Douste-Blazy Ministre des Solidarités, de la Santé et de la Famille Cabinet de François D’Aubert Ministre Délégué à la Recherche COMMUNIQUE Paris, le 12 mai 2005 Création d’un Pôle national de recherche en hadronthérapie pour le traitement du cancer Le site de Lyon a été choisi pour l’implantation d’un premier centre de recherche français en hadronthérapie. Ce centre associera au sein d’un réseau européen pluridisciplinaire les meilleures équipes de médecins, de biologistes et de physiciens, impliquées dans le développement de cette nouvelle approche thérapeutique, notamment les équipes des projets «Etoile» et «Asclépios». Le potentiel de cette technique justifie un important effort de recherche… Ce projet national s’appuiera sur une collaboration renforcée entre les équipes des villes candidates, Caen et Lyon, et l’ensemble des organismes de recherche concernés (CNRS, Inserm, CLCC, CHU, Universités, CEA, CERN) … YaKa… A mettre en musique… Hadronthérapie Roscoff 2005

  21. CONCLUSION 1/2 • IMAGE DE MARQUE du CEA et de l’IN2P3 • Un investissement relativement faiblepour un retour sur investissement très fort •  Démonstration que les techniquesdéveloppées pour la recherche fondamentale ont des retombées directessur l'amélioration du traitement et de la qualité de vie des malades •  Fort soutien des politiques et de la population locale (nombreux articles de journaux, on en parle dans les radios locales...) •  Image positive • Démonstration et valorisation du savoir faire Ex Cryomagnétisme "gantry supra" Hadronthérapie Roscoff 2005

  22. CONCLUSION 2/2 MOTIVANT POUR LES PHYSICIENS DES ACCELERATEURS  OBJECTIF Guérir des malades et préserver leur qualité de vie  INTERET DU TRAVAIL * Équipe = Médecins + Physiciens Médicaux + Physiciens * Technique nouvelle : beaucoup à inventer * Challenges excitants : assurance « qualité médical », machine « presse bouton » * Une nouvelle façon de construire des installations (« aires » et accélérateur)avec une “forte” implication des industriels Une étape vers le « clef en main sur spécifications fonctionnelles »pour les projets du futur (maîtrise d’œuvre industrielle) Hadronthérapie Roscoff 2005

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