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DONNEES PHARMACOLOGIQUES ET RÔLE INFIRMIER

DONNEES PHARMACOLOGIQUES ET RÔLE INFIRMIER. INSULINES :. PLAN. Frederick Banting. I-Rappel II-Biologie III-Insulinothérapie Rôle infirmier du point de vue juridique. I-RAPPEL. Les cellules ont besoin de sucre.

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DONNEES PHARMACOLOGIQUES ET RÔLE INFIRMIER

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Presentation Transcript


  1. DONNEES PHARMACOLOGIQUES ET RÔLE INFIRMIER INSULINES :

  2. PLAN Frederick Banting I-Rappel II-Biologie III-Insulinothérapie Rôle infirmier du point de vue juridique

  3. I-RAPPEL

  4. Les cellules ont besoin de sucre -Endogène :glucide de réserve stocké au niveau du foie et des muscles ( glycogène) -Triglycérides stockés dans le tissus adipeux sous forme de graisse   Sucre = énergie = glucose -Exogène :glucides absorbés par l’alimentation S’il n’est pas utilisé immédiatement pour produire de l’énergie , le glucose est transformé en glycogène, stocké dans le foie et dans les muscles . Lorsque ces réserves sont saturées, le glucose est transformé en graisse dans les tissus adipeux. L’insuline aide à la pénétration du glucose dans les cellules

  5. II-BIOLOGIE Normes : Glycémie à JEUN : 0,80 à 1,1g / L Glycémie POST PRANDIALE : < 1,40 g / L Diabétique : Glycémie à JEUN X 2 >1,2 g / L Hypoglycémie : 0,40g à 1 g / L Hyperglycémie : glycémie > 1,8 g / L P.H < 7,2 ( Nme : 7,4)

  6. III-L’INSULINOTHERAPIE

  7. a)DEFINITION DE L ’INSULINE Hormonehypoglycémiante sécrétée par les cellules β des îlots de Langerhans du pancréas

  8. b) QU’EST-CE -QUE L ’INSULINOTHERAPIE? Méthode thérapeutique qui consiste enune ou plusieurs injection(s) d ’insuline quotidienne afin d ’obtenir le meilleur équilibre possible entre l ’insulinémie et la glycémie. Doit êtredébutée en milieu hospitalier spécialisé(de préférence) afin de bien éduquer le patient..

  9. c) OBJECTIFS DE L ’INSULINOTHERAPIE INSULINOTHERAPIE CONFORTABLE aider à l’autonomie du patient MAÎTRISER VARIATIONS GLYCEMIQUES 3

  10. d) MODIFICATIONS DE L ’INSULINOTHERAPIE A personnaliseren fonction de l ’âge et du terrain Adaptationen fonction des glycémies Modification pour anticiper les glycémies à venir (Mode anticipatoire ) :48 heures d ’observation,on modifie la dose responsable de l ’anomalie constatée Modification pour compenser la glycémie mesurée (mode compensatoire ou rattrapage) : on modifie la dose d ’insuline rapide au moment de l ’anomalie constatée

  11. Si dose primitive = ou < 15 UI :  ou  de 1 UI Si dose primitive > à 15 UI :  ou  de 2 UI Prendre en considération les activités du patient En cas d ’effort : des doses précédant l’effort et  des glucides Chez le sujet âgé : éviter les hypoglycémies nocturnes = éviter insuline lente et réduire les doses de Rapide le soir

  12. e) DIFFERENTS TYPESD ’INSULINE (7) 1) ANALOGUES RAPIDES:Humalog , Novo Rapid,Apidra - Action : Délai : 5mn Pic : 1h Durée : 3 h - Injection : juste avant le repas

  13. 2) RAPIDES :Umuline rapide, Actrapid, Insuman Rapid, - Action : Délai :30 mn Pic : 2h Durée : 6 à 8 h - Injection : En urgence ( I.V, Perfusion, Pompe) ou utilisation normale ( S/C) seule ou combinée à Retard, 15 à 20 mn avant le repas

  14. 3)INTERMEDIAIRES N.P.H: Insulatard NPH, Insuman basal, Umuline NPH - Action : Délai : 30mn à 1h Pic : 3 à 7h Durée : 12 à 20h - Injection 2 inj /j= matin et soir 3 ou 4 inj /j = le soir de préférence (Rapide matin , midi, et soir)

  15. 4) ANALOGUE MELANGES FIXES :Humalog mix (25, 50) NovoMix (30, 50, 70) Action : Délai : 15 mn Pic :30 à 70 mn Durée : 15h Injection : 2 , 3 ou 4 inj / jour

  16. 5) MÉLANGÉE FIXES :Insuman Comb (15, 25, 50), Umuline profil 30 - Action : Délai : 30mn Pic : 1 à 7h Durée :12 à 20h - Injection : 2 inj / j = matin, soir 3 inj / j = le soir ( Rapide , matin et midi )

  17. 6) Analogue LENTE : Lantus, Levemir • Action: • Délai 1h • Pic : pas de pic • Durée : 24h • 7)Pour POMPE:Insuman , Vélosuline

  18. f) LES MOYENS La seringue:de moins en moins utilisée Les stylos:attention à bien enlever les bulles d’air Les pompes externes ou implantables

  19. g) LES SITES D ’INJECTION - Abdomen :pas autour du nombril, pli cutané facile, résorption rapide - Cuisses: dessus ou côté externe, pli cutané obligatoire ou aiguille courte, résorption lente - Bras :partie supérieure et externe, pli cutané obligatoire ou aiguille courte, résorption moyenne - Fesses :conseillées pour le soir, quelques cm sous l ’os iliaque, pas besoin de pli ,résorption lente

  20. LES DIFFERENTS SITES D ’INJECTION

  21. h) LA TECHNIQUE - Avant le repas (voir recommandation en fonction de l’insuline) - Après la glycémie capillaire - Injection à 45 ° sans pincer (sauf si maigreur) - Tenir compte de l ’activité physique et des différentes vitesses de résorption selon le lieu d ’injection ventre > bras >cuisse

  22. i) RESORPTION DE L ’INSULINE Les facteurs qui influent: - Type d’insuline - Épaisseur du tissu sous cutané - Le site d’injection - Technique d’injection

  23. j) RECOMMANDATIONS GENERALES ex : 3 inj / j : matin: abdomen midi: bras soir:cuisse ex : 4 inj / j : matin : abdomen midi : abdomen soir :abdomen coucher : fesses UNE ROTATION ORGANISEE PERMET D ’EVITER LE RISQUE DE LIPODYSTROPHIE ET AMELIORE L ’EQUILIBRE GLYCEMIQUE

  24. k) AVANT DE MODIFIER LA DOSE D ’INSULINE - Penser aux sites d ’injection et à leur différence de vitesse de résorption de l ’insuline - Penser au pic d ’insulinémie ,à la durée et à l ’intensité du plateau - Insuline rapide le moins possible  le soir - Chez le sujet âgé éviter de faire de l ’insuline lente le soir - Demander au diabétique de noter ses périodes d ’activité intense - Humalog injecter l ’insuline dès le début du repas - Demander au patient son apport glucidique ou la composition de ses collations - Tenir compte des horaires d ’injection

  25. m) CONSIGNES A RESPECTER -Vérifier la quantité d ’insuline restant dans la cartouche avant chaque injection - Respecter le temps d ’injection - Ne pas laisser l ’aiguille sur le stylo entre deux injections - Ne jamais partager un stylo ou une cartouche entre deux patients - Ne jamais recapuchonner l ’aiguille

  26. IV-RÔLE INFIRMIER DU POINT DE VUE JURIDIQUE CADRE GENERAL - Décret du16 Février 1993 Articles: 11, 15, 16, 32 - Décret du11 Février 2002 Articles: R4311-5

  27. CADRE DE LA PRÉVENTION - Décret du6 Novembre 1997 Articles : R. 44-1, 44-2, 44 -3 - Arrêté du7 Septembre 1999 Articles : 3, 11 - Arrêté du7 Septembre 1999 Articles: 2, 4, 5

  28. PROCEDURE A APPLIQUER - Expliquer ce qui est à risque dans les déchets - Risque infectieux - Risque physique - Risque psychologique

  29. BIBLIOGRAPHIE - Fiche diabète réseau régional région centre - Nouveau cahier de l ’infirmière : Pharmacologie et soins infirmiers Soins infirmiers aux personnes atteintes du diabète et d ’affections métaboliques

  30. MERCI

  31. à jeun : foie, muscle et reins → utilisation plus faible de glucose ; le tissus adipeux prend le relais par utilisation d’ acides gras après repas : le glucose provient de l’alimentation → activation de la sécrétion d’insuline pour lutter contre les hyperglycémies

  32. L’insuline Inhibe Stimule Néoglucogenèse Glycogénolyse Lipolyse Cétogenèse Protéolyse Apoptose Expression de certains gènes Transport du glucose (muscles et adipocytes) Synthèse du glycogène ( foie et muscles) Lipogenèse Synthèse protéique Synthèse d’AND Croissance et différenciation cellulaire Expression de certains gènes -

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