1 / 32

Direction des Opérations

Direction des Opérations. Loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale Conseil en Évolution Professionnelle (CEP) Atelier du 19 Août 2014. Objectifs de la réunion. Introduction. 1. 2. Travail en sous-groupe.

Télécharger la présentation

Direction des Opérations

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Direction des Opérations Loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale Conseil en Évolution Professionnelle (CEP)Atelier du 19 Août 2014

  2. Objectifs de la réunion Introduction 1 2 Travail en sous-groupe Pause déjeuner 4 Restitution des sous-groupes et échanges 5 Le quizz « Le CEP comme si j’y étais » 6 Conclusion

  3. 1. D’où vient la loi ? Le 8 juillet 2013, le gouvernement transmet aux partenaires sociaux - syndicats (CGT, FO, CFDT, CFE-CGC et CFTC) et patronat (Medef, CGPME, UPA) - le document d'orientation les invitant à ouvrir une négociation sur « la formation professionnelle pour la sécurisation des personnes et la compétitivité des entreprises ». • Ce que dit le document d’orientation : • Nous devons sécuriser les parcours professionnels des actifs : • En améliorant l’orientation professionnelle • En consolidant les droits individuels d’accès à la formation • Nous devons repositionner la formation professionnelle comme levier de la compétitivité : • En tant qu’outil de l’évolution professionnelle des actifs • En tant qu’investissement pour l’entreprise et non une charge • Nous devons revisiter le Système de la formation professionnelle : • En installant une nouvelle gouvernance • En clarifiant le rôle des acteurs • En réorganisant les circuits financiers ANI 14 décembre 2013 Loi du 5 mars 2014 3

  4. La loi du 5 mars 2014 a pour ambition principale de réorienter les fonds de la formation professionnelle vers ceux qui en ont le plus besoin et d’agir ainsi en faveur de la sécurisation des parcours professionnels UN CONTEXTE RENDANT LA RÉFORME NÉCESSAIRE • x Des mutations économiques qui entrainent une discontinuité des trajectoires professionnelles • Un niveau de chômage élevé. • Une accélération des mobilités : 25% des actifs en France sont au chômage ou en CDD. • Une fragilité de ces publics qui par ailleurs ont des difficultés d’accès à la formation professionnelle. De nombreuses réformes depuis dix ans qui n’ont jamais réinterrogé le système dans sa globalité • Les trois réformes de 2000, 2004 et 2009 apportent des ajustements importants à la loi de 1971. • Pour autant, elle ne règlent pas les deux sujets du financement du paritarisme et du statut de l’obligation légale. • Une focalisation sur les moyens, au travers du respect d’une obligation de financement, au détriment des finalités qualitatives de la formation. • Une formation continue faiblement qualifiante. • Des disparités, notamment en fonction du statut de l’actif, quant à l’accès à la formation. • Un système de financement complexe (types de contribution, multiplicités des financeurs et collecteurs). Un système présentant des complexités et ne répondant pas aux enjeux actuels UNE RÉFORME EN FAVEUR DE LA SÉCURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS ARTICULÉE AUTOUR DE DEUX OBJECTIFS 2 1 Piloter plus efficacement la formation professionnelle Améliorer le droit individuel à la formation professionnelle et mieux prendre en compte les acquis des parcours L’ambition affichée par les pouvoirs publics se décline dans cinq axes d’évolution majeurs portés par la loi

  5. La loi apporte, dans le domaine de la formation professionnelle, de nombreux changements structurés autour de cinq thèmes AXES D’EVOLUTION DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE Zooms sur les points clés du cahier des charges national pages suivantes PRINCIPAUX APPORTS DE LA LOI (NON EXHAUSTIF) • Création du CPF : un droit universel à la formation professionnelle, attaché à la personne tout au long de la vie active jusqu‘à la retraite • Création du CEP : un conseil en évolution professionnelle gratuit et accessible pour tous les actifs afin de sécuriser leurs parcours • Création de la période de mise en situation en milieu professionnel • Des entretiens professionnels obligatoires, tous les 2 ans, avec l’employeur pour envisager ses perspectives d’évolution et les formations pouvant y contribuer REFONDATION DES MODALITÉS DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE Améliorer le droit individuel à la formation 1 RÉFORME DE L’APPRENTISSAGE • Une évolution des règles de gestion et d’affectation de la taxe d’apprentissage • Une évolution des conditions du contrat d’apprentissage (pouvant désormais être conclu en CDI et devant prendre en compte le développement de la mixité professionnelle) • Un renforcement des missions des centres de formation pour apprentis (CFA) 2 Piloter plus efficacement la formation INSTALLATION D’UNE NOUVELLE GOUVERNANCE • Une évolution du rôle des Régions qui deviennent le lieu de pilotage central en matière de formation professionnelle • Une simplification des instances (CNEFOP, CREFOP) facilitant la concertation entre acteurs et permettant de mieux relier les domaines de l’emploi, de la formation et l’orientation professionnelles 3 RÉFORME DU FINANCEMENT • Un enrichissement des missions des OPCA (contrôle de la qualité des formations, activité de collecte et répartition renforcée…) et du FPSPP (financement du contrat de professionnalisation et du CPF des demandeurs d’emploi…) • Pour les entreprises de plus de 10 salariés : une réduction de l’obligation fiscale « de financer », à travers une contribution unique de 1% de la masse salariale 4 ÉVOLUTION DE LA DÉMOCRATIE SOCIALE • Une évolution des financements des syndicats et patronat vers plus de transparence • Une meilleure représentativité des organisation patronales habilitées à négocier et signer des accords si elles remplissent plusieurs critères 5 La création du CEP constitue une évolution importante pour Pôle Emploi et lui offre l’opportunité de renforcer son positionnement au service de ceux qui en ont le plus besoin.

  6. Le CEP prend la forme d’une offre de services structurée en trois niveaux, adaptables selon les besoins du bénéficiaire OFFRE DE SERVICE NATIONALE DU CEP • x 1 • Réalisé dans les conditions communes à l’ensemble des membres du SPRO et dont les modalités d’« aiguillage » doivent être formalisées en amont dans ce cadre • Permettant d’analyser la demande de la personne et de l’orienter vers le référent ou une autre structure à même de lui offrir le service adapté à son besoin • Permettant au bénéficiaire d’accéder à une information sur les tendances socio-économiques, l’emploi, les métiers, les compétences, les qualifications et les formations Un accueil individualisé… 2 • S’inscrivant dans une démarche dynamique et itérative impliquant une co-construction du projet professionnel, tenant compte du degré d’autonomie du bénéficiaire et de son niveau de maturation de son projet, ainsi que de son initiative, de ses souhaits et du rythme d’avancement de son projet • Permettant au bénéficiaire de formaliser son projet d’évolution professionnelle et d’y assortir une stratégie : notamment en clarifiant sa demande et précisant ses priorités, identifiant ses compétences actuelles transférables ou à acquérir, identifiant les emplois correspondant à ces compétences… Un conseil personnalisé… 3 • Permettant de co-constuire un plan d’actions pour la mise en œuvre du projet d’évolution professionnelle comprenant : les étapes et les objectifs intermédiaires à atteindre pour la réalisation du projet, les actions à conduire à chaque étape, le cas échéant le parcours de formation envisagé, les dispositifs et prestations à mobiliser, le plan de financement, et un calendrier prévisionnel indicatif • Permettant au bénéficiaire d’êtresoutenu par son référent tout au long de la réalisation de ce plan d’action, ce dernier prenant notamment en charge : l’étude de faisabilité financière et la recherche des financements adaptés au projet et à la situation, la révision éventuelle du plan d’action en concertation avec le bénéficiaire Un accompagnement personnalisé à la mise en œuvre du projet… Chaque bénéficiaire du CEP est suivi, au sein de l’opérateur CEP qui le prend en charge, par un référent qui sera son interlocuteur tout au long du processus de conseil et d’accompagnement de son projet d’évolution professionnelle, de l’élaboration à sa réalisation (niveaux 2 et 3).

  7. Le nouveau marché de prestations sous-traitées Appel d’offres en cours Exécution : 01/07/2015 7

  8. Pôle emploi a inscrit les futures conditions de recours à la sous-traitance dans le cadre de ses orientations stratégiques : Proposer davantage d’accompagnement intensif en interne et Renforcer l’accompagnement pour les mobilités professionnelles Ainsi, Pôle emploi crée : Une prestation sous-traitée Activ’emploi destinée aux publics les plus autonomes. Cette prestation aura pour objectif d’activer et d’optimiser la recherche des bénéficiaires. Elle permettra ainsi aux conseillers de Pôle emploi de se concentrer davantage sur l’accompagnement renforcé et intensif et à PE d’adapter ses capacités aux évolutions de la conjoncture; Une prestation sous-traitée Activ’projet pour les DE ayant besoin d’un appui méthodologique dans la construction de leur projet professionnel Pôle emploi a décidé que les futurs marchés de prestations de placement porteront une évolution significative des relations entre Pôle emploi et les opérateurs au bénéfice de la qualité de l’accompagnement des demandeurs d’emploi Les nouvelles conditions de recours à la sous-traitance

  9. Les nouvelles conditions de recours à la sous-traitance en matière de placement • Le marché de la future prestation de placement porte les principes approuvés par le conseil d’administration le 12 février 2014. • Un recours à la sous-traitance en complémentarité de notre stratégie cœur de métier qui consiste à proposer davantage d’accompagnement intensif en interne • Une évolution des relations entre Pôle emploi et les prestataires au bénéfice de la qualité de l’accompagnement des demandeurs d’emploi , en amont, pendant et en aval de la réalisation de laprestation – cf. gouvernance (page 47 et 48) • Plus de marges de manœuvre, pour les titulaires, dans la mise en œuvre des prestations, en contrepartie d’un dispositif de suivi et de contrôle qualité renforcé, par l’intermédiaire notamment d’enquêtes de satisfaction des demandeurs d’emploi. Zoom 1 Zoom 1 Zoom 2 Zoom 3

  10. Un recours à la sous-traitance en complémentarité de notre stratégie : proposer davantage d’accompagnement intensif en interne Zoom 1 • Evolutions et orientations stratégiques • Le plan stratégique Pôle Emploi 2015 a installé une nouvelle différenciation de l’offre de services aux demandeurs d’emploi afin de répondre de façon personnalisée aux besoins et aux attentes spécifiques des demandeurs d’emploi. • L’accompagnement renforcé concerne les demandeurs d’emploi les plus éloignés de l’emploi et/ou ayant besoin d’être fortement accompagnés dans leur recherche d’emploi. • Avec Activ’emploi, la sous-traitance est un levier de la mise œuvre des orientations stratégiques de Pôle emploi. Pôle emploi ne sous-traite plus son cœur de métier; les opérateurs de placement centrent leur offre de services sur les besoins des demandeurs d’emploi autonomes. Cette complémentarité des offres de services de Pôle emploi et des opérateurs de placement permettra à Pôle emploi d’accroitre ses capacités d’accompagnement des demandeurs d’emploi qui en ont le plus besoin (entre 700 et 1000 portefeuilles d’accompagnement renforcé estimés). Une cible de portefeuilles d’accompagnement renforcé et son équivalence en prestations Activ’emploi à réaliser sera communiquée, à titre indicatif, à chaque région.

  11. Un recours à la sous-traitance en complémentarité de notre stratégie : proposer davantage d’accompagnement intensif en interne Aujourd’hui Zoom 1 • 2 prestations d’accompagnement renforcé: • Objectif emploi (OE), axée sur la problématique de recherche d’emploi • Trajectoire vers l’emploi (TVE), destinée aux demandeurs d’emploi de longue durée • Soit environ 40 000 demandeurs d’emploi en cours (source IOP juin 2014) Demain • Les prestations OE et TVE ne seront plus sous-traitées. • Pôle emploi crée une nouvelle prestation – « Activ’emploi » - destinée aux demandeurs d’emploi les plus autonomes; • Ce qui permettra aux conseillers de se concentrer davantage sur l’accompagnement renforcé.

  12. Une évolution des relations entre Pôle emploi et les prestataires au bénéfice de la qualité de l’accompagnement des demandeurs d’emploi Zoom 2 Evolutions portées par les marchés 2015 Constats sur les marchés 2012 • De manière générale, les contacts directs entre les conseillers prescripteurs et les intervenants prestataires sont très limités. • Ce qui induit une connaissance limitée des prestataires par les conseillers, une prescription quelquefois sans conviction et, par conséquent, des réticences de la part des demandeurs d’emploi. • En 2012, environ 35% des demandeurs d’emploi n’ont pas démarré la prestation OE ou TVE prescrite par le conseiller. • Les relations entre Pôle emploi et les opérateurs sont essentiellement administratives. Les échanges sur les bonnes pratiques sont peu généralisés. • En amont de l’exécution des marchés • Au lancement des marchés, les prestataires présenteront leur structure et les modalités de mise en œuvre de la prestation aux agences Pôle emploi. Cette rencontre sera l’occasion pour les agences et les prestataires d’avoir un premier contact en amont du marché et, de part et d’autre, d’échanger sur leurs attentes et offres de services respectives. • En continu, pendant l’exécution des marchés • Des séances d’information collectives à l’attention des demandeurs d’emploi correspondant au public concerné par la prestation pourront être organisées par les agences, voire co-animées avec les prestataires. • La communication entre les agences et les prestataires sera facilitée : le prestataire désignera un référent auprès de Pôle emploi pour répondre aux besoins d’échanges d’informations opérationnelles au niveau des territoires. • Un comité de suivi opérationnel local se tiendra au moins deux fois par an et • traitera notamment : • Des situations individuelles de demandeurs d’emploi ayant nécessité un échange d’information entre Pôle emploi et le prestataire; • Des modalités d’inscription à la prestation mises en œuvre par les agences Pôle emploi; • De la qualité des prestations et de la satisfaction des demandeurs d’emploi.

  13. Plus de marges de manœuvre dans la mise en œuvre, en contrepartie d’un dispositif de suivi et de contrôle qualité renforcé Zoom 3 • Evolutions portées par les marchés 2015 • Constats sur les marchés 2012 • Les cahiers des charges nationaux des prestations d’accompagnement actuelles laissent très peu de marges de manœuvre aux opérateurs pour mettre en œuvre différentes méthodes d’accompagnement : les activités et les tâches que le prestataire devra réaliser au cours de la prestation sont très finement détaillées. • Ils ne sont pas cohérents avec les évolutions de Pôle emploi qui visent plus de marges de manœuvre au niveau des territoires. • Par ailleurs, le dispositif de contrôle qualité prévu par les marchés de 2012 a très partiellement été mis en œuvre dans les régions de Pôle emploi. • Le cahier des charges de la prestation Actv’emploi adopte un modèle fonctionnel : les objectifs de la prestation sont déclinés en une liste de besoins précis. • Les opérateurs proposent une offre et une méthodologie en réponse à l’expression du besoin. • En contre partie de ces marges de manœuvre accrues, Pôle emploi renforce le contrôle qualité des prestations par l’intermédiaire notamment : • d’enquêtes de satisfaction des demandeurs d’emploi dont les résultats seront restitués aux agences locales; • de contrôles sur place organisés par Pôle emploi.

  14. Les conditions de recours à la sous-traitance en matière de projet • Eléments de constats issus d’entretiens menés avec des conseillers et des psychologues de Pôle emploi et des échanges avec les structures prestataires • Constats sur les marchés 2012 • Plusieurs prestations couvrent différents besoins détaillés trop finement dans les cahier des charges pour correspondre à la réalité des situations des demandeurs d’emploi • Les personnes ne sont que très rarement dans une situation relevant strictement soit de l’élaboration de projet (CAP) soit de la confirmation de projet (CPP). • Les conseillers ont exprimé leur difficulté à proposer sans ambigüité les prestations CPP ou CAP. • Les prestations projet sous-traitées actuelles sont fortement mobilisées : • CAP Projet a concerné92 739 demandeurs d’emploi en 2013; • CPP a concerné 54 044 demandeurs d’emploi en 2013. • Les prestations CPP et CAP ont été conçues début 2011 pour une mise en œuvre début 2012, bien avant les évolutions de l’offre de services de Pôle emploi en orientation professionnelle • Conçues avant les travaux sur l’offre de services en orientation portée par Pôle emploi 2015, les prestations CPP et CAP n’intègrent pas le principe de développement de la capacité à s’orienter.

  15. Les conditions de recours à la sous-traitance en matière de projet • En faisant évoluer les actuelles prestations projet sous-traitées, Pôle emploi répond à trois enjeux stratégiques Marchés 2015-2017 Marchés actuels • Simplifier l’accès à son offre de service et renforcer l’accompagnement des mobilités professionnelles • Positionner ses services sous-traités en adéquation avec son offre de services interne • Cette prestation d’appui à l’accompagnement des demandeurs d’emploi sera mise en œuvre par les équipes en orientation spécialisée et sous-traitée. • La personnalisation du service sera au cœur des deux objectifs, opérationnel et pédagogique, de la prestation. • Inscrire cette prestation dans la perspective du Conseil en Evolution Professionnelle (CEP)dont leprojet de cahier des charges permet le recours à des prestations externes en appui du processus de définition et de mise en œuvre du projet professionnel. • Cap projet professionnel (CAP) • Confirmer son projet professionnel (CPP) Les prestations CAP et CPP sont regroupées en une prestation projet unique – « Activ’projet » - afin de simplifier la prescription pour les conseillers

  16. Place de la sous-traitance dans l’ODS Orientation de Pôle emploi et le CEP Pour quel public et dans quelle logique faire appel à des prestataires externes en matière de Projet ? Pour tout demandeur d’emploi ayant besoin de définir ou de confirmer un projet professionnel, quels que soient son profil et son niveau d’autonomie Dans une logique capacitaire, Sous quelles conditions s’effectue ce recours ? La prescription repose sur un diagnostic approfondi des besoinspermettant au Conseiller et au DE de faire le point sur les compétences à s’orienter, et s’effectue dès lors que ces besoins relèvent de l’une des deux thématiques : « Bilan » : expliciter son expérience ses choix et son projet professionnel, confronter ses caractéristiques personnelles aux caractéristiques du métier « Projet » : trouver des pistes de métiers diversifiées, prioriser des pistes de métiers Quel contenu de la prestation Activ Projet ? En cohérence avec le cahier des charges du Conseil en Evolution Professionnelle qui prévoit le recours à des tiers Double objectif : opérationnel (élaboration ou confirmation d’un ou plusieurs projets professionnels) et pédagogique (acquisition des compétences à s’orienter) Durée de 8 semaines Le bénéficiaire coproduit avec le prestataire un plan d’action détaillé Quels attendus ? à l’issue de celle-ci le bénéficiaire doit avoir : défini, conjointement avec son référent, un ou plusieurs projets professionnels à court ou moyen terme traduisant une stratégie d’évolution professionnelle avoir progressé d’au moins un niveau sur chacune des compétences à s’orienter visée par la prestation Les conditions de recours à la sous-traitance en matière de projet

  17. Objectifs de la réunion Introduction 1 2 Travail en sous-groupe Pause déjeuner 4 Restitution des sous-groupes et échanges 5 Le quizz « Le CEP comme si j’y étais » 6 Conclusion

  18. Les attendus du CEP 1.3. Attendus du conseil en évolution professionnelle pour les bénéficiaires • Le conseil en évolution professionnelle permet au bénéficiaire : • de disposer d’un temps d’écoute et de recul sur son parcours professionnel ainsi que d’un suivi par un référent dans les différentes phases du conseil en évolution professionnelle; • d’accéder à une information individualisée; • d’élaborer une stratégie d’évolution lui permettant de construire ou de préciser son projet professionnel; • de vérifier sa faisabilité; • de cerner, le cas échéant, les compétences ou les qualifications à faire reconnaître, à acquérir ou à développer; • de construire un plan d’actions permettant notamment d’identifier les interlocuteurs, les leviers et les financements disponibles pour mettre en oeuvre son projet. Le conseil en évolution professionnelle donne lieu à l’élaboration d’un document de synthèse (sur les niveaux 2 et 3 du CEP). Ainsi, le bénéficiaire est destinataire d’un document récapitulant, outre les services dont il a bénéficié, la description de son projet d’évolution professionnelle, la ou les stratégies envisagées pour le mettre en oeuvre et le plan d’actions lié comprenant, le cas échéant, le parcours de formation envisagé. Ce document est formalisé selon un modèle commun aux organismes délivrant le conseil en évolution professionnelle.

  19. Le CEP : niveau 1 2.1 Premier niveau: un accueil individualisé Cet accueil est réalisé dans les conditions communes à l’ensemble des membres du service public régional de l’orientation (SPRO). L’accueil permet d’analyser la demande de la personne et d’identifier, le cas échéant, la structure la mieux à même de lui offrir le service adapté à son besoin. Les modalités de cet «aiguillage» doivent être formalisées en amont dans le cadre du SPRO. A ce premier niveau de service, le bénéficiaire peut accéder à une information sur les tendances socio- économiques, l’emploi, les métiers, les compétences, les qualifications et les formations, prenant en compte l’émergence des nouvelles filières et de nouveaux métiers dans le domaine de la transition écologique et énergétique. Elle est actualisée, territorialisée sur la base de diagnostics territoriaux et adaptée à un usage grand public pour permettre à chaque personne: – de mieux appréhender son environnement professionnel et l’évolution des métiers sur le territoire; – d’être informée des différents dispositifs existants (services, prestations, formations). L’information délivrée sur les dispositifs existants peut être dispensée, le cas échéant, dans le cadre de réunions collectives d’information en nombre restreint de bénéficiaires du CEP (ex.: réunion d’information collective VAE) animées par un conseiller. Le rôle du conseiller consiste à aider le bénéficiaire à se repérer dans le paysage des informations, des services et des outils disponibles (espace ressources documentaires, espace info bilan, portails d’informations et tutoriels…), à découvrir un ou plusieurs environnements professionnels et/ou métiers et à acquérir une méthode d’analyse de l’information. Le premier niveau d’accueil individualisé doit permettre au bénéficiaire d’analyser sa situation professionnelle, de décider de la poursuite ou non de ses démarches et d’identifier les acteurs susceptibles de l’y aider.

  20. Le CEP : niveau 2 (1/2) 2.2 Deuxième niveau: un conseil personnalisé Le conseil personnalisé est délivré par les opérateurs du CEP. Les différents publics bénéficiaires relèvent de la responsabilité institutionnelle des organismes qui, dans le cadre de leurs missions, sont chargés de leur suivi et de leur accompagnement. Chaque bénéficiaire du CEP est dès lors suivi, au sein de l’opérateur CEP qui le prend en charge, par un référent qui sera son interlocuteur tout au long du processus de conseil et d’accompagnement de son projet d’évolution professionnelle, de l’élaboration à sa réalisation (niveaux 2 et 3). Le conseil personnalisé s’inscrit dans une démarche dynamique et itérative. Il est adapté à la situation de la personne, à son besoin et à son degré d’autonomie ainsi qu’à sa problématique d’évolution professionnelle. Il doit permettre au bénéficiaire: • de clarifier sa demande et de préciser ses priorités en matière d’évolution professionnelle; • d’identifier ses compétences, en particulier celles qui seraient transférables dans une perspective de mobilité, et celles à acquérir pour améliorer sa qualification et favoriser son évolution professionnelle (besoins de formation); • d’identifier les emplois correspondant aux compétences dont il dispose ou qu’il serait susceptible d’occuper en complétant ses compétences; • de bénéficier d’une méthodologie de construction du projet professionnel, notamment en matière de recherche d’un environnement professionnel correspondant à ses aspirations; • de définir son projet professionnel et d’en apprécier la faisabilité au regard des opportunités identifiées.

  21. Le CEP : niveau 2 (2/2) Il implique une co-construction avec la personne de son projet d’évolution professionnelle reposant sur deux principes: • la prise en compte de son degré d’autonomie et du niveau de maturation de son projet; • le respect de son initiative, de ses souhaits et du rythme d’avancement de son projet. Le respect de ces principes de co-construction doit permettre d’éviter une approche prescriptive du CEP et conditionne la réussite du projet d’évolution professionnelle. Il doit en conséquence faire l’objet d’une attention particulière des opérateurs du conseil en évolution professionnelle. Lorsque la personne exprime un projet d’évolution professionnelle, elle bénéficie d’un appui à la construction et la formalisation de ce projet ainsi qu’à l’élaboration d’une stratégie, selon des modalités déterminées au préalable avec le conseiller. La définition d’une stratégie conduit la personne, avec le soutien du conseiller, à étudier l’opportunité et la pertinence d’un parcours de formation et/ou de VAE et du recours à une ou plusieurs prestations complémentaires au service de la réalisation de son projet. Dans cette perspective, le conseiller et le bénéficiaire, au regard de sa situation, procèdent ensemble notamment: • à l’analyse des conditions de réalisation du projet; • à l’exploration des éventuels besoins de formation et prérequis exigés; • à l’examen de la pertinence d’une reconnaissance des acquis de son expérience; • à l’identification des programmes de formation mobilisables et des éventuelles certifications afférentes; • à l’étude de l’opportunité du recours à une ou plusieurs prestations complémentaires. Le deuxième niveau de conseil personnalisé doit permettre au bénéficiaire de formaliser son projet d’évolution professionnelle et d’y assortir une stratégie.

  22. Le CEP : niveau 3 (1/2) 2.3 Troisième niveau: l’accompagnement personnalisé à la mise en oeuvre du projet Lorsque le projet d’évolution professionnelle de la personne et la stratégie associée sont formalisés, l‘opérateur du conseil en évolution professionnelle doit contribuer à en faciliter la concrétisation. C’est l’objet de l’accompagnement personnalisé. Cet accompagnement est assuré par l’opérateur du CEP qui a pris en charge la personne, soit dès le niveau 2 dans l’appui à la formalisation du projet, soit en accès direct au niveau 3 lorsque le projet présenté par la personne est abouti. Le référent affecté en niveau 2 au suivi d’un bénéficiaire assure la continuité de service. Pour la personne se présentant directement en niveau 3 avec un projet d’évolution professionnelle réfléchi, assorti le cas échéant d’un besoin de formation, un référent lui est affecté. La définition d’un plan d’actions pour la mise en oeuvre du projet d’évolution professionnelle Sur la base d’un projet et d’une stratégie formalisés, le bénéficiaire et le conseiller co-construisent un plan d’actions qui comprend: • les étapes et les objectifs intermédiaires pour la réalisation de son projet d’évolution professionnelle; • les différentes actions à conduire pour chacune de ces étapes; • le cas échéant, le parcours de formation envisagé; • les dispositifs et prestations à mobiliser; • le plan de financement; • et, à titre indicatif, un calendrier prévisionnel. Lorsque le plan d’actions requiert l’aménagement d’un parcours de formation (ex.: au regard d’une validation partielle des acquis de l’expérience) ou d’une prestation de service (ex.: bilan de compétences), le conseiller prend contact avec le financeur et/ou le prestataire, et étudie avec eux les possibilités d’adaptation de la durée, du contenu et, le cas échéant, du coût de la formation ou du service. Le plan de financement étant consubstantiel à la définition du plan d’actions, il appartient au conseiller en lien avec le bénéficiaire de vérifier la faisabilité de son projet.

  23. Le CEP : niveau 3 (2/2) L’ingénierie financière Lorsque le plan d’actions, co-construit par le bénéficiaire et son conseiller, prévoit une ou plusieurs actions impliquant un financement dédié (ex.: une formation, un accompagnement à la VAE ou une prestation complémentaire), le conseiller en examine la faisabilité financière et recherche les financements adaptés à son projet et à sa situation, et, le cas échéant, alerte au sein de son organisme, afin que soient mobilisés les acteurs et les dispositifs existants, le cas échant dans un cadre collectif propre à chaque région, permettant la finalisation du projet en cas de défaut ou d’insuffisance de financement. A ce titre, le conseiller: • identifie les financeurs potentiels, y compris dans le cas d’un projet de formation mobilisant le compte personnel de formation; • vérifie les critères d’éligibilité et les conditions de recevabilité financières; • prend contact pour le compte du bénéficiaire avec les financeurs afin soit d’assurer la couverture entière du coût de l’action projetée, soit de diminuer le reste à charge pour le bénéficiaire. La révision possible du plan d’actions Si des éléments viennent remettre en cause le projet d’évolution professionnelle, le conseiller reconsidère alors la situation du bénéficiaire et, si nécessaire, examine avec lui les modalités de son aménagement et actualise le plan d’actions. Le troisième niveau d’accompagnement à la mise en oeuvre du projet d’évolution professionnelle doit permettre au bénéficiaire de disposer d’un plan d’actions et d’un soutien global à la réalisation de son projet.

  24. Séquence en 3 sous-groupes : • Consigne : • identifier ce qui se fait déjà, au niveau généraliste et spécialisé, sur les thèmes des niveaux 1, 2 et 3 du CEP • recueillir la vision , au niveau généraliste et spécialisé, de ce que pourrait être la déclinaison du CEP à Pôle emploi au niveau 1, 2 et 3 • Groupe • Niveau 1 du CEP • « accueil individualisé » • Groupe • Niveau 2 du CEP • « conseil personnalisé » • Groupe • Niveau 3 du CEP • « accpt. personnalisé » Marot Catherine Singevin Aurélie Luneau Pierre Limage Lourdwige Picone Isabelle Cazalé Beatrice Coutard Florence Paumelle Philippe De Fremont Jérôme Constantin-Minier Evelyne Gourmaud Thierry Hedouin Sophie Soum-Leuillet Patricia Antonioli Sylvie Jamey Charlotte Hermant Fabienne Couvreur Laure Gourieux Karine Verita Marie-Christine Stefani Florence Rivano Stéphane Planche Corinne Latreille Sylvie Tannous Marc (Patrick) Bennis Hicham Montizon Marie-Laure Vincent Marie Maire Nathalie Beltrame Fabien Thamri Tarik Truffaux Fabienne Garreau Cécile

  25. Objectifs de la réunion Introduction 1 2 Travail en sous-groupe Pause déjeuner 4 Restitution des sous-groupes et échanges 5 Le quizz « Le CEP comme si j’y étais » 6 Conclusion

  26. Objectifs de la réunion Introduction 1 2 Travail en sous-groupe Pause déjeuner 4 Restitution des sous-groupes et échanges 5 Le quizz « Le CEP comme si j’y étais » 6 Conclusion

  27. Restitution du sous-groupe 1 : • Consigne : • identifier ce qui se fait déjà, au niveau généraliste et spécialisé, sur les thèmes des niveaux 1, 2 et 3 du CEP • recueillir la vision , au niveau généraliste et spécialisé, de ce que pourrait être la déclinaison du CEP à Pôle emploi au niveau 1, 2 et 3 • Groupe • Niveau 1 du CEP • « accueil individualisé » L’existant Ne pas confondre accueil décrit dans le CEP de niveau 1 et accueil tel qu’on le connaît à Pôle emploi. Constat que tous les conseillers ne sont pas tous au même niveau de compétences pour analyser la demande la personne Constat que des questions d’opérationnalité font que très souvent, les personnes en AZLA sont des conseillers récemment arrivés ou des personnes en contrat aidé Marot Catherine Singevin Aurélie Luneau Pierre Limage Lourdwige Picone Isabelle Cazalé Beatrice Coutard Florence Paumelle Philippe De Fremont Jérôme Synthèse Déclinaison du CEP à Pôle emploi Elaborer une grille de questionnement pour le conseiller en AZLA ou en entretien lui permettant d’analyser la demande de la personne Désigner un référent orientation ou une personne ressource en orientation en agence Le CEP niveau 1 est un processus qui s’inscrit dans le temps. Il peut se dérouler lors de différentes phases : en EID, en ZLA , en ARC, en entretien de suivi, etc. Maire Nathalie

  28. Restitution du sous-groupe 2 : • Consigne : • identifier ce qui se fait déjà, au niveau généraliste et spécialisé, sur les thèmes des niveaux 1, 2 et 3 du CEP • recueillir la vision , au niveau généraliste et spécialisé, de ce que pourrait être la déclinaison du CEP à Pôle emploi au niveau 1, 2 et 3 • Groupe • Niveau 2 du CEP • « conseil personnalisé » L’existant Clarification de la demande : c’est fait en « acco renforcé » dans un objectif de prendre en charge la réponse, en « acco guidé » dans un objectif de prescrire un service réalisé par un autre professionnel Identification des compétences : c’est fait mais à différentes profondeurs suivant les conseillers. Le travail de transférabilité vers d’autres pistes métier reste peu abordé La construction de projet professionnel est réalisée mais pas toujours en prenant en compte la totalité des dimensions demandée par le CEP. La dimension « développement de l’autonomie de la personne » n’est pas toujours présente Constantin-Minier Evelyne Gourmaud Thierry Hedouin Sophie Soum-Leuillet Patricia Antonioli Sylvie Jamey Charlotte Hermant Fabienne Couvreur Laure Gourieux Karine Synthèse Déclinaison du CEP à Pôle emploi Nécessité d’améliorer le travail de clarification de la demande, de diagnostic Approfondir la qualité du travail d’identification des compétences et des pistes professionnelles pouvant émerger Installer des temps d’échanges de pratiques et des temps de travail commun entre l’orientation généraliste et spécialisée Conforter l’installation de la posture de co-construction du conseiller (c’est abordé dans OTLV mais il faut mettre en place des actions Post OTLV pour conforter ce point) Beltrame Fabien Thamri Tarik

  29. Restitution du sous-groupe 3 : • Consigne : • identifier ce qui se fait déjà, au niveau généraliste et spécialisé, sur les thèmes des niveaux 1, 2 et 3 du CEP • recueillir la vision , au niveau généraliste et spécialisé, de ce que pourrait être la déclinaison du CEP à Pôle emploi au niveau 1, 2 et 3 • Groupe • Niveau 3 du CEP • « accpt. personnalisé » L’existant Il apparait une forte disparité entre les régions. Il existe des régions où les EOS font de l’analyse de la demande jusqu'à l’ingénierie financière, montage dossier AIF, etc … et d’autres où les EOS ne vont pas jusqu’à l’ingénierie financière ni le montage de dossiers. Des actions « post OTLV » sont mis en place mais pas de manière homogène dans toutes les régions : échanges de pratiques, animation d’atelier « orientation » pour les conseillers par les EOS, atelier de prise en main du référentiel des 8 compétences à s’orienter, etc … Verita Marie-Christine Stefani Florence Rivano Stéphane Planche Corinne Latreille Sylvie Tannous Marc (Patrick) Bennis Hicham Montizon Marie-Laure Vincent Marie Synthèse Déclinaison du CEP à Pôle emploi Nécessité de créer un espace de documentation papier et/ou informatisé Création d’outils permettant au conseiller de bien appréhender son marché local ? Régional ? Le niveau 2 pose le projet et la stratégie. Le niveau 3 formalise le plan d’action et l’accompagnement de sa mise en œuvre. Nécessité de définir « projet », « stratégie » et « plan d’action » Truffaux Fabienne Garreau Cécile

  30. Objectifs de la réunion Introduction 1 2 Travail en sous-groupe Pause déjeuner 4 Restitution des sous-groupes et échanges 5 Le quizz « Le CEP comme si j’y étais » 6 Conclusion

  31. A votre avis … Questionnaire « exemples de situations de CEP » Dans le questionnaire, vous allez trouver 12 situations de demandeurs d'emploi. A l'issue de leur inscription, l'axe principal retenu est soit « élaboration de projet » soit « adaptation au marché du travail ». Toutes ces personnes sont situées entre leur EID et le jalon du 4ieme mois. Les informations fournies sont : • GENRE : Homme ou femme • AGE : âge de la personne • NIVEAU DE FORMATION : le diplôme et son intitulé • EXPERIENCE PROFESSIONNELLE : la durée d'expérience sur le ROME 1 • ROME 1 : ROME 1 d'inscription • ROME 2 : ROME 2 d'inscription • PROBLEMATIQUE DE SANTE : oui ou non. Si « oui » alors des précisions sont données • PERMIS : oui ou non. Si oui alors il s'agit du permis voiture. Le cas échéant, des précisions sont données • PROJET : les conclusions d'entretien qui précisent le projet Consigne : A la lecture des situations individuelles, il vous est demandé d'indiquer quel(le)s professionnel(le)s de pôle emploi pourrait prendre en charge le Demandeur d’Emploi et réaliser le conseil en évolution professionnelle (CEP). Selon l'hypothèse où l'on aurait les 3 modalités suivantes : • Le CEP est assuré en totalité par un conseiller. • Le CEP est assuré par un conseiller qui fait appel à des services complémentaires pour enrichir le conseil : par exemple une prestation Activ' Projet • le CEP est assuré en totalité par un psychologue du travail. Vous indiquerez votre réponse par ordre de préférence : 1, 2 ou 3 pour les 3 modalités proposées. Dans la mesure du possible, essayez de considérer ces situations sous l’angle « orientation tout au long de la vie à pôle emploi », et l’articulation entre orientation généraliste et orientation spécialisée.

  32. Objectifs de la réunion Introduction 1 2 Travail en sous-groupe Pause déjeuner 4 Restitution des sous-groupes et échanges 5 Le quizz « Le CEP comme si j’y étais » 6 Conclusion

More Related