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LA PRODUCTION MARAICHERE A NIAMEY AU NIGER

INTRODUCTION. L'urbanisation rapide des villes africaines. Le mara?chage urbain et p?riurbain peut ?tre une r?ponse alternative aux probl?mes. Il est alors n?cessaire de faire un ?tat des lieux du mara?chage urbain et p?ri-urbain et faire des propositions d'am?lioration. . OBJECTIF GENERAL. Am?lio

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LA PRODUCTION MARAICHERE A NIAMEY AU NIGER

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Presentation Transcript


    1. LA PRODUCTION MARAICHERE A NIAMEY AU NIGER EVOLUTIONS ET IMPACTS SUR LES POPULATIONS

    2. INTRODUCTION Lurbanisation rapide des villes africaines. Le marachage urbain et priurbain peut tre une rponse alternative aux problmes. Il est alors ncessaire de faire un tat des lieux du marachage urbain et pri-urbain et faire des propositions damlioration.

    3. OBJECTIF GENERAL Amliorer la qualit des produits marachers dans les zones urbaine et priurbaine de Niamey

    4. OBJECTIFS SPECIFIQUES Assurer une meilleure matrise de la qualit de leau dirrigation et des sols et Assurer une meilleure protection des produits marachers contre les parasites et les htes intermdiaires. Valoriser les dchets solides et liquides

    5. MATERIEL ET METHODE Six sites ont t tudis Gountou-yna (eaux uses), urbain Lossa-goungou (Fleuve amont), urbain Saga-cuvette (fleuve aval), urbain Saga-gorou (puits), pri-urbain Saga-gorou (mare), pri-urbain Goudel-gorou (mare), pri-urbain

    6. MATERIEL ET METHODE

    7. METHODE Inventaire des superficies par culture sur lensemble des sites Analyses physico-chimiques des sols, de leau et des produits de rcolte ainsi que des analyses bactriologiques (recherche de biocontaminants)

    8. METHODE conduite dexprimentations sur 2 sites (Gountou-yna et Saga-cuvette) et enqutes auprs des marachers, des consommateurs et des centres mdicaux sur la qualit des produits marachers.

    9. RESULTATS Caractristiques des exploitants hommes 97,6% femmes 2,4% propritaires 65,9% locataires 14,8% prteurs 17, 1% hritiers 2,4%.

    10. RESULTATS Principales espces cultives le choux (39%) la laitue (34,1%) la tomate (14,6%), la carotte (9,8%) le haricot vert (2,4%), les courgettes, le poivron, le piment et le melon (0.01%).

    11. RESULTATS Evolution des superficies

    12. RESULTATS Intensit culturale Dans les sites urbains elle est de 130 % Saga-cuvette et 162 % Gountou-Yna Pour les sites pri-urbains elle est de 80% Goudel Gorou et Saga-Gorou II 17% Saga-Gorou I

    13. RESULTATS Fertilisations Fertilisation minrale Ure 92,7% NPK 7,3%. Fertilisation organique 95,1% de fces d'animaux et 4,9% d'ordures mnagres

    14. RESULTATS Traitement phytosanitaire 97,6% des marachers le pratiquent Les produits qui sont les plus utiliss sont: le Dimthoate, le karat (lamdacyalothrine) et le DECIS EC (Deltamthrine)

    15. RESULTATS Les eaux dirrigation: eaux uses eaux de puisards eaux du fleuve eaux de mares eaux de puits

    16. RESULTATS

    17. RESULTATS

    18. RESULTATS La plupart des eaux utilises sont pH neutre (pH = 6,6 7,3), mais varient quant leur teneur en sels. Les eaux, tous sites confondus, sont dpourvues de streptocoques fcaux. Cependant il a t dcel la prsence des coliformes fcaux dans la plupart de ces eaux.

    19. RESULTATS Exprimentation Les rsultats ont montr: Une prdominance du facteur irrigation par rapport lapport du 15-15-15 Seuls les traitements dirrigation ont rellement influenc les productions

    20. CONCLUSION Linventaire, a permis de recenser une importante diversit de spculations qui sont cultives dans la communaut urbaine de Niamey et sa priphrie avec comme spculations dominantes la tomate et le chou

    21. CONCLUSION Les superficies mises en valeur pour lensemble des spculations croissent danne en anne au niveau des sites priurbains o il a t observ un taux daccroissement denviron 38 % ces 4 dernires annes

    22. CONCLUSION Les eaux du fleuve en amont de la ville sont plus de deux fois et demi moins pollues que celles de la partie aval en coliformes Les eaux du fleuve en gnral sont nettement moins pollues en terme de coliformes que les eaux stagnantes de la priphrie et de certains puits

    23. CONCLUSION De faon gnrale, les teneurs bactriologiques des eaux constates dpassent trs largement les normes acceptes par certains tats

    24. PROPOSITIONS Btir une stratgie nationale long terme pour la gestion de cette agriculture urbaine et pri-urbaine Encourager lutilisation de la fertilisation organo-minrale Eviter lutilisation abusive des pesticides

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