1 / 15

TURP SYNDROME

TURP SYNDROME. PY ROMAN DESC 06 04. DEFINITION. L’ensemble des manifestations cliniques et biologiques entraînées par le passage du liquide d’irrigation vésicale dans la circulation sanguine : Soit par effraction des plexus veineux vésico-prostatique

renjiro
Télécharger la présentation

TURP SYNDROME

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. TURP SYNDROME PY ROMAN DESC 06 04

  2. DEFINITION L’ensemble des manifestations cliniques et biologiques entraînées par le passage du liquide d’irrigation vésicale dans la circulation sanguine : • Soit par effraction des plexus veineux vésico-prostatique • Soit par résoption du liquide passé dans l’espace sous péritonéale ou dans la cavité péritonéale par rupture de la capsule prostatique ou par rupture vésicale

  3. GENERALITES • Incidence : 0,3 à 2% • Chirurgie responsable : RTUP, résection vésicale • Liquide d’irrigation : solution iso- ou légèrement hypo-osmotique sans électrolytes contenant du glycocolle à 1,5 ou 2,1%

  4. GLYCOCOLLE • AA aliphatique non essentiel • Liposoluble • Osm = 188mosm/kg • Non hémolytique si > 1 à 1,5% • Neurotransmetteur inhibiteur des canaux chlore • Toxicité myocardique et rénale par secrétion ADH

  5. FACTEURS FAVORISANTS • Durée de la RTUP supérieure à 60 minutes • débit moyen de résorption = 20 ml/min • Volume de tissu prostatique à réséquer important • Type de résecteur • Pression intra-vésicale élevée : • passage du liquide de résorption dans la circulation systémique quand gradient de pression entre la vessie et le sang dépasse 15 cm d’eau • conditionne le débit du liquide réabsorbé • fonction de la hauteur de la poche de liquide de lavage

  6. PHYSIOPATHOLOGIE (1) RESORPTION • SURCHARGE VOLEMIQUE • DILUTION (hyponatrémie et hypoosmolarité) TOXICITE DU GLYCOCOLLE

  7. PHYSIOPATHOLOGIE (2) • Hyponatrémie de dilution, hypo-osmolalité  œdème cérébral, OAP • Effet toxique du glycocolle qui est métabolisé en sérine, ammoniaque et alanine  augmentation de la libération de neurotransmetteurs inhibiteurs

  8. PHYSIOPATHOLOGIE (2)

  9. SIGNES CLINIQUES • PREMONITOIRES SUR PATIENT EVEILLE : • NEUROLOGIQUES : bâillements, agitation, irritabilité, confusion, mouvements cloniques, nausées, vomissements • VISUELS : vision trouble, cécité transitoire • RENCONTRES : • CARDIOPULMONAIRES : hypertension, bradycardie, trouble du rythme, hypotension, détresse respiratoire, cyanose • NEUROLOGIQUES : nausées, vomissements, confusion, retard de réveil, convulsions, mydriase aréactive, coma

  10. DIAGNOSTIC • Clinique et biologique • Premiers signes : ceux de la glycine (agitation et troubles visuels) car passe rapidement la barrière hémato-encéphalique • Facile à retrouver chez patient non endormi

  11. MARQUEURS BIOLOGIQUES • HEMODILUTION • Hyponatrémie • Hypoprotidémie • Hypocalcémie • Hypoosmolalité plasmatique • TOXICITE DU GLYCOCOLLE • Hyperglycinémie • Hyperammoniémie

  12. TRAITEMENT • Arrêt de la chirurgie après hémostase soigneuse dès l’apparition des premiers signes cliniques • Traitement des troubles hémodynamiques • Hyperammoniémie et hyperglycinémie : • pas de ttt spécifique • Traitement de l’hyponatrémie : • > 120mmol/L  restriction hydrique + diurétiques • < 120mmol/L  sérum salé hypertonique à 3 ou 5% avec prudence (risque de myélynolyse)

  13. PREVENTION • Intervention < 60 minutes • Utilisation de résecteurs optiques à double courant qui permettent le drainage continu du contenu vésical • Hauteur des poches < 60 cm • Adénome de poids < à 60 grammes

  14. CONLUSION NE DEVRAIT PLUS SE RENCONTER SI RESPECT DES BONNES PRATIQUES

  15. bibliographie • MARGERIT conférence actualisation SFAR 2004; 301-308 • GRAVENSTEIN Anesth Analg 1997; 84; 438-446 • STEVEN J Urol 1998; 159; 454-458 • HEIDLER Br J Urol Intern 1999; 83; 619-622

More Related