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Définitions

Définitions. Cadres de discours (Charolles, 1997, 2002). segments textuels composés d’un ensemble de propositions (une ou plusieurs) réunies autour d ’un critère d’interprétation commun (spatial, temporel, thématique, de domaine de connaissance, de but, d ’énonciation, etc.).

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Presentation Transcript


  1. Définitions Cadres de discours (Charolles, 1997, 2002) segments textuels composés d’un ensemble de propositions (une ou plusieurs) réunies autour d ’un critère d’interprétation commun (spatial, temporel, thématique, de domaine de connaissance, de but, d ’énonciation, etc.) Introducteurs de Cadre exprimant le critère d ’interprétation (référentiel ou non) unités linguistiques détachées en initiale => portée allant au-delà de la phrase non intégrées à la proposition principale qu’elles précèdent indépendantes syntaxiquement et non arguments Nature du Critère d ’interprétation => types de cadre Fonctionnel => cadres organisationnelsintroduits par une expression qui porte sur les aspects métadiscursifs de l’énonciation => univers de discoursintroduits par une expression qui créé un univers réduit à une certaine situation dans laquelle la ou les propositions qui suivent sont à interpréter Référentiel => cadres thématiquesintroduits par une expression qui créé un univers réduit à un certain phénomène dans lequel ...

  2. chaînes référentielles objets textuels (sections , para...) cohésion temporelle segments RST etc. et des autres segments du texte entre eux introducteurs multiples combinaison des cadres Problématique Délimitation des cadres borne initiale => identification des introducteurs de cadre formellement : seul indice, la position initiale => méthode purement formelle et exploratrice sémantiquement : la nature du critère donnant la nature du cadre, typer les cadres revient à typer les introducteurs de cadre => quelle typo. adopter? borne finale : jusqu’où s ’étend la portée d ’un introducteur de cadre? tests psycholinguistiques : borne floue/nette, a-t-on besoin (en temps que lecteurs) d ’un indice de fin d’action de l ’introducteur? structures croisées : cadres / autres segments textuels Articulation des cadres

  3. silences = absence de ponctuation signalant le détachement A = problèmes liés à des variantes d’énumérations après « : » B = SN non répertorié avec apposition C = Apposition ou complément en initiale D = non repérage du verbe conjugué bruits = multiples et variés (A) repérer la prochaine ponctuation finale [.?!:;§...] Pn (B) repérer la première virgule Vn(1) située entre Pn et la ponctuation finale précédente Pn-1 s ’il n ’y a pas de virgule  (A) (C) extraire le segment Sn situé entre Pn-1 et Vn(1) puis filtrer Sn: (D)si Sn = [(Quant)+Det+Nom] … alors Sn = SN*  (A) si Sn = "C’" …. alors Sn = Clivée*  (A) sinon si Sn contient un verbe conjugué VC alors si VC est précédé d'une conj. de sub. alors Sn = Sn(1) sauf si il y a un autre VC  sinon Sn =   (A) sinonsi Sn ne contient pas de VC Sn= Sn(1) (E)Si il y a Sn(1) alors  (B) pour étude du Sn suivant, situé entre Vn(1) et Vn(2) (F) EIDn = Sn(1) + Sn(2) + ...  (A) Méthode d'extraction purement formelle et exploratrice Boucler tant que Sn = Sn(x)

  4. Articulation des cadres entre eux Identification de 2 phénomènes • Les introducteurs multiples = IC1 + IC2 + … + ICn • = ouverture de plusieurs cadres simultanément. • À Paris, de l’école primaire au lycée, • En Martinique, en 1990, Les combinaisons de cadre = C1, C2,... Cn Séquence de cadres = C1 (C2, …Cn) Enchâssement de cadres Etude des relations entre : les éléments apparaissant dans des IC ou EID comportant plusieurs virgules les IC apparaissant au sein d’un même paragraphe (malgré qqes contre-ex., le maximal d’une portée et la fin d’un paragraphe correspondent) pas d ’intro. multiples (coordination) => un seul cadre ouvertures et fermetures successives de cadres de même niveau En linguistique, [...]. En psychologie, [...] Séquence de cadres croisement des cadres ouverts simultanément ou successivement En Martinique, en 1990, [...] un premier cadre est réduit par un second, le critère 2 étant englobé dans le critère 1 En France, dans le département de l ’Ain, [...] enchâssement de cadres une séquence de cadres est englobé par un dernier (rare en intro. multiple) En 1982, [...]. En 1988, [...]. Dans les années 1980, [...]

  5. Représentation par structure énumérative de la hiérarchisation des cadres introducteur multiple séquence À Paris [C1], de l’école primaire au lycée [C2], ___________________________ _________________________________________ . Après le lycée [C3], ______ ___________________________________________________________________________________ . À Lyon [C4], _________________ _ _ _ ä[C1] å[C2] å[C3] ä[C4] « englobement » croisement ä[C1] å[C2]  [C3] [C4] ä[C5] À Paris [C1],de l’école primaire au lycée[C2], ___________________________ ____________________________ : en primaire [C3], ______________________ _______________________________ ; au collège et lycée [C4], _____________ _____________________ . À Lyon [C5], ______________ _ _ _ séquence

  6. Articulation de segments de nature différente détaché dispositionnellement non détaché dépendant syntaxiquement détaché en initiale indépendant syntaxiquement non argument Suivant le critère, plusieurs types de cadre dont deux étudiés : domaines thématiques (monde thématique réduit) IC-dom.th univers de discours (monde situationnel réduit) IC 1er travail prenant en compte 3 modes de segmentation (ISL 2002, Cahier de Grammaire) SEGMENTER = REGROUPER(INDEXER) + DÉCOUPER titrage segmentation du discours en sections = une ou plusieurs proposition(s) réunies dans un contenu général commun exprimé en initiale par un titre*. encadrement du discours segmentation du discours en cadres = une ou plusieurs proposition(s) réunies autour d ’un critère d ’interprétation commun exprimé en initiale par un introducteur de cadre. mise en sujet Segmentation en chaînes sujet = une ou plusieurs propositions réunies suivant la continuité de leur “ centre d ’intérêt ” appelésujet

  7. Dimensions de contenu & Procédés de réalisation Composantes hallidayennes composante idéationnelle monde externe composante textuelle monde du phénomène Atlas de la France scolaire : de la maternelle au lycée Corpus système de repère interne à Dp Dt De Dp / De Dimensions monde du phénomène abordé contenu monde externe, continuum espace-temps procédés de réalisation / outils linguistiques expression de l’à propos organisation du contenu localisation de l’à propos dans un système de repères structuration du contenu dans le texte texte

  8. Observations Depuis le milieu des années 1980, une profonde mutation texte géographique Dptitres et sujets avec 2 IC-dom. th. IC-titre (sujet-)titre Alternance, répartition floue « Atlas » « la France scolaire » DeIC, mais aussi titres* et sujets DtIC, et quelques IC-titres Répartition nette Attentes Dp : associée à l’expression de l’à propos de la phrase (sujet)  réalisation en tant que centre d’intérêt du cadre (IC-dom.th) de la section (titre) De et Dt : associées à la localisation(spatiale et temporelle) du cadre (IC)  réalisation en tant que critère d’interprétation de la section (IC-titre)

  9. tension tension Détermination de types de cohabitation cohabitation “ sereine ” Si à chaque dimension correspond une ou des fonction(s) d’organisation propres ex : Dp  expression de l ’à propos Dt  localisation temporelle Dp  structuration énumérative (co-énumérabilité + puces) Exemple 1 cohabitation “ tendue ” Si une dimension empiète sur une fonction d’organisation déjà remplie par une autre ex : Dp  expression de l ’à propos De  expression de l ’à propos De  localisation spatiale Dp  critère de co-énumérabilité Exemple 2 De  puces Exemple 3

  10. sections  Détermination et articulation des modes de segmentation cadres Chaînes référentielles suivant qui aboutit à  Articulation des segments une structure énumérativeglobale? exemples = structures énumératives non classiques qui utilisent des indices de segmentation (titre, IC, sujets) pour « pucer » chaque item. * Perspectives (position initiale)  genre de texte Atlas => texte géo. => concurrence Dp/De Et pour un texte historique : concurrence Dp/Dt?

  11. ponctuation de fin d ’amorce Amorce Énumération puce retour à la ligne +/- retrait horizontal Structuration non pas visuelle mais lexico-syntaxique. Variantes amorce = phrase (.) ou paragraphe Une structure énumérative est composée de trois éléments. puces Premièrement, une amorce introduit [...]. Deuxièmement, une suite d ’item [...]. Troisièmement, une conclusion peut [...]. expressions structurantes Une amorce ( position initiale), exprime [...]. Une énumération ( position médiane), présente [...]. Une conclusion (position finale) peut apparaître [...]. parallélisme syntaxique en initiale d ’item Structure énumérative Classique • Une structure énumérative est généralement constituée par : • une amorce qui introduit, annonce la suite d’items et explicite leur critère de co-énumérabilité(item 1) • une énumération : ensemble d’items(item 2) • et parfois, une conclusion qui peut apparaître à la suite de l’énumération et peut reprendre le critère de co-énumérabilité (item 3)

  12. Amorce Énumération • 1.3. Depuis le milieu des années 1980, une profonde mutationtitre 2 • Depuis quelques années,[…] les caractéristiques principales du système éducatif français sont en cours de rapide mutation. […] : de la rentrée 1985 à celle de 1992,[…]; dans le même temps[…].[…] ; en 1985,[…]. §Quatre transformations majeures concourent plus particulièrement à lamutation en cours du système éducatif: • 4 items sont ici énumérés correspondant aux 4 titres de niveau 3 : • La diminution du retard scolairetitre 3 • De 1985 à 1990 le redoublement, […]. § […],les élèves en grand retard scolaire […]. § Les effectifs de l’ensemble des cycles du secondaire […] • La fluidification des parcourstitre 3 • Les élèves […] § Les passages vers les classes supérieures […]. […]; en 1985,[…] § […], les parcours scolaires […] § […], l’évolution en cours du système éducatif […]. • La secondarisation des étudestitre 3 • […] § Le lycée professionnel […]. En 1985-86 […], en 1991-92 […]. En cinq ans, de la rentrée 1985 à celle de 1992,[…]. Entre 1985 et 1992, […]. § Ces évolutions […]. • La croissance du nombre des bachelierstitre 3 • En 1985,260 000 bacheliers; presque 285 000 en 1987; […] 320 000 en 1988, 390 000 en 1990, 460 000 à la session de juin 1994. En 1985,[…]. En 1990,[…]; en 1992,[…].En une quinzaine d’années seulement,[…]. § La progression du nombre des bacheliers […]. § [...]§ [...] § [...] ex1

  13. Amorce Énumération ex2 • 2. Un français sur quatre à l’école/ 2.3. Population scolaire et société / Les enfants d’ouvriers et les autres/ • […] • Les structures sociales de la population d’âge scolaire se rangent en cinq types principaux. Au nord du pays, de la Normandie à l’Alsace, région parisienne exclue,les enfants d’ouvriers [...]. De la Bretagne au Pays Basque et de la Bourgogne à Marseille les situations [...]: la proportion des enfants d’ouvriers [...] mais les enfants d’agriculteurs et d’artisans et commerçants [...]. La part des enfants d’agriculteurs s’accroît dans les départements les plus ruraux de l’Ouest et du Sud-Ouest, les enfants d’ouvriers demeurant cependant de loin les plus nombreux. En Provence et dans l’Hérault,les enfants d’ouvriers [...]. En Île-de-France ainsi qu’à Toulouse,les enfants des catégories aisées [...]. Et à Paris,il y a deux fois plus d’enfants de cadres supérieurs et moyens que d’enfants d’ouvriers.

  14. ex3 Amorce Énumération Conclusion 13. Éducation et régions//Les profils régionaux du système éducatif/ Les disparités et inégalités du système scolaire français déterminent donc quelques combinaisons majeures qui structurent de façon durable le territoire national en systèmes éducatifs régionaux plus ou moins homogènes. Paris (type 1) est un cas unique, [...] les retards scolaires [...]Paris pourrait [...] Les départements parisiens des banlieues aisées (type 2) ont des caractéristiques [...] Ils [...]. Lyon, Grenoble et les départements savoyards (type 3) ont des taux [...] L’enseignement professionnel et technique joue un rôle notable, en particulier dans les vieilles régions industrielles, à Saint-Étienne par exemple. Le Grand Ouest, la Bretagne et les départements des Pays de la Loire qui la bordent (type 4), s’individualise [...] les scolarités [...]. En outre,l’apprentissage et l’enseignement agricole contribuent à la formation de nombreux jeunes, plus en Pays de la Loire qu’en Bretagne Le Grand Sud-Ouest (type 5), Aquitaine exceptée, cumule [...]. L’enseignement privé ne joue un rôle important que dans les départements du sud et du sud-est du Massif central. L’Est (Lorraine, Alsace, Bourgogne et Franche-Comté) (type 6) est [...] c’estparticulièrement vrai pour les départements lorrains. On y assiste [...] Dans les régions méditerranéennes (type 7),les situations scolaires varient [...] L’Aquitaine (type 8) associe [...] [...], les départements du Nord (type 9) cumulent [...] l’enseignement professionnel, [...] De la Normandie à la Champagne (type 10) en passant par les banlieues nord et est de Paris (Val-d’Oise, Seine-Saint-Denis, Seine-et-Marne) les scolarités cumulent [...]Manifestement, cette couronne parisienne [...] Les départements et territoires d’Outre-Mer [...] Ces systèmes éducatifs régionaux ont une longue histoire, [...]

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