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Changer les orientations, changer des vies : Stratégie en matière de santé mentale pour le Canada

Changer les orientations, changer des vies : Stratégie en matière de santé mentale pour le Canada. 6 e Rendez-vous Santé en français Ottawa, le 21 novembre 2012 Howard Chodos Conseiller spécial, stratégie en matière de santé mentale Commission de la santé mentale du Canada .

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Changer les orientations, changer des vies : Stratégie en matière de santé mentale pour le Canada

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Presentation Transcript


  1. Changer les orientations, changer des vies : Stratégie en matière de santé mentale pour le Canada 6e Rendez-vous Santé en français Ottawa, le 21 novembre 2012 Howard Chodos Conseiller spécial, stratégie en matière de santé mentale Commission de la santé mentale du Canada

  2. Survol de la présentation • Contexte de la stratégie en matière de santé mentale pour le Canada • Priorités et recommandations sélectionnées de la Stratégie • Prochaines étapes

  3. La Commission de la santé mentale du Canada • Fondée en 2007 à la suite d'une recommandation du rapport De l'ombre à la lumière • Financée par le gouvernement fédéral • Organisme autonome et sans affiliation • N'assure la prestation d'aucun service • Ne peut se prononcer sur le rendement du gouvernement • Le modèle permet la concertation entre les administrations fédérale, provinciales et territoriales • Les autres initiatives de la Commission comprennent : • Initiative de lutte à la stigmatisation (Changer les mentalités) • Projet de recherche sur l’itinérance et la santé mentale (Chez Soi) • Centre d’échange des connaissances

  4. Changer les orientations, changer des vies : un jalon important • Première stratégie en matière de santé mentale pour le Canada • Aboutissement de plus de dix ans d’effort collectif par des personnes représentant divers secteurs du milieu de la santé mentale • Réalisation d’un élément clé du mandat énoncé par le Comité sénatorial en 2006 • Fruit d’un processus d’écoute, de dialogue et de discussion • La couverture médiatique sans précédent dont a bénéficié le lancement de la stratégie reflète l'élan croissant pour la santé mentale au Canada

  5. Couverture médiatique sans précédent The Lancet: A first for mental health in Canada

  6. Processus réalisé en deux phases • Cadre : • Énonce la vision • et les objectifs • Stratégie : • Établit les priorités • d’ACTION VISION : Toutes les personnes qui habitent au Canada peuvent jouir de la meilleure santé mentale et du meilleur bien-être possible.

  7. Vastes consultations Comment nous y sommes parvenus • Témoignages dans le rapport De l’ombre à la lumière (2004 à 2006) • Création de la Commission de la santé mentale du Canada (2007) • Consultations nationales sur le Cadre (2009) • Tables rondes (2010) • Consultations sur le projet de stratégie (2011) Fondé sur l’expérience et des points de vue différents  • Personnes ayant un vécu de la maladie mentale et leurs proches • Experts des orientations politiques, chercheurs et pourvoyeurs de services • Conseil d’administration de la Commission, comités consultatifs, programmes • Groupe de référence provincial et territorial • Organismes autochtones nationaux • Expérience d’autres pays

  8. Grands défis • Portée : Concilier les intérêts variés des nombreux partenaires du milieu de la santé mentale (cycle de vie, gravité de la maladie, secteurs et segments de population multiples) • Contexte constitutionnel : Formuler des orientations claires en faveur du changement sans être « prescriptif » • Imputabilité : Mettre au point une stratégie en matière de santé mentale pour l’ensemble du pays sans désigner d’organe responsable de sa mise en application

  9. Sur l’écoute et l’inclusion de divers points de vue dans la stratégie « Lors d’une consultation, la Commission a entendu d’autres usagers et d’autres familles et nos points de vue ont été écoutés et respectés. On a entendu avec un réel intérêt les récits vécus témoignant de racisme, d’homophobie et de discrimination liés à la santé mentale et les services en santé mentale. Le Canada n’a pas toujours eu un dossier exemplaire en ce qui concerne la façon de traiter les questions de santé mentale et nous avons marginalisé un certain nombre de citoyens. La Commission a sollicité le témoignage de personnes ayant un vécu de la maladie mentale et tous les points de vue divergents. En bout de ligne, cela a donné de la valeur et plus de richesse à la démarche. » Shana Calixte – défenseure de la cause du soutien par les pairs

  10. Six orientations stratégiques • Promouvoir la santé mentale et prévenir la maladie mentale • Favoriser le rétablissement et le respect des droits • Assurer l’accès aux services, traitements et formes de soutien appropriés • Réduire les disparités et répondre à la diversité • Travailler avec les Premières Nations, les Inuits et les Métis • Mobiliser le leadership et favoriser la collaboration • 27 priorités et 109 recommandations d’action • Exemples concrets de pratiques prometteuses et liens vers des initiatives de la Commission • Proposition de financement et ensemble initial d’indicateurs

  11. Approche « …la stratégie s’appuie sur un effort collectif où tous les individus ‒ qu’ils proviennent de grandes organisations ou agissent seuls, qu’ils travaillent dans le domaine de la santé mentale ou à l’extérieur ‒ peuvent contribuer à changer les choses. »

  12. Six Strategic Directions Sur la promotion de la santé mentale dans la stratégie « On a clairement mis l’accent sur les indicateurs sociaux de la santé et nous nous en réjouissons. Je travaille en santé mentale et j’interviens directement auprès des clients. Je constate à quel point la violence familiale et la pauvreté affectent la santé mentale de mes clients. Si l’on pouvait traiter ces problèmes à la source, comme le suggère la stratégie, les effets seraient moins dévastateurs et l’on aurait vraiment fait du bon travail. » Elaine Campbell – travailleuse sociale en milieu clinique

  13. Orientation stratégique 1 Promouvoir la santé mentale tout au long de la vie à la maison, en milieu scolaire ou au travail et prévenir le plus possible les maladies mentales et le suicide La réduction des troubles mentaux et de la maladie mentale et l’amélioration de la santé mentale de la population exigent des efforts de promotion et de prévention au quotidien, là où les effets sont plus aptes à se faire sentir. • Sensibilisation et atténuation de la stigmatisation • Enfants en bas âge et jeunes • Milieux de travail • Aînés

  14. Orientation stratégique 1 La stratégie invite tous les Canadiens à promouvoir la santé mentale dans une diversité de situations concrètes en reconnaissant à quel point des points communs nous rassemblent — lorsqu’il est question de santé mentale et de bien-être, il n’y a pas de « nous » et « d’eux ». Pour changer les attitudes et combattre la stigmatisation, il faudra faire encore plus que comprendre les signes et les symptômes des troubles mentaux et de la maladie mentale. La meilleure façon d’éliminer la stigmatisation passe par une « éducation par contact direct », c’est-à-dire en entrant en contact avec les personnes qui peuvent partager sur leur propre expérience de la maladie mentale et du rétablissement.

  15. Recommandationssélectionnées‒ OS1 • Accroître la capacité des personnes à reconnaître les troubles mentaux et la maladie mentale, à obtenir de l’aide pour elles-mêmes ou pour quelqu’un d’autre, selon le besoin. • Former les professionnels de tous les secteurs intervenant directement auprès de la population pour qu’ils puissent dépister les troubles mentaux et la maladie mentale à un stade précoce, promouvoir la santé mentale et prévenir la maladie mentale et le suicide le plus possible. • Faciliter l’accès à des programmes communautaires de prévention de la maladie mentale centrés sur la famille et ciblant les enfants et les jeunes les plus à risque.

  16. Sur le fait de parler et de partager au sujet de la santé mentale « Je crois sincèrement en la nécessité d’avoir une stratégie nationale. Il circule tellement d’informations fausses ou basées sur l’ignorance au sujet de la santé mentale et des dépendances qu’une telle stratégie devient essentielle pour conscientiser les gens. Nous avons besoin de personnes pour en parler. Parlez-en à vos proches, à votre médecin, à vos amis. C’est grâce à l’information et à la conscientisation que, espérons-le, plus de personnes auront recours aux services dont elles ont besoin avant qu’une crise ne se manifeste. Je considère que j’ai le rôle d’un messager. » Claude Lurette – défenseur de la cause de la santé mentale

  17. Orientation stratégique 2 Promouvoir le rétablissement et le bien-être et défendre les droits des personnes de tout âge vivant avec des troubles de santé mentale • Focaliser sur l’espoir plutôt que sur la souffrance, sur les forces plutôt que sur le fait d’être une « charge » : • Le concept de rétablissement est fondé sur l’espoir, l’appropriation du pouvoir d’agir, l’auto-détermination et la responsabilité. Dans un système axé sur le rétablissement, les personnes qui sont aux prises avec des troubles mentaux et des maladies mentales sont traitées avec respect et dignité.

  18. Recommandationssélectionnées‒ OS2 • Mettre en œuvre un éventail de projets axés sur le rétablissement partout au Canada, y compris l’élaboration et l’application de lignes directrices sur le rétablissement. • Promouvoir l’éducation et la formation des spécialistes en santé mentale, des professionnels de la santé et des autres pourvoyeurs de services en matière d’approches axées sur le rétablissement. • Mieux informer les pourvoyeurs de services … quant aux meilleurs moyens de faire participer les aidants tout en respectant la confidentialité.

  19. Sur le fait de servir de modèle et de changer les perceptions « J’espère que la population sera aussi à l’aise de parler de santé mentale que de tout autre problème de santé. J’ai déjà eu un cancer. Or les gens réagissent différemment quand je leur parle de mon cancer du sein et quand je leur parle de ma dépression. Nous sommes des modèles en tant que professionnels de la santé mentale. Si les patients réalisent que les médecins peuvent eux-aussi être malades, c’est un pas en avant. Ils comprennent que nous sommes des citoyens, des personnes compétentes et aptes à tenir un rôle dans la société. » Manon Charbonneau – psychiatre

  20. Orientation stratégique 3 Donner accès à la bonne combinaison de services, de traitements et de formes de soutien, en temps opportun, là où les personnes en ont besoin • L’éventail complet de services, de traitements et de formes de soutien comprend : • Les services de santé de première ligne • Les services offerts dans la communauté • Les services spécialisés en santé mentale • Le soutien par les pairs • L’appui au logement, à l’éducation et au travail

  21. OS 3 : Importance de l’intégration

  22. Recommandationssélectionnées‒ OS 3 • Favoriser les approches axées sur la collaboration entre les services de première ligne en santé mentale par une meilleure communication, un financement adéquat et de la formation sur l’interdisciplinarité. • Accroître les ressources et développer la capacité d’offrir une gamme de services de santé mentale offerts dans la communauté pour les personnes de tout âge. • Établir des normes sur la disponibilité des traitements et des soins aigus très spécialisés pour les personnes de tout âge ayant des troubles mentaux ou des maladies mentales graves ou complexes. • Accroître les programmes de soutien par les pairs dotés des ressources appropriées, tant dans les milieux de tous les jours que dans les organismes indépendants de soutien par les pairs.

  23. Sur le fait d’avoir aidé à développer la stratégie, de s’inscrire dans l’action et d’améliorer la vie « J’ai apprécié que l’on m’ait invitée et que l’on ait respecté mon opinion à titre de proche aidante. En participant à l’élaboration de la stratégie, j’ai compris que je pouvais soit attendre que quelque chose se passe, soit agir à titre de proche aidante. Depuis, je suis beaucoup plus proactive. Je fais partie d’un comité qui fait des pressions. Je travaille pour divers organismes. J’essaie d’améliorer le monde à ma façon pour améliorer la vie de mon fils. » Louise Boulter – procheaidante

  24. Orientation stratégique 4 • Réduire les inégalités en ce qui a trait aux facteurs de risque et à l’accès aux services en santé mentale et mieux répondre aux besoins des diverses communautés ainsi qu’à ceux des communautés du Nord • On doit tenir compte des besoins en matière de santé mentale dans le cadre des mesures d’amélioration des conditions de vie et lorsqu’il s’agit de répondre aux besoins particuliers de différents groupes • Déterminants sociaux de la santé • Immigrants, réfugiés, groupes ethnoculturels et racialisés • Communautés nordiques et éloignées • Minorités linguistiques • Sexe et orientation sexuelle

  25. Orientation stratégique 4 • La langue, la culture et les inégalités de pouvoir comptent • Les membres des minorités de langues officielles peuvent être confrontés à de grands défis lorsqu’ils cherchent à obtenir des services dans leur langue maternelle. C’est particulièrement le cas pour les gens vivant dans de petites communautés. • Nous sommes des individus complexes et nos personnalités comportent une multitude d’aspects • Lorsque l’on examine les facteurs communs au sein de groupes de personnes, il faut se rappeler que la santé mentale et le bien-être de chacun sont façonnés par les multiples facettes de sa vie.

  26. OS4 : Priorité 4.4 • Mieux répondre aux besoins des minorités de langues officielles (francophone et anglophone) en matière de santé mentale. • …il est important de prendre des mesures pour assurer l’accès à des services, des traitements et des formes de soutien en santé mentale dans la langue maternelle des utilisateurs. On devrait favoriser l’accès à l’information ainsi qu’à des services, des traitements et des formes de soutien dans la langue première de la clientèle servie. Il faut aussi mettre en place des programmes pour identifier, recruter et garder des pourvoyeurs de services parlant la langue des communautés linguistiques minoritaires.

  27. OS4 : Priorité 4.4 • Recommandations : • Améliorer l’accès à l’information sur la santé mentale ainsi qu’aux services, traitements et formes de soutien pour les minorités de langues officielles. • Mettre en place des programmes pour identifier, former, recruter et garder des pourvoyeurs de service en santé mentale parlant la langue des communautés linguistiques minoritaires.

  28. Recommandationssélectionnées‒ OS 4 • Encourager les dirigeants gouvernementaux à prendre la direction d’une action concertée afin de réduire les disparités dans les conditions de vie tout en cherchant à obtenir de meilleurs résultats en matière de santé mentale. • Dans une optique d’équité en santé, s’assurer que les politiques et les programmes nouvellement mis en place dans le domaine de la santé mentale réduisent les disparités, en même temps que l’on améliore la santé mentale dans l’ensemble de la population. • Intervenir pour réduire les facteurs de risque graves pour la santé mentale des femmes, notamment la pauvreté, le fardeau d’être proche-aidant et la violence conjugale.

  29. Sur les problèmes propres aux régions nordiques et sur la stigmatisation « Contribuer à cet exercice a été inspirant. Au Nunavut, je me suis intéressée à la santé mentale car une bonne partie de la population a été victime de traumatismes. Mais les gens hésitent à chercher de l’aide en raison de la stigmatisation. La priorité doit porter sur la santé mentale au Nunavut. J’espère que les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux prendront ceci au sérieux, qu’ils réagiront aux problèmes et qu’il donneront suite aux recommandations formulées. » Jack Anawak – défenseur de la cause de la santé mentale

  30. Orientation stratégique 5 Travailler avec les Premières nations, les Inuits et les Métis pour répondre à leurs besoins distincts en matière de santé mentale, en reconnaissant leur situation, leurs droits et leurs cultures uniques • En préconisant l’accès à un continuum complet de services en santé mentale sécuritaires sur le plan culturel, la Stratégie en matière de santé mentale pour le Canada peut contribuer à la vérité, à la réconciliation et à la guérison des traumatismes intergénérationnels

  31. Orientation stratégique 5 • Priorités : • Continuum coordonné d'approches traditionnelles et cliniques : – Premières Nations – Inuits • La participation et la recherche pour améliorer la capacité des Métis à s'occuper des enjeux en santé mentale • Enjeux en santé mentale en zones urbaines et rurales et problèmes sociaux complexes peu importe où les gens habitent

  32. Sur le processus de consultation de la stratégie et le besoin de la mettre en pratique « On a pu exprimer le sentiment des familles et on a considéré le document dans son ensemble à travers le point de vue d’une famille. Il faut s’assurer de diffuser cette information à tous ceux qui sont concernés par la santé mentale. À mon avis, il doit y avoir un effort concerté chez ceux qui font pression quand ils s’adressent aux personnes influentes de leur communauté ou du pays pour promouvoir la stratégie et s’assurer qu’elle ne dorme pas sur les tablettes. Il faut que la stratégie soit mise en application pour qu’un jour notre système soit totalement intégré. » Len Wall – procheaidant

  33. Orientation stratégique 6 Mobiliser le leadership, améliorer les connaissances et favoriser la collaboration à tous les niveaux • La transformation du système de la santé mentale ne sera possible qu’à la condition d’adopter une approche interministérielle dans la mise en œuvre de politiques en matière de santé mentale. • De plus, les personnes ayant un trouble mental ou une maladie mentale et leurs proches devront exercer un rôle de leadership. • Enfin, il faudra mettre en place une solide infrastructure pour appuyer la collecte des données, la recherche et le développement des ressources humaines

  34. Recommandationssélectionnées‒ OS 6 • Encourager l’émergence de coalitions dans le secteur non gouvernemental pour aider à mobiliser le leadership et trouver des solutions communes à des problèmes complexes. • Établir un plan pour la recherche en santé mentale pour l’ensemble du Canada comprenant des volets de recherche clinique et psychosociale, de neurosciences et de connaissances acquises par l’expérience vécue d’un trouble mental ou d’une maladie mentale et au sein de diverses cultures. • Voir à ce que le savoir se traduise plus facilement en actions concrètes par la mise en place d’une infrastructure d’échange coordonné des connaissances axé sur le partenariat. • Renforcer la capacité de planification des ressources humaines en santé mentale à travers le pays…

  35. Sur le fait d’être considéré et sur les maladies mentales graves « La stratégie s’appuie sur l’espoir et sur la résilience. Les personnes atteintes de schizophrénie et de psychoses, ainsi que leurs proches, auront leur mot à dire sur les services qu’elles reçoivent. Les traitements et services axés sur le rétablissement seront offerts sur un mode positif. Ce n’est qu’un début. À titre de présidente de la Société canadienne de la schizophrénie, j’espère que les provinces adhéreront à la stratégie, qu’elles examineront les services qu’elles dispensent et qu’elles régleront les iniquités et les carences du système de santé mentale actuel. J’ai été très heureuse de faire partie du processus d’élaboration de la stratégie parce que je sentais que cela mènerait à l’amélioration des services en santé mentale au pays. » Florence Budden – infirmière en santé mentale et formatrice

  36. Appel à l’action • La part du budget alloué à la santé mentale dans le financement de la santé doit passer de 7 à 9 % au cours des dix prochaines années • On doit augmenter de deux points de pourcentage la part du budget alloué à la santé mentale dans le financement des programmes sociaux par rapport aux niveaux actuels • Il faut chiffrer les dépenses actuelles en santé mentale qui pourraient être réaffectées en vue d’améliorer l’efficacité et d’obtenir de meilleurs résultats en santé mentale • On doit inciter les secteurs privé et philanthropique à investir des ressources dans la santé mentale

  37. Rôle de la stratégie • L’objectif de la stratégieen matière de santé mentale pour le Canada est de s’assurer que le Canada s’engage concrètement dans la voie du changement. • En faisant mieux connaître les enjeux liés à la santé mentale et en stimulant le débat public à ce sujet, lastratégie contribuera à réduire davantage la discrimination alimentée par la stigmatisation. • Lastratégie aidera à faire en sorte que les personnes aux prises avec un trouble mental ou une maladie mentale soient traitées avec respect et dignité et qu’elles puissent jouir des mêmes droits que tous les autres résidants du Canada.

  38. Travaillons ensemble Ce n’est pas seulement l’affaire des gouvernements, tout le monde a un rôle à jouer : • le gouvernement fédéral ainsi que les administrations provinciales et locales • les intervenants de tous les domaines, notamment ceux de la santé mentale, du logement, de la justice et de l’immigration • la population canadienne Ensemble, nous pouvons nous assurer que toute personne vivant au Canada puisse atteindre le meilleur état de santé mentale et de bien-être possible.

  39. Merci! Renseignements info@commissionsantementale.caSite Web www.commissionsantementale.caSuivez-nous sur Les vuesexprimées aux présentes sont celles de la Commission de la santé mentale du Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à la contribution financière de Santé Canada.

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