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Arnaud CONSTANTIN Service de Rhumatologie, hôpital Larrey, Toulouse.

Stratégies thérapeutiques dans la polyarthrite rhumatoïde débutante. Données issues des études contrôlées. Pré-évaluation. Arnaud CONSTANTIN Service de Rhumatologie, hôpital Larrey, Toulouse. V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F.

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Arnaud CONSTANTIN Service de Rhumatologie, hôpital Larrey, Toulouse.

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  1. Stratégies thérapeutiques dans la polyarthrite rhumatoïde débutante. Données issues des études contrôlées Pré-évaluation Arnaud CONSTANTIN Service de Rhumatologie, hôpital Larrey, Toulouse.

  2. V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F • L’hydroxychloroquine n’a pas fait la preuve de son efficacité clinique dans la PR débutante. • La sulfasalazine a fait la preuve de son efficacité structurale dans la PR débutante. • Le méthotrexate est plus efficace que les sels d’or pour contrôler la progression des lésions structurales dans la PR débutante. • L’intérêt de la précocité de l’introduction d’un traitement de fond non biologique dans la PR débutante a été démontré pour le méthotrexate, mais pas pour l’hydroxychloroquine ou les sels d’or. • Une combinaison de traitements de fond non biologiques d’emblée, secondairement dégressive, est supérieure à un traitement de fond non biologique en monothérapie dans la PR débutante. • Le bénéfice structural d’une combinaison de traitements de fond non biologiques, initiés précocement dans la PR débutante, ne se maintient pas au delà de 3 ans dans la PR débutante. • La démonstration de l’efficacité structurale de faibles doses de glucocorticoïdes dans la PR débutante ne repose que sur une seule étude contrôlée. • Chez des patients atteints de PR débutante, la combinaison infliximab 6 mg/kg + méthotrexate induit 2 fois plus de rémissions à 1 an que le méthotrexate en monothérapie. • Chez des patients atteints de PR débutante, la différence d’efficacité structurale entre la combinaison infliximab 6 mg/kg + méthotrexate et le méthotrexate en monothérapie se fait sur seulement 20% des patients. • Chez des patients atteints de PR débutante, la combinaison adalimumab + méthotrexate induit 2 fois plus de rémissions à 1 an ou à 2 ans que le méthotrexate en monothérapie.

  3. V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F V/F 11. Chez des patients atteints de PR débutante, la combinaison adalimumab + méthotrexate n’induit pas plus d’infections graves que le méthotrexate en monothérapie. 12. Chez des patients atteints de PR débutante, la combinaison étanercept + méthotrexate induit 2 fois plus de rémissions à 1 an que le méthotrexate en monothérapie. 13. La différence d’efficacité structurale entre la combinaison étanercept + méthotrexate et le méthotrexate en monothérapie se fait sur seulement 20% des patients. 14. Chez des patients atteints de PR débutante, la combinaison abatacept + méthotrexate induit 3 fois plus de rémissions à 1 an que le méthotrexate en monothérapie. 15. Chez des patients atteints de PR débutante, la combinaison abatacept+ méthotrexate contrôle mieux à 1 an la progression des lésions structurales que le méthotrexate en monothérapie. 16. L’efficacité du concept de stratégie guidée par l’objectif a été validée par plusieurs études contrôlées. 17. Chez des patients atteints d’une PR débutante, la mise en œuvre d’une stratégie guidée par l’objectif avec des traitements non biologiques peut permettre d’obtenir 4 fois plus de rémissions à 18 mois qu’une stratégie de prise en charge libre. 18. Chez des patients atteints d’une PR débutante, dans le cadre d’une stratégie guidée par l’objectif, une combinaison de traitements non biologiques est moins efficace à 2 ans qu’une combinaison de traitement non biologique et d’anti-TNF. 19. Chez des patients atteints d’une arthrite indifférenciée, le méthotrexate diminue sur 30 mois la progression vers une PR, surtout chez les patients avec anticorps anti-protéines citrullinées. 20. Chez des patients atteints d’une arthrite indifférenciée, l’abatacept pourrait diminuer la progression vers une PR.

  4. Les traitements de fond non biologiques Les combinaisons de traitements de fond non biologiques Les glucocorticoïdes Les traitements de fond biologiques Le concept de stratégie de contrôle strict Le concept de stratégie préventive

  5. Études concernant l’hydroxychloroquine (HCQ) en monothérapie Hydroxychloroquine > placebo pour contrôler les signes cliniques et/ou biologiques de la maladie chez des patients atteints de PR débutante. Une dose de charge d’hydroxychloroquine optimise la réponse à court terme.

  6. Études concernant la sulfasalazine (SSZ) en monothérapie Sulfasalazine > placebo pour contrôler les signes cliniques et/ou biologiques de la maladie chez des patients atteints de PR débutante. Sulfasalazine > placebo/AINS pour contrôler la progression des lésions structurales chez des patients atteints de PR débutante, mais efficacité structurale insuffisante.

  7. Études concernant le méthotrexate (MTX) en monothérapie MTX = GST pour contrôler les signes cliniques et/ou biologiques de la maladie chez des patients atteints de PR débutante. MTX = GST pour contrôler la progression des lésions structurales chez des patients atteints de PR débutante, mais efficacité structurale insuffisante.

  8. The Effectiveness of Early Treatment with "Second-Line" Antirheumatic Drugs.A Randomized, Controlled Trial. Agnes van der Heide; Johannes W.G. Jacobs; Johannes W.J. Bijlsma; Anton H.M. Heurkens; Christina van Booma-Frankfort; Maaike J. van der Veen; Huub C.M. Haanen; and Dick M. Hofman. • Type d’étude = Etude ouverte, multicentrique (Pays-Bas), contrôlée, randomisée. • Critères d’inclusion = 238 patients, PR débutante (<1 an). • . • Critères de non inclusion = Traitement antérieur par DMARD ou glucocorticoïde. Co-morbidité grave. • Schémas thérapeutiques = 2 bras parallèles (3:1) • DMARD immédiat: DMARD en 1ère intention (HCQ 400 mg/j ou GST 50 mg/sem ou MTX 7,5-15 mg/sem pour 12M). Possibilité de changer de DMARD avant 12M en cas d’EI (HCQ→AUR; GST →DPA; MTX →SSZ). • DMARD retardé: AINS en 1ère intention. Possibilité d’introduire un DMARD en 2ème intention, en cas d’inefficacité ou d’intolérance à l’AINS. • Co-critères principaux d’évaluation = • HAQ, score de douleur, score articulaire et VS à M6 et M12. • Progression du score radiographique de mSharp total entre S0 et M12. vdHeide et al. Ann Intern Med 1996;124:699-707.

  9. Étude vdHEIDE (immédiat vs retardé) – Caractéristiques patients. vdHeide et al. Ann Intern Med 1996;124:699-707.

  10. Étude vdHEIDE (immédiat vs retardé) – Données d’efficacité. vdHeide et al. Ann Intern Med 1996;124:699-707.

  11. Étude vdHEIDE (immédiat vs retardé) – Données d’efficacité. vdHeide et al. Ann Intern Med 1996;124:699-707.

  12. Étude vdHEIDE (immédiat vs retardé) – Conclusions. Chez des patients atteints d’une PR débutante, l’introduction immédiate d’un traitement de fond non biologique, quel qu’il soit (HCQ, sels d’or injectables [GST] ou MTX), est préférable à son introduction retardée, en termes de contrôle de l’activité de la maladie. Cependant, l’introduction immédiate d’un traitement de fond non biologique ne permet pas un contrôle optimal de la progression des lésions structurales. vdHeide et al. Ann Intern Med 1996;124:699-707.

  13. Les traitements de fond non biologiques Les combinaisons de traitements de fond non biologiques Les glucocorticoïdes Les traitements de fond biologiques Le concept de stratégie de contrôle strict Le concept de stratégie préventive

  14. Type d’étude = Etude internationale (Pays-Bas et Belgique), multicentrique, contrôlée, randomisée, en double insu (Combinatietherapie Bij Reumatoide Artritis). • Critères d’inclusion = 155 patients, PR débutante (≤2 ans), active (NAG ≥6, ≥3 sites articulaires et au moins deux des 3 critères suivants: NAD ≥9, RM ≥45’ et/ou VS ≥28. • Critères de non inclusion = Traitement antérieur par un DMARD (HCQ excepté) ou par un glucocorticoïde. Co-morbidité grave ou chirurgie lourde récente. • Schémas thérapeutiques = 2 bras parallèles (1:1) • Traitement combiné SSZ + MTX (7,5 mg/j S1-S40, puis décroissance S41-S46, + AF 1mg/j) + PRED (60 mg/j S1, 40 mg/j S2, 25 mg/j S3, 20 mg/j S4, 15 mg/j S5, 10 mg/j S6, 7,5 mg/j S7-S28, puis décroissance S29-S35). Possibilité de réintroduire le dernier traitement interrompu en cas de poussée. • SSZ (PO, dose initiale 500 mg/j, augmenté jusqu’à 2 g/j en 3S) + PCB. • Co-critères principaux d’évaluation = • Indice composite d’activité (combinaison de 5 critères: NAD/68, évaluation AGM par le médecin, force préhension, VS, score articulaire McMaster Toronto) S28 et S56. • Progression du score radiographique de mSharp total entre S0 et S56. Boers M et al. Lancet 1997;350:309-18.

  15. Étude COBRA (combi vs mono) – Caractéristiques patients. Boers M et al. Lancet 1997;350:309-18.

  16. P<0.0001 P=0.20 Étude COBRA (combi vs mono) – Données d’efficacité. Boers M et al. Lancet 1997;350:309-18.

  17. P<0.0001 P=0.004 P=0.01 Étude COBRA (combi vs mono) – Données d’efficacité. Boers M et al. Lancet 1997;350:309-18.

  18. Étude COBRA (combi vs mono) – Données de tolérance. • Significantly fewer patients stopped combined treatment than stopped sulphasalazine (p=0.0008), and combination patients dropped out later. Differences were apparent for both toxic effects and lack of efficacy. • The adverse reactions that led to withdrawal of two patients in the combined-treatment group were gastrointestinal-tract complaints and dyspnoea. In the sulphasalazine group the adverse events leading to withdrawal were rashes in four patients, gastrointestinaltract complaints in two, granulocytopenia with a concurrent increase in aminotransferases in one patient, and thrombocytopenia (preleukaemic disease) in one. Boers M et al. Lancet 1997;350:309-18.

  19. Évaluation de l’impact de la stratégie combinée initiale à long terme. • Suivi médian des patients: 4,5 ans. • Traitement de la PR laissé à l’appréciation du rhumatologue à l’issue des 56S de l’étude COBRA. Landewé R et al. Arthritis Rheum 2002;46:347-56.

  20. Étude COBRA (combi vs mono) – Conclusions. Chez des patients atteints d’une PR débutante active, un traitement combiné par SSZ+MTX+PRED initié d’emblée est supérieur à un traitement par SSZ en monothérapie, en termes de contrôle de l’activité de la maladie à court terme et de contrôle de la progression des lésions structurale à court, moyen et long termes. Les résultats de l’étude COBRA valident les concepts de traitement agressif d’emblée et de fenêtre d’opportunité s’ouvrant sur un contrôle à long terme de la progression des lésions structurales chez des patients atteints de PR débutante. Boers M et al. Lancet 1997;350:309-18. Landewé R et al. Arthritis Rheum 2002;46:347-56.

  21. Les traitements de fond non biologiques Les combinaisons de traitements de fond non biologiques Les glucocorticoïdes Les traitements de fond biologiques Le concept de stratégie de contrôle strict Le concept de stratégie préventive

  22. Type d’étude = Etude multicentrique, Royaume-Uni, contrôlée versus placebo (PCB), randomisée, en double insu. • Critères d’inclusion = 128 patients, PR débutante (<2 ans), active (NAD ≥6 NAG ≥3 et raideur matinale articulaire >20 min et soit VS >28, soit CRP >10 mg/l. • Schémas thérapeutiques = 2 bras parallèles (1:1) • Prednisolone [PREDL] (7,5 mg/j, PO) + traitement habituel (DMARDs / NSAIDs). • PCB + traitement habituel. • Co-critères principaux d’évaluation = • Progression du score radiographique Larsen (0–140) à 1 an, puis à 2 ans. • Proportion de patients non érosifs à l’inclusion devenant érosifs à 1 an, puis à 2 ans. Kirwan J et al. NEJM 1995;333:142-6.

  23. Étude Kirwan (prednisolone) – Caractéristiques patients. The mean values at entry into the study and one and two years thereafter, expressed in Larsen units were as follows: prednisolone group, 2.65, 3.38, and 3.37, respectively; placebo group, 6.23, 9.86, and 11.60; difference between groups, 3.58, 6.48, and 8.23. P=0.479, P=0.033, and P=0.002 for the respective group differences. There were no significant differences between groups at each review in the proportion of patients treated with specific antirheumatoid drugs (intramuscular gold, 8 percent; penicillamine, 30 percent; sulfasalazine, 26 percent; methotrexate, 4 percent; and other agents, 3 percent). Kirwan J et al. NEJM 1995;333:142-6.

  24. P=0.052 P=0.004 Étude Kirwan (prednisolone) – Données d’efficacité. *Progression of structural damage scored according to the method of Larsen on radiographs of the hands over one or two years. Kirwan J et al. NEJM 1995;333:142-6.

  25. P=0.018 P=0.007 Étude Kirwan (prednisolone) – Données d’efficacité. *% of patients without erosions on radiographs of the hands at inclusion who developed erosions one and two years later. Kirwan J et al. NEJM 1995;333:142-6.

  26. Étude Kirwan (prednisolone) – Données d’efficacité. Group means and 95 percent confidence intervals are shown for the prednisolone (♦)and placebo (■) groups. Disability scores were derived from the disability scale of the Health Assessment Questionnaire (HAQ) and were expressed on a scale ranging from 0 (no disability) to 3.0 (inability to perform most activities of daily living). Kirwan J et al. NEJM 1995;333:142-6.

  27. Étude Kirwan (prednisolone) – Conclusions. Chez des patients atteints d’une PR débutante active, la prednisolone à faible dose (7,5 mg/j), combinée aux traitements habituels, diminue à 1 an et à 2 ans la progression des lésions structurales. Cet effet de protection structurale des glucocorticoïdes à faible dose a été confirmé dans la plupart des autres études contrôlées ayant inclus des patients atteints d’une PR débutante active. Kirwan J et al. NEJM 1995;333:142-6.

  28. Les traitements de fond non biologiques Les combinaisons de traitements de fond non biologiques Les glucocorticoïdes Les traitements de fond biologiques Le concept de stratégie de contrôle strict Le concept de stratégie préventive

  29. Type d’étude = Etude de phase III, multicentrique, internationale, contrôlée versus placebo (PCB), randomisée, en double insu. • Critères d’inclusion = 1049 patients, PR débutante (≥3 mois ≤3 ans), active (NAD ≥12 NAG ≥10) et soit CRP ≥20 mg/l, soit statut FR+, soit statut érosif+. • Critères de non inclusion = Traitement antérieur par MTX ou anti-TNF. Autre DMARD dans les 4 semaines (S) (ou LEF dans les 6 mois) précédant l’inclusion. • Schémas thérapeutiques = 3 bras parallèles (5:5:4) • Infliximab [INF] (3 mg/kg, perfusions IV S0, S2, S6, puis toutes les 8S) + MTX (PO, dose initiale 7,5 mg/S, jusqu’à 20 mg/S en 8S, + AF ≥5 mg/S). • INF (6 mg/kg, perfusions IV S0, S2, S6, puis toutes les 8S) + MTX. • MTX + PCB. • Co-critères principaux d’évaluation = • % ACRN à S54. • Progression du score radiographique de mSharp total entre S0 et S54. • Variation du score HAQ entre S0 et S30–54. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  30. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Caractéristiques patients. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  31. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Données d’efficacité. Figure 2. Comparison of American College of Rheumatology 20% criteria for clinical improvement (ACR20), ACR50, ACR70, and ACR90 responses. Shown are the percentages of patients with ACR responses at week 54. P 0.028; † P 0.001; § P 0.001; and ‡ P 0.002 versus MTX–placebo group. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  32. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Données d’efficacité. Figure 3. Analysis of Disease Activity Score in 28 joints (DAS28) values. The mean±SD (solid horizontal lines and bars) and median (interquartile range [IQR]) (dashed horizontal lines and boxed areas) DAS28 values at baseline were 6.7±1.0 and 6.8 (6.1, 7.4) for the MTX–placebo group, 6.6±1.1 and 6.8 (5.9, 7.4) for the MTX–3 mg/kg INF group, and 6.7±1.0 and 6.8 (6.1, 7.4) for the MTX–6 mg/kg INF group. The mean SD and median (IQR) DAS28 values at week 54 were 4.6±1.8 and 4.7 (3.1, 5.9) for the MTX–placebo group, 4.0±1.8 and 3.7 (2.8, 5.2) for the MTX–3 mg/kg INF group, and 3.7±1.8 and 3.5 (2.3, 4.9) for the MTX–6 mg/kg INF group. For comparisons of the change between baseline and week 54: P 0.001 for MTX–3 mg/kg infliximab versus MTX–placebo; P 0.001 for MTX–6 mg/kg infliximab versus MTX– placebo. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  33. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Données d’efficacité. Remission rate X2 Figure 4. DAS28 remission rates. The percentages of patients achieving remission of their disease according to the DAS28 at week 54 are shown for the 3 treatment groups. A DAS28 value 2.6 was considered to indicate remission of disease (23). For comparisons of rates of remission: P 0.065 for MTX–3 mg/kg infliximab versus MTX–placebo; P 0.001 for MTX–6 mg/kg infliximab versus MTX–placebo. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  34. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Données d’efficacité. From baseline to week 54, 39% of patients receiving infliximab plus MTX showed an increase in radiographic score, compared with 61% of patients receiving MTX alone (P 0.001).Worsening of radiographic joint damage was defined as a change in SHS >0. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43. Smolen J et al. Arthritis Rheum 2006;54:702-10.

  35. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Données de tolérance. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  36. ÉtudeASPIRE (infliximab) – Conclusions. Les résultats de l’étude ASPIRE démontrent, à 1 an, la supériorité de la combinaison INF 3 mg/kg + MTX ou INF 6 mg/kg + MTXsur le MTX en monothérapie, en termes d’amélioration des signes et symptômes de la PR, d’inhibition de la progression radiographique et d’amélioration fonctionnelle, chez des patients atteints de PR débutante, active, avec statut FR+ et/ou statut érosif et/ou CRP ≥20 mg/l à l’inclusion. St Clair EW et al. Arthritis Rheum 2004;50:3432-43.

  37. Type d’étude = Etude de phase III, multicentrique, internationale, contrôlée versus placebo (PCB), randomisée, en double insu. • Critères d’inclusion = 799 patients, PR débutante (<2 ans), active (NAD ≥10 NAG ≥8 et soit VS ≥28 mm/h, soit CRP ≥15 mg/l), soit statut FR+, soit statut érosif+. • Critères de non inclusion = Traitement antérieur par MTX, CYC, CSA, AZA ou >2 DMARDs. Autre DMARD dans les 4 semaines (S) précédant l’inclusion. • Schémas thérapeutiques = 3 bras parallèles (1:1:1) • Adalimumab [ADA] (SC, 40 mg/2S, puis 40 mg/S à S16 si ACR20-)+ MTX (PO, dose initiale 7,5 mg/S, jusqu’à 20 mg/S en 8S si douleurs ou tuméfactions articulaires, + AF 5-10 mg/S). • ADA (SC, 40 mg/2S, puis 40 mg/S à S16 si ACR20-)+ PCB. • MTX + PCB. • Co-critères principaux d’évaluation (1ère année / 2 ans) = • % ACR50 à 1 an. • Progression du score radiographique de mSharp total entre S0 et 1 an. Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  38. ÉtudePREMIER (adalimumab) – Caractéristiques patients. Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  39. ÉtudePREMIER (adalimumab) – Données d’efficacité. Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  40. ÉtudePREMIER (adalimumab) – Données d’efficacité. Remission rate X2 Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  41. ÉtudePREMIER (adalimumab) – Données d’efficacité. The percentage of patients with no radiographic progression (change in total Sharp score 0.5 from baseline) was higher in the combination arm (64% at year 1 and 61% at year 2) than in the adalimumab monotherapy arm (51% and 45%; P 0.01) or the MTX monotherapy arm (37% and 34%; P 0.01). The difference in these percentages between the adalimumab monotherapy arm and MTX monotherapy arm was also statistically significant (P 0.01). Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  42. Étude PREMIER (adalimumab) – Données de tolérance. Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  43. ÉtudePREMIER (adalimumab) – Conclusions. Les résultats de l’étude PREMIER démontrent, à l’issue de la première, puis de la seconde année de traitement, la supériorité de la combinaison ADA + MTX sur l’ADA ou le MTX en monothérapie, en termes d’amélioration des signes et symptômes de la PR, d’inhibition de la progression radiographique et de rémission clinique, chez des patients atteints de PR débutante, active, statut FR+ et/ou statut érosif à l’inclusion. Breedveld F et al. Arthritis Rheum 2006;54:26-37.

  44. Type d’étude = Etude de phase III, multicentrique, internationale, contrôlée versus placebo (PCB), randomisée, en double insu. • Critères d’inclusion = 542 patients, PR débutante (≥3 mois ≤2 ans), active (DAS28 ≥3,2 et soit VS ≥28 mm/h, soit CRP ≥20 mg/l), modérée à sévère. • Critères de non inclusion – Traitement antérieur par MTX ou anti-TNF. Autre DMARD ou corticothérapie injectable dans les 4 semaines (S) précédant l’inclusion. • Schémas thérapeutiques = 2 bras parallèles (1 :1) • Etanercept [ETA] (SC, 50 mg/S) + MTX (PO, dose initiale 7,5 mg/S, jusqu’à 20 mg/S en 8S si douleurs ou tuméfactions articulaires, + AF 10 mg/S) • MTX + PCB. • Co-critères principaux d’évaluation (1ère année / 2 ans) = • % rémission (DAS28 <2,6) à S52. • Progression du score radiographique de mSharp total entre S0 et S52. Emery P et al. Lancet 2008;372:375-82.

  45. ÉtudeCOMET (étanercept) – Caractéristiques patients. Emery P et al. Lancet 2008;372:375-82.

  46. ÉtudeCOMET (étanercept) – Données d’efficacité. Rémission DAS28 (50% vs 28% - p<0,0001), rémission DAS44 à S52 (51% vs 28% - p<0,0001), réponse ACR20 (86% vs 67% - p<0,0001), ACR 50 (71% vs 49% - p<0,0001), ACR 70 (48% vs 28% - p<0,0001) ou bas niveau d’activité à S52 (64% vs 41% - p<0,0001) dans le groupe ETA+MTX > à celle du groupe PCB+MTX. Amélioration du HAQ entre S0 et S52 (1,7 à 0,7 vs 1,6 à 0,9 - p<0,0001) ou arrêt de travail entre S0 et S52 (9% vs 24% - p=0,004) dans le groupe ETA + MTX < au groupe PCB + MTX. Emery P et al. Lancet 2008;372:375-82.

  47. ÉtudeCOMET (étanercept) – Données d’efficacité. Progression du mSharpT entre S0 et S52 dans le groupe ETA + MTX < à celle du groupe PCB + MTX (+0,27 vs +2,44 - p<0,0001).Non progression radiographique entre S0 et S52 dans le groupe ETA + MTX > à celle du groupe PCB + MTX si seuil ≤0,5 (80% vs 59% - p<0,0001) ou ≤0 (75% vs 54% - p<0,0001). Emery P et al. Lancet 2008;372:375-82.

  48. ÉtudeCOMET (étanercept) – Données de tolérance. Emery P et al. Lancet 2008;372:375-82.

  49. ÉtudeCOMET (étanercept) – Conclusions. Les résultats de cette première phase de l’étude COMET démontrent, à l’issue de 52S de traitement, la supériorité de la combinaison ETA + MTX sur le MTX en monothérapie, en termes de rémission et de non progression radiographique, chez des patients atteints de PR débutante, active, modérée à sévère. Emery P et al. Lancet 2008;372:375-82.

  50. The Efficacy and Safety of Abatacept in Methotrexate-naïve Patients with Early Erosive Rheumatoid Arthritis and Poor Prognostic Factors R. Westhovens, M. Robles, S. Nayiager, J. Wollenhaupt, P. Durez, J. Gomez-Reino, W. Grassi, B. Haraoui, W. Shergy, SH. Park, H. Genant, C. Peterfy, J-C. Becker, A. Covucci, R. Helfrick, J. Bathon. • Type d’étude = Etude de phase III, multicentrique, contrôlée versus placebo (PCB), randomisée, en double insu. • Critères d’inclusion = 509 patients, PR débutante (≤2 ans), statut FR+ et/ou anti-CCP+ et statut érosif+. • Critères de non inclusion – Traitement antérieur par MTX. • Schémas thérapeutiques = 2 bras parallèles (1 :1) • Abatacept [ABA ] (IV, 10 mg/kg) + MTX (PO, dose initiale 7,5 mg/S, jusqu’à 20 mg/S en 8S) • MTX + PCB. • Co-critères principaux d’évaluation (1 an) = • % rémission (DAS28 CRP <2,6) à 1 an. • Progression du score radiographique de Genant mSharp total entre S0 et 1 an. Westhovens R et al. ARD OL 0109.

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