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CMAP/BANQUE MONDIALE. SYSTEME D’INFORMATION POUR LE SUIVI DE LA PAUVRETE. 25 MARS 200 2. Messages. Différence entre suivi et évaluation Le système d’information doit être à l’écoute de la stratégie de réduction de la pauvreté et vice-versa.

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Presentation Transcript


  1. CMAP/BANQUE MONDIALE SYSTEME D’INFORMATION POUR LE SUIVI DE LA PAUVRETE 25 MARS 2002

  2. Messages • Différence entre suivi et évaluation • Le système d’information doit être à l’écoute de la stratégie de réduction de la pauvreté et vice-versa. • Pour être efficace un système doit s’appuyer sur • Des indicateurs • Des buts chiffrés • Des données • Un système qui fonctionne

  3. Présentation du CSLP • Stratégie de développement à long terme et son plan d’actions à moyen terme • Document élaboré suivant une approche participative, cependant cet aspect doit encore être développé et généralisé • Assure l’implication de tous les acteurs (administration, secteur Privé, société civile…) • Assure l’appropriation des politiques et programmes de développement • Cadre de coordination de l’aide extérieure

  4. Étapes d’élaboration du CSLP • Stratégie nationale de lutte contre la pauvreté en 1994 et PNLCP en 1998 • Actualisation de la Stratégie nationale de lutte contre la pauvreté en 1999 • Adoption du CSLP en janvier 2001 (Assises nationales)

  5. Étapes d’élaboration du CSLP (suite) • Approbation du CSLP par le conseil d’administration de la BM et du FMI en février 2001 • Loi d’orientation sur la lutte contre la pauvreté • Processus d’élaboration du rapport de mise en oeuvre du CSLP : • Reconduction du dispositif institutionnel • Rédaction d’un rapport • Ateliers interrégionaux et assises nationales en janvier 2002 • Point d’achèvement attendu au deuxième semestre 2002

  6. Axes de la Stratégie Nationale Lutte de Contre la Pauvreté 1.Accélération de la croissance 2. Ancrage de la croissance dans la sphère économique des pauvres 3. Développement des RH et de l’accès aux services de base 4. Renforcement des capacités institutionnelles et de la gouvernance

  7. Le système de suivi de la pauvreté en Mauritanie

  8. Lien entre la stratégie et le système de suivi • Le CSLP s’est appuyé sur le système existant pour faire le diagnostic et fixer les objectifs • En revanche, le système n’a pas suffisamment tiré profit du CSLP pour créer de nouvelles synergies • le système statistique continue d’être guidé par une logique de production assez déconnectée de la demande induite par le CSLP • Aucune stratégie de suivi n’est définie dans le CSLP

  9. Les indicateurs • Les types d’indicateurs • Le CSLP ne respecte pas systèmatiquement la nomenclature présentée : • Par exemple dans le domaine de la santé aucun indicateur d’intrant ou de produit ne figure dans le CSLP (pas d’objectif en matière de budget…) • En revanche pour l’éducation il y a pratiquement un indicateur de chaque catégorie (budget, nombre d’enseignants, taux d’accès et taux d’alphabétisation)

  10. Les indicateurs (suite) • La qualité des indicateurs • Faciles à mesurer et à comprendre Contre exemple : Mortalité maternelle est très difficile à mesurer, en revanche elle est fortement correlée avec la fécondité et le nombre d’acouchements assistés par un personnel qualifié. • Variant au fil du temps Contre exemple : Espérence de vie à la naissance • Pertinents Contre exemple : Prix du m3 d’eau Nombre de nouveaux terrains amenagés

  11. Les indicateurs (suite) • Comment fixer les buts? • Dans le cas de l’incidence de la pauvreté les objectifs étaient plus optimistes que ceux obtenus par simulation. • Donc objectif volontariste, mais pas suffisamment réaliste

  12. Les sources de données • Sources administratives : • Le système d’information en Mauritanie accorde peu de place aux sources administratives, bien que les données administratives soient peu onéreuses. • Ces sources ne sont donc pas très fonctionnelles à l’exception du MEN et du MDRE. • Problème lié à la manipulation des données ( certaines ressources sont attribuées en fonction du nombre d’élèves au MEN)

  13. Les sources de données (suite) • Enquêtes quantitatives : • sont nombreuses, mais de faible qualité, par exemple l’EPCV 88/89, 89/90 95/96 2000/2001, RGPH88 et 2000, EDS2000. • Problème de comparabilité des données ( EPCV90, EPCV1996 et EPCV2000 trois méthodologies différentes). • Programmation des opérations est déconnectée des besoins du CSLP, sauf pour la dernière enquête EPCV.

  14. Les sources de données (suite) • Enquêtes qualitatives : • La première enquête a été menée en décembre 2000 par le PNUD et porte sur un échantillon de 1200 ménages, en plus de 12 focus groupes • Elle permet de compléter les données quantitatives en offrant une meilleure compréhension de la perception et de l’opinion que les populationsont de la pauvreté, de ses déterminants.

  15. Réconcilier besoinset données • Le système de suivi ne prévoit pas un plan de collecte et d’analyse des données • L’ONS, bien qu’ayant entrepris un schéma directeur de la statistique, n’a pas encore adapté son système de collecte en fonction des besoins du CSLP et de ses capacités • par exemple en 2000/2001, il a mené : • L’EPCV 2000 • Le RGPH 2000 • L’EDS 2000 • L’Enquête NUTICOM

  16. Réconcilier besoinset données (suite) • La faiblesse la plus importante du système d’information en Mauritanie demeure l’analyse • Celle-ci est limité par : • l’absence de centre de recherche • la faiblesse des relations entre les utilisateurs et les producteurs de données • L’absence d’une stratégie dans ce domaine • L’absence de culture d’utilisation des donnéees • L’absence d’outils adéquats de diffusion et dissémination de l’information • La faiblesse de la qualité des données

  17. Composantes du système? • Très faibles liens entre les producteurs et les utilisateurs • Comparativement à d’autres pays les ressources sont relativement abondantes, mais sont mal réparties dans le temps • Il est important d’améliorer la coordination effective du système. • Mieux prendre en compte la demande

  18. Vision à l’horizon 2015 • Une incidence de la pauvreté à 16,9% • Une incidence de l’extrême pauvreté à 4,6% • Chaque enfant bénéficie d’une scolarisation de base de 10 ans (fondamental et 1er cycle du secondaire) • Un taux de couverture sanitaire de 100% dans un rayon de 5 km • Un taux de mortalité infantile à 40%0 • Un taux de mortalité infanto-juvénile à 55%0 • Un taux de raccordement de 60% aux réseaux d’eau potable

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