Th ories alternatives l incr mentalisme

1. Th�ories alternatives � l�incr�mentalisme � Toward a Theory of International New Ventures � (Benjamin M. Oviatt & Patricia Phillips McDougall)

2. Rappel sur l�internationalisation de la firme comme un processus � incr�mental � (The Uppsala model ) Th�orie qui se veut normative et pr�dictive Th�orie incr�mentale Chronologie � respecter Processus lent Rythme r�gulier Internationalisation qui int�gre dans sa logique la distance psychique ? � from hot to cold countries �. Paradoxe de la distance psychique

4. Benjamin M. Oviatt & Patricia Phillips McDougall Ph.D de Management Strat�gique Plusieurs travaux en commun sur le th�me de l�internationalisation, des new ventures et de l�entrepreunariat Oviatt, B. M. and McDougall, P. P. (2004). The Internationalization of Entrepreneurship. Journal of International Business Studies, 36(1): 2-8. McDougall, P. P. and B. M. Oviatt, (2000). International Entrepreneurship: The Intersection of Two Research Paths. Academy of Management Journal, 43(5): 902-908. Shrader, R., B. M. Oviatt, and P. P. McDougall, (2000). How New Ventures Exploit Trade-Offs Among International Risk Factors: Lessons for the Accelerated Internationalization for the 21st Century. Academy of Management Journal, 43(6): 1227-1247. Oviatt, B. M., and P. P. McDougall, (1997). Challenges for Internationalization Process Theory: The Case of International New Ventures. Management International Review Special Issue 2: 85-99.

5. D�marche des auteurs Existence de new ventures internationales est un fait ? Comment expliquer de mani�re th�orique cette observation qui contre dit les pr�c�dentes ? Utilisations des case studies et des donn�es empiriques d�autres auteurs, et de leurs anciennes recherches D�marche qui veut : Aboutir � une th�orie normative, avec un cadre conceptuel pas seulement �tre descriptive du ph�nom�ne, Ne pas remettre en cause totalement les th�ories pr�c�dentes mais aller au-del� Ph�nom�je non n�gligeable. Preuve de �a: mise en avant par plusieurs �coles simultan�ment de mani�re spontan�ePh�nom�je non n�gligeable. Preuve de �a: mise en avant par plusieurs �coles simultan�ment de mani�re spontan�e

6. D�marche des auteurs Diff�rentes parties du texte: Introduction de l�article et mise en avant du contexte �conomique et th�orique existant D�finition du terme de � international new ventures � (NVI) Pourquoi la th�orie � classique � sur les Multinationales n�englobe pas le d�veloppement des NVI ? n�cessit� d�un nouveau cadre th�orique L�environnement international changeant de nouvelles sources � �avantage comp�titif des firmes qui aident au d�veloppement des NVI Les 4 conditions n�cessaires et suffisantes au d�veloppement des NVI Matrice descriptive des NVI existantes, en fonction de la combinaison des 4 conditions suffisantes pr�c�demment d�crites. Nous suivrons ce plan dans la pr�sentation, en mettant en avant � chaque fois leurs intentions, leur th�se, les th�ories existantes mobilis�es, leur contribution, et les pistes de recherche � explorer.

7. Contexte actuel qui remet partiellement en cause la th�orie incr�mentale Un constat: le ph�nom�ne de NVI est d�velopp� depuis les ann�es 80 mais existe depuis bien avant Pas de remise en cause directe de la th�orie incr�mentale, mais mise en �vidence de ses limites �tudes depuis 1989 sur l��mergence de ces � new ventures � ? Des balbutiements qui en sont au stade de case studies dans diff�rents secteurs Plusieurs �coles de pens�e mettent en avant ce ph�nom�ne assez simultan�ment et sans concertation pr�alable Une mise en �vidence d�un manque dans le domaine de la litt�rature acad�mique Ph�nom�je non n�gligeable. Preuve de �a: mise en avant par plusieurs �coles simultan�ment de mani�re spontan�ePh�nom�je non n�gligeable. Preuve de �a: mise en avant par plusieurs �coles simultan�ment de mani�re spontan�e

8. D�finition du concept de NVI et implications th�oriques International new venture = � a business organization that, from inception, seeks to derive significant competitive advantage from the use of resources and the sale of outputs in multiple countries � Le focus est le temps (la relative jeunesse des entreprises) et non la taille (taille critique qui justifie l�internationalisation). Une organisation est internationale m�me si elle ne poss�de pas de capitaux ou IDE, mais la cha�ne de valeur se pense et s�organise dans un environnement international. Premi�re contradiction avec la th�orie de l� incr�mentalisme : pas de notion de taille critique comme cause de l�internationalisation

9. Les NVI : bien plus qu�une limite � la th�orie de Johanson & Vahlne L�id�e d��tapes est ici inappropri�e de par la d�finition m�me des NVI La maturation du march� local, et/ou sa saturation, n�est pas un pr�-requis � l�existence des NVI Les NVI ne rentrent dans aucune des exceptions que Johanson & Vauhlne attribuent eux-m�mes � leur th�orie, pour r�pondre aux critiques. La taille de la firme qui veut s�internationaliser n�est plus un crit�re � prendre en compte ? La taille n�est plus une cause mais peut �tre un effet de l�internationalisation.

10. Un contexte essentiel: le changement de l�environnement international Certaines sources d�avantage pour les firmes sont minimis�es � cause/gr�ce � un changement technologique et � des bouleversements structurels dans l�environnement Communications et transports plus rapides, moins co�teux, de meilleure qualit� Homog�n�isation de march�s dans des pays diff�rents Les �tapes de l�internationalisation peuvent �tre br�l�es sans compromettre son succ�s Multiplication a fortiori des sources d�avantages comparatifs qui permettent une internationalisation r�ussie La globalisation des march�s permet des les rapprocher (distance psychologique) et l�internationalisation n�est plus l�apanage des grandes MNEs

11. 4 �l�ments n�cessaires et suffisants pour qu�une NVI soit durable Passage du march� � l�organisation? Internalisation de certaines transactions. Structure de gouvernance alternative pour palier au niveau limit� de ressources ? th�orie des r�seaux Avantage g�ographique ? ex logiciel, d�velopp� aux USA, mais produit ailleurs, et lanc� internationalement Ressource Unique qu�il faut conserver (��Private knowledge��) ? Brevet, secret professionnel, style d�entreprise/management/culture (google), Frais de licence et enfin jeux d�acteurs en r�seaux ��Transactiondu au peu d�immobilisation corporelles et de pouvoir de l�organisation. Organisation en r�seaux.s��(th�orie des co�ts de transactions, diminu�s � leur minimum, ils deviennent la hi�rarchie)��Transactiondu au peu d�immobilisation corporelles et de pouvoir de l�organisation. Organisation en r�seaux.s��(th�orie des co�ts de transactions, diminu�s � leur minimum, ils deviennent la hi�rarchie)

12. Une th�orie sur l�internationalisation des new ventures d�sormais possible Sans remettre en cause les th�ories ant�rieures, il est possible de formaliser un cadre conceptuel qui puisse classifier les NVI

14. Une th�orie qui s�inspire des th�ories traditionnelles existantes sur l�internationalisation La th�orie de l�apprentissage et donc le mod�le Uppsala Savoir inh�rent aux individus, notamment � l�entrepreneur. Adaptation rapide et efficace est n�cessaire � leur survie ��internalisation theory�� Transactions internationales couteuses ? on internalise l��change de biens/services/ ressources avec le pays �tranger, et on diminue donc aussi l�incertitude. Les NVI vont trouver des formes alternatives � cela. Les r�seaux Th�orie entrepreneuriale de la firme Concept de M. Porter (chaine de valeur)

15. Feed Back - T. Atamer - Bonne compr�hension Bon r�sum� et rapide Inconv�nient : trop coll� � la chronologie du texte, d�o� manque de distance, prisonnier du texte. Il ne s�agit pas de montrer ce qu�on a compris, il faudrait qu�on soit l� pour apprendre en m�me temps que les autres. Ce processus d�apprentissage se fait sur la base de la recherche collective. Eviter de s�adresser au professeurs, il faut, ensemble �tape par �tape progresser : explorer l��tat actuel de nos connaissance, et les failles et insuffisance de celles-ci, et par cons�quent, explorer des pistes de recherches. Dans quelle mesure les connaissances cr�es sont pertinentes/utiles pour les acteurs �conomiques (manager, dirigeant�). Pertinences des connaissances cr�es. Il faut animer/rendre actif le groupe, pas un blabla, susciter les questions (sauter une partie, pour susciter la curiosit�).(ex : est ce que ces 2 articles fournissent 2 th�ories substituables ou compl�mentaires ? Plut�t que de donner la r�ponse dans l�expos�) Limite de l�article, tr�s difficile, comment les trouver ses failles ? Ex : conditions n�cessaires et suffisantes : articles th�oriques, d�duction logique opposition � Uppsala. Gen�se de la firme (question �conomiste par excellence), dans certaines conditions, le d�but de la firme est confondu avec l�internationalisation, d�o� opposition � Uppsala (comportement de firme sur la rationalit� limit� et l�aversion aux risques, on oppose la th�orie comportementale (entrepreneurship), et co�t de transaction). Autre opposition : �conomie des ressources chez Uppsala : pas � pas on entre dans le march� inter avec des moyens limit�s (incertitude aux risques, qui sera diminu�e par l�exp�rience au march� : r�duction de la distance psychologique)

16. Uppsala : on �conomise des ressources, Oviatt, contraire, face aux limitations des ressources, on mobilise les ressources du r�seau (ex : nike : design des chaussures, et utiliser les usines des autres pour la production). (rechercher goldash (turquie)) Une connaissance v�ritablement pr�cieuse, suivant les th�ories des connaissances, n�est pas si mobile (Kogut & Zander : 1993 �volution of the theory of internationalization) Une firme contient une ressource ou une connaissance qui ne sont pas �changeables sur le march� (contre la th�orie�?pourquoi ?) nature du produit pas exportable/barri�re tarifaire. D�o� une firme qui a un avantage concurrentiel dans le pays A peut fournir � une entreprise dans un pays B sa connaissance (licence) Or, Kogut dit que le march� et pas efficient (m�canisme de prix a priori impossible d��valuer le prix d��change de la connaissance?asym�trie d�information?risques d�opportuniste, par cons�quent, l�entreprise A doit aller dans B?pas d�opportuniste, d�o� production mondiale) La connaissance ne se transmet pas forc�ment parfaitement (eg, due au diff�rences culturelles)

17. Une limite de l�article, ils partent du principe que toute connaissance est transf�rable. POUR FINIR : Animation de groupe : ne pas faire une chose volontairement, ou poser une question, provoquer. Aller vraiment chercher les limites, aller dans les postulats, faire l�effort Pistes de recherches : � l�issu de la pr�sentation faire des pistes de recherches avec les autres, qui donnent envies d�aller plus loin.