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LE SAVOIR ORDINAIRE DES ACTEURS

LE SAVOIR ORDINAIRE DES ACTEURS. Présentation Préambule Définition Questions Théorisation Descartes Fin d ’introduction Des Données à la Sagesse Connaissance explicite ordinaire Transformation de la connaissance. Préambule 1/3. Préambule 2/3. Préambule 3/3.

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LE SAVOIR ORDINAIRE DES ACTEURS

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Presentation Transcript


  1. LE SAVOIR ORDINAIRE DES ACTEURS • Présentation • Préambule • Définition • Questions • Théorisation • Descartes • Fin d ’introduction • Des Données à la Sagesse • Connaissance explicite ordinaire • Transformation de la connaissance

  2. Préambule 1/3

  3. Préambule 2/3

  4. Préambule 3/3 Les acteurs du portrait précédent savent un texte, le récitent. En ont ils connaissances ? Aviez vous remarqué au premier portrait les scènes de la vie quotidienne Sans les explications ? Aviez vous ce savoir au préalable ? L’avez vous déduit ? Si oui comment ? Comment a t on appris à analyser ces tableaux est-ce un savoir académique, Implicite, explicite, tacite, formel ? Nous allons essayer au travers de cette présentation de vous transmettre Une connaissance, le savoir que nous avons acquis sur ce sujet.

  5. Définitions • Savoir Ensemble de connaissances acquises, culture, aptitude • Ordinaire Qui est conforme à l’usage habituel • Acteur Personne qui prend une part active dans une affaire • Connaissance Idée notion de quelque chose, connaisseur en musique.. • Compétence Connaissance approfondie • Savoir la misère NON => connaître la misère • Savoir le Grec NON => connaître le Grec • Savoir téter, manger, parler, vivre, faire, boire, construire => rien dans ces différentes formes de savoir n ’impose qu ’il soit transmissible et formalisé • d ’où: • Un savoir tacite est un savoir inexpliqué, parfois transmissible • Un savoir explicite est une connaissance

  6. Le savoir ordinaire des acteurs nous amène nous poser encore d ’autres questions... Comment les différents chercheurs en management utilisent-ils la notion de compétences ? Ces usages sont-ils homogènes ou au contraire différenciés, notamment en fonction de logiques disciplinaires ? Comment et dans quelles circonstances les acteurs sociaux s’attribuent-ils ou se voient-ils attribuées des compétences ? Assiste-t-on à un élargissement des domaines dans lesquels des compétences sont attribuées ou revendiquées par les acteurs ? Ce thème du savoir ordinaire peut être limité à des exemples précis de savoir comme le savoir-boire « de Ludovic Gossot conférence de Poitiers 2002 », le savoir-vivre, le Savoir-faire ou le savoir être. Quelles frontières entre les différentes formes de compétences ? Comment et dans quelles circonstances compétences savantes et ordinaires tendent elles à être confrontées, traduits, conciliées, articulées ? D ’où vient le savoir ? Est il en nous ? La source de l ’idée ?

  7. Théorisation SOCRATE (469 env.-399 av.J.-C.): Tous croient savoir quelque chose, et ne savent pas qu’ils ne savent rien. Sous le feu des questions de Socrate, ces certitudes naïves se dégonflent comme baudruches. Lui, au moins, sait qu’il ne sait rien: l’oracle avait raison. PLATON L’âme, dans un temps antérieur, aurait acquis un savoir total, et le perdrait en s’incarnant. Ce que nous appelons apprendre consiste donc à réactiver ce savoir, ce qui, s’empresse de dire Ménon , ne dispense pas «de la peine et du temps» de la recherche. Une âme ne se ressouviendra qu’à la condition de prendre conscience de son ignorance, de désirer savoir et de prendre plaisir à chercher; à la condition aussi de bien poser ses questions et de les répéter par tous les biais possibles. Il lui faudra, d’elle-même, aller reprendre en elle-même un savoir dont elle avait oublié qu’elle le détenait, un savoir qu’elle devrait savoir. On ne peut assimiler ce savoir à une collection de connaissances et d’informations sans lien.

  8. Descartes « Je pense donc je suis », Imaginez que vous êtes sur assis sur votre canapé en compagnie de votre chat. Une balle roule devant vous que fait le chat ? et vous que faites-vous ? Le chat court après la balle et vous vous demandez d’où vient la balle ! . C’est ce qui nous différencie de l’animal, nous pensons. Nous avons des idées, nous avons soif de savoir.

  9. A la fin de cet exposé nous aurons formalisé le savoir ordinaire des acteurs, • gardez un esprit critique lors de notre analyse car si tel était le cas nous pourrions tous devenir de grands artistes, si le savoir tacite ( implicite ) pouvait réellement se formaliser. Bien que … • « Comme dirait Platon, il est aussi possible que nous soyons tous doués il suffit de faire resurgir ce savoir enfoui dans notre âme. »

  10. Des Données à la Sagesse Les couches du savoir Sagesse : Prise de décision Savoirs : informations intégrées Informations : données liées Données sans liens

  11. Connaissance explicite ordinaire • Explicite : • Savoir codifié • Savoir scientifique, objective • Savoir construit

  12. Transformation de la connaissanceNonaka & Takeuchi

  13. Conversion du savoir individuel / savoir organisationnel En quoi le savoir individuel influe sur l’organisation  théorie de la création de connaissances organisationnelles(Nonaka et Takeuchi, 1997) pour qui la connaissance se crée dans une spirale à deux dimensions: 1.Ontologique = entités créatrices (individu, groupe,organisation,inter-organisation) 2.Épistémologique=à l’instar de Michael Polanyi en distinguant la connaissance tacite(personnelle) de la connaissance explicite (codifiée)  l’être humain crée la connaissance en s’impliquant dans l’objet (et non par la séparation sujet/objet) POSTULAT: La connaissance humaine est crée et étendue par l’interaction (conversion de connaissance) entre connaissances tacites et explicites (inséparables et complémentaires)

  14. Modes de conversion des connaissances • Socialisation= tacite  tacite: connaissance sans langage ex:observation  limite la création de connaissance, mais partage des expériences • Extériorisation=tacite  explicite: utilisation du langage ex:concepts, hypothèses  est déclenchée par le dialogue et la réflexion collective • Combinaison=explicite  explicite: systématisation de concepts ex:média  n’augmente pas la quantité de connaissance • Intériorisation=explicite  tacite:apprentissage en faisant ex:savoir-faire doit être verbalisée pour faciliter le transfert vers d’autres personnes Conditions pour promouvoir la spirale des connaissance 1. l’intention:définie dans la stratégie de l’organisation: adhésion collective. 2. autonomie:pour permettre les opportunités et la motivation des acteurs. 3. fluctuation et chaos créatif: interaction organisation/environnement externe: a).chaos naturel (besoins des marchés,croissance des concurrents) b).chaos intentionnel quand les dirigeants proposent des buts porteurs de défis=chaos créatif et recherche de résolution de crise. 4. redondance: un concept crée doit être partagé par le groupe qui n’en a pas un besoin immédiat mais promeut les connaissances tacites. 5. variété requise: combinaison flexible, rapide et égalitaire de l’information ce qui favorise la recherche d’interprétation différente de la même information.

  15. La spirale de création de connaissances organisationnelles Dimension épistémologie Extériorisation Connaissance explicite Connaissance tacite socialisation intériorisation individu groupe organisation inter-organisation combinaison Dimension ontologique Combinaison, extériorisation, socialisation, intériorisation ne sont pas indépendants les uns des autres mais leur interaction produit une spirale lorsque le temps est introduit en tant que troisième dimension.

  16. Modèle en 5 phases de la création De connaissances organisationnelles

  17. Il existe très peu d’études sur la manière dont la connaissance est créée. L’acquisition, l’accumulation et l’utilisation des connaissances existantes se trouve au centre des préoccupations des théories actuelles: • A. Marshall (1965), soulève l’importance de la connaissance dans l’économie. • F.V Hayek et J.A Schumpeter s’intéressent à la connaissance dans les matières économiques: Hayek (1945) fut le pionnier de la connaissance implicite. Schumpeter (1951) souleva l’importance de combiner les connaissances explicites. • E.P.Penrose (1959),insiste sur l’importance des expériences et des connaissances accumulées dans la firme. • Nelson et Winter (1977,1982) voient la firme comme un répertoire de connaissances dans leur théorie évolutionniste du changement économique et technologique. Il leur manque la perspective de la « création de nouvelles connaissances »

  18. CONCLUSION • La connaissance devient l’enjeu principal des entreprises occidentales • Nous transitons de la société industrielle à la société de l’information • La gestion de l’information est un avantage concurrentiel • La gestion de la connaissance connaît un essor important • La recherche et le développement, l’innovation reposent sur la capitalisation de la connaissance

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