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INTRODUCTION

INTRODUCTION. PROJET DE PRODUCTION ET DE COMMERCIAISATION DE BIOCHARBON DANS LA REGION DE SAINT-LOUIS SENEGAL PAR L’ENTREPRISE BRADES SITUATION ACTUELLE Unité semi artisanale créée en 2007, dotée de la personnalité juridique.

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  1. INTRODUCTION PROJET DE PRODUCTION ET DE COMMERCIAISATION DE BIOCHARBON DANS LA REGION DE SAINT-LOUIS SENEGAL PAR L’ENTREPRISE BRADES SITUATION ACTUELLE • Unité semi artisanale créée en 2007, dotée de la personnalité juridique. • Lieu : Saint-Louis du Sénégal • Production à partir de résidus de biomasse et d’argile • 9 emplois dont 5 permanents. • 30 points de vente. • Partenaire principal : PERACOD/GIZ; • Capacité de production de 12 tonnes par mois • PROJET D’INDUSTRAILSATION DE L’UNITE • Nouveaux investissements pour augmenter la capacité de production et fiabiliser le fonctionnement • Délocalisation de l’unité de production. • Produit à partir de résidus et d’argile • 9 emplois dont 5 permanents. • 30 points de vente. • Partenaire principal : PERACOD/GIZ; • Capacité de production de 12 tonnes par mois atteint en décembre 2012, • Besoin de nouveaux investissements pour augmenter la capacité de production • Délocalisation de l’unité de production.

  2. Photo 1 : Nouveau Rotor Press en fonctionnement Unité de production et de commercialisation avec le nouveau rotor press motorisé et les séchoirsLancement de deux nouvelles unité avec 18 rotors press motorisés modernisation machines de production avec partenaires techniques

  3. Justification • Accès difficile des ménages aux combustibles de cuisson : le charbon de bois 2 fois plus cher que le biocharbon; le gaz régulièrement en rupture de stock • Demande de biocharbon 3 fois supérieure à l’offre; • 7 ans d’expertise de l’équipe du projet en matière de valorisation de la biomasse en biocharbon; • Présence massive de plantes aquatiques et de résidus agricoles dans la région de Saint-Louis; de résidus de charbon de bois et d’herbes dans la région de hiès; • Limite de la capacité actuelle de production; • Grands potentiels de marchés locaux et extérieurs à la région; • Politique énergétique de l’Etat favorable au développement des combustibles alternatifs de cuisson.

  4. Transformation des plantes aquatiques en biocharbon • Test incorporation Typha et Salvinie réalisés et concluants • Les différentes phases de la transformation et de combustion

  5. OBJECTIFS DU PROJET • Approvisionner des ménages de manière durable en produisant: 900 tonnes/an de biocharbon en 2015/2016 ; 1 200 tonnes/an en 2017, 2018 et 2019 et enfin 2 000 tonnes/an à compter de 2020. • Créer 116 emplois directs et 1 000 emplois indirects; • Valoriser plus de 100 000 tonnes de plantes aquatiques durant la vie du projet; Typha Australis Salvinie Géante • Préserver au moins 4 000 ha de forêts durant la vie du projet • Avoir 5 500 000 US $ ( 2 767 000 000 FCFA) comme bénéfice global du projet, • Assurer la viabilité et la rentabilité du projet

  6. Besoins en financement Industrialisation du projet: 2 724 000 US $ ( 1 362 152 000 FCFA) • 1 362 000 us $ (681 076 000 FCA) sous forme de prêt: • Remboursement en 10 ans • Différé de 1 an • Interêt maxi 8% • 1 362 000 US $ ( 681 076 000 FCFA) sous forme de subvention • Structures institutionnelles ( Coopération allemande ; Banque Mondiale, etc…..) • Structures étatiques ( Ministère Energie, Ministère Environnement et Développement Durable, Ministère des Finances) • UEMOA

  7. Besoins en investissements 2 724 000 US $ ( 1 362 152 000 FCFA) pour industrialiser le projet: • 2 386 000 US $ (1 193 302 000 FCFA) destinés aux différents investissements • nouvelles machines, de carbonisateurs et de matériels connexes; • véhicules gros et moyens porteurs: • approvisionnements en matières premières • commercialisation au niveau local et national • prestations de service. • - divers matériels d’appoint • 338 000 US$ (168 850 000 FCFA) destinés au fonds de roulement : • -Constitution de stocks de sécurités en matières premières. • -assurer le fonctionnement de la première année du projet

  8. LES PROMOTEURS • Unité artisanale familliale: • L’unité est dirigée par Mr Nthié DIARRA, en tant que directeur, titulaire d’un DESS et d’un DEA en économie, gère depuis 2006 sa propre entreprise, tutrice du Projet. Il est assisté par 3 responsables d’unité et 1 caissière. • Silatigui DIARRA, Responsable des approvisionnements a une grande expérience sur le choix des matières premières. • Mouhamed DIARRA, Responsable de la production , une bonne maîtrise de la technologie de compactage et de carbonisation de la biomasse. • Marième DIARRA,Responsable de la commercialisation est commerçante depuis près de 20 ans et connaît bien le marché des combustibles • Coopération avec structures institutionnelles (PERACOD; PROGEDE, Service des Eaux et Forêts; JICA ; Union Nationale des Coopératives Forestières du Sénégal) • Transformation en unité industrielle • Recrutement gestionnaires et personnel technique • des agents commerciaux et du personnel d’appoint; • Recherche de nouveaux partenaires techniques et financiers dans le capital

  9. Lauréat du Prix SEED 2011 en Afrique du Sud

  10. Plan d’affaires • Réalisations actuelles: - de 2007 à 2012: progression de 24tonnes par an entre 2008 et 2011 et de 60 tonnes entre 2011 et 2012 avant d’’atteindre 144 tonnes en 2013. • Production prévue par le projet : - 900 tonnes de biocharbon/an en 2015/2016 - 1 200 tonnes/an de 2017 à 2019; - 2 000 tonnes/an à compter de 2020. • Diversifier la gamme de biocharbon - résidus de charbon de bois; - résidus agricoles; - plantes aquatiques. • Satisfaire la demande de biocharbon . - 25% à Saint-Louis; - 50% à Dakar et autres centres urbains - 25% dans les communautés rurales de la région. • Associer la vente de biocharbon à celle des foyers. • Faire des prestations de services

  11. Analyse des facteurs internes et externes • Faiblesses et menaces actions pour les réduire • Forces et opportunités actions pour les exploiter CONCURRENCE ASPECTS STRATEGIES • Produit -labellisation -publicité visuelle • Technique -Technologie simple, efficace et peu coûteuse • Commercial -Identification des cibles, -animations commerciales, - démonstratons - meilleur rapport qualité/prix

  12. Viabilité et Rentabilité • 5 500 000 US$ ( 2 767 000 000 FCFA) de bénéfice total • 23 064 000 US $ (11 532 000 000 FCFA) de chiffre d’affaires • 4 728 000 US $ (2 364 991 000 FCFA ) deCapacité d’autofinancement • Délai de récupération des investissements : 16 ans • Durée de vie estimée du projet : 20 ans à compter de 2014. • VAN à la fin du projet : 1 400 000 US $ (334 562 000 FCFA ) • TRI : 12,00 % • Reproductibilité du Projet

  13. Les impacts du projet Sociaux • -116 emplois directs et plus de 1 000 emplois indirects • diminution des maladies liées à l’émission du gaz carbonique; • - Amélioration du niveau de vie des populations grâce aux économies réalisées. Economiques • - 2 372 000 US$ (1, 186 milliard de FCFA) versés à l’Etat comme impôts • - 800 000 US $ ( 400 millions de FCFA ) d’intérêts • - 2 000 000 US $ (1 milliard CFA) aux fournisseurs de matières premières • - 4 000 000 US $ (2 milliard de FCFA) aux revendeurs de biocharbon • - 10 000 000 US $ (5 milliards de FCFA) d’économie réalisés par les ménages;

  14. Les impacts du projet (suite) Environnementaux • - purification de l’eau du fleuve utilisée comme boisson • - des centaines d’hectares de mangroves sauvegardés • - 4 000 ha de forêts préservés • - 3 millions d’oiseaux ont accès au parc de Djoudj • Poule Sultane, une des 300 espèces d’oiseaux du sanctuaire • Pédagogiques ou de capacitation • - 400 femmes sont formées en organisation d’autopromotion pour la vente du biocharbon • - 1000 exploitants forestiers regroupés au sein de 11 coopératives forestières le long du fleuve sont formés et reconvertis en producteurs de biocharbon

  15. Impacts du projet (suite) Pédagogiques ou de capacitation • 500 femmes et 500 hommes formées en organisation d’autopromotion • 1000 exploitants forestiers membres de coopératives reconvertis en producteurs de biocharbon • Plate forme d’études et de recherches pour la filière

  16. Stratégie de sortie • Consolider le modèle d’affaires • Partager et améliorer les acquis du modèle • Préparer les communautés de base à s’approprier le projet principalement les membres des coopératives forestières le long du fleuve Sénégal • Mettre sur pied une Société Coopérative de Développement Solidaire pour la reproduction (réplication) du projet • Asseoir un cadre de concertation et de consultance avec les différents acteurs de la filière biocharbon MERCI DE VOTRE ATTENTION

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