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Nouvelles formes d’engagement

Nouvelles formes d’engagement. Internet et les réseaux sociaux Existe-t-il un « engagement numérique » ? Musique et sport S ont-elles de nouvelles formes d’engagement? Pour répondre à ces questions on doit partir de deux concepts: espace public et communauté. Espace Public.

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Nouvelles formes d’engagement

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  1. Nouvelles formes d’engagement • Internet et les réseaux sociaux • Existe-t-il un « engagement numérique » ? • Musique et sport • Sont-elles de nouvelles formes d’engagement? • Pour répondre à ces questions on doit partir de deux concepts: espace public et communauté

  2. Espace Public • Terme métaphorique. • Origine: Kant. Evolution: J. Habermas (1962) • « L'espace public, c'est un ensemble de personnes privées rassemblées pour discuter des questions d'intérêt commun » • C’est le lieu de la discussion et de la prise de parole. • Silence => pas d’espace public • Relations interpersonnelles nécessaires • Possibilité pour chaque espace public d’avoir son propre langage. • Problème: intérêt commun?

  3. Espace public selon Habermas • L’espace public serait défini par la présence de « personnes privées faisant un usage public de leur raison ». • La raison ressort de la discussion et non pas de la logicité d’un discours • Valeur de la contingence sociale. • Produit collectif • L’activité politique ( et donc l’engagement ) est-elle aussi le résultat de ces échanges sociaux qu’il appelle agir communicationnel. • Communication au cœur de toutes organismes politiques .

  4. Communauté • « Cum munus » (« avec échange ») • Partagé. • Définitions par Larousse • État, caractère de ce qui est commun à plusieurs personnes  • Identité dans la manière de penser de plusieurs personnes • Ensemble de personnes unies par des liens d'intérêts, des habitudes communes, des opinions ou des caractères communs  • Autres caractéristiques: • Acte volontariste? En théorie « non », réalité plus complexe. • Importance des liens • Forts/Faibles (Granovetter) • Différence société/communauté?

  5. Ferdinand Tönnies : Communauté et société • GemeinschaftundGesellschaft (1887) • Vie sociale communautaire: • Volonté organique (volonté de l’être)=> volonté de réaliser sa propre identité de manière collective. • Lien de sang/lien d’amitié. • Importance de l’affection et des « traditions » • « Culture » (relations affectives et spirituelles ) • Vie sociale sociétale: • Choix • Volonté réfléchie • Importance de la pensée individuelle • Intérêts au niveau des individus => Concurrence/compétition • « civilisation » (relation rationnelle) • Individualisme • Hiérarchie individu/collectivité.

  6. Engagement et Musique • Création de langage et prise de parole. • Formes d’expression et donc moyen pour l’envoie d’un message. • Evènement artistique, mais aussi identitaire • Aujourd’hui plein d’éléments communautaires: • Vêtements • Rites • Liens forts entre les membres les plus engagés • Ennemis et formes d’exclusion • Sous-culture?

  7. Les sous-cultures • « Ensemble de valeurs, de normes et de comportements propres à un groupe social donné et manifestant un écart par rapport à la culture dominante. » (Larousse) • David Riesman 1950: • «  Distinguished between a majority, "which passively accepted commercially provided styles and meanings, and a 'subculture' which actively sought a minority style ... and interpreted it in accordance with subversive values"» (wikipedia) • Possibles caractéristiques: • Tribus urbaines: microgroupes informels caractérisés par des liens d’appartenance forts et émotifs, produit typique de l’urbanisation. • Subversion to normalcy: forme de critique de la société moderne (de l’individualisme) => créent identités collectives. (Hebdige 1979) • Rapport avec théories de l’engagement. • Capitaux sous-culturels: Ensemble de ressources nécessaire pour élever son propre statut à l’intérieur d’une sous-culture. • Appropriation culturelle par le « mainstream » => commercialisation

  8. La sous-culture Punk

  9. Le punk: contre culture DIY • Injonction à l’action individuelle, dans le sens d’opposée à la société. • « besoin urgent de vivre non pas comme objet mais comme sujet de l’histoire – de vivre comme si quelque chose dépendait réellement de notre propre action – et ce besoin urgent débouche sur un champ libre » (Marcus 1999) • Registre « révolutionnaire » • Nouveau cadre interprétatif de la culture punk: le DIY

  10. Le DIY • « Do ityourself » (fais-le toi-même) • Autoproduction (forme d’entrepreneuriat punk?) • 1977: premier disque autoproduit • Autoproduction => programme pédagogique aussi • Manuels d’autoproduction etc.. • Contre-culturel dans le sens de contre la culture dominante (majors) • Contre marché? • Idée/projet de changement • Processus d’empowerement • Processus par lequel un individu ou un groupe acquiert les moyens de renforcer sa capacité d’action • Engagement politique => forme d’empowerement individuel (compétences + identité) et collectif (changement rapport de force) • Engagement associatif => empowerement individuel et collectif (les services rendus) • Construire un ordre pratique => la do-ocracy (dérivée de DIY) • Abolition de la différence entre « faiseur » et consommateur »

  11. Le Rap: prise de parole d’une jeunesse citadine? • Forme d’expression urbaine e globale. • « La ville qui tend à une certaine uniformisation des comportements s’offre aussi comme un lieu de distinctions sociales » (Auzanneau 2011) • Rappeurs: représentants d’espace et groupes sociaux. • Généralement groupes défavorisés. • Le langage rap est-il un langage de revendication? • Très important dans certain contexte africain (ex. Sénégal).

  12. Software, Internet et engagement

  13. La « contre-culture » informatique • Paradoxe historique: informatique => considérée comme outil du pouvoir dans les années 1960. • Contrôle sociale • Internet => projet militaire • Se développe au même temps que la communauté hippie • Lieu de transfert => expérimentations communautaires bouge vers le virtuel. Une partie s’ouvre et beaucoup de hippies deviennent informaticiens. • Après la libéralisation d’internet: terra incognita et nouvelle frontière. • Mythe des pionniers.

  14. La communauté du logiciel libre • Depuis la fin des années 1980 : communauté de techniciens, organisés en réseau et développant des logiciels non propriétaires. • Qu’est-ce que un logiciel non propriétaire? • Deux possibles interprétations • Le free-software • Richard Stallman • L’open source • Linus Torvalds • Communauté divisée. • Rôle important de l’individu et anonymat: est-elle vraiment un communaté?

  15. Pourquoi communauté? • Logiciel libre: « Gemeinschaftd’ordre spirituel et intellectuel fondée sur le travail en commun, un métier commun et donc sur des croyances communes » (Nisbet, 2000) • Production de valeurs communes • Même si les agents sont séparés et divisés sur le côté de intérêts utilitaristes, ils partagent, reproduisent et diffusent la même culture. • Do-ocracy • L’outil informatique vu comme ressource à modifier par chacun, d’où la nécessité d’un régime de PI flexible. • Gens unifiés sur la base d’un choix idéologique et non « rationnel ». • Cependant: lieu des liens faibles.

  16. Pourquoi Engagement • Projet culturel et social. • Pas réaction au commerce (un marché du logiciel libre existe) mais à l’exclusion • Onnj: libérer l’information de l’outil. • Liberté d’étudier le code • Liberté de copier • Liberté de distribuer • Liberté d’améliorer • « Il s’agit ainsi de convertir une préoccupation personnelle en enjeu collectif, en critiquant de manière radicale l’agencement de la réalité de cet ordre social à travers une mise en scène de pratiques contrariées, et d’engager corrélativement l’élaboration d’une « institution du sens » libre. » (Deeporter 2013) • Mutualisation des savoirs. • Evolution économique: nouvelles ressources deviennent nécessaires. Capitalisme cognitif => savoirs. • Polisation.

  17. Politisation • Elargissement conduit à politisation et hybridation • Du software libre à la nécessité de liberté pour toutes les informations => Anonymous. • « Nèoradicalisme de technophiles » (Auray 2002) • Plupart de la communauté actuelle partage les objectif de Anonymous tout en condamnent leurs moyens. • Du software libre à la critique du capitalisme. • Rajouter le « solidaire » au « libre ». • Piratage informatique et software libre. • Du software libre à la critique du pouvoir. • Modèle de communauté militante à la base du cyberactivisme. • Printemps arabe et chine

  18. Engagement sur Internet: la chine La Grande Muraille • Terme indiquant les technologies qui permettent d’isoler le web chinois du reste du monde et de censurer les contenus qui y circulent • The Great Firewall of China • Trois niveaux: • Technique: interdiction d’établir une connexion Internet internationale indépendamment des réseaux officiels • Légal: responsabilité légales des contenus publiés et obligation de s’inscrire avec son propre ‘nom réel’ pour pouvoir accéder à internet. • Individuel: autocensure • Cependant: internet lieu des mouvements sociaux chinois. • Prolifération de blogs et réseaux sociaux • Plateforms blogs => Weibo • « Facebook » chinois => Renren • Prolifération des internautes • 1997: 620 000 • 2013: 513 millions

  19. Engagement sur Internet: la chine • Nouveaux répertoires de protestation: • Envoie en masse de courriers électronique • Contact avec les dissidents politiques à l’étranger. • Lieu de cirulation: ex. la Charte 08 du poéte Liu Xiaobo, prix Nobel. • Utilisation massive des « BBS » (Bulletin boardsystems) c’est-à-dire les forums et des proxy. • Lieu de mobilisation sur des sujets différents: • Critique au parti unique (mobilisations censurées et contrastées) • Nationalisme chinois (mobilisations tolérées mais souvent contrastées) • Critique environnementale (mobilisations tolérées) • NIMBY • Lieu de circulation d’informations sur la corruption. • Lieu de l’ironie.

  20. Engagement ou pas? • « Il ne suffit pas qu’un comportement se diffuse pour y lire une volonté de peser collectivement sur les formes de la vie sociale. » • Mais les mouvements sociaux peuvent s’accompagner à des styles de vie .. (Black Panthers, Teddy Boys, Mouvement Skin-head..) • Action collective => trop large, importance de l’organisation • Mais les sous-cultures sont souvent organisées. • Musique: organisations souvent faibles, « grassroots ». • Informatiwue: organisations lieu de définitions des normes (Free software foundation vs Open Source Initiative) et échange. • Sport?

  21. Pause et exposés

  22. Le printemps arabe • « Le « Printemps arabe » est un ensemble de contestations populaires, d'ampleur et d'intensité très variables, qui se produisent dans de nombreux pays du monde arabe à partir de décembre 2010. L'expression de « Printemps arabe » fait référence au « Printemps des peuples » de 1848 auquel il a été comparé. » • Révolutions de la jeunesse. • Pays caractérisés par: taux de chômage très élevé parme les jeunes et transition démographique. • Révolution 2.0 ? • Rôle des réseaux sociaux très débattu.

  23. Le printemps arabe: révolution 2.0? • « On utilise Facebook pour planifier nos manifestations, Twitter pour coordonner et You Tube pour raconter au monde. » (activiste égyptien) • Contrôle de l’info => cœur du contrôle du pouvoir. • Médias traditionnels: gestion plus facile et longue expérience sur la question. • Emergence du cyberspace => lieu de liberté partielle. • Contrôle et kill switch • Egypte 5 jours sans internet sous Moubarak. Cela n’a pas été suffisant. • Lieu partagé de plus en plus avec la population « normal » (c’est-à-dire non engagées).

  24. Le printemps arabe: révolution 2.0? • Les TICs ont elles jouaient un rôle dans les révolutions arabes? Lequel? • Réponses différentes selon les auteurs. • Plus conservateurs: décision de sortir manifester était principalement déterminée par la situation économique désastreuse et par les frustrations résultant de systèmes politiques corrompus. • Possible rôle déclenchant sur une partie de la population (le classe moyenne urbaine et les jeunes) • Rôle important des « smartphones » (plusieurs possibilités de communication). • Instantanéité de la communication a rendu impossible de gérer la situation.

  25. L’Article Romain Lecomte, « Une analyse du cas tunisien », Réseaux, 2013/5, n°181, pp. 51-86.

  26. L’auteur • Docteur et chercheur en sociologie à l’Université de Liège. • Sa thèse porte sur les nouvelles formes d’engagement et de critique émergeant au sein du cyberespace tunisien. Ses domaines d’intérêt principaux concernent l’impact des NTIC sur le lien social (étude des communautés virtuelles) et sur l’espace public. Il a ainsi réalisé un mémoire sur les usages dissidents d’internet dans divers contextes autoritaires. • Il commence son enquête AVANT la révolution tunisienne. • Plusieurs titres disponibles en ligne: • Ex. Romain Lecomte, « Révolution tunisienne et Internet : le rôle des médias sociaux », L’Année du Maghreb [En ligne], VII | 2011 • URL : http://anneemaghreb.revues.org/1288 • Romain Lecomte, « Internet et la reconfiguration de l’espace public tunisien : le rôle de la diaspora », tic&société [En ligne], Vol. 3, n° 1-2 |  2009 • URL : http://ticetsociete.revues.org/702

  27. Question 1 • Quelle est la problématique de l’article?

  28. Réponse 1 • «  dans le contexte autoritaire tunisien où les médias traditionnels, tout comme les espaces publics non médiatisés, étaient largement sous la mainmise du pouvoir et où l’opposition tunisienne instituée était dépourvue de base sociale et désertée par la jeunesse, internet permettait-il l’émergence d’un espace public constitué par de nouvelles voix alternatives – à la fois au niveau de leur forme et des acteurs les émettant – à même d’influer sur la configuration du régime politique en place? » • Point de départ: théorie de Habermas sur l’espace public.

  29. Trois sous-questions • L’évolution des rapports entre les différents types d’acteurs. • Décrire et analyser les art de dissimulation numérique utilisées par les cyberactivistes • La relation entre l’individualisme expressif qu’on retrouve sur internet et l’engagement citoyen (donc l’action collective).

  30. Question 2 • Quelle est la méthodologie de l’article?

  31. Réponse 2 • Article qualitatif: entretiens + analyse des contenus en ligne • Analyse « longitudinale » • « Une mesure longitudinale se dit d'une mesure résultant du suivi d'une population dans le temps (par analyse longitudinale) en fonction d'un évènement de départ. » • 74 entretiens + analyse des activités d’un soixantaine d’autres. • Emploi de logiciel (Nvivo, Scrapbook) pour le classement des contenus.

  32. L’Echantillon des entretiens • Double interrogation de 2007 à 2011. • 72 tunisiens, 2 français • 50 résidents en Tunisie • Entretiens: • Vis-à-vis • Par chat • Par téléphone • Par courriel (avec des allers-retours) • Le profil des internautes interrogés apparaît représentatif des blogueurs tunisiens: il s’agit en majorité de jeunes adultes tunisiens (70% avaient entre 20 et 35 ans compris), actifs sur le marché du travail (quelques étudiants également), urbains (grandes villes occidentales et tunisiennes), instruits (diplôme généralement égal ou supérieur à Bac+3) et membres des classes moyennes, parfois supérieures (sept ingénieurs, cinq universitaires, trois architectes, quelques consultants en entreprise et informaticiens très qualifiés, etc.)

  33. Question 3 • Que pouvez-vous me dire sur le contexte tunisien?

  34. Réponse 3 • 1989: tournant autoritaire du gouvernement de Ben Ali. • « Les médias traditionnels, y compris privés, se sont dès lors retrouvés largement contrôlés par le pouvoir, de même que les espaces publics non médiatisés » • Oppositions: isolées et dépourvues de toute base sociale. • Très déconnectées et de la population pauvres et de la jeunesse tunisienne. • Rôle sur internet => presque inexistant

  35. Réponse 3 • L’ambivalence du régime de Ben Ali à l’égard d’internet • Discours politique très positif à l’égard du développement d’internet. • Mesures concrètes en faveur de la diffusion d’internet et de l’informatisation de la population • Politique très ouverte à l’étranger pour devenir le pôle régional de la nouvelle économie. • Taux de pénétration internet 36,8% • MAIS: disparité d’accès selon la région. • Mais aussi répression et contrôles • Cyberpolice • Page d’erreur 404 ( qui donnera lieu à un personnage caricatural fictif) • Cybercafés très peu devéloppés à cause des charges très contraignant

  36. Question 4 • Quels sont les trois « âges de l’usage citoyen et protestataire par les tunisiens »? Quelles leurs caractéristiques?

  37. Réponse 4 • L’âge de la cyberdissidence (1990/2005) • L’âge des blogscitoyens (2000 /2008-2009) • L’âge des réseaux sociaux (2009 – aujourd’hui)

  38. L’âge de la cyberdissidence (1990/2005) • Internet lieu des cyberdissidents • En majorité résident à l’étranger • Utilisation des pseudonyme • Rôle de « pionnier » de la diaspora tunisienne • Isolés de la majorité des internautes tunisiens • Espaces collectifs limités et rarement en réseau entre eux ou avec le reste de la Toile. • Actions collectives: rares. • « YezziFock! » en

  39. L’âge des blogs citoyens (2000 /2008-2009) • « Alors que la diffusion d’internet au sein de la population tunisienne continuait de croître, les blogs tunisiens ont pris de l’importance et se sont imposés comme le nouvel espace central de la critique en ligne tunisienne. » (p. 69) • Caractéristiques • Les acteurs résident pour la plupart en Tunisie. • La critique du régime est plus cachée, sporadique et euphémisée. • Période de décloisonnement de l’espace public. • Conflictualité et débat. • Rôle important des agrégateurs de blog. • Cible des critiques: non pas le régime de Ben Ali, mais ses laudateurs (les médias) ou ses apparats répressifs. • Actions collectives: • Plus fréquentes • Préséntées comme apolitique. • « Note blanche »

  40. L’âge des réseaux sociaux (2009 – aujourd’hui) • Continuité avec l’âge de la blogosphère citoyenne. • Les réseaux sociaux deviennent une prolongation des blogs. • « Facebook a de plus favorisé le développement de formes d’expression et d’action protestataires moins exigeantes, socialement, culturellement, mais également au niveau des risques pris dans le contexte politique répressif tunisien » • Censure de Facebook en 2008 => contre-productive. • Partage sur Facebook: moins risqués (le J’aime). • Nouvelle hiérarchisation des information qui n’est plus contrôlée par le pouvoir. • « Bien que, sur Facebook, la propagande du régime soit devenue plus présente, les informations et opinions alternatives s’y sont diffusées bien plus largement encore que sur la blogosphère tunisienne. « 

  41. Question 5 • Qu’est-ce que le « slacktivism » et quelle votre opinion à cet égard?

  42. Réponse 5 • « Le slacktivisme (littéralement « activisme paresseux »), mot-valise formé par la fusion du terme anglais slacker (« fainéant ») et du mot « activisme », est une forme de militantisme sur Internet qui s'est développé dans les années 2000 avec l'avènement des réseaux sociaux et qui consiste à cliquer pour participer à un mouvement collectif virtuel sans s'engager plus activement et concrètement. » • Le «slacktivisme» favoriserait la consolidation autoritaire. • « Clicktivism » • Le cas de Kony 2012.

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