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De l’importance de l’allocation d’actifs

De l’importance de l’allocation d’actifs. Selon Ibbotson et Kaplan (2000) la stratégie d’allocation d’actifs est directement responsable de: 40 % de la différence de performance entre fonds avec le même profil. 90 % de la variabilité des performances d’un portefeuille.

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De l’importance de l’allocation d’actifs

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Presentation Transcript


  1. De l’importance de l’allocation d’actifs • Selon Ibbotson et Kaplan (2000) la stratégie d’allocation d’actifs est directement responsable de: • 40 % de la différence de performance entre fonds avec le même profil. • 90 % de la variabilité des performances d’un portefeuille. • 100 % de la performance de votre portefeuille. La décision d’allocation stratégique d’actif est l’élément déterminant de la performance future de vos portefeuilles et doit par conséquent reposer sur une vue construite de l’avenir économique.

  2. Gare aux surprises!

  3. Performances moyennes sur 104 ans (1900-2003) (Entre parenthèses, les performances des années 80-90) Performance annuelle nominale % Performance annuelle Réelle % Actions Obligations Actions Obligations Etats Unis 9.7 (15.6) 4.9 (11.2) 6.5 (11.2) 1.9 (6.9) Grande Bretagne 9.6 (17.9) 5.4 (13.8) 5.3 (12.2) 1.3 (8.2) Allemagne 9.0 (13.4) 3.0 (7.6) 3.0 (10.5) -2..0 (4.9) France 11.1 (18) 7.1 (12.4) 3.3 (13.2) -0.5 (7.9) Japon 11.9 (5.8) 6.0 ((7.7) 4.1 (4.1) -1.4 (6.0) Source: London Business School, Dimson, Marsh and Staunton: “Global Investment Returns Yearbook 2004” L’histoire suggère que les performances connues à la fin du XXème siècle ne sont pas la règle à long terme. Les performances ont toujours tendance à revenir vers leurs moyennes de long terme, ce qui laisse penser que les performances enregistrées dans les deux dernières décennies du 20 ème siècle ont été inhabituelles.

  4. Quels ont été les moteurs de ces performances exceptionnelles? Désinflation + Désinflation + Désinflation

  5. La baisse de l’inflation a entraîné une diminution des rendements obligataires Entre 1980 et 2000, aux États-Unis, l’inflation est passée de 15.3% à 2%, entraînant ainsi le rendement du trésor à 10 ans de 15.2% à 4.3%.

  6. 1980-2000: les marchés actions ont augmenté deux fois plus rapidement que les bénéfices! Augmentation annuelle moyenne des bénéfices (%) Augmentation annuelle moyenne des marchés actions (%) États Unis 15.60 7.30 Royaume Uni 17.90 8.60 France 18.00 10.80 Allemagne 13.40 7.40 Suisse 13.40 8.60 Sources: Dimson, Marsh and Staunton: 101 Years of Global Investment Returns, Princeton University Press, 2002; Datastream Toutefois, sur le long terme, les marchés croissent au même rythme que les bénéfices, maintenant ainsi les PE relativement stables.

  7. Après un cycle inflationniste, suivi d’un cycle désinflationniste, que nous réserve l’avenir? Stagflation ? Inflation Désinflation Oudéflation ?

  8. Comment dès lors aborder le futur? “Les prédictions sont particulièrement difficiles, surtout lorsqu’elles concernent le futur” Niels Bohr, Physicien danois “History doesn’t repeat itself, but it does rhyme ” M. Twain • Il est bon d’avoir en tête les performances passées, mais primordial de bâtir sa stratégie d’allocation d’actifs à partir d’éléments tangibles. • Lesquels?

  9. Quels sont les éléments nécessaires aux prévisions des performances futures? • Les ingrédients indispensables sont: • Une vue sur l’inflation B. Une vue sur les composants de la croissance économique, afin d’en déduire une approximation des bénéfices et une valeur adéquate des obligations. C. Une vue sur les estimations moyennes pour les performances des marchés cash, obligataires, et actions.

  10. Rendements espérés pour les 45 années à venir. (Marchés US, % par an, réels) Source: WSJ, February 28, 2005 L’opinion de quelques experts sur les performances futures Ces rendements espérés sont considérablement plus faibles que les rendements des deux dernières décennies sur ces classes d’actifs.

  11. Une évolution de la frontière efficiente 1980-2000 Return % 2008-2013 Risk %

  12. Quel scénario pour les années à venir ? Point clef: l’inflation. De vos vues sur l’inflation dépendront largement les rendements attendus des différentes classes d’actifs, et donc, votre politique d’allocation d’actifs.

  13. Conclusions • Il est aujourd’hui, plus que jamais, difficile de prévoir de quoi l’avenir sera fait, au vu de l’éventail des possibles. • Il est par conséquent fondamental de se faire une idée sur l’évolution potentielle des paramètres économiques principaux (l’inflation et croissance). • Cette vue se doit non seulement de définir un scénario central, mais également de tenir compte de scénarios alternatifs. • L’allocation stratégique d’actifs résultante doit optimiser les rendements futurs pour un niveau de risque acceptable tout en cherchant à limiter les risques représentés par ces scénarios alternatifs.

  14. Contacts • Edith Parat • Tel: +41 (0)58 212 8323 • Email: edith.parat@bnpparibas.com • Marc Ciriani • Tel: +41 (0)58 212 8246 • Email: marc.ciriani@bnpparibas.com

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