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LE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES ET DE COMPETENCES

LE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES ET DE COMPETENCES. SOCLE COMMUN ET NOUVEAUX PROGRAMMES: QUELS CHANGEMENTS A OPERER? Une conférence de D. RAULIN. Des confusions à éviter: L’évaluation analytique et l’évaluation institutionnelle

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LE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES ET DE COMPETENCES

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Presentation Transcript


  1. LE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES ET DE COMPETENCES SOCLE COMMUN ET NOUVEAUX PROGRAMMES: QUELS CHANGEMENTS A OPERER? Une conférence de D. RAULIN.

  2. Des confusions à éviter: • L’évaluation analytique et l’évaluation institutionnelle • L’évaluation pédagogique et le contrôle individuel en temps limité

  3. Des conséquences à anticiper: • L’évaluation pédagogique est subjective quelle qu’elle soit • L’évaluation des capacités est transparente, plus que la note • L’évaluation des capacités et la validation des compétences passent par le croisement et la complémentarité des regards

  4. CONCLUSION. Il s’agit d’accepter qu(e): • L’évaluation pédagogique peut donner des éléments pour la validation des compétences • Elle facilite l’intervention rapide, en temps réel • Que les paradigmes changent: • D’une école sanctuaire qui détient les savoirs à une école

  5. D’une école sanctuaire qui détient les savoirs à une école qui apprend à s’en servir • Du professeur savant au professeur sachant faire apprendre • D’une école où les élèves sont comparés entre eux à une école qui donne la possibilité à chacun de progresser.

  6. NOUS SOMMES TOUS DES MAÎTRES-NAGEURS!

  7. PLAN. • I) Les nouveaux contenus d’enseignement • II) Le pilotage par l’évaluation et l’examen • III) Les chantiers à ouvrir • IV) Réflexions sur les conditions de mise en œuvre.

  8. 1ière PARTIE : LES CHANGEMENTS DANS LES CONTENUS D’ENSEIGNEMENT • Une évolution des contenus: • inversion de l’importance respective donnée aux capacités et aux connaissances • vision globale de la formation

  9. Une évolution irrémédiable: • La multiplication des vecteurs de transmission des savoirs et des connaissances • L’absence de critères de choix : quels sont les fondamentaux? La multiplication des connaissances nouvelles rend le choix quasi-impossible. Cette évolution n’est donc pas idéologique.

  10. 2ième PARTIE : LE PILOTAGE PAR L’EVALUATION ET L’EXAMEN. • Les nouveaux programmes sont écrits par compétences, y compris ceux des lycées • Seul contre-exemple: les programmes de français au collège.

  11. Le calendrier de mise en œuvre: un historique rapide. • Décret du 11 juillet 2006 • Publication des attestations de niveaux 1 et 2 en 2008 • Publication des attestations de niveau 3 en 2009 • Prise en compte dans l’attribution du DNB en 2010/2011 Seul déclencheur: l’évaluation et l’examen

  12. Les risques induits que l’on peut craindre: renforcer et déformer les évaluations. • Un item= une évaluation écrite • L’« évaluationite » aigüe • L’émiettement dans des travaux mono-objectifs, ce qui est totalement en opposition avec la philosophie de Socle qui est dans la globalité • L’évaluation prioritaire sur les apprentissages

  13. L’EVALUATION DOIT ÊTRE LE REGULATEUR DES APPRENTISSAGES ET NON UNE CONTRAINTE ADMINISTRATIVE.

  14. 3ième PARTIE : LES CHANTIERS A OUVRIR • La hiérarchisation des contenus : • Le repérage des éléments structurants: que souhaite-ton que les élèves sachent? Question essentielle si l’on veut faire comprendre aux élèves ce qu’ils ont à apprendre. • Hiérarchiser ne signifie pas abandonner certains contenus:l’élève doit pouvoir dégager la structure d’un cours sur l’année. • Le partage des responsabilités: travailler sur les capacités, c’est:

  15. Participer à un projet collectif: le Socle, c’est la complémentarités des approches disciplinaires • Eviter les redondances ou les concurrences: pas d’évaluations parallèles sur 2 champs de connaissances car risque de contradiction • Abandonner la vision tutélaire et cloisonnée des disciplines Nécessité donc d’interroger ses pratiques.

  16. Les modalités d’accès aux savoirs: Il convient de s’interroger sur: • Le rôle de l’enseignant dans l’acquisition des connaissances • Le développement de l’autonomie de l’élève dans l’accès aux savoirs

  17. Les travaux proposés aux élèves: • Proposer des tâches élémentaires aux élèves, c’est: • Appauvrir son activité • Faire perdre à l’élève le sens de ce qu’il fait • Entretenir la confusion entre compétence et automatisme L’addition de tâches simples n’amène pas l’élève à effectuer une tâche complexe

  18. Proposer des tâches progressives, c’est: • Risquer de revenir aux abus de la pédagogie par objectifs • Imposer un ordre dans les apprentissages

  19. Proposer des tâches complexes, c’est: • Jouer sur la motivation de l’élève • Multiplier les entrées possibles • Laisser s’exprimer la personnalité des élèves

  20. 4ième PARTIE : REFLEXIONS SUR LES CONDITIONS DE MISE EN OEUVRE. • Une autre utilisation du temps scolaire: • Pour le professeur : ne pas monopoliser le temps et l’espace • Pour les élèves : être actif, accepter « d’aller dans la piscine »: considérer le professeur comme un expert et non comme un censeur

  21. Le travail en groupes, c’est: • Laisser les élèves travailler • Dépersonnaliser les difficultés • Rendre le professeur plus disponible à chaque groupe et donc à chaque élève. Mais à condition qu’il ne soit pas exceptionnel

  22. Un autre regard porté sur le travail de l’élève: Laisser les élèves travailler, c’est: • cela permet de repérer des symptômes , leur fréquence • Cela permet d’avoir du temps pour analyser les symptômes et établir un diagnostic pour chaque élève en aval pour mesurer les conséquences sur les apprentissages ultérieurs

  23. Laisser les élèves travailler, c’est « entamer le dialogue pédagogique. »

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