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THEME 1. L AGE INDUSTRIEL

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THEME 1. L AGE INDUSTRIEL

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Presentation Transcript


    1. THEME 1. L’AGE INDUSTRIEL ENTREE (2h) :

    7. Document 1b : de l’eau dans le gaz « Octobre 1783. Dans l’arrière boutique de sa bijouterie du centre de Genève, Jacob Schweppe contemple l’étrange alambic qu’il vient de mettre au point pour reproduire l’expérience de carbonatation de l’eau de Lavoisier.(…) Schweppe s’approche de l’engin et introduit dans deux compartiments séparés par une mince cloison plusieurs morceaux de craie et le contenu d’un grand flacon d’acide sulfurique. Il ouvre une vanne destinée à mélanger les ingrédients. Il écoute le mystérieux bouillonnement de la réaction chimique. Il sait que ce mélange aboutit à la production de dioxyde de carbone, qui remontant le long d’un tube en cuivre, après avoir été filtré à trois reprises, se mélange à une cuve d’eau plate, la transformant en eau gazeuse. Sur le cadran du gazomètre, Schweppe suit du regard l’aiguille indiquant la pression. Il actionne de temps en temps un agitateur pour s’assurer que le mélange se fait harmonieusement. Quelques minutes plus tard, il ouvre le robinet de la cuve et recueille un verre d’eau pétillante. » Historia 01/08/2002

    13. Document 2 : première publicité pour les eaux minérales artificielles (1790) PROSPECTUS D’une société établie à Genève par MM. Schweppe, N. Paul, mécanicien, et H. A. Gosse, maître en pharmacie, pour la composition des Eaux minérales artificielles. L’efficacité des Eaux minérales, et la facilité avec laquelle elles passent, leur ont donné une telle célébrité que leur commerce s’étend jusqu’aux Indes Orientales. Mais ces Eaux ne peuvent conserver toujours le même degré de pureté et de force : le changement dans leur température, les pluies abondantes, une sécheresse suivie, la perte qu’elles font ordinairement de leurs principes volatils par leur transport et leur long emmagasinage, les fraudes enfin dont elles sont susceptibles, font varier leurs propriété médicales et peuvent même les anéantir. (…) Aidés par les travaux de tant d’Hommes célèbres, éclairés par les nombreuses découvertes de la chimie moderne et par les analyses les plus exactes, possédant nous-même quelques moyens, nous nous sommes réunis en société pour imiter les Eaux minérales les plus utiles.(…) Les Eaux minérales préparées avec cette eau distillée, qui est d’une pureté parfaite, ne présentent aucun des inconvénients indiqués ci-dessus (…) et leur prix se trouve à la portée de tous les malades.(…) Nous avons cru devoir charger avec excès nos Eaux minérales de leur principe aériforme quoiqu’elles n’existent point telles dans la nature, parce que cet excès les rend supérieures aux Eaux minérales naturelles dans plusieurs maladies (…) Les Eaux minérales que nous composons sont les Eaux de Seltz, de Spa, de Pyrmont, de Bussang, de Courmayeur, de Vals, de Balaruc et en général toutes les Eaux minérales qui ont de la réputation. (…) Nous invitons Messieurs les Médecins et les Malades à nous demander les Eaux minérales dont ils pourraient avoir besoin (…).

    17. Document 1b : de l’eau dans le gaz « Octobre 1783. Dans l’arrière boutique de sa bijouterie du centre de Genève, Jacob Schweppe contemple l’étrange alambic qu’il vient de mettre au point pour reproduire l’expérience de carbonatation de l’eau de Lavoisier.(…) Schweppe s’approche de l’engin et introduit dans deux compartiments séparés par une mince cloison plusieurs morceaux de craie et le contenu d’un grand flacon d’acide sulfurique. Il ouvre une vanne destinée à mélanger les ingrédients. Il écoute le mystérieux bouillonnement de la réaction chimique. Il sait que ce mélange aboutit à la production de dioxyde de carbone, qui remontant le long d’un tube en cuivre, après avoir été filtré à trois reprises, se mélange à une cuve d’eau plate, la transformant en eau gazeuse. Sur le cadran du gazomètre, Schweppe suit du regard l’aiguille indiquant la pression. Il actionne de temps en temps un agitateur pour s’assurer que le mélange se fait harmonieusement. Quelques minutes plus tard, il ouvre le robinet de la cuve et recueille un verre d’eau pétillante. » Historia 01/08/2002

    18. Document 3 : chronologie 1792 : ouverture de la première usine « Schweppe Paul and Gosse » à Londres au 141 Drury Lane fabriquant du soda water. (eau de soude) 1798 : Schweppe vend ses parts aux frères Lauzun et à Robert Brohier. La société devient « Schweppes and Co »et se place dans toute l’Angleterre (Ecosse, Pays de Galle) alors que ses concurrents restent dans la capitale. 1831 : fournisseur de la famille royale « Soda and mineral water manufacturers to their majesties and the royal family”. 1834 : la société passe aux mains de John Kemp Welch, marchand de vin et à William Evill, orfèvre jusqu’en 1949. 1836 : fournisseur des altesses royales la duchesse de Kent et la princesse Victoria, future reine. 1870 : un tournant avec 2 nouveaux produits : l’Indian Tonic et le Ginger Ale. 1877 : ouverture d’usines en Australie (Melbourne puis Sidney) 1878 : médaille d’argent à l’exposition universelle de Paris 1900 : médaille d’argent et de bronze à l’exposition universelle de Paris. 1911 : distribution de cartes de vœux lors du premier voyage de l’avion postal.

    31. WEBOGRAPHIE

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