1 / 23

LEXIQUE

LEXIQUE. NP Novembre 2013. S ommaire Age Aptitude au terrain Brillant Canter Cote Courses Galop de chasse Handicap Modèle Musique Œillères Races Sexe Spécialité. A ge

bat
Télécharger la présentation

LEXIQUE

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. LEXIQUE NP Novembre 2013

  2. Sommaire • Age • Aptitude au terrain • Brillant • Canter • Cote • Courses • Galop de chasse • Handicap • Modèle • Musique • Œillères • Races • Sexe • Spécialité

  3. Age L’âge des chevaux est fixé d'une manière administrative car un cheval prend un an de plus au 1er janvier de chaque année. Les chevaux peuvent courir à partir de 2 ans en Plat et au Trot, et à partir de 3 ans en Obstacle. En trot la limite d'âge d'un cheval pour participer à une course est fixée à 10 ans. Des termes précis désignent l'âge d'un cheval : • Foal poulain dans son année de naissance• Yearling cheval d'un an.• Poulain/pouliche cheval âgé de 2 à 4 ans.• Cheval/jument cheval de 5 ans et plus.

  4. Aptitude au terrain • C’est la faculté d'un cheval de bien courir sur un certain type de terrain (terrain collant, lourd, souple, bon ou léger). • Quand il devient ferme les jambes souffrent mais les bornes d'arrosage se mettent en route pour assouplir le terrain. • Maintenant, un cheval aux jambes fragiles risquera moins de « casser » sur une piste bien souple, mais pas trop non plus. Quant au terrain lourd, il requiert une aptitude spéciale : tous les chevaux ne l'ont pas. On peut parfois la déceler à travers les origines, ce que nous verrons plus loin. • L'état du terrain varie aussi selon la qualité des pistes. • Au galop, l'état du terrain est mesuré avec un pénétromètre, le matin des courses, à 10 heures. Bien entendu, les mesures sont à corriger si la pluie continue à tomber jusqu'en fin d'après-midi ou si, à l'inverse, un beau soleil et un vent fort apparaissent. Cet indice de mesure détermine la souplesse du terrain : • 2,2 très léger • 2,3 à 2,7 léger • 2,8 à 2,9 bon, léger • 3,0 à 3,2 bon • 3,3 à 3,4 bon, souple • 3,5 à 3,7 souple • 3,8 à 4,1 très souple • 4,2 à 4,5 collant • 4,6 à 5,0 lourd • 5,1 et + très lourd

  5. Aptitude au terrain (suite) • Basées sur des faits scientifiques ou pures spéculations, certaines idées reviennent souvent dans les propos des professionnels : • Le geste sur la foulée est significatif : les chevaux qui ont une foulée rasante s'accommodent mal d'un terrain lourd mais sont plus à l’aise sur une surface légère , au contraire de ceux qui « piochent », ou qui « galopent du genou » vont mieux dans le lourd, • La conformité du cheval : un sabot plus large s’enfonce moins qu'un sabot étroit dans un terrain profond. Certains le contestent et disent que ça peut au contraire faire ventouse, • Certains chevaux ont besoin de terrain souple ou lourd car le terrain peut jouer alors un rôle d'amortisseur et quelques douleurs des membres peuvent disparaître ou s'atténuer, • Les purs-sangs aux origines américaines ne courraient pas leur meilleure valeur en terrain lourd, • Les origines : la mère ou/et le père détestait ou adorait le terrain lourd ? la fille ou le fils a des chances de ressentir les mêmes choses, • Les origines sont américaines ? Peu de chance d'aimer le terrain lourd, • La plupart des vieux chevaux se sortent bien du terrain lourd ou mieux que dans leur jeunesse, • Certains chevaux détesteraient "se salir" … En réalité, on ne trouve pas de raison réelle à leur aversion pour le terrain lourd.

  6. Aptitude au terrain (suite) • Tout le travail de l’entraîneur consiste donc, en diversifiant les exercices, les surfaces, les types de terrain, d’observer et d’analyser le comportement des chevaux dont il a la charge afin de déceler leur aptitude et de préparer des programmes les mieux adaptés possibles.

  7. Brillant Le cheval brillant est le cheval qui a tendance à vouloir aller plus vite que le rythme idéal pour tenir la distance, risquant alors un coup de fatigue avant le terme de la course. On dit aussi, avec la même signification, qu’il tire ou qu’il est « allant ». Comprenez qu’il tire vers l’avant, qu’il oblige son jockey à le retenir pour qu’il ne s’étouffe pas prématurément. Ces expressions du jargon hippique s’appliquent souvent à de jeunes chevaux, pas encore habitués à suivre les sollicitations données par leur jockey.

  8. Canter Le mot canter vient de l'Anglais « to canter » qui signifie galoper à une allure intermédiaire entre le galop de chasse (très petite vitesse) et le galop de travail. Le canter est un galop servant souvent d'échauffement aux chevaux de course avant un entraînement ou une course lorsqu’il se rend au départ. On appelle improprement « canter », le trot d'essai ; si l'on tient absolument à utiliser un mot anglais, c'est « heat » (chaleur) qu'il faut choisir. Action belle et déliée, ou foulée heurtée, posture raide ou tendance à tirer, … L'observation du cheval au canter est très instructive. Quand l'encolure est longue et bien détendue, la tête droite et l'encensement régulier, le cheval affiche une parfaite décontraction, ce qui est toujours préférable pour un athlète.

  9. Cote La cote d'un cheval procède de la division de la masse d'enjeux au pari gagnant (déduction faite des prélèvements légaux) par le nombre de paris engagés sur sa chance : plus un cheval est joué, plus sa cote baisse et plus celle des autres remonte. La cote correspond au nombre de fois que l'on vous paye votre mise (celle-ci étant ajoutée au gain), si votre cheval gagne. Exemple : vous avez joué 10 euros sur un cheval à 7/1 ... Vous empochez donc 80 euros. A noter qu'en temps réel, généralement on affiche des rapports probables : vous jouez 10 euros sur un cheval dont le rapport probable est de 7 pour 1, vous empochez 70 euros. Quand les enjeux globaux sont faibles, une cote qui baisse est sans signification. En revanche, lorsque les sommes jouées sont considérables (lors d’une course majeure par exemple), les fluctuations sont significatives car elles sont le fruit de très gros investissements. Les parieurs les observent de près. Le tableau de répartition des enjeux, auquel vous avez accès sur chaque hippodrome, peut être très instructif. « Normalement », un cheval est deux fois plus joué placé que gagnant. Quand les mises gagnantes et placées sont à parité (a fortiori quand il y a plus d'argent joué gagnant), c'est un signe !

  10. Cote (suite) Cote du matin, cote de l'après-midi. Autrefois (il n'y a pas si longtemps, en vérité), les paris du matin représentaient 90% de la masse jouée. Les fluctuations de la cote, l'après-midi, étaient donc réellement significatives. Aujourd'hui, les valeurs sont inversées et la cote du matin ne veut pratiquement plus rien dire. Les fluctuations sont néanmoins toujours parlantes ... mais dans les toutes dernières minutes.

  11. Courses Plusieurs types de courses de qualités différentes sont organisées. En voici la hiérarchie : • Amateurs (gentlemen – cavaliers/ères) – Apprentis/Lads/Jockeys ou Drivers (ALJ ou ALD) : les chevaux ne sont pas montés par des jockeys professionnels ou drivés par des drivers professionnels. • Maiden : ce terme s'emploi aussi pour désigner le cheval y participant, c'est-à-dire n'ayant encore jamais gagné de course en Plat ou Obstacle. • À réclamer (selling) : dans ces courses les chevaux sont offerts à la vente à l'issue de la course, un prix minimum est fixé (taux de réclamation) et des enchères sous enveloppes cachetées sont effectuées, le cheval revient au plus offrant. • À conditions : les chevaux doivent remplir certaines conditions spécifiques (souvent de gains acquis ou de classements obtenus) pour être admis à y courir, ces conditions déterminant le poids à porter ou la distance à parcourir par chaque concurrent. Dans ces courses le handicap n'est pas attribué par le handicapeur mais par les conditions de course.

  12. Courses (suite) • Handicaps (voir page « Handicap ») : dans ces courses les chances des chevaux sont sensées être égales, un handicapeur étant chargé de les égaliser en attribuant des poids à porter ou des distances à parcourir différents selon le niveau des chevaux, les meilleurs sont alourdis ou rallongés, les moins bons sont allégés ou raccourcis. Des décharges (avantages de poids ou de distances) peuvent être accordées dans certaines circonstances pour rechercher aussi l'égalité des chances entre les jockeys ou drivers (apprentis ou amateurs par rapport aux professionnels par exemple). • Listed : ce sont des courses à conditions disputées par des bons chevaux qui peuvent avoir très bien réussi dans les handicaps et/ou qui n'ont pas encore le niveau des Groupes ; ou bien qui ont manqué de réussite dans les Groupes. • Groupe : ces courses sont disputées par les meilleurs chevaux. Les cracks disputent les Groupes I, les chevaux d'un niveau juste inférieur disputent les Groupes II et III.

  13. Galop de chasse C’est un terme technique qui fait référence à la teneur des entraînements. Le « galop de chasse » est un galop à vitesse réduite, ayant pour finalité de donner du souffle et de la musculature au cheval. Il s’agit donc de l’une des étapes visant à porter le cheval à sa forme optimale. C’est l’étape incontournable des « footing » de tous les amateurs de courses à pied – si vous me permettez ce parallèle avec les sportifs du genre humain -.

  14. Handicap Le mot « handicap » vient de l'expression anglaise « hand in cap » qui signifie littéralement « main dans le chapeau ». Cela montre que les Anglais (inventeurs des courses qu'ils ont codifiées) prêtaient une large part au hasard dans ce genre d'épreuves. Rien n'a changé ! Dans des lots nombreux et compacts composés de chevaux de valeur égale (les écarts étant « rabotés » par la différence de poids), le facteur chance est déterminant. Il n'y a pas de méthode miracle pour jouer les handicaps car tous les chevaux sont supposés y détenir une chance égale. Pour ce faire, les poids sont répartis par des handicapeurs qui ont pour mission de niveler les valeurs. Certains pronostiqueurs, dits « échellistes » parce qu'ils établissent une échelle de valeurs parallèle, tentent de débusquer les erreurs du handicapeur pour dénicher un concurrent « lâché au poids ». Ce sont des théoriciens qui abattent un travail considérable mais la part de chance est tellement grande dans les handicaps que ce travail est souvent battu en brèche par les impondérables de la course. Les handicaps n'ont aucune valeur sportive mais ce sont des réservoirs à partants (donc à enjeux) qui font vivre toute la filière cheval.

  15. Handicap (suite) La théorie de l'échelle s'appuie sur l'axiome « une longueur = un kilo ». Autrement dit, un cheval qui, à poids égal, en bat un autre d'une longueur, doit, à leur sortie suivante, porter un kilo de plus pour franchir le poteau d'arrivée sur la même ligne que lui. Evidemment, nous nageons en pleine théorie et il est clair que la réalité n'est pas aussi simple. Pour se rapprocher de la réalité, il convient de moduler ce théorème selon l'impression visuelle et subjective de l'observateur, ce que l'ordinateur n'est pas encore capable de faire. Un cheval qui gagne d'une longueur « en tirant dessus » n'a évidemment pas la même valeur qu'un cheval qui gagne d'une longueur « roué de coups ». En outre, tout un chacun sait qu'en terrain lourd, les écarts se creusent et qu'à l'inverse, en bon terrain, on assiste généralement à des arrivées serrées. Cinq longueurs en terrain « défoncé » peuvent équivaloir à une grande encolure sur une surface normale. Il faut donc tout relativiser et savoir que la règle ... C'est qu'il n'y a pas de règles. Fiez-vous à vos jumelles, ce sont les meilleures conseillères ! La pénalité : la pénalité pour une victoire peut aller de rien à 5 kg rarement plus (la moyenne se situe à 3.5 kg). Tout dépend du niveau de la course, de sa facilité de la victoire, de la valeur des battus et parfois ... de la tête du client. Il s'agit d'une zone sensible qui prête à toutes les polémiques. Dur métier que celui de handicapeur ! Cet homme passe sa vie à se faire interpeller (pas toujours avec courtoisie) par des entraîneurs mécontents.

  16. Handicap (suite) La référence : chaque cheval se voit attribuer une valeur théorique. Comme le poids de base est de 51 kg (62 kg en obstacle), un cheval pris en valeur 30 ne pourra courir qu'un handicap dont la référence minimum est 21. La référence est par conséquent le poids que l'on ajoute à la valeur du cheval engagé. Notre cheval de valeur 30 portera donc le poids de base de 51 kg et le cheval de valeur 35 en portera 56 kg. Plus la valeur du handicap est basse, meilleur est le lot ; c'est aussi simple que cela. Les tricheurs : la notion de handicap est une invite à la triche. Le cheval régulier, qui fait toujours sa course, ne verra jamais son poids baisser. C'est au mieux un éternel placé en puissance. A l'inverse, comme au golf (où le handicap ne concerne que les amateurs de bas niveau), certains chevaux se voient attribuer des valeurs qui ne correspondent pas à leur qualité réelle. Le jour où ils tombent le masque, il leur est facile de gagner ... souvent à une cote juteuse. Des « shérifs » sont chargés de surveiller les éventuels tricheurs (ainsi que les fluctuations suspectes de la cote) ... mais comme il est impossible de prouver quoi que ce soit, leur action est inefficiente. Aux courses, les délits d'initiés sont tacitement admis ; on appelle cela des tuyaux et tout le monde cherche à en avoir !

  17. Handicap (suite) En vérité, dans un contexte économique difficile, la plupart des entraîneurs ramassent ce qu'ils peuvent ramasser, même s'il s'agit de miettes. Les gros handicaps, supports de quintés, sont grassement dotés et les sept premières places sont payées. Sachant qu'il vaut mieux tenir que courir, peu d'entre eux se risquent aujourd'hui à faire le tour ... sauf s'ils ont des propriétaires patients, capables de payer 2 000 euros par mois dans l'attente d'un gain hypothétique. Dans les années soixante (époque de grande prospérité pour le sport hippique), il en allait différemment. De rusés préparateurs étaient connus pour leur habileté à « viser » un gros handicap avec un cheval restant sur des performances médiocres. Ces professionnels ont pratiquement tous disparu. Il se peut aussi que des jockeys, agissant pour le compte d'un tiers, fassent le tour (c'est à dire, retiennent leur cheval) sans que l'entourage ne le sache. Le jockey est, en effet, moins sensible aux pressions économiques ... et il peut l'être au chant de sirènes peu vertueuses. Dans les pays asiatiques, ce type de comportement - quand il est avéré - est TRES durement sanctionné. Au pays des Droits de l'Homme, on ferme pudiquement les yeux. Nos autorités hippiques sont des adeptes de la Méthode Coué : tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

  18. Modèle C’est l’aspect physique du cheval. Son poil donne une indication sur son état physique. Son œil sur sa nervosité, son état psychique. Son ventre, relevé ou « gros », apporte des informations essentielles quant à l’état de préparation du cheval. « Il est dit que » les chevaux ronds et trapus, très musclés, râblés, au modèle compact, seront plutôt destinés à se couvrir de gloire sur les courtes distances, tandis que les modèles plus longilignes brilleront sur les parcours de fond. Ce n'est pas une règle absolue mais les chevaux dotés de petits sabots auront plus de difficultés avec les terrains lourds que ceux qui ont des « soucoupes ». Plus le modèle est harmonieux, plus les différentes parties du corps sont équilibrées, plus le cheval ressemblera à un athlète avec les performances qui suivent. Un rein, des jambes, une encolure trop longs ne feront qu'handicaper l'animal, comme un garrot proéminent sur un dos ensellé.

  19. Musique C’est le récapitulatif chiffré des dix dernières performances du cheval. Exemple : 0p-2p-4p-8p-5o-2o-7o-0p (09) 3p-0p. Le chiffre représente le classement (0 = non placé, c'est à dire : pas dans les huit premiers) et la lettre minuscule, la spécialité : p = plat et o = obstacle. Le changement d'année est entre parenthèse, (13) signifiant le passage de l'année 2013 à 2014. La « musique » vous permet de juger, d'un rapide coup d'œil, les plus récentes performances des concurrents. Elle peut aussi vous montrer, en filigrane, la courbe de forme d'un cheval, son tempérament et sa fiabilité, voire son biorythme. En quelques secondes, sans tenir compte de la valeur intrinsèque, vous saurez si vous avez affaire à un cheval régulier, intermittent ou insaisissable : le sujet régulier répète ses performances (1-2-1-4-3-2 etc.), l'intermittent les alterne (1-0-2-0-4-8-3 etc.) et l'insaisissable produit une bonne performance sur cinq ou six (0-0-9-0-0-1-0-0-0 etc.). Il existe ensuite des « sous divisions », notamment avec des chevaux dont on arrive à déterminer qu'ils font une bonne course sur trois ou sur quatre ...

  20. Œillères En général, on les fait porter aux chevaux distraits, peureux ou lymphatiques. Le champ visuel du cheval est beaucoup plus large que celui de l'homme, son rayon n'est pas loin des 180° ! La paire d'œillères a donc pour finalité de l'obliger à regarder devant lui, à se concentrer sur son travail et à occulter la présence de ses congénères. Lorsqu'un inédit porte des œillères, c'est plutôt mauvais signe. En revanche, le port d'œillères pour la première fois chez un cheval expérimenté a souvent des effets positifs. Dans les journaux spécialisés, on signale toujours le port d'œillères et l'on indique si elles sont portées pour la première fois. Par contre, les « œillères australiennes » (peaux de mouton de chaque côté du chanfrein) ne sont pas mentionnées ; or il s'agit d'un intermédiaire dont l'effet n'est pas loin de celui que procure les œillères classiques. Œillères australiennes

  21. Races Plusieurs races de chevaux sont représentées dans les courses hippiques. Les principales sont : • le Pur-sang la plupart sont anglais.• l‘Arabe Pur-sang arabe.• l'Anglo-arabe Cheval issu du croisement des Pur-Sang anglais et des Pur-Sang arabes.• le Demi-sang Cheval issu du croisement d´un Pur-Sang avec un cheval d´une autre race, ou du croisement de 2 Demi-Sang.• l'A.Q.P.S. "Autre Que Pur-Sang" Appellation regroupant plusieurs races, Anglo-Arabe, Trotteur Français, et croisement de ces races entre elles ou avec des Pur-Sang.

  22. Sexe Le sexe d'un cheval de courses est désigné par une lettre : • "F" pour une FEMELLE. A l'issue d'une carrière dans les courses les meilleures deviennent des POULINIÈRES recherchées pour la reproduction. • "M" pour un MÂLE ou "cheval entier" qui pourra devenir ÉTALON, c'est-à-dire utilisé comme reproducteur. • le "H" désigne les HONGRES, qui sont des chevaux ayant subit une castration (ablation des testicules) afin de les rendre moins agressifs, plus dociles, et insensibles aux "charmes" des juments …

  23. Spécialité Flyer ou Sprinter Cheval spécialisé sur les courtes distances. Courses de 1000 à 1300/1400 m Miler Par essence même du mot qui veut qu'un mile égale environ 1600 m Stayer Cheval spécialisé sur les longues distances. Courses au delà de 2000m Hurdler Cheval spécialisé sur les courses de haies.

More Related