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La Chine et les Chinois

Synthèse réalisée par Alexandre SOUILLAT pour DRAGONFLY GROUP. La Chine et les Chinois. Voyage dans l’univers mental et social chinois. Lin YUTANG 1937. Sommaire . Le peuple chinois Le caractère chinois La mentalité chinoise L’idéal de vie La vie de la femme

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La Chine et les Chinois

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Presentation Transcript


  1. Synthèse réalisée par Alexandre SOUILLAT pour DRAGONFLY GROUP LaChineet lesChinois Voyage dans l’univers mental et social chinois Lin YUTANG 1937

  2. Sommaire • Le peuple chinois • Le caractère chinois • La mentalité chinoise • L’idéal de vie • La vie de la femme • Vie sociale et politique • Vie littéraire • Vie artistique • L’Art de vivre

  3. Principes de base • Beaucoup de personnes parlent de ce qu’ils ne connaissent pas • Les Occidentaux sont attirés par « l’or et le succès » • Les Chinois se perdent dans leur histoire millénaire, veulent abandonner ce qui est dépassé • Les Chinois apprennent les beautés et les hauts faits de l’Occident, mais leur sang reste asiatique • Les Chinois ont un lourd héritage culturel • ‘‘Barbares cuits’’ : étrangers des pays voisins • ‘‘Barbares crus’’ : Occidentaux

  4. 1. Le peuple chinois • Les Chinois du Nord et ceux du Sud • La dégénérescence • Le cycle des 800 ans • Équilibre intellectuel • Jeunesse de la race

  5. Le peuple chinois • Les lettrés ont été envoyé hors de leur province natale afin de propager la langue des Han • Différences entre le Nord et le Sud du Yang Tze • Les Nordistes bagarreurs d’où descendent tous les Empereurs • Les Sudistes qui ont fuient les envahisseurs, en emportant leurs peintures et leurs livres, sont plus des commerciaux

  6. La dégénérescence • La dégénérescence fut évitée grâce à une vie cloîtrée, l’habitude de se prosterner et l’absence de sport populaire • Des inventions pacifistes : la poudre pour… artifices • Non partisan du sûr effort inhumain • Une vie sédentaire, d’où leur corps imberbe • Capacité de résistance à la douleur • Régénérescence périodique du sang (tous les 800 ans)

  7. 800 ans 500 ans Dynastie militaire forte Unifie la Chine Paix : épanouissement culturel Un seul changement de dynastie Vagues successives de guerres Transfert de la capital du Nord vers le Sud Le cycle des 800 ans Rivalité entre le N et le S, un pouvoir étranger les réduit à la servitude

  8. Équilibre intellectuel • L’ordre familiale et le culte des ancêtres contribuent à la sinisation (ex. Juifs du Hunan qui mangent du porc et de la Mandchourie japonaise qui est restée chinoise) • Aucune classe sociale établie : « aucun humain est noble par naissance » • Des dirigeants proches de la campagne (une vie saine) • Un idéal familiale de labeur, de sobriété et de simplicité • Héritage moral de la nation • Enfance prolongée : des milliers d’années pour atteindre sa pleine maturité

  9. 2. Le caractère chinois • Maturité • Patience • Indifférence • Sagesse • Pacifisme • Contentement • Humour • Conservatisme

  10. Le caractère chinois • Mentalité de la race : pacifisme, contentement, calme et force d’endurance • Connaît le prix de la vie et refuse de lutter pour l’inaccessible • Vit en harmonie, ne peut alors comprendre l’enthousiasme juvénile souhaité par les progrès des réformes • Responsabilités familiales, d’où une plus grande maturité faceà l’Occident • La patience, vertu suprême, dû au surpeuplement et à la pression économique • Les grandes familles apportent tolérance et adaptation aux relations humaines

  11. Le caractère chinois • L’indifférence, gage de sécurité, où le droit individuel n’existe pas • La sagesse est le réalisme de la vieillesse • Le pacifisme : se rendre la vie journalière agréable • Longs à se quereller et prompts à se réconcilier • Le contentement, plus satisfaits que les Occidentaux et ne s’intéressent qu’au bonheur ; ardent désir de jouir de ce qui est sien, absence de regrets en cas d’échec et forte détermination à s’assurer le meilleur de la vie

  12. Le caractère chinois • L’humour, tournure d’esprit, manière d’envisager l’existence (ex. le rituel des funérailles) • Le conservatisme, forme de l’orgueil et de satisfaction du présent • Vivre plutôt que progresser • Peuple réaliste porté à tourner les abstractions en dérision • Les Chinois sont profondément émotifs, avec un faible pour l’intrigue sentimentale

  13. 3. La mentalité chinoise • Intelligence • Féminité • Défaut d’esprit scientifique • Logique • Intuition • Imagination

  14. La mentalité chinoise • L’intelligence, le respect pour les lettrés et l’immatérialisme • La féminité, bon sens, synthétique, rejet de l’abstrait : d’où des lacunes en sciences; simplicité de la langue et métaphores • Dépourvu d’esprit scientifique, manque d’esprit d’analyse et trop intuitif • La logique, raisonnement par bon sens et non par analyse • L’intuition, deviner les secrets du corps humain et de la nature • L’imagination, accepter l’imaginaire en même temps que le réel, découvrir la beauté dans la vie ordinaire

  15. 4. L’idéal de vie • L’humanisme chinois • Religion • Doctrine du Juste Milieu • Confucianisme • Taoïsme • Bouddhisme

  16. L’idéal de vie • L’humanisme, jouir du peu que l’on possède, vie simple, le bonheur est dans le foyer • Trouver le Juste Milieu • Confucianisme, bienveillance et justice, trop réaliste, école classique • Taoïsme, retour à la nature, remplace le royaume enfantin du merveilleux, école romantique • Bouddhisme, vient à l’aide là où la raison hésite ou échoue, dénonce la vanité terrestre et offre un refuge contre les douleurs et les vicissitudes de la vie

  17. 5. La vie de la femme • Infériorité des femmes • Le foyer et le mariage • Idéal de la femme • Éducation de nos filles • L’amour et ses prémices • La courtisane et le concubinage • Déformation des pieds • Émancipation

  18. La vie de la femme • Naguère la société était matriarcale, incestes et divorces étaient monnaie courante • Le confucianisme institua la réclusion pour les femmes : • Loyauté, obéissance, chasteté, coutume des pieds bandés • Elles portaient le deuil plus longtemps que leurs maris • Les femmes sont devenues jalouses, le mariage étant devenu leur meilleure et leur seule profession • Elles ont eu une vie plus dure, plus simple et moins libre

  19. Le foyer et le mariage • Les femmes gouvernent la maison • Toutes les femmes ont le droit de se marier et d’avoir un foyer • Les grands-mères sont traitées avec respect et considération • La qualité de leur mari prime sur leurs prérogatives sociales • Les mariés sont égaux dans l’intimité • Un homme n’épouse pas une femme, mais une ‘‘belle-fille’’ • La vieillesse apporte à la ‘‘belle-mère’’ bonheur et puissance

  20. Idéal de la femme • Une femme utile et une mère pleine de sagesse • Le choc de la Statue de la Liberté : pourquoi représenter la liberté sous les traits féminins ? • La femme n’est pas prise en modèle dans l’art chinois • La femme chinoise est incapable de trouver son désir • Une fois mère, la femme se sent moins subordonnée au plaisir de son mari • Être mère vaut tous les métiers • Incompréhension vis-à-vis des célibataires occidentales qui attendent le prince charmant

  21. Éducation de nos filles • Éducation nettement différente que celle des garçons : • Élevées plus sévèrement, plus précoces, discipline familiale • Pondérées et avec plus de bonnes manières • Même orientation mais à un degré différent • Enfance moins longue : dès 14 ans apprentissage des tâches • Modeste, ne rit pas, mais sourit, réservée… • La femme idéale : mère douce, sage et dévouée

  22. L’amour et ses prémices • L’amour en dehors du mariage était défendu dans la vieille Chine • Une parade amoureuse se faisait en cachette • Moments de larmes, de tristesse et de désir si le couple se voyait séparé avant le mariage

  23. La courtisane et le concubinage • Le sexe est moins refoulé en Chine qu’en Occident, seul l’homme a droit à la franchise en cette matière • Les hommes de classes aisées jouissent d’une pleine licence sexuelle (concubines ou maisons de courtisanes) • Nécessité de ‘‘faire la cour’’ aux courtisanes • Le Chinois prend une maîtresse avec l’acquiescement public, l’Occidental a la pudeur de se cacher • Les lois autorisaient le concubinage si l’épouse n’avait pu offrir un héritier mâle à son époux • Le concubinage remplace le divorce, car le mariage est une affaire de famille

  24. Déformation des pieds • Symbole de la réclusion des femmes, considéré comme un atout de séduction • Subtilité de l’imagination sensuelle chinoise • Le pied doit être gras, doux et élégant • Fierté de la femme • Profondeur d’observation dans les détails superflus de la vie

  25. Émancipation • La claustration n’existe plus • Influence de l’Occident : • Égalité des sexes • Admission à l’université • Soutien-gorge, magazine, cabaret… • Modification du physique de la femme • Transformation de l’idéal de la beauté féminine

  26. 6. Vie sociale et politique • Absence de sens social • Le régime familial • Népotisme, corruption , courtoisie • Prérogatives et égalité • Catégories sociales • La triade mâle • La triade femelle • Le village • Gouvernement de ‘‘gentlemen’’

  27. Vie sociale et politique • Absence de sens social du fait de l’individualisme, mais sens de la famille qui est une forme amplifiée de l’égoïsme • Absence de conversation sur le sport, la politique et la religion • Licencier, c’est ‘‘casser le bol de riz’’ dont dépend la famille • La nation chinoise est un plateau de sable où chaque grain de sable représentent non pas un individu mais une famille • « Un gouvernement individuel, et paternel, par des gentlemen. » Confucius • « Le clou qui dépasse doit être enfoncé pour rentrer dans le rang. »

  28. Le régime familial • Engendre un sens de l’honneur • Chacun à sa place, les anciens régissent le foyer • Piété filiale et planification des moments forts (mariage, naissance…) • Froide indifférence du foyer pour le monde extérieur • Le sens de la famille a remplacé le sens social et national • Mourir pour la famille, mais non pour l’État

  29. Népotisme, corruption, courtoisie • Sens des obligations morales et de l’honneur de la famille • Entraide mutuelle d’où la propagation du népotisme • La famille est la méthode traditionnelle d’assurance chômage • Les dirigeants sont considérés comme des gentlemen qui n’abuserons jamais de leur prérogatives • Manque de courtoisie car le Chinois est positivement hostile aux non membres de sa famille • Manque de conscience sociale et indifférence générale aux règles sociales

  30. Prérogatives et égalité • Chacun à sa place, distinctions de tout ordre (âge, sexe, profession) • Conception d’égalité par couches successives • Le vieillard : noble figure, empreint de dignité et de respect • Le lettré : fierté, gloire et puissance ; droit de vie ou de mort • Les Chinois profitent de l’ombrage officiel des fonctionnaires, plutôt que de les accuser ou de brûler leur maison

  31. Catégories sociales • Deux catégories : ceux qui ont le dessus, ceux qui ont le dessous ; la classe sociale n’est pas établie : absence de caste et d’aristocratie • Grâce à leur joyeux fatalisme, les Chinois supportent facilement et avec dignité cet état des choses • « Le peuple est le sol qui alimente ces arbres, subvient à leurs besoins, et les fait croître. » • Le niveau d’étude ne dépend pas de la fortune • Aucune distance ou snobisme entre classes sociales, grande considération des difficultés de chaque classe

  32. La triade mâle • Les lettrés ont accès au savoir, aux sciences, à l’histoire… • La triade mâle : le magistrat, le bourgeois et le richard local • Le paysan peut aller discuter d’homme à d’homme avec le lettré

  33. La triade femelle • La triade femelle : face, fatalité et faveur (gratitude) • La ‘‘société idéale’’ : une administration simple et un châtiment léger • Gratitude éternelle pour un service rendu, d’où des inégalités entre ceux qui détiennent des ‘‘guanxi de faveur’’ • Fatalité : inégalité sociale flagrante mais interchangeable • Grande fermeté de conviction, contentement intérieur d’où la placidité de l’âme chinoise • La face peut être concédée, perdue, conquise ou offerte, semblable à l’honneur sans l’être, elle peut être achetée. Ne pas donner la face équivaut au summum de la grossièreté

  34. Le village • L’organisation de l’État est calqué sur celle du village, lui même calqué sur celle de la famille • Lien régionalisme : notion de clan de ‘‘Maisons’’ ou de ‘‘Centres’’ dû à la distance avec Pékin et l’Empereur • Le village n’est pas régit par un maire, mais par les ‘‘anciens’’ • Être convoqué au tribunal est un fléau • Le peuple est toujours capable de se gouverner lui-même

  35. Gouvernement de ‘‘gentlemen’’ • Confiance sans restrictions en la classe politique, d’où l’absence d’une constitution • Pouvoir officiel illimité sans demande de rapport, ce qui entraîne la corruption • Aucune protection de la loi • Des citoyens peu dévoués à la cause publique mais aux intérêts privés • Ce traitement des fonctionnaires en tant que gentlemen les rendent escrocs

  36. 7. Vie littéraire • Langage et pensée • Érudition • L’université • Prose • Littérature et politique • Révolution dans la littérature • Poésie • Le théâtre • Le roman • Influence de la littérature occidentale

  37. La vie littéraire • Deux littératures : • L’instructive : objective et commentative • La distrayante : subjective et lyrique, littérature de grande valeur car elle est source de progrès pour l’esprit • Lecture des romans et des théâtres en cachette, en revanche, la poésie est honorée et cultivée

  38. Langage et pensée • Un langage monosyllabique avec des idéogrammes • Grand nombre d’homonymes, d’où la nécessité de rajouter un radical • Pénurie de formes syllabiques • Des caractères intelligibles depuis 2 000 ans • Les Chinois auraient-ils eu cette docilité et ce respect hiérarchique, s’ils avaient parlé une langue inflexionnelle ?

  39. Érudition • Il existe quatre grandes classes de livres : • Les classiques • L’histoire • La philosophie • L’anthologie ou la littérature • Les trois types de lettrés : • Le savant • Le bourgeois des lettres • L’écrivain • Des ouvrages sans index et sommaire qui demandaient aux lettrés une mémoire surhumaine et un labeur immense • Des œuvres dévoreuses de temps, de décennies

  40. L’université • Recherche du diplôme pour l’amour de l’art • Le mode d’éducation ancien accordé plus d’importance à l’accumulation des connaissances qu’au développement de la clarté de l’esprit • Ne pas forcer les étudiants à apprendre ce qu’ils ne les intéressent pas • Aucun bourrage de crâne

  41. Prose • Chanter la prose (lire les passages à haute voix en les rythmant d’intonations exagérées) • Toute bonne prose doit être le miroir des cotés prosaïques de l’existence • A contrario de l’art littéraire chinois, la belle prose doit garder un certain cachet d’intimité, de babillage familier et d’allusions personnelles

  42. Littérature et politique • La littérature et la pensée furent considérées comme étrangères l’une à l’autre, du fait que les érudits faisaient preuve d’une extrême naïveté dans l’argumentation • Le culte des ‘‘Belles-Lettres’’ devint une véritable idée fixe de toute la nation ; ce qui privilégie la forme au contenu • Les Chinois ont appris à lire entre les lignes • Tout est permis à condition que les choses ne soient pas appelées par leur nom : ‘‘courtoisie d’abord, armes ensuite’’ • Au pays des fausses valeurs littéraires, ce charlatanisme littéraire risque d’aboutir à l’imposture politique

  43. Révolution dans la littérature • Cette révolution survint en 1917 : • Un style plus simple, délivré des conventions stylistiques officielles • Des principes fondamentaux moins malsains, sans emphase • Une prose plus accessible au lecteur • Occidentalisation car des expressions anciennes ne sauraient représenter des idées neuves • Traduction d’œuvres étrangères, absurde et inintelligible au lecteur chinois moyen

  44. Poésie • La poésie est la religion des Chinois : elle purifie l’âme, est une source de perception du mystère et de la beauté universels, et est génératrice de compassion envers nos semblables • Tout lettré devait être un poète. Qualité appréciée par la mariée et sa famille, et même par un juge ! • Conception de la vie par les proverbes et la peinture • La poésie chinoise est impressionniste : impressions fortes et inoubliables • Possibilité de peindre les sons et les odeurs avec la technique de la suggestion • Art de sobriété et d’atmosphère de mélancolie abandonnés à l’imagination du lecteur

  45. Le théâtre • Amalgame de dialogues en langue courante, et de chants en musique d’une haute inspiration poétique • Les comédies sont plus fertiles en dialogues, alors que les tragédies ou les drames sont chantés • L’amateur de théâtre apprécie davantage le chant au jeu • Il est plus question d’opéra que de théâtre, car les facultés intellectuelles sont agréablement engourdies et les sens flattés par la musique, la couleur et le chant • Dans le théâtre du Nord, les airs étaient chanté par une seule personne • L’opéra a pénétré le cœur du peuple, lui enseigne l’histoire et la notion morale du bien et du mal

  46. Le roman • Le mouvement du roman chinois est vaste, ample, varié et avance à une allure raisonnable • Un roman doit être lu avec lenteur et dans le calme • Le roman chinois est long, conte une histoire, et est très friand de détails

  47. Influence de la littérature occidentale • Supériorité de la littérature occidentale • Le vocabulaire chinois s’est enrichi (scien, philo, art, litté.) • Plus grande précision de la pensée et plus de sincérité dans l’art de vivre

  48. 8. Vie artistique • L’artiste • Calligraphie • Peinture • Architecture

  49. L’artiste • Le calme et l’harmonie sont les traits essentiels de l’art chinois • L’artiste est en paix avec la nature entière, libéré des entraves de la société et des tentations, son cœur sécrète aucune mauvaise passion • Il doit purifier son cœur et ouvrir son esprit par les voyages et la contemplation • Il doit apprendre à aimer la nature ; l’élévation spirituelle se fait de pair avec l’altitude matérielle • L’art chinois représente l’harmonie entre la nature et l’artiste • L’artiste cultive les loisirs et la solitude

  50. Calligraphie • L’art chinois est châtié, sobre, en accord parfait avec la nature • La calligraphie et la peinture sont sœurs • Sa beauté est de nature dynamique, non statique, asymétrique • Amour pour les lignes rythmées, incurvées ou brisées, et horreur des lignes droites et mornes

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