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Plan de la prsentation. Les grands joueurs de la diffusion de la culture savanteQui sont ces grands joueurs ?La diffusion des connaissances : les formatsLes rgles d'acquisition selon les supports des documentsL'alternative : les archives ouvertesEn conclusion. 1. Les grands joueurs de la diff
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1. Un accs en transition La concentration de la commercialisation de laccs la culture savante
2. Plan de la prsentation Les grands joueurs de la diffusion de la culture savante
Qui sont ces grands joueurs ?
La diffusion des connaissances : les formats
Les rgles dacquisition selon les supports des documents
Lalternative : les archives ouvertes
En conclusion
3. 1. Les grands joueurs de la diffusion de la culture savante
4. Les grands joueurs Lensemble de la culture savante connat depuis quelques annes un mouvement de concentration tant au niveau de la cration que de la distribution;
Les petits propritaires des lieux culturels de production comme ceux de distribution (associations, corporations (Barreau par exemple), des entreprises familiales; des propritaires mcnes, etc.) limitant leurs parts de profit sont disparus;
Avec la concentration des entreprises, les publications savantes connaissent un grand chambardement;
Cette concentration est due au rachat dentreprises par des consortiums qui se sont mis grandir trs rapidement.
5. Qui sont ces grands joueurs?
6. Dans le monde de ldition Le regroupement dditeurs, la concentration des distributeurs, le rachat des distributeurs trangers par des entreprises locales et la concentration de librairies, sous certaines bannires, parsment lhistoire de la publication au Qubec;
Si de grands groupes comme Fides et, auparavant, Beauchemin ont t trs importants, jamais ils nont contrl le monde de la publication comme maintenant.
Le groupe Quebecor contrle un grand secteur de ldition populaire : de lentreprise de fabrication du papier la vente en librairie.
Quebecor est un exemple de concentration dite verticale : de la matire premire la distribution.
7. Quebecor Media
8. Quebecor Media (suite)
9. Les maisons ddition de Quebecor ditions Trcarr
ditions Logiques
ditions Quebecor
ditions CEC (Scolaire)
ditions Libre Expression
ditions Internationales Alain Stank
ditions Publistar
ditions de l'Homme
Groupe Ville-Marie Littrature
Utilis
Les Presses Libres
l'Hexagone
VLB diteur
Typo
ADP
Le jour
10. Transcontinental Cette entreprise est le principal concurrent de Quebecor Media.
Elle oeuvre dans le domaine de ldition, comme son concurrent. Par contre, elle na pas le mme poids au Qubec. Transcontinental est surtout prsent au Canada.
Par contre, cest une entreprise trs importante au niveau des journaux A-1, ces hebdomadaires gratuits que nous recevons nos portes chaque semaine.
Pour le secteur des publications savantes, cest leur partenariat avec Cedrom-SNI qui nous importe le plus.
Transcontinental et Cedrom-SNI produisent une base de donnes dont nous avons accs partir du portail de la bibliothque : EUREKA.
11. 2. La diffusion des connaissances: les formats
12. Les formats de la documentation Le livre tel que nous le connaissons est lenfant de limprim.
Un demi-millnaire ou presque dimprim, cest ce qui ornent les bibliothques de conservation, sajoute cela les manuscrits, les rouleaux, etc.
Les livres, pices rares jusqu la moiti du XIXe sicle, priode du dbut des collections populaires et le dbut des oeuvres romanesques.
Lhistoire scrit enfin, les vnements sont dcrits, les personnages prennent de lampleur, lhomme dfinit son avenir, dcrit son pass et commente ses actions. La sphre publique de discussion, dchange et de synthse nest plus uniquement orale. Elle prend la forme de connaissance, de savoir.
Il est maintenant possible dinterprter le monde; la possibilit de le changer prend aussi son sens dans les diffrentes rformes et rvolutions qui partagent les mmes temps historiques que limprimerie.
13. Du livre la revue savante Sil est clair que la forme livre existait depuis longtemps, la prsence des revues savantes est plus problmatique.
La premire revue savante identifie est le Journal des Savants, publie en France sous la monarchie, en 1665.
Dautres priodiques verront le jour en Angleterre, aux tats-Unis, etc. Ceci au courant des XVIIe et XVIIIe sicles.
14. Les revues savantes au Qubec Omniprsence du clerg : toutes les publications des XVIIIe et XIXe sicles en sont teintes.
Sauf quelques garements rapidement condamns par le clerg. Cest le cas de lAnnuaire de lInstitut canadien de Montral en 1868 qui sera frapp par lINDEX en 1870 par Rome. Un des rares cas officiels, les diteurs mettent en pratique une censure volontaire avant publication.
Le discours de Louis-Antoine Dessaulles na un contenu que trs formel au sujet de la tolrance. Mais lInstitut canadien renferme des livres lIndex et regroupe en son sein des catholiques mais aussi des protestants
La censure est prsente de manire absolue dans les bibliothques de collges, connue sous lappellation ENFER. Les livres qui y taient confins ne circulaient que peu, les lecteurs tant choisis.
15. Le dploiement des revues savantes Grosso modo, si on exclut les revues lies des congrgations religieuses ou tant les porte-parole des saintes critures
Cest dans un premier temps dans le dveloppement des professions que les premires revues savantes verront le jour. En mdecine avec le dploiement de la profession partir de 1830 environ
Les professions davocat et de notaire joindront ce mouvement une ou deux dcennies aprs les mdecins
Mais au niveau des sciences et des techniques, il faut attendre lentre-deux-guerres pour que des publications puissent voir le jour.
16. Une rvolution qui prcde la Rvolution tranquille Cette rvolution est celle dune guerre permanente qui couvre le Qubec du dbut du XXe sicle jusquaux annes 1955-60
Cest lopposition que lon voit se dvelopper entre les ides dun Qubec et dun Canada modernes versus lemprise du clerg dans le systme scolaire du Qubec
Cest la dmission des modernistes, par migration, par assimilation en fait, par la mise de ct didaux modernes
Le Qubec se modernise dans un discours conservateur. On construit des usines, souvent le rsultat des deux Guerres mondiales auxquelles nous avons particip.
17. Influence canadienne et mise en place du Rapport Parent Ds la Premire Guerre mondiale, le Canada met en place une structure de recherche scientifique. Le Conseil national de recherche scientifique (CNRC) est mis en place en 1916; mais cest seulement dans les annes cinquante que les publications manent des recherches en cours.
Au Canada anglais, comme au Qubec, des coles techniques et des premiers dpartements de sciences utiliseront les publications britanniques et ensuite amricaines comme ressources.
En sciences humaines, on verra apparatre des revues scientifiques partir des annes 20 et 30.
Les classiques de lenseignement suprieur seront europens surtout : son legs dans chacun des collges classiques : La Revue des Deux Mondes
Dans le rapport Parent, les ds sont jets pour les Instituts : les bibliothques seront cres sur le modle des collges amricains, malheureusement pas au niveau de la profession de bibliothcaire.
18. Date de parution des principaux priodiques savants : En Droit :
Revue du Droit (1922-1939)
La Revue du Barreau (1941-)
Thmis (1951-)
Histoire :
Revue dhistoire de lAmrique franaise (1947-)
Mdecine
Prs de 60 titres de priodiques entre 1918-1980.
Union mdicale du Canada (1872-1995)
LIndpendance mdicale (1920-1932)
En Philosophie
Laval thologique et philosophique (1945-)
19. Et aujourdhui Prs de 125 priodiques savants universitaires, en gestion, sciences humaines, sciences politiques, sociologie, travail social, etc.
Des revues supportes par les maisons ddition universitaires (PUM;PUL;UQ; Polytechnique) ou des dpartements.
Des revues auxquelles les institutions participent financirement.
Des revues de vulgarisation en philosophie (Philo & Cie); en sciences (Qubec Sciences); en psychologie, etc.
VOICI UN PORTRAIT DES PUBLICATIONS SAVANTES PAR GRAND SECTEUR.
20. Production darticles scientifiques: Qubec et Canada
21. Publications darticles de priodique : Qubec et Canada
22. 3. Les rgles dacquisition selon les supports des documents
23. Loi 51 Les bibliothques de cgeps La loi51 est une loi qubcoise qui oblige les bibliothques municipales et scolaires se procurer les livres dans les librairies agres (Loi sur le dveloppement des entreprises qubcoises dans le domaine du livre, (L.R.Q., c. D-8.1))
Une exclusion cette loi, les universits.
Cette loi dicte les conditions dachat de nos livres :
Achat dans trois libraires agres de notre rgion
Nous ne pouvons pas acheter des livres en vente moins que lconomie dpasse 60% du prix de vente rgulier
Interdiction dacheter nos livres dun diffuseur diteur sauf pour les manuels scolaires (les diteurs scolaires peuvent vendre directement une bibliothque)
Il est important de retenir que cette loi vise soutenir lindustrie du livre et de la distribution.
24. LivreCommercialisation du livre Dj nous sommes fixs pour ce qui a trait au prix du livre : une bibliothque de cgep doit payer le montant de vente fix par lditeur;
Il doit, mais il y a une tolrance ce sujet, se procurer lensemble de ses commandes dans des librairies agres.
Des tolrances: les rgions o les librairies nont pas la capacit de sentendre avec les fournisseurs de langue anglaise; les livres dart, surtout les livres accompagnant les expositions difficiles se procurer (on achte loccasion directement au muse ou la galerie qui dite le catalogue dexposition)
25. PriodiqueLachat des priodiques MAOB et Loi 51 Contrairement au livre, aucune limitation ne touche lachat des priodiques dans la loi 51.
Par contre lapplication du B du MAOB a un effet problmatique propos de laccs aux priodiques pour les annes venir.
Le MAOB pour mobilier, appareillage et outillage, bibliothque, regroupe les normes de financement pour les bibliothques pour ce qui est des dpenses dinvestissement.
Ce montant est fix 44 $ par tudiant temps complet;
Dtermination d'une dure de vie utile pour les volumes : 12,5 ans (renouvellement des collections 8 % annuellement).
26. MAOBLes rgles de base Le MAOB permet lacquisition de :
3.3.1 Collection crite
La collection crite comprend les livres, priodiques (abonnements) et les index de priodiques.
3.3.2 Collection audiovisuelle
La collection audiovisuelle comprend les microfilms, microfiches, documents sonores, vidos, diapositives et disques optiques compacts.
Calcul d'une allocation pour la collection audiovisuelle : 20 % de l'allocation dtermine pour la collection crite.
Imputation au fonds d'investissements de l'allocation calcule pour les collections crite et audiovisuelle : 50 %.
Environ 50 % du 44 $ est allou.
27. MAOBLes collections orphelines ou des rgles revoir Une problmatique existe dans la gestion du MAOB : cest que les biens achets doivent tre des biens mobiliers, ce que sont les livres, les DVD, etc.
Le dfi est que les banques de donnes, les films accs distance (Streaming) ne sont pas des biens mobiliers, donc ne sont pas inclus dans le financement du MAOB.
Les cgeps sont obligs de financer partir dun autre budget ces investissements dans le savoir. Cest dans le budget de fonctionnement des cgeps que ces sommes sont puises.
Le march se dirige vers des produits immatriels, voil une problmatique qui nous touche et qui sera le plus grand enjeu des annes venir.
28. Changement dans lacquisition du livre Premire chose clarifier : au Qubec, nous ne pouvons pas pour le moment acheter de livres numriques partir de la plate-forme Lentrept du livre numrique
Pourquoi ? La raison est simple, les licences pour les bibliothques denseignement collgial ne sont pas encore en ngociation.
Depuis la fin novembre, la Grande bibliothque Montral, lInstitut canadien de Qubec et quelques autres bibliothques municipales
Pour les bibliothques scolaires (Primaire et secondaire), le coup denvoi est la veille de se faire.
Dici un an, lensemble des bibliothques publiques et les bibliothques scolaires pourront acheter des livres numriques du Qubec.
Alors, pour le cgep?
29. LIVRELachat de livres lectroniques La ngociation avec le seul fournisseur qubcois devrait tre entame ds cet hiver
La ngociation permettra de respecter la loi 51, de se doter dun quivalent en droit de prt que nous avons dj : un exemplaire un prt la fois et dobtenir une copie du document en format PDF, au cas ou un titre ne serait plus disponible en format numrique
Les livres numriques sont disponibles auprs de grands fournisseurs nord-amricains comme EBSCO (NetLibrary) et Pro-Quest ( Ebrary). Ces derniers ont peu de titres en langue franaise.
En franais nous avons Cairn (diteurs europens) et bientt le Qubec avec Lentrept du livre numrique.
30. AudiovisuelProblmatique dacquisition Chaque anne le mode dacquisition du matriel audiovisuel se modifie.
Des fournisseurs apparaissent, dautres disparaissent.
Au niveau du cinma amricain, 2 compagnies se partagent la gestion du droit dauteur : ACF et CRITERION
Au niveau des missions de tlvision fiction : soit les deux premiers, ou dautres fournisseur comme IMAVISION.COM
Au niveau des documentaires que Docu-D et autres chanes spcialises diffusent, nous devons nous dguiser en dtective
Pour ce qui est des extraits de nouvelles : 100 $ et plus pour 3 5 minutes
31. AudiovisuelPropositions des fournisseurs La tendance forte est de proposer le tout par Internet : cest la solution que prend actuellement la GRICS avec les documentaires de Tl-Qubec
Quest-ce que cela implique : un cot de location et aucune proprit sur le documentaire ou le film
Un cot de location non ngociable; la charge financire est dcrte par le fournisseur; si la bibliothque laccepte, elle peut utiliser le contenu, sinon, elle doit ignorer cette ressource
Et Tl-Qubec, pour reprendre notre exemple, a un seul canal pour diffuser ses documentaires
Nous navons pas de solution alternative trs court terme.
32. Priodiques :Changement dans lacquisition Il y a un peu moins dune anne, nous avons transform lapproche de la bibliothque concernant lacquisition des priodiques en sciences sociales;
Nous avons transfr quelques abonnements de limprim au numrique;
Nous sommes passs de 250 priodiques imprims plus de 400 titres, dans un premier temps, en abandonnant limprim.
Par la suite, nous avons compil les titres de priodiques en langue franaise disponible en OpenAcces (nous reviendrons sur cela plus tard)
Ainsi, quelques 850 priodiques sont maintenant disponibles en accs partir dun ordinateur, soit dun poste au Cgep ou de la maison spar simple authentification.
33. Lalternative : les archives ouvertes
34. Archives ouvertesLa diffusion de la connaissance : lauto-archivage LOpenAcces se traduit par archives ouvertes ou accs ouvert. Bien que le mot archives nous semble un peu bizarre, il signifie ici les rsultats ou les traces de la recherche conservs et en libre accs;
Deux objectifs : lauto-archivage et des revues alternatives
Lauto-archivage : en premier lieu, les savants ont besoin d'outils et d'assistance pour dposer leurs articles de revues comit de lecture dans des archives lectroniques ouvertes, une pratique communment appele auto-archivage. Lorsque ces archives sont conformes aux standards dfinis par l'Open Archives Initiative, des moteurs de recherche et autres outils peuvent traiter des archives distinctes comme un seul et unique fonds d'archive. L'utilisateur n'a alors plus besoin de savoir quelle archive existe, ni o elle est localise, pour accder son contenu et l'utiliser.
http://web.archive.org/web/20070830174801/http://pages.globetrotter.net/charro/ephe/no_3/budapest.htm
35. Archives ouvertesDes revues alternatives Revues Alternatives : en second lieu, les savants ont besoin de moyens pour lancer une nouvelle gnration de revues alternatives engages dans le libre accs et pour aider les revues existantes qui choisissent d'oprer la transition vers l'accs libre. Puisque les articles de revues devraient tre diffuss aussi largement que possible, ces nouveaux priodiques n'invoqueront plus le droit d'auteur pour restreindre l'accs et l'utilisation du matriel qu'ils publient. Puisque le prix constitue un obstacle l'accs, ces nouvelles revues ne factureront pas l'abonnement ou l'accs, et se tourneront vers d'autres mthodes pour couvrir leurs frais. Il existe, pour cette fin, de nombreuses sources de financement alternatives, parmi lesquelles les institutions et les gouvernements qui financent la recherche, les universits et laboratoires qui emploient les chercheurs, les dotations alloues par discipline ou par institution, les amis de la cause du libre accs, les profits gnrs par la vente d'enrichissements apports aux textes de base, les fonds librs par la transformation ou la disparition des priodiques facturant un abonnement traditionnel ou un prix d'accs, voire les contributions des chercheurs eux-mmes. Nul besoin de favoriser une solution plutt qu'une autre pour toutes les disciplines et toutes les nations, ni d'arrter de chercher de nouvelles alternatives originales.
36. Les archives ouvertesEn graphique
Source :
37. Archives ouvertesEn rel Auto-Archives depuis 2003 :
Au Qubec (liste partielle)
38. Archives ouvertes Les universits canadiennes University of Alberta
University of British Columbia
Brock University
University of Calgary
Canada Institute for Scientific and Technical Information
Carleton University
Dalhousie University
University of Guelph
International Development Research Centre
University of Lethbridge
University of Manitoba
McMaster University
Memorial University of Newfoundland
Mount Saint Vincent University
University of New Brunswick
University of Ottawa
University of Prince Edward Island
Queen's University
University of Regina
Ryerson University
University of Saskatchewan ( ETDs / eCommons@USASK )
Simon Fraser University
University of Toronto
University of Victoria
University of Waterloo
University of Western Ontario
University of Windsor
University of Winnipeg
York University
39. Archives ouvertesDes rpertoires Moteur de recherche :
DOAJ (7408 revues) (international)
ISIDORE (1 393 746 ressources) (Sciences humaines France)
Dpts darchives ouvertes
BioMedCentral (233 revues)
PLoS
FreeMedicalJournals
40. Archives ouvertesDes rpertoires de rpertoires OpenDOAR, Worldwide Directory of Open Access Repositories : + de 2 000 dpts
Au Canada : Liste des dpts institutionnels propose par ABRC/CARL
Dans un autre ordre dides :
Un site britannique en voie de disparition :
INTUTE Ne sera plus disponible lt 2012.
41. En conclusion
42. Limpact du numrique Implique un changement important la bibliothque
La bibliothque est un endroit de :
Acquisition - Accs - Archivage (conservation)
Lenvironnement numrique implique une tout autre approche :
Connexion Contenu valuation
La fusion des deux possibilits implique
valuation - Acquisition - Accs - Contenu Connexion - Archivage Collaboration
Deux modles conomiques distincts qui, mme fusionns, obligent une vigilance extrme.
43. Les implications court terme Conservation des collections imprimes;
Si les collections imprimes sont remplaces par le numrique : sassurer que nous sommes propritaire du format numrique (modle dacquisition et non de location);
Proposer des espaces diffrents, mieux dfinis pour les besoins de la clientle globale dun cgep;
Que ces espaces soient penss pour lensemble de la clientle;
Que le financement assure le maintien de la qualit des ressources documentaires;
Il faut se souvenir que si les archives ouvertes peuvent rpondre une certaine demande, celles-ci ne sont pas gratuites. Il faut participer aussi au financement de ces ressources.
44.
BOOK