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Introduction

. . ? Le contr?le au sein d'un syst?me organisationnel est le processus par lequel un ?l?ment (une personne, un groupe, une machine, une institution, une norme) affecte intentionnellement les actions d'un autre ?l?ment??. Hofstede G. (1967), The game of budget control, London, Tavistock Pub

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Introduction

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Presentation Transcript


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    7. Contrle et contrleurs de gestion

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    10. 3 SERIES DHYPOTHESES (BOUQUIN 1994) Les cloisonnements: les centres de responsabilit L'articulation du long et du court terme, notamment par le processus de planification budgtaire La "culture du contrat". Approche traditionnelle du contrle de gestion

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    21. La planification dentreprise Dployer rationnellement les objectifs (DPO, DPPO, thorie Z) : calendriers, conventions, Chaque centre a une vision claire de son rle face aux objectifs long terme, Chaque responsable dispose dun rfrentiel pour laction et la dcision. Synthse

    22. Les centres de responsabilit La DG se concentre sur la stratgie (dlibre). Le Middle management reoit dlgation du court terme. Lentreprise sorganise en centres de responsabilit (recours souvent au direct costing). Les divisions peuvent tre organises sous forme de centres de profit autonomes. Les prix de cession internes permettent de cloisonner les responsabilits. Synthse

    26. Du point de vue de lactionnaire externe, le bnfice non distribu est assimilable un apport de fonds propres lentreprise. En consquence, lincidence du rsultat na pas tre neutralise. Par ailleurs, ce choix mthodologique ne permet pas de contrler lquation du ROE: ROE = ROCE + (ROCE taux de charges financires) * gearing Avec: ROCE (Return On Capital Employed) = Rsultat dexploitation / capitaux engags Capitaux engags = Valeurs immobilises + BFR Gearing = Endettement net / capitaux propres Du point de vue de lactionnaire externe, le bnfice non distribu est assimilable un apport de fonds propres lentreprise. En consquence, lincidence du rsultat na pas tre neutralise. Par ailleurs, ce choix mthodologique ne permet pas de contrler lquation du ROE: ROE = ROCE + (ROCE taux de charges financires) * gearing Avec: ROCE (Return On Capital Employed) = Rsultat dexploitation / capitaux engags Capitaux engags = Valeurs immobilises + BFR Gearing = Endettement net / capitaux propres

    28. Cration de valeur Une cration de valeur consiste gnrer une rentabilit suprieure la rmunration des apporteurs de ressources.

    33. Calcul de lEVA LEVA est dclinable selon un continuum partant dune approche marchs financiers jusqu une approche comptable.

    34. Pyramide de management par la valeur

    35. Le retour de lactionnaire Des effets pervers au contrle budgtaire et par la rentabilit (identifis trs tt, exemple la littrature des annes 50 60) Un retour en force de ce contrle financier dans les annes 90 Indicateur emblmatique : lEVA Problmatique du gouvernement dentreprise

    36. Le gouvernement dentreprise Dfinition : ensemble des mcanismes organisationnels qui ont pour effet de dlimiter les pouvoirs et dinfluencer les dcisions des dirigeants, autrement dit, qui gouvernent leur conduite et dfinissent leur espace discrtionnaire (Charreaux, 1997, p. 1) Le retour de lactionnaire

    37. Le gouvernement dentreprise Des rapports publis : dans les pays anglo-saxons (Cadbury ; Greenbury ; Hampel). en France (AFEP/CNPF ; Marini ; AFEP / MEDEF ; loi NRE ). Fonds de pensions / comits (audit,) Le retour de lactionnaire

    38. Thorie de lagence - Des relations contractuelles, - mandants (actionnaires), - mandataires (dirigeants).

    39. Le gouvernement dentreprise Le contrle de gestion est une composante cl de la matrise de la cration de valeur pour lactionnaire (Bouquin, 2001). Synthse

    40. Cohrence entre : Des objectifs financiers Une structure en centres de profit, de cots,... Des contrles financiers (indicateurs, contrle budgtaire,) => Modle traditionnel de contrle de gestion Synthse

    42. La "culture du contrat Lindividu se sent motiv par le contrat. Le systme dinformation permet la surveillance laide dun reporting serr. Les rsultats deviennent transparents. Les managers sont intresss aux rsultats de leur entit (primes variables,).

    44. Cest lcart entre le rendement rel et le rendement prtabli, valoris au cot unitaire standard de lunit duvre. Le rendement par contre serait de la responsabilit dune usine. Ecart sur rendement (vp + Fp/Np) * (Nr-Npr) Cot standard unitaire de lunit doeuvre diffrence entre le niveau rel dactivit et le niveau standard pour une production donne Exemple : pour une production de 10 produit A et 20 produit B, la norme tait de 2 h par produit A et 1 h par produit B, or cette production a demand 3 h pour A et 2 h pour B. Soit un cart de (10*3 + 20 * 2) (10 * 2 + 20 * 1 ) = 10 h Cest lcart entre le rendement rel et le rendement prtabli, valoris au cot unitaire standard de lunit duvre. Le rendement par contre serait de la responsabilit dune usine. Ecart sur rendement (vp + Fp/Np) * (Nr-Npr) Cot standard unitaire de lunit doeuvre diffrence entre le niveau rel dactivit et le niveau standard pour une production donne Exemple : pour une production de 10 produit A et 20 produit B, la norme tait de 2 h par produit A et 1 h par produit B, or cette production a demand 3 h pour A et 2 h pour B. Soit un cart de (10*3 + 20 * 2) (10 * 2 + 20 * 1 ) = 10 h

    50. Balanced scorecard Indicateurs comptables et financiers, Indicateurs de satisfaction de la clientle, Indicateurs sur les mthodes internes, Innovations dans l'organisation / apprentissage / gestion du savoir.

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    55. 1 - Activity Based Costing (ABC) ou comptabilit par activits 2 - De lABM au reenginering 3 - Le management par les cots cibles

    56. 1 - Comptabilit par activits Comptabilit industrielle dans un contexte taylorien a permis de connatre le cot de tches morcelles. Ensuite : analyse des ressources / de leur consommation, par rapport des finalits. Sections homognes, avec la CEGOS, sections spcialises qui suivent le flux de production.

    57. 1 - Comptabilit par activits SECTIONS HOMOGENES 1) Homognit des cots, 2) Lunit duvre modlise des cots homognes: elle ne se prsente pas comme la cause. La loi ncessaire est une corrlation statistique.

    58. 1 - Comptabilit par activits ABC : le concept dactivit ensemble de tches ou dactes imputables une personne ou un groupe de personnes, une machine ou un groupe de machines et lis un processus dtermin... Un processus regroupe des activits souvent lies en squences et qui ont un lment dclencheur commun. magasinage, passation d'une commande, entretien ou suivi de la facture client.

    59. 1 - Comptabilit par activits ABC : le concept dinducteur Linducteur dclenche lactivit, dont il est ainsi lune des causes. Il ne peut tre unit duvre que si les cots de lactivit dclenche sont homognes, donc si elle fait appel une squence stable de tches toujours effectues de manire identique.

    60. 1 - Comptabilit par activits ABC : le concept dinducteur Deux types dinducteurs : les inducteurs dactivit (court terme) - Exemples : nombre de petits clients, dossier trait, commande dun client, les inducteurs de cot LT (conomies ou dsconomies dchelle, phnomnes dapprentissage, taux demploi des capacits,...)

    61. 1 - Comptabilit par activits Une problmatique de calcul des cots complets. Un problme de rpartition des cots des sections auxiliaires qui demeure, de mme que la distinction entre charges fixes et variables. Une gestion des causes, une volont de matriser les cots fixes, do une meilleure articulation avec la stratgie (adaptation des mthodes de calcul).

    62. 2 - De lABM Grer les transversalits (cest dire les interdpendances ou les interactions), Chaque activit peut tre la source dun avantage comptitif : dterminer ce quil faut pour russir dans un domaine donn (FCS), Diffrenciation possible selon les clients.

    63. 2 - De lABM Privilgier des activits : la gestion des couples cots/valeur. Une approche systmique: les processus passent avant la structure. Cest un monde dinterdpendances dans la firme mais aussi avec les clients et les fournisseurs. En fonction des facteurs cls de succs (dlai de livraison, qualit du service,) il est possible didentifier des processus cls grer.

    64. 2 - De lABM Exemple: Une commande client doit tre livre en 15 j. Larticulation entre les diffrentes fonctions achat / production / vente doit tre matrise transversalement. Il est possible par exemple : de suivre les cots par centres de responsabilit de suivre un indicateur transversal (nombre de jours pour satisfaire une commande,).

    65. 2 - ... au reengineering Lentreprise est rinvente (radicalit). Cela autorise un bond quantitatif de ses performances. Lobjectif est de modifier une grande partie, voire lensemble des composantes de lorganisation. Rf : Hammer M., Campy J. (1993), Le reengineering, Paris, Dunod

    66. 2 - De lABM au reengineering Exemple: IBM Crdit Problme identifi: le client a le temps de trouver un autre mode de financement car le temps de traitement de sa demande par IBM crdit est trop long: de 6 jours 3 semaines. Objectif: rduire le temps du processus de traitement des commandes et doctroi du crdit: enregistt de la demande sur papier, saisie de la commande par le service crdit, adaptation des conditions de prt par le service engagements,

    67. 2 - De lABM au reengineering Exemple: IBM Crdit Lanalyse du processus complet a montr que le temps rel de traitement tait de 90 mn, le reste du temps concernait le passage des formulaires entre les services. La solution a simplement t de mettre un seul agent gnraliste pour traiter lensemble du processus. Les dossiers sont grs en 4 heures.

    68. 2 - De lABM au reengineering Les principaux exemples connus concernent les processus oprationnels. Le reengineering devrait thoriquement surtout traiter des processus stratgiques (dtermins partir des FCS).

    69. 3 - Cots cibles Le meilleur cot connu ou envisageable dans la profession. Il peut sagir du cot dun produit idal, avec des procds de fabrication optimiss, une lgislation idale, De ce cot cible, on peut se fixer un cot objectif (top down / bottom up), qui dtermine la fixation dun cot contractuel. Durant la phase de pilotage, on peut faire merger un cot probable.

    70. Une reconqute du sens, des modes de gestion privilgiant les processus et les activits. Des systmes de contrle de gestion stratgique qui se construisent de plus en plus sur une cartographie des processus.

    77. Contingences

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    85. Les travaux de R. SIMONS Les leviers de contrle pour : communiquer des valeurs (des leaders,), fixer des limites aux choix acceptables, suivre systmatiquement la gestion, crer une interactivit dans lorganisation.

    86. Des systmes de contrepoids la source de paradoxes : un systme de contrle peut tre utilis pour contrebalancer certains risques. Des principes de cohrences, communs lensemble des organisations, plus que de simples recettes.

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