1 / 37

Highlights of 2006: Africa's Economic Growth, Transformation, and Institutional Reforms

Africa experienced real GDP growth above 5% for the third consecutive year in 2006, supported by prudent macroeconomic policies, improved terms of trade, a favorable global environment, and debt relief. The African Development Bank Group achieved excellent operational and financial results, undergoing transformation and institutional reforms to enhance its development impact. The Bank established a high-level panel to advise on its strategic vision and continued issuing local currency bonds. This article provides an overview of the Bank's activities, financial profile, and capital subscriptions, as well as its role in African development.

duante
Télécharger la présentation

Highlights of 2006: Africa's Economic Growth, Transformation, and Institutional Reforms

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Faits marquants de l’année 2006 Afrique • Croissance du PIB réel supérieure à 5% pour la troisième année consécutive, soutenue par des politiques macroéconomiques prudentes, l’amélioration des termes de l’échange, un environnement mondial propice à la croissance et les répercussions croissantes de l’allégement de la dette Groupe de la Banque • Excellents résultats opérationnels et financiers • Année de la transformation et des réformes institutionnelles visant à renforcer l’efficacité de la contribution de la Banque au développement • Mise en place d’un Panel de haut niveau chargé de conseiller la Banque sur sa vision stratégique • Poursuite des émissions en devises locales avec les émissions obligataires liées au shilling tanzanien, au cedi ghanéen et au naira nigérian

  2. 1 Activités du Groupe de la Banque Profil financier de la Banque 2 Activités sur les marchés de capitaux 3 Annexes 4

  3. 1 Activités du Groupe de la Banque

  4. Le Groupe de la Banque incarne un partenariat pour le développement entre les pays africains et le reste du monde Afrique Europe Afrique du Sud Algérie Angola Bénin Botswana Burkina Faso Burundi Cameroun Cap-Vert Comores Congo Côte d’Ivoire Djibouti Egypte Erythrée Ethiopie Gabon Gambie Ghana Guinée Guinée équatoriale Guinée Bissau Kenya Lesotho Libéria Libye Madagascar Malawi Mali Mauritanie Maurice Maroc Mozambique Namibie Niger Nigéria Ouganda R.D. Congo Rép. Centrafricaine Rwanda S. Tome & Principe Sénégal Seychelles Sierra Leone Somalie Soudan Swaziland Tanzanie Tchad Togo Tunisie Zambie Zimbabwe • Banque africaine de • développement (BAD) • Créée en 1964 • Capital souscrit : 33 milliards $EU • 53 pays africains et 24 pays non africains • Mobilise des ressources sur les marchés de capitaux • Octroie l’aide aux taux du marché • Fonds africain de • développement (FAD) • Créé en 1972 • Souscriptions : 23 milliards $EU • Financé par les pays donateurs • Octroie l’aide à des conditions préférentielles Allemagne Autriche Belgique Danemark Espagne Finlande France Italie Norvège Pays-Bas Portugal Royaume Uni Suède Suisse Amérique Argentine Brésil Canada Etats-Unis Moyen-Orient Koweit Arabie Saoudite Asie Chine Corée Inde Japon

  5. US$ 4.3 billion US$ 3.9 billion US$ 3.3 billion US$ 2.8 billion US$ 2.6 billion Les approbations reflètent une aide diversifiée … En millions d’UC La Banque • Augmentation des approbations de 20,3% en 2006 • Hausse de 178% des prêts à l’appui des réformes et de 55% des prêts au secteur privé • Secteurs dominants - Finance (53%), Infrastructure (23,9%) et Opérations multisectorielles (7,8%) Le Fonds • Augmentation des approbations de 8,6% en 2006 • En 2006, 80 opérations menées dans 30 pays et 20 projets multinationaux • 2,22 milliards d’UC mobilisés dans le cadre du FAD-X à la fin 2006 • Discussions sur la 11e reconstitution du FAD engagées avec les donateurs en mars 2007 Tendance à la hausse des approbations du Groupe de la Banque (excepté HIPC)

  6. … dans toutes les régions et les secteurs clés des économies africaines Par région Par secteur Approbations totales depuis création: 59 milliards $EU

  7. Grâce au co-financement et au partenariat, le Groupe de la Banque accroît l’impact de ses propres ressources • 34 projets ont été co-financés pour un montant de 11,7 milliards d’UC • L’assistance au développement du Groupe de la Banque a été multipliée plus de 4,2 fois par l’assistance accordée par les donateurs • L’importance accrue accordée aux opérations multisectorielles dans les opérations de la Banque souligne l’accent mis sur la gestion du secteur public et les programmes d’appui institutionnel • Programme de réforme du Fonds de coopération technique adopté en 2006 pour normaliser et simplifier ce type de coopération Répartition par secteur en 2006

  8. L’Initiative d’Allégement de la Dette Multilatérale de 2006 (IADM) a contribué à la réduction du fardeau de la dette du continent Dette extérieure par rapport au PIB (%) IADM • L’IADM est entrée en vigueur le 1er septembre 2006 • L’IADM complète l'initiative PPTE en octroyant une annulation totale et irrévocable de la dette éligible auprès du FAD pour les pays ayant atteint le point d'achèvement • Le Groupe de la Banque a mobilisé 8.54 milliards $EU pour l'allégement de la dette liée à l’IADM sur une période de 50 ans • 17 pays sur les 33 éligibles en Afrique ont atteint le point d’achèvement à la fin 2006 Service de la dette (% des exportations)

  9. Réorientation des ressources vers les opérations (départements chargés des activités de prêt) Renforcer la capacité organisationnelle pour répondre au renforcement de la décentralisation (21 bureaux créés à la fin 2006) Renforcer le leadership de la Banque dans le domaine du savoir Axer l’action sur le secteur des infrastructures (Initiatives pour l’alimentation en eau, Consortium de l’infrastructure pour l’Afrique, NEPAD, etc.) Promouvoir l’intégration régionale et la bonne gouvernance Renforcer le développement et la compétitivité du secteur privé Amélioration du service client grâce à la décentralisation Les réformes institutionnelles en cours permettront au Groupe de la Banque de mieux réaliser sa mission de développement Priorités opérationnelles Nouvelle structure organisationnelle Nomination d’un Panel indépendant de haut niveau pour conseiller la Banque sur sa vision stratégique au moment où de nouvelles opportunités se présentent pour l’Afrique

  10. Le développement de l’infrastructure et l’intégration régionale sont les facteurs clés d’une croissance durable en Afrique L’initiative pour l’alimentation en eau et l’assainissement en milieu rural a pour objectif l’alimentation en eau potable et l’assainissement de base pour 80% de la population rurale en Afrique d’ici 2015. 13 programmes et un financement total de 536 millions $ EU approuvés à la fin 2006. La facilité africaine de l’eau vise à renforcer la gestion des ressources en eau et attirer les investissements dans le secteur de l’eau. Réalisation de l’engagement des donateurs d’un montant de 52,5 millions d’UC et 14 activités opérationnelles approuvées en 2006. Initiatives dans le secteur de l’eau La Banque abrite le Secrétariat du CIA, une structure tripartite visant la mise en commun des efforts des donateurs bilatéraux du G8, des principales institutions multilatérales et des institutions africaines. 7,7 milliards de $EU mobilisés par les membres du CIA pour le secteur de l’infrastructure en Afrique en 2006 (2005: 7 milliards de $EU). Consortium de l’Infrastructure pour l’Afrique (CIA) 13 projets régionaux approuvés, avec un financement de la Banque chiffré à 460 millions $EU au 31 décembre 2006. Préparation de 8 projets d’infrastructure régionale financés par le Groupe de la Banque. NEPAD

  11. Le secteur privé est essentiel à la croissance économique en vue de la réduction de la pauvreté Portefeuille du secteur privé – Approbations par secteur et par instrument • Approbation de 7 projets du secteur privé et d’une garantie pour un montant de 278,5 millions d’UC (soit 418,97 millions $EU) en 2006 (2005: 180,1 millions $EU) • Collaboration avec le Gouvernement du Japon pour développer le secteur privé en Afrique à travers l’Initiative pour l’assistance renforcée au secteur privé en Afrique. Premier prêt signé en 2007 pour un montant de 11,5 milliards de yen.

  12. La décentralisation rapproche la Banque de ses clients Bureaux créés • Les bureaux extérieurs ont pour vocation d’être l’arme opérationnelle du Groupe de la Banque dans les pays membres, avec comme mandats: • La mise en oeuvre des projets et programmes • Dialogue avec les pays • - Coordination de l’aide et liaison avec d’autres institutions • 21 bureaux nationaux sur les 25 prévus avaient été créés à la fin 2006 • Processus interne en cours de rationalisation afin d’accorder aux bureaux extérieurs une délégation de pouvoirs appropriée Burkina Faso Cameroun Tchad RDC Égypte Éthiopie Ghana Gabon Kenya Madagascar Malawi Mali Maroc Mozambique Nigeria Rwanda Sénégal Sierra Leone Tanzanie Ouganda Zambie

  13. Profil financier de la Banque 2

  14. La Banque jouit d’un soutien ferme de ses actionnaires Le capital appelable est l’engagement pris par chaque actionnaire de mettre à la disposition de l’institution un capital additionnel en cas de difficultés financières Il n’ y a jamais eu d’appel de capital de la part de la Banque Au 31 décembre 2006

  15. La situation financière solide de la Banque protège les détenteurs de ses obligations Endettement *Non révisé. La Banque définit “le capital utilisable” comme la somme du capital libéré, des réserves et du capital appelable des pay membres notés AA et AAA

  16. La capacité d’absorption des risques de la Banque permet l’expansion des opérations Utilisation des fonds propres Fonds propres (Capital risque) Capital risque à la fin 2006 Capital libéré: 3 230 millions $EU Réserves: 3 468 millions $EU • En vertu de la révision de la norme comptable IFRS, entrée en vigueur le 1er janvier 2005, la nature des provisions pour pertes sur prêts a été modifiée, de ‘générale’ à ‘spécifique’; depuis lors, les provisions pour pertes sur prêts représentent une diminution de l’exposition aux risques des pays, et non une source de fonds propres. Les principales composantes des fonds propres totaux sont donc le capital libéré et les réserves • La politique de la Banque en matière d’adéquation du capital a classé les normes defonds propres de sorte que les actifs les plus risqués nécessitent 75% d’appui en capital contre 25% pour les actifs les moins risqués Au 31 décembre 2006

  17. La Banque alloue des montants significatifs de son revenu aux initiatives de développement Affectation du revenu en 2005 et 2006*(millions $EU) Affectation du revenu (%) *Sous réserve de l’approbation du Conseil des Gouverneurs

  18. Les ratios financiers classent la Banque parmi les institutions les plus solides de son groupe * Source: Fitch ** Source: Standard & Poor’s *** Source: Moody’s Données au 31 décembre 2005, sauf pour la BIRD, au 30 juin 2006.

  19. 3 Activités sur les marchés de capitaux

  20. La stratégie de financement de la Banque lui permet de mobiliser pour les pays africains des ressources à coûts rentables Stratégie bien diversifiée en terme de devises et utilisation active du marché des swaps pour répondre aux besoins des clients

  21. La Banque est présente dans tous les segments des marchés de capitaux Encours des emprunts de 5,87 milliards d’UC (8,83 milliards $EU) au 31 décembre 2006

  22. La Banque s’efforce à élargir continuellement sa base d’investisseurs dans les différents segments des marchés de capitaux • • L’émission obligataire publique sur le marché mondial d’un montant de 500 millions $EU à 4,875% en novembre 2006 a bénéficié d’une répartition étendue des investisseurs: Asie (ex-Japon) 37%; Amérique du Nord 24%; Japon 20% et Europe 19% Marché global $EU • Stratégiquement importants puisque la Banque peut y émettre des émissions de taille de référence • Première émission obligataire Kangaroo de 300 millions AUD sur le marché domestique en 2006; répartition des investisseurs: Australie 60%; Japon 34% et Europe 6% Marchés domestiques • Marché qui dépend de l’existence des possibilités d’arbitrage • Solide reconnaissance des investisseurs établie au fil des ans à travers une réactivité et une souplesse avérées Placements Privés • Transactions orientées vers les investisseurs particuliers japonais • La Banque travaille étroitement avec les agences de courtage japonaises pour accroître le flux de ce type de transactions Uridashis

  23. L’initiative de la Banque d’émettre des obligations libellées en devises africaines est encouragée par les pays membres • La Banque doit obtenir l’approbation des pays membres pour émettre des obligations libellées dans leur devises respectives • Ces approbations sont demandées par la Banque lorsque des opportunités d’émissions obligataires se présentent. Actuellement, les approbations sont attendues des pays suivants: • Egypte • Maroc • Tunisie • Ouganda • Zambie • Les pays UEMOA (à part le Mali qui a déjà donné son accord) Mali Nigéria Ghana Kenya Tanzanie • Approbation obtenue • Approbation demandée Botswana Maurice Afrique du Sud* * Approbation pour des émissions sur l’euromarché

  24. Les succès enregistrés dans les projets sur les monnaies locales conduisent les investisseurs à accorder une plus grande attention à l’Afrique • Développer et donner de la visibilité aux monnaies et marchés obligataires africains • Répondre aux besoins des prêts en monnaie locale qui éliminent les risques de change pour les emprunteurs • Promouvoir les meilleures pratiques internationales Objectifs • Émissions obligataires en pula du Botswana, en shilling tanzanien, en cedi ghanéen et en naira nigérian • 300 millions BWP arrivant à échéance en janvier 2007 • 10 millions $EU lié au TZS arrivant à échéance en février 2007 • 45 millions $EU lié au GHC arrivant à échéance en octobre 2008 • 100 millions $EU lié au NGN arrivant à échéance en janvier 2008 Réalisations La transaction libellée en GHC a reçu de la revue financière “The Banker Magazine” la distinction “EMISSION DE L’ANNEE”

  25. La Banque affiche la note de crédit la plus élevée Appui ferme des actionnaires Solide adéquation du capital Statut du créancier privilégié AAA Gestion financière prudente Liquidité excellente Valeur de l’assistance apportée

  26. Annexes 4 A Perspectives économiques africaines

  27. Résumé de la performance et des perspectives macroéconomiques • L’Afrique a enregistré sa plus longue période d’expansion économique au cours des deux décennies écoulées, avec un taux annuel de croissance du PIB réel supérieur à 5% ces trois dernières années • La croissance économique, qui touche tous les secteurs, est soutenue par des facteurs domestiques et extérieurs • Domestiques: un cadre de politiques prudentes et l’amélioration du climat des affaires favorisent la stabilité macroéconomique et la capacité d’absorption des chocs extérieurs • Externes: amélioration des termes de l’échange, environnement économique mondial favorable, accroissement des flux d’aide et des apports de capitaux privés • Avantage continu découlant des mesures d’allègement de la dette au titre des initiatives PPTE et IADM • Perspectives économiques 2007 généralement positives, avec, selon les projections, une autre année de croissance supérieure à 5% • Des défis majeurs demeurent • Accroître le rythme de croissance économique et s’assurer qu’il est durable pour permettre la réduction de la pauvreté • Accélérer le développement de l’infrastructure de base • Consolidatation de la stabilité macroéconomique et promotion de la croissance du secteur privé • Contenir et combattre la propagation de la pandémie du VIH/Sida et d’autres maladies

  28. Le taux de croissance du PIB réel de l’Afrique en 2006 est supérieur à 5% pour la troisième année consécutive, avec une croissance de plus en plus étendue Croissance réelle du PIB 23 pays ont réalisé un taux de croissance du PIB supérieur à 5 % en 2006 15 pays ont enregistré un taux de croissance du PIB de 3% à 5% en 2006 Facteurs déterminants Stabilité macroéconomique – Allégement de la detteExpansion mondiale continue

  29. Les cours élevés du pétrole et de certaines matières premières entraînent une amelioration des termes de l’echange et un accroissement de l’excédent du compte courant Termes de l’échange Compte courant en % du PIB

  30. L’équilibre budgétaire s’est amélioré en raison de l’accroissement de l’épargne dans les pays exportateurs de pétrole et de l’amélioration des flux d’aide tandis que les pressions inflationnistes sont demeurées relativement limitées Equilibre budgétaire en % du PIB Inflation

  31. Les flux d’aide publique au développement vers l’Afrique ont augmenté, passant des bas niveaux récemment enregistrés aux niveaux atteints au début des années 90. Toutefois, ils restent bien en-deçà de l’objectif de 0,7 % duPNB des pays du Comité d’aide au développement (CAD). 1990-2005 (en milliards $EU ) 30 33.7 24.4 25.2 23.8 25 27.6 22.4 24.1 18.8 20 20.5 21.2 17.1 20.2 15.0 15 17.1 15.6 15.5 10 5 0 2005 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004

  32. 4 Annexes B Etats financiers de la Banque

  33. BAD: Etat des revenus et dépenses (en millions d’UC) • Les chiffres de 2005 ont été révisés** Les données présentées ci-dessus pour 2004 et les années précédentes n’ont pas été révisées et ne sont donc pas comparables à celles de 2005 et 2006

  34. BAD: Principaux éléments du bilan (en millions d’UC) • Les données présentées ci-dessus pour 2004 et les années précédentes n’ont pas été révisées et ne sont donc pas comparables à celles de 2005 et 2006

  35. Traitement comptable révisé des transferts prélevés sur le revenu net • Avant 2006, la Banque considérait les transferts prélevés sur le revenu net approuvé par le Conseil des gouverneurs comme une réduction directe des fonds propres • Les récents développements en matière de publication de l’information financière, des normes d’audit et de la pratique observée par les BMD ont conduit la Banque à réviser les traitements comptables des transferts du revenu net à partir de 2006 • Les transferts de revenu net sont désormais considérés comme des réductions du revenu net de l’état des revenus • Deux principaux arguments contre le précédent mode de répartition du revenu net considéré comme une réduction directe des fonds propres • Les répartitions ne sont pas versés directement aux pays membres • Si un pays membre désapprouve une proposition de répartition, la répartition aura néanmoins lieu si la majorité des pays membres appuient la proposition • Nouveau traitement comptable des transferts prélevés sur le revenu net conforme à la pratique observée par les BMD.

  36. Pour plus d’informations sur le Groupe de la Banque, veuillez consulter le site www.afdb.org • Analyse financière et opérationnelle • Documentation pour les programmes liés à la dette • Rapports des agences de notation • Produits financiers pour les emprunteurs • Taux de change • Rapport annuel Informations financières disponibles en japonais à l’intention des investisseurs sur le site www.afdb-org.jp

More Related