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Creed Capital s’implante en Afrique de l’Est - Afsar Ebrahim

Faciliter lu2019implantation des entreprises ru00e9gionales en Afrique subsaharienne, en passant par lu2019u00eele Maurice, cu2019est lu2019objectif de Creed East Africa, une joint-venture cru00e9u00e9e en octobre entre la sociu00e9tu00e9 libanaise de conseil en finance du2019entreprise, Creed Capital, et le bureau mauricien de BDO, la cinquiu00e8me plus grande firme comptable au monde.<br><br>Website: https://afsarebrahim.com/

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Creed Capital s’implante en Afrique de l’Est - Afsar Ebrahim

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Presentation Transcript


  1. Creed Capital s’implanteenAfrique de l’Est - AfsarEbrahim

  2. Faciliter l’implantation des entreprises régionales en Afrique subsaharienne, en passant par l’île Maurice, c’est l’objectif de Creed East Africa, une joint-venture créée en octobre entre la société libanaise de conseil en finance d’entreprise, Creed Capital, et le bureau mauricien de BDO, la cinquième plus grande firme comptable au monde.

  3. Enannonçant la créationd’unesociété à Maurice, avec un partenaire local, Creed Capital affichesavolonté de se développerenAfrique de l’Est, unerégionqu’elleconnaît déjà. Cettesociétélibanaise de conseilenstratégie et finance d’entreprise aide ses clients à identifier de nouveaux marchés, notamment sur le continent, depuis 2009. Elle a étéfondée par Alexandre ZiadKarkour, qui a développé son réseauentravaillant à Londres et à Paris, avant de s’installer à Beyrouth. Un choixjustifié par la « qualité des ressourceshumainesdisponibles » et les avantagesfiscaux du régime offshore libanais. « Nous ne travaillons pas sur le marchélibanais, explique le PDG de Creed Capital. Notre clientèleestcomposée de family offices et de sociétésrégionales. Nous les aidons à fructifierleursinvestissements à l’étranger, ou à se développer à l’international à travers des fusions-acquisitions. » La société se rémunère avec des honoraires (“retainers fees”) et un pourcentage de 1 à 5 % sur le montant de la transaction encas de succès.

  4. Sets premiers mandatsluiontétéconfiés par des clients européens, mais la demandelibanaisen’a pas tardé à suivre et représenteaujourd’hui 50 % de saclientèle. « Il s’agitd’entreprisesimplantéesdans le Golfe et au Levant qui, dans le contexteactuel, cherchent à diversifier leursrisquesen se tournantnotammentversl’Asie et l’Afriquesubsaharienne. » Des régionsqu’AlexandreZiadKarkour a eul’occasion de sillonner pendant sesannéeseuropéennes.

  5. L’île Maurice, plate-forme pour l’Afrique de l’Est Ainsi, lorsque la sociétéd’assuranceslibanaiseChedid Capital luiconfie la tâche de luitrouver des partenairesenAfrique, ill’introduit à un groupe avec qui ilavaiteul’occasion de travailler : GML Investissement, un conglomératmauricien. « L’île Maurice estconnue pour la qualité de son environnement des affaires et estdevenueune plate-forme pour l’Afriquesubsaharienne », souligne Alexandre ZiadKarkour.Enoctobre, après deuxans de négociations, Chedid Capital, conseillée par Creed, entre au capital d’unefiliale du groupemauricien, City Brokers (voir Le Commerce du Levant n° 5670).

  6. Dans la foulée, Creed Capital obtient le mandatexclusif de cette nouvelle entité pour acquérir des courtiers dans 10 pays d’Afriquesubsaharienne. Mais « pour renforcernotrecapacitéd’exécution, nous avionsbesoin d’un allié sur place », raconte Alexandre ZiadKarkour. Il n’a pas eu à chercher loin. Le partenaireidéalétaitassis de l’autrecôté de la table des négociations, conseillant le groupe GML. Il s’agit de BDO Maurice, un cabinet de conseilen audit, fiscalité et finance – membre du réseaumondial de BDO, le cinquième plus grand cabinet mondial du secteur – qui pilotehuitautresbureauxdans la région (à Madagascar, aux Seychelles, au Burundi, enÉthiopie, au Kenya, au Rwanda, enTanzanie et enOuganda).

  7. Une joint-venture à parts égales Les deuxsociétéscréentune joint-venture à parts égales, baptisée Creed East Africa, qui opèredepuissesdeuxsiègessociaux, à l’île Maurice et à Beyrouth. « Nous apportonsl’accès au Moyen-Orient et euxl’expertise sur le terrain », résume Alexandre ZiadKarkour. Une alliance d’intérêts sur un créneauporteur. « L’Afriqueestl’un des derniersmarchésfrontières encore prometteur », souligne-t-il Signe de la mutation encours, l’entrée des fondsd’investissementsprivésdans des projets divers, pas seulementdans les infrastructures, alors que ceséconomiesétaienttraditionnellementfinancées par des fonds de développement. « On voit se multiplier les petits deals », le créneau sur lequel se positionne Creed East Africa. « Nous ne pouvons pas concurrencer les sociétésinternationales sur les grands deals, nous visons de plus petites transactions. Et il y a du pain sur la planche ! » assure Alexandre ZiadKarkour.

  8. THANK YOU • Source: http://bit.ly/3mvacyW

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