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Faits stylisés sur les rendements

Faits stylisés sur les rendements. Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine. Les titres. Les catégories de titres actions (shares, stocks) ; obligations (bonds) instruments monétaires (bills) [produits dérivés]. Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine. Rappel.

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Faits stylisés sur les rendements

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Presentation Transcript


  1. Faits stylisés sur les rendements Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  2. Les titres • Les catégories de titres • actions (shares, stocks) ; • obligations (bonds) • instruments monétaires (bills) • [produits dérivés] Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  3. Rappel • Actions : titre de propriété à revenu variable représentatif d'une prise de participation (dans une société ou dans une SICAV) • l’action étant le droit de percevoir le revenu résiduel (après les autres créanciers), son revenu (dividende) est fortement risqué Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  4. Rappel (suite) • Les obligations (bonds) sont des titres de créance négociables à long terme qu'une société ou une institution s'engage ou une institution s'engage à rembourser à une échéance déterminée et rémunéré par un intérêt (coupon). Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  5. Rappel (suite) • Instruments monétaires : titres de créance négociables de court terme • Bons du Trésor (Treasury bills) • Billets de trésorerie (commercial paper) • Certificats de dépôts (certificate of deposit) Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  6. Les références • Actions  indices sur actions ordinaires (common stocks) Exemples : USA : DJIA, S&P 500 France : CAC 40, SBF 250 Royaume Uni : FTSE All-Share Europe : DJ Euro Stoxx Japon : Nikkei 225 International : indices MSCI Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  7. Les références • Obligations : Obligations du Trésor (T Bonds aux USA) à taux fixes, échéances de référence (souvent de) 10 ans • Instruments monétaires: Bons du Trésor (T Bills aux USA) aux intérêts précomptés, à l’échéance de 90 jours. Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  8. Les stocks de titres • L’importance relative des actions et des autres titres dans les portefeuilles • les encours • l’actif net des sociétés d’investissement (OPCVM, mutual funds, investment trusts)

  9. Les encours de la zone euro

  10. Les encours de la zone euro

  11. Les sociétés d’investissement • OPCVM (organisme de placement collectif en valeurs mobilières) (mutual fund, investment fund) : organisme de placement constitué par un portefeuille de valeurs mobilières • sous forme de SICAV ou de fonds communs de placement (FCP) • dont le gestionnaire peut être une banque, un organisme financier, une société de bourse.

  12. Les sociétés d’investissement • SICAV (société d'investissement à capital variable) (mutual fund, unit trust, open ended investment compagny) : société d'investissment à capital variable qui gère un portefeuille de titres. Ses actions font l'objet d'un cours fixé par la société en fonction de son actif net. Les SICAV actions (SICAV obligations) doivent être investies à 60% sur les actions (obligations).

  13. Les sociétés d’investissement • fonds commun de placement (FCP) (investment fund, mutual fund) copropriété de valeurs mobilière et de capitaux placés à court terme ou à vue. Les droits des copropriétaires sur les actifs du fonds sont représentés par des parts nominatives.

  14. L’actif net des funds –zone euro

  15. L’actif net des funds –USA déc. 2001

  16. Des titres aux risques très différents • La hiérarchie des risques : • les actifs les moins volatiles : instr. Monétaires • les actifs les plus volatiles : actions • Ordres de grandeur des volatilités: • Monétaire : 2-3% • Obligations : 6-8 % • Actions : 20% (voire 40% pour certains secteurs) • L’exemple de la période 1994-2006 Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  17. Les bons du Trésor

  18. Les obligations du Trésor Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  19. Les actions Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  20. Les actions (2) Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  21. Les obligations (retour)

  22. Caractéristiques des actions • Des phases prolongées de croissance et de recul • Des gains et des pertes importants (relativement à ceux des instruments monétaires et des obligations) Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  23. Bear and Bull Source : Global Financial Data Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  24. Les « 20 pires » années Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  25. Les « 20 meilleures » années

  26. Les horizons de la finance • L’horizon d’un ménage (ou d’un fonds de pension) = horizon du cycle de vie (ou d’activités des ménages) = de l’ordre de 30 ans  l’importance sur les rendements à long terme.

  27. « Le triomphe des optimistes » • Au delà des évolutions de court terme, sur notamment les données américaines du XXe siècle, performance impressionnante des actions. • Dimson, Marsh & Staunton « The Triumph of the Optimists » 2001 Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  28. Le triomphe des optimistes (2) Etats-Unis, 1925-2002 Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  29. Les triomphe des optimistes (3) • Growth stocks (Value stocks) : actions dont les perspectives de croissance sont supérieures à la moyenne, qui ont un ratio cours/bénéfice ou un PER élevé (faible). • Small stocks (Large stocks) : actions dont les capitalisations sont relativement faibles (importantes), par exemple les 20% les plus faibles du marché Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  30. Le triomphe des optimistes (4) + internationales (pays développés, pays émergents)

  31. Le triomphe des optimistes (5) Pays : Etats-Unis Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  32. Le triomphe des optimistes (6) • Conséquence : Jeremy Siegel : pour des investissements à 30 ans (cycle de vie), l’investissement à 100% en actions est optimal. Car : • prime de risque >> 0 • volatilité diminue avec l’horizon Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  33. Volatilité et horizon • Hypothèse : autocorrélation des rendements nulle • Hypothèse : stationnarité de la volatilité annuelle Volatilité du rendement (annualisé) sur t années Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  34. Volatilité et horizon Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  35. Les incertitudes sur les rendements à long terme • La fragilité des primes de risque observées sur les Etats-Unis : • « volatilité » des rendements à 30 ans • Le Xxe siècle une période exceptionnelle • Le biais du survivant et les rendements internationaux Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  36. Volatilité et horizon (retour) • Hypothèse : autocorrélation des rendements nulle et « stationnarité » de la volatilité annuelle Rend moyen estimé : Volatilité estimée : Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  37. Volatilité et horizon (suite) Au seuil de confiance de 5% : Plus l’horizon (T) est lointain, plus la volatilité à utiliser est petite. Calibration :

  38. Volatilité et horizon (retour)

  39. Les incertitudes sur les rendements à long terme

  40. Les incertitudes sur les rendements Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  41. Un Xxe siècle exceptionnel L’expérience du Royaume-Uni Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  42. Un Xxe siècle exceptionnel L’expérience du Royaume-Uni Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  43. Un Xxe siècle exceptionnel Les Etats-Unis Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  44. Un Xxe siècle exceptionnel Les Etats-Unis : Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  45. Le biais du survivant • Où aurait-on investi en 1910? Aux Etats-Unis mais aussi en Russie, en Argentine, etc. Le biais des statistiques : - elles sont centrées sur les Etats-Unis; - elles ignorent les désastres ayant conduit à la fermeture des marchés ou à la disparition des titres (biais du survivant). Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

  46. Le biais du survivant (suite)

  47. Conclusion • Dans une perspective de cycle de vie, il existe de nombreuses incertitudes historiques, statistiques sur le rendement espéré des actions. • « Consensus » : correction à la baisse de la prime de risque. Ingénierie Economique et Financière, Paris-Dauphine

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