E N D
L’échantillon interrogé : L’échantillon interrogé, représentatif de la population des cadres français, est composé de 1190 personnes. Il a été constitué par extraction aléatoire parmi les cadres au sein de Newpanel, le panel en ligne représentatif d’OpinionWay. Il a été structuré par branche de façon à répondre aux objectifs de la Confédération et de ses différentes composantes. L’échantillon a été interrogé entre les 16 et 27 Mars 2006. • Le mode d’interrogation : • L’échantillon a été interrogé en ligne grâce à l’outil CAWI (computer assisted web interview) développé par OpinionWay. Les personnes interrogées sont invitées par e-mailing à se connecter sur le questionnaire accessible via un lien figurant dans le message de l’e-mail. Les réponses recueillies en ligne sont ensuite traitées et analysées dans la base de données ainsi constituée.
Q : Diriez-vous que vous exercez un 'métier pénible' ? Cadres 25%
Q : Considérez-vous que votre entreprise est 'active' en matière de prévention d'accidents ou de maladies ? Cadres 61% 39 %
Q : L'action de la médecine du travail est-elle suffisamment présente dans votre entreprise ? Cadres 45% 55%
Q : Seriez-vous favorable à la mise en place d'un 'curriculum laboris' consignant les risques auxquels vous avez été soumis durant votre carrière professionnelle ? Base totale Cadres 75%
Q : Diriez-vous que la réparation consécutive à une maladie ou à un accident du travail et consistant en une somme forfaitaire basée sur le salaire est juste ? Cadres 55%
Une proportion non négligeable de cadres (25 %) estime exercer un métier pénible • Une posture critique des cadres face à leur entreprise dans le domaine des accidents et des maladies : • Près de 4 sur 10 d’entre eux considèrent que leur entreprise n’est pas active en matière de prévention des accidents et des maladies • Plus d’1 sur 2 juge que la médecine du travail n’est pas suffisamment présente dans leur entreprise • Des solutions majoritairement attendues : • Les trois quarts des cadres se déclarent favorables à la mise en place d’un « curriculum laboris » • Plus d’1 sur 2 considère comme juste la réparation consécutive à une maladie ou à un accident sous forme de somme forfaitaire.