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Histoire de la mortalit

lorelei
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    1. Histoire de la mortalit

    2. La table de mortalit

    3. Table dUlpien C'est pour tablir la valeur des rentes viagres connues ds l'Antiquit que le juriste romain Ulpien (fin du IIIe sicle) propose sa table, fonde, non sur des calculs, mais sur une estimation approximative des risques de mortalit chaque ge.C'est pour tablir la valeur des rentes viagres connues ds l'Antiquit que le juriste romain Ulpien (fin du IIIe sicle) propose sa table, fonde, non sur des calculs, mais sur une estimation approximative des risques de mortalit chaque ge.

    4. Struyck 1740 On a imprim Amsterdam, en 1729, un Calcul des Rentes viagres daprs la grandeur des Rentes amortissables par Isaac de Graaf, qui est bas sur quelques hypothses et o lon na pas eu gard aux donnes exactes fournies par les registres de la mortalit. La mortalit ncoute pas nos suppositions; cest par lexprience quil faut la connatre, car sans elle on perd le fil.

    5. Struyck 1740 Considrons cependant la base sur laquelle lauteur nomm construit sa thorie. Il exige quon accepte avec lui sans discussion les deux propositions suivantes, textuellement reproduites ici: I. Que la force vitale de lhomme est la plus grande lpoque de sa naissance; II. Que cette force vitale ou pouvoir de continuer vivre spuise avec le temps, en diminuant dune certaine quantit tous les six mois; cette diminution tant dabord faible et presque insensible (quoique jamais nulle ou ngative), puis plus grande aprs plusieurs annes et surtout la fin; de telle sorte que la diminution du semestre suivant, quelque petite ou quelque grande quelle puisse tre, est toujours suprieure celle du semestre prcdent, jusqu ce que la force vitale soit entirement puise: cest alors, et alors seulement, que finit la vie daprs notre hypothse. Mais comment peut-on accepter ces propositions sans aucune modification? Il sensuivrait quil est plus avantageux dacheter des rentes viagres pour de jeunes enfants ou pour des enfants nouveau-ns que pour ceux qui ont dj atteint lge de dix ans. Or, tout le monde sait que le contraire est vrai; car si lon considre 100 enfants nouveau-ns, il ne sen trouvera plus que 47 au bout de dix ans; tandis que de 100 enfants gs de 10 ans, 93 vivent encore en gnral au bout de 10 ans. Critique par Struyck des hypothses de Isaac de Graaf.Critique par Struyck des hypothses de Isaac de Graaf.

    6. Table de Graunt (1662)

    7. Table de Graunt compare Le tableau met en parallle la table de Graunt, les calculs de Dodson, et la table que lon considre la plus fiable au XVIIIe sicle, celle de Pehr Wargentin dresse en Sude pour les annes 1753-1762 Le tableau met en parallle la table de Graunt, les calculs de Dodson, et la table que lon considre la plus fiable au XVIIIe sicle, celle de Pehr Wargentin dresse en Sude pour les annes 1753-1762

    8. Halley 1693 Mais ce quils ont Dduit de ces Bulletins de Mortalit a sembl dfectueux ces Auteurs eux-mmes ; Premirement en ceci que le Nombre de la Population manquait. Deuximement en ceci que les ges des Gens qui meurent ne pouvaient tre obtenus. Enfin Troisimement en ceci qu la fois Londres et Dublin, en raison du grand et accidentel Afflux dtrangers qui y meurent (ainsi quil appert dans les deux [villes] du grand Excdent des Enterrements sur les Naissances) les rendaient impropres servir de Modles cette fin; laquelle chose requiert, si cela est possible, que les Gens dont nous traitons ne changent pas du tout mais meurent l o ils sont ns, sans aucun Accroissement Adventice venant de lExtrieur, ou Diminution en Migrant ailleurs.

    9. Table de Halley

    10. Halley 1693 Il appert que, dans les Cinq Annes mentionnes, savoir de 87 91 inclusivement, 6193 Personnes sont nes, et 5869 ont t enterres; cest--dire, par An, 1238 ns et 1174 enterrs; do lon peut arguer dun Accroissement de la Population de 64 par An, ou d peu prs la 20e partie, ce que, peut-tre, compensent les Leves pour le Service de lEmpereur en ses Guerres. Mais ceci tant contingent, alors que les Naissances sont certaines, je supposerai la Population de Breslau crotre annuellement de 1238 Naissances. De ces dernires, il appert des mmes Tables que 348 meurent par an dans la premire Anne de leur ge, et que seulement 890 parviennent une pleine Anne dge; et, de mme, que 198, pris selon un Milieu, meurent dans les Cinq Annes comprises entre 1 et 6 accomplies; de sorte que seulement 692 dentre les Personnes nes survivent Six Annes entires. A partir de cet ge, les Enfants, parvenus quelque degr de Robustesse, deviennent de moins en moins Sujets la Mort...

    11. Halley 1693 Daprs cette Table, il est vident que, de lge de 9 environ 25, il ne meurt pas plus de 6 de chaque ge par Anne, ce qui est peu prs 1 pour Cent de ceux qui ont ces ges. Et quoique dans les 14e, 15e, 16e, 17e Annes, il paraisse quil en meurt encore beaucoup moins, savoir 2 et 3 1/2, ceci semble plutt devoir tre imput au Hasard, comme les autres Irrgularits dans les Sries des ges, lesquelles se rectifieraient delles-mmes si le nombre des Annes tait bien plus considrable et tel que 20 au lieu de 5 [] De 25 50, 7, 8 et 9 semblent mourir par Anne, de chaque ge; et, aprs cela jusque 70, ils deviennent plus dlabrs et, quoique leur nombre diminue beaucoup, la Mortalit augmente; et lon trouve quil en meurt 10 ou 11 de chaque ge par Anne; De l suit que le nombre des Vivants devient trs petit, puisquils dclinent jusqu ce quil nen reste plus pour mourir...

    12. Table 1 de Struyck Struyck utilise des registres des rentes viagres. Ce sont en ralit des livres de compte actuariels o sont ports les versements et les ges au dcs des rentiers. En effet, dans ces livres, figurent la date du commencement de la rente et la date de son extinction, savoir la mort de la tte rente. La table permet de voir immdiatement, pour chaque groupe de 5 annes d'ge, le nombre de survivants, ceux qui sont exposs au risque de mourir. Le total de chaque colonne reprsente l'ensemble des survivants pour ce groupe d'ge, rsultant de deux phnomnes: 1) ceux qui ne sont pas morts parmi les survivants des ges prcdents et 2) ceux qui s'ajoutent en ayant leur tte rente ces ges. Il s'agit donc bien de cohortes et d'une rflexion prenant en compte la dynamique du cours du temps. Si l'on additionne les entrants chaque groupe d'ge, c'est--dire ceux sur lesquels est achete une rente et qui inaugurent une nouvelle cohorte destine progressivement s'teindre, ou encore les nombres placs en descendant diagonalement dans les coins les plus gauche, on retrouve comme il se doit l'effectif total, soit 794 hommes et 876 femmes. Par exemple, pour les hommes: 100 + 110 + 108 + 68 + 65 + 50 + 48 + 26 + 53 + 52 + 43 + 20 + 16 + 8 + 20 + 7 = 794. Struyck utilise des registres des rentes viagres. Ce sont en ralit des livres de compte actuariels o sont ports les versements et les ges au dcs des rentiers. En effet, dans ces livres, figurent la date du commencement de la rente et la date de son extinction, savoir la mort de la tte rente. La table permet de voir immdiatement, pour chaque groupe de 5 annes d'ge, le nombre de survivants, ceux qui sont exposs au risque de mourir. Le total de chaque colonne reprsente l'ensemble des survivants pour ce groupe d'ge, rsultant de deux phnomnes: 1) ceux qui ne sont pas morts parmi les survivants des ges prcdents et 2) ceux qui s'ajoutent en ayant leur tte rente ces ges. Il s'agit donc bien de cohortes et d'une rflexion prenant en compte la dynamique du cours du temps. Si l'on additionne les entrants chaque groupe d'ge, c'est--dire ceux sur lesquels est achete une rente et qui inaugurent une nouvelle cohorte destine progressivement s'teindre, ou encore les nombres placs en descendant diagonalement dans les coins les plus gauche, on retrouve comme il se doit l'effectif total, soit 794 hommes et 876 femmes. Par exemple, pour les hommes: 100 + 110 + 108 + 68 + 65 + 50 + 48 + 26 + 53 + 52 + 43 + 20 + 16 + 8 + 20 + 7 = 794.

    13. Struyck par Sssmilch

    14. Struyck par Sssmilch Cest la table des hommes correspondant, republie par Sssmilch.Cest la table des hommes correspondant, republie par Sssmilch.

    15. Struyck : tables par sexe

    16. Sssmilch 1741 Tableau des vies moyennes par sexe repris de Struyck 1740.Tableau des vies moyennes par sexe repris de Struyck 1740.

    17. Struyck : taux de la rente

    18. Sssmilch 1741 Cest le tableau du taux de la rente viagre pour les hommes, repris de Struyck 1740.Cest le tableau du taux de la rente viagre pour les hommes, repris de Struyck 1740.

    19. Halley 1693 Car si lon divise le nombre de Personnes de chaque ge restant aprs une anne, par sa diffrence avec le nombre [de personnes] de lge propos, [le rsultat] montre les chances quil y a quune Personne de cet ge ne meure pas en lespace dun An. Comme par exemple, une Personne de 25 Annes dge a 560 chances contre 7 ou 80 contre 1 de ne pas mourir dans lespace dune Anne: Parce que, parmi les 567 vivants de 25 ans dge, il nen meurt pas plus de 7 en lespace dune Anne, et 560 restent, gs de 26 Ans. Quotients de mortalit.Quotients de mortalit.

    20. Halley 1693 Il en va de mme pour les chances quune Personne quelconque ne meure pas avant datteindre un ge quelconque propos: Prenez le nombre des Personnes restantes de lge propos et divisez-le par sa diffrence avec le nombre de celles de lge de la Partie propose; et [le rsultat] montre les chances quil y a entre le Hasard que celles-ci vivent [encore] ou soient mortes. Comme par exemple: Quelles sont les chances quun Homme de 40 ans vive [encore] 7 ans: Prenez le nombre des Personnes de 47 ans, qui est 377 dans la Table, et tez-le du nombre des Personnes de 40 ans, qui est 445, et la diffrence est 68: ce qui montre que les Personnes qui meurent dans lespace de ces 7 ans sont 68 et quil y a 377 [chances] contre 68 ou 5 1/2 contre 1 quun Homme de 40 ans vive [encore] 7 Annes. Et pareillement pour un quelconque autre nombre dAnnes. Esprance de vie un ge quelconque.Esprance de vie un ge quelconque.

    21. Struyck 1740 Si lon dsire savoir combien dannes des personnes dun ge dtermin peuvent encore esprer vivre, en dautres termes jusqu quel ge on peut parier, 1 contre 1, quils vivront; et plus gnralement si lon demande lge jusquo lon peut parier un nombre donn contre 1 quils vivront, nos tables fournissent la rponse.

    22. Struyck 1740 : comparaison avec Halley On voit par ce qui prcde quon peut parier 1 contre 1 quun homme de 50 ans vivra encore 13 ans et une femme du mme ge 16 ans, ce qui fait 15 ans en moyenne. Daprs la table de M. Halley on trouve un peu moins de 17 ans pour la moyenne. Si lon voulait parier 1 contre 1 quun homme de 50 ans vivra encore 20 ans, on aurait 97 chances de gagner contre 216 de perdre. De mme, sil sagit dune femme, 21 de gagner contre 31 de perdre. Daprs la table de M. Halley une personne ge de 50 ans a 71 chances datteindre lge de 70 ans contre 102 chances de mourir plus tt.

    23. Sssmilch 1762 Cette investigation [dure probable et dure moyenne de la vie chaque ge] est d'importance et renferme le fondement de la dtermination des rentes viagres. Si l'on sait combien de temps un homme d'un ge donn a encore probablement vivre, ou comment est faite la dure moyenne de la vie des hommes qui ont 20 ou 30 ans, on peut alors dterminer l'intrt [der Zins] ou rente [die Rente] qu'on doit donner quelqu'un si l'on veut lui rembourser le capital donn avec les intrts et avec les intrts des intrts.

    24. Sssmilch 1762 Ce que lon appelle la dure moyenne de la vie (die mittlere Dauer des Lebens) est ce que lon trouve en faisant la somme de toutes les annes quun certain nombre de personnes ont vcu et en divisant ensuite celle-ci par ce nombre de personnes, do le quotient montre le nombre moyen des annes (die mittlere Zahl der Jahre) que chacun a vcu et aurait vcu si les annes dge de toutes les personnes avaient toutes t gales.

    25. Sssmilch 1762 Cette dure moyenne de la vie demande [] que lon sache le nombre des annes de chaque mort et quon procde de la manire dcrite. On voit aisment que cette mthode est pnible [mhsam]. Monsieur Deparcieux en a us et la explique clairement et de manire circonstancie. Mais, mon avis, ce travail pnible [diese mhsame Arbeit] nest pas ncessaire puisque la mthode susmentionne de Halley pour trouver lesprance probable de la vie [die wahrscheinliche Hoffnung des Lebens] donne la plupart du temps le mme rsultat que cette mthode pour dterminer la dure moyenne. Baumann crit ceci dans ldition de 1776: Smilch a donc raison en tant qu'il pose que les deux mthodes sont la plupart du temps semblables ou qu'elles donnent l'une et l'autre des rsultats rapprochs [beyde Methoden mehrentheils einerley oder sich einander doch nahe kommende Produkte geben], quoiqu'il n'ait pas bien saisi l'une des mthodes. Baumann crit ceci dans ldition de 1776: Smilch a donc raison en tant qu'il pose que les deux mthodes sont la plupart du temps semblables ou qu'elles donnent l'une et l'autre des rsultats rapprochs [beyde Methoden mehrentheils einerley oder sich einander doch nahe kommende Produkte geben], quoiqu'il n'ait pas bien saisi l'une des mthodes.

    26. Baumann 1776 Qu'on pose 1000 enfants nouveau-ns. La somme de leurs annes de vie eux tous sera 29918. Et gale est la somme des parts qu'ils doivent toucher ensemble, chacun sa vie durant. C'est autant que si chacun avait 29 ans . D'aprs [le calcul de la vie probable], il ne viendrait que 22 ans pour chacun. C'est trop peu, et si, par exemple, ces parts payer annuellement devaient tre des rentes viagres, lacheteur n'y trouverait pas du tout son compte s'il ne se faisait payer que pour 22 ans .

    27. Antiquit : estimations de la mortalit Il sagit dune estimation de l'esprance de vie divers ges. Une mthode pour estimer les ges (et notamment pour construire des tables de mortalit hypothtiques) consiste se fonder sur les inscriptions funraires: 8 065 inscriptions Rome, 4 646 pour le reste de l'Italie, 10 697 en Afrique, 1 996 en Espagne, 2 345 en Asie, Grce et Illyrie, 813 en gypte, 422 en Gaule narbonnaise.Il sagit dune estimation de l'esprance de vie divers ges. Une mthode pour estimer les ges (et notamment pour construire des tables de mortalit hypothtiques) consiste se fonder sur les inscriptions funraires: 8 065 inscriptions Rome, 4 646 pour le reste de l'Italie, 10 697 en Afrique, 1 996 en Espagne, 2 345 en Asie, Grce et Illyrie, 813 en gypte, 422 en Gaule narbonnaise.

    28. Antiquit : ges mdians au dcs Une mthode permet de corriger ces exagrations. On mesure l'ge mdian au dcs pour le groupe des survivants 15 ans, c'est--dire l'ge auquel a disparu la moiti de l'effectif d'une cohorte considre partir de 15 ans. Ce qui permet d'carter le sous-enregistrement des dcs d'enfants et l'exagration des grands ges. Une mthode permet de corriger ces exagrations. On mesure l'ge mdian au dcs pour le groupe des survivants 15 ans, c'est--dire l'ge auquel a disparu la moiti de l'effectif d'une cohorte considre partir de 15 ans. Ce qui permet d'carter le sous-enregistrement des dcs d'enfants et l'exagration des grands ges.

    29. Antiquit Les enfants en bas ge sont peu reprsents: en Afrique, 48 enfants de moins d'un an sur 10 697 personnes, Rome 120 sur un total de 8 065... On a pu nanmoins construire le prsent tableau. Pour les 2 sexes runis, l'esprance de vie la naissance est de 29,2 ans en Asie, Grce et Illyrie; de 20,7 en Gaule cisalpine; de 24,6 en Italie du sud; de 23 en Gaule; de 28,7 en Egypte. Il est impossible d'expliquer ces disparits. S'agissant essentiellement de dcs urbains, il ne sy trouve gure de diffrences d'hygine et de salubrit. Dans les statistiques africaines, le quart des inscriptions concerne des dcds de plus de 70 ans; 7% des dcds de plus de 90 ans; 3% des centenaires, parmi lesquels 27 auraient dpass 120 ans... Les enfants en bas ge sont peu reprsents: en Afrique, 48 enfants de moins d'un an sur 10 697 personnes, Rome 120 sur un total de 8 065... On a pu nanmoins construire le prsent tableau. Pour les 2 sexes runis, l'esprance de vie la naissance est de 29,2 ans en Asie, Grce et Illyrie; de 20,7 en Gaule cisalpine; de 24,6 en Italie du sud; de 23 en Gaule; de 28,7 en Egypte. Il est impossible d'expliquer ces disparits. S'agissant essentiellement de dcs urbains, il ne sy trouve gure de diffrences d'hygine et de salubrit. Dans les statistiques africaines, le quart des inscriptions concerne des dcds de plus de 70 ans; 7% des dcds de plus de 90 ans; 3% des centenaires, parmi lesquels 27 auraient dpass 120 ans...

    30. Tables dactuaires XIXe sicle Il sagit des vies moyennes.Il sagit des vies moyennes.

    31. Deparcieux 1746

    32. Deparcieux 1746 (1)

    33. Deparcieux 1746 (2)

    34. Deparcieux 1746 : Table XIII (1)

    35. Deparcieux 1746 : Table XIII (2)

    36. Deparcieux 1746 : extrait de la Table XIII

    37. Tontine Lafarge

    38. Tables du XIXe compares

    39. Tables de survie compares XIXe sicle

    40. Sssmilch 1762

    41. Sssmilch 1762 : vie moyenne et vie probable

    42. Un calcul de Sssmilch sur le nombre des hommes et des femmes

    43. Proportion des baptmes la population (daprs Sssmilch)

    44. Sssmilch 1762 : dcs en Pomranie

    45. Sssmilch : mortalit saisonnire Berlin

    46. Duvillard 1807 Analyse de la mortalit par petite vrole.Analyse de la mortalit par petite vrole.

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