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Qu’est ce que l’ hypodermoclyse ?

Qu’est ce que l’ hypodermoclyse ?. La perfusion sous cutanée. Pre requis. Précautions standard Règles d’hygiène et d’asepsie Ateliers cliniques Pharmacologie Pratique en stage. PLAN. Introduction I. les indications la déshydratation la dénutrition la douleur Autres

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Qu’est ce que l’ hypodermoclyse ?

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Presentation Transcript


  1. Qu’est ce que l’hypodermoclyse?

  2. La perfusion sous cutanée

  3. Pre requis • Précautions standard • Règles d’hygiène et d’asepsie • Ateliers cliniques • Pharmacologie • Pratique en stage

  4. PLAN • Introduction • I. les indications • la déshydratation • la dénutrition • la douleur • Autres • 2 Contres indications, surveillance, complications • 3 la technique • film • protocole • Conclusion

  5. INTRODUCTION • Définition de la personne âgée:

  6. Une personne âgée est, pour le sens commun, une personne dont l'âge est avancé et qui présente les attributs physiologiques et sociaux de la vieillesse tels que la société se la représente. • On définit aussi une personne âgée comme étant un individu de 65 ans et plus.

  7. Selon les données de l’insee de 2009, il y a environ 12 millions de personnes âgées en France. • De plus, l'espérance de vie d’un homme à sa naissance est de 77,8 ans et pour une femme est de 84,5 ans.

  8. Définition perfusion sous cutanée ou hypodermoclyse: • Technique d'injection qui permet d'administrer dans le tissu sous-cutané d'un patient : des solutés et ou des médicaments en continu ou en discontinu dans le tissu sous cutané sur prescription médicale

  9. Cette technique est très utilisée en soins palliatifs et dans les situations de fin de vie ainsi qu’en gériatrie et chez la personne âgée à domicile.

  10. Cet exposé s’appuie sur • Le Décret n° 2004-802 du 29 Juillet 2004 • ARTICLE R-4311-2 :  « Les soins infirmiers préventifs, curatifs ou palliatifs… » • ARTICLE R-4311- 3 : «…soins liés aux fonctions d’entretien et de continuité de la vie… » • Article R. 4311- 5 : «…Surveillance… » • Article R 4311-7 : « …application d’une prescription médicale… »

  11. Les 10 compétences infirmières : • 1.Evaluer une situation clinique et établir un diagnostic infirmier dans le domaine infirmier • 2.Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers • 3. Accompagner une personne dans la realisation de ses soins quotidiens. • 4.Mettre en œuvre des actions à visées diagnostiques et thérapeutique • 5.Initier et mettre en œuvre des soins éducatifs et préventifs

  12. 6.Communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins • 7.Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle • 9.Organiser et coordonner les interventions soignantes • 10. Informer et former des professionnels et des personnes en formation.

  13. I. Les indications

  14. 1) La deshydratation • Définition : • Perte d’eau accompagnée de désordre électrolytique de deux types : • Intracellulaire : eau • Extracellulaire : Sodium • Phénomène très fréquent chez les personnes âgées.

  15. Causes • Perte de la sensation de soif • Chaleur • Diarrhée • Vomissements • Due a la perte d’autonomie

  16. Les surveillances cliniques : • Persistance du pli cutané • Perte de poids • Secheresse des muqueuses. • Marbrure , extrémités froide • Pouls filant, hypotension • Oligurie , anurie • Sensation de soif • Risque d’hypovolémie • Asthénie • Trouble de la vigilance

  17. Surveillance biologiques : • Ionogramme sanguin afin de connaître le taux de natrémie (La norme est de 140 mmol/L)

  18. Actions infirmières afin d’effectuer un bilan hydrique • Peser le patient dès lors de son arrivée dans le service ou la structure • Noter la natrémie du patient.

  19. 2) La dénutrition • Définition : • Déficience nutritionnelle consécutive à une carence d’apports (vitamines, protéines)

  20. Pourquoi? • Quelques exemples : • La solitude peut favoriser la perte d’appétit • Difficultés liées à l’âge : démence, malvoyance, diminution du goût et de l’odorat, perte d’autonomie

  21. Les surveillances • Effectuer un recueil de données auprès du patient et de son entourage sur les habitudes alimentaires. • Pesée :calcul de l’IMC : rappel : poids / taille ² • Biologie : Albuminémie et protidémie (valeur normal de la protidémie : 70 g/L)

  22. 3 ) La douleur • Définition : • Selon l’Association internationale de l’étude de la douleur (1979) : « la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en terme d’un tel dommage ». • « Chez la personne âgée, un tiers des douleurs sont des douleurs sévères ; sept douleurs sur dix sont sur des sujets non communicants »

  23. Composantes de la douleur :

  24. Sensorielle : liée aux mécanismes physiologiques de la douleur, propres à chacun en qualité, localisation, intensité, durée

  25. Affectivo-émotionnelle : évaluation de l’humeur, impact de la douleur sur l’individu (colère, agressivité, dépression, repli sur soi, angoisses)

  26. cognitive : attitude vis-à-vis de la douleur

  27. Comportementale : dimension relationnelle avec l’entourage : manifestations verbales et non verbales

  28. Principales douleurs chez la personne âgée : • douleurs articulaires, • douleurs de constipation, • douleurs neurologiques, …

  29. L’évaluation de la douleur chez la personne âgée peut être rendue difficile voire inconcevable si la personne présente une démence de type Alzheimer, un état confusionnel, une atteinte du langage ou un trouble sensoriel. • Ou encore, l’évaluation peut être rendue difficile si le soignant ne croit pas à une plainte d’une douleur aiguë chez une personne se plaignant de façon récurrente et imprévisible de douleurs chroniques

  30. Comment évaluer la douleur ?

  31. Quels antalgiques peuvent être administrés par le biais d’une perfusion sous cutanée ?

  32. Les antalgiques pouvant être administrés par une perfusion sous cutanée : • Morphine (palier 3), • Nalbuphine (palier 3), • Buprénorphine (palier 3), • Nefopam (palier 1) ,

  33. Péthidine (palier 3), • Fentanyl (palier 3), • Méthadone (palier 3) ; • des antispasmodiques (Butylhyoscine, butylbromure de scopolamine) ; • des salicylés.

  34. Le paracétamol est rarement administré ; des douleurs peuvent être occasionnées au site du point de ponction. Des recherches sont faites à ce sujet.

  35. Autres indications • Difficulté ou impossibilité d’absorption par voie orale • Veines fragiles, capital veineux restreint, médicaments agressifs pour les veines

  36. Avantages • respect du capital veineux • contribue au confort du patient • évite agression cutanée et entrave à la mobilité • facilité de mise en place et de surveillance • permet d’éviter l’hospitalisation • technique bénéfique au point de vue humain et financier

  37. II- CONTRE-INDICATIONS, EFFETS SECONDAIRES, SURVEILLANCE

  38. 1) Contre Indications • Situations d’urgence comme état de choc, le collapsus • Troubles hydro-électrolytiques sévères • Insuffisance cardiaque grave • Zones oedèmatiées • Zones en déclive • Patient sous anticoagulant • Infections cutanées

  39. Effets secondaires,complications • Œdème parties génitales si perfusion dans la paroi latérale de l’abdomen • Risque d’infection du site d’injection (minime si changement du point d’injection et de l’aiguille quotidiennement) • Douleur (rare), peut être due à un mauvais positionnement de l’aiguille ou à un débit trop important)

  40. SURVEILLANCE • Petit gonflement normal en début de perfusion • En cas de réaction locale, comme prurit, hématome, abcès, nécrose, zone inflammatoire, sang dans la tubulure : CHANGER DE SITE DE PERFUSION • Douleur au point d’injection : arrêt de la perfusion • Etat du pansement, si souillé … le changer

  41. FILMS

  42. Conclusion

  43. La perfusion sous cutanée est une alternative aux autres voies d’administration lorsque la réhydratation orale est impossible ou insuffisance chez les patients âgées. • Cela reste une technique simple, peu agressive, avec des effets secondaires rares. • Il est bien évident que le risque de complication est réduit si les règles d’hygiène et de technique de pose sont rigoureusement respectées. • Elle augmente le confort du patient entrainant une immobilisation moindre ( perfusion nocturne ) , d’eviter une hospitalisation, tout ceci reste donc benefiques sur le plan psychologique et financier.

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