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Néphrogramme isotopique

Néphrogramme isotopique. Principe : injection d'un traceur à élimination rénale préférentielle Acquisition d'images à cadence rapide pendant le transit du traceur dans les reins. Post traitement informatique avec quantification du transit dans des ROI (courbes de transit rénal)

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Néphrogramme isotopique

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Presentation Transcript


  1. Néphrogramme isotopique • Principe : injection d'un traceur à élimination rénale préférentielle • Acquisition d'images à cadence rapide pendant le transit du traceur dans les reins. • Post traitement informatique avec quantification du transit dans des ROI (courbes de transit rénal) • Analyse visuelle "qualitative" des cinés. • Détermination de paramètres fonctionnels

  2. Traceurs • Les traceurs utilisés : MAG3, DTPA, OIH • Peuvent être uniquement filtrés: DTPA ou traceur "glomérulaire", reflet du DFG • Peuvent être filtrés et sécrétéspar les tubules : MAG, OIHou traceur "tubulaire", reflet du DPR effectif (dépend de la fraction de filtration).

  3. Traceurs tubulaires

  4. Les traceurs • DTPA : filtration glomérulaire pure • MAG 3 : filtration (faible) et surtout sécrétion tubulaire

  5. Caractéristiques des traceurs Le MAG 3 est essentiellement sécrété par les tubules mais son taux d'extraction (45%) est le double de celui du DTPA => meilleures images si immaturité ou insuffisance rénale

  6. Paramètres d’acquisition • Voie veineuse + entretien - hydratation • Sondage si mégauretère • Matrice 128*128, collimateur GP • Injection du traceur en bolus (dose EANM) • Acquisition dynamique en 2 séries : • 1 : 3 min à cadence rapide (2s) • 2 : Environ 30 min à cadence lente (10s) • Image post mictionnelle si AR

  7. Analyse visuelle • Ciné qui permet de se faire une idée du remplissage et de la vidange ainsi que d'un éventuel bougé du patient. • Images "somme" pour analyser l'homogénéité de captation, la présence de stase dans les bassinets, la visualisation d'uretères dilatéset pour tracer les ROI

  8. Analyse visuelle de la séquence Indisponible

  9. NEPHROGRAMME normal Indisponible

  10. Paramètres fonctionnels • Répartition G/Dou « clairances », plusieurs méthodes de calcul disponibles.(norm. 50% à G et 50% à D) • Temps de Pic(maximum) norm. < 10 min (2-3') • % éliminéà 20 min et à 31 min • Temps de transit moyen(par déconvolution ou analyse factorielle) : reflet de la "vitesse d'élimination" du traceur.

  11. Néphrogramme normal temps de pic phase 1 : vasculaire (arrivée passive du traceur dans le rein) phase 2 : captation (active) phase 3 : élimination (active et passive)

  12. Néphrogramme normal fonctionrelative temps de pic reflet dutemps detransit moyen

  13. Uropathies dilatées • Pathologie urétérales vésicales • Hydronéphrose et syndrome de la Jonction Pyélo Uretérale (JPU)

  14. Néphrogramme en hyperdiurèse • Appelé aussi : test de vidange • On utilise un diurétique d'action rapide (furosémide)qui a pour effet d‘  le débit urinaire • Si obstruction "totale": pas d'effet de vidange • Si obstacle partiel: l'augmentation de la quantité d'urine augmente la pression dans les cavités pyélo-calicielles et favorise leur vidange qui reste ralentie

  15. Réalisation pratique • Néphrogramme "classique" de préférence au MAG3 • Attention à l'hydratation +++ • Injection lasilix 1 mg/kg : • Vers 15 min • Au max de remplissage du bassinet (visuel) • 15 min avant l'injection du traceur

  16. Zones d'intérêt • ROI rénale : le plus simple • ROI pyélocalicielle : utile dans les JPU • ROI(s) urétérales : utiles si mégauretère • ROI vésicale : si obstacle fonctionnel • ROI de bdf(bruit de fond) : croissant inféro externe • ROI multiples si duplicité • ROI cardiaque ou aortique

  17. PARAMETRES QUALITATIFS • Forme de la courbe QUANTITATIFS • Temps d ’élimination : T1/2 ou T75 • Temps de pic T max (< 10 min) • Activité résiduelle : AR 20 ou AR 30

  18. Aspects pathologiques lasilix Normal Léger retard (obstruction "limite" ou "paresse" pyélique?) Obstruction typique Obstruction avec retentissement rénal (captation altérée)

  19. Classification (selon Conway,1992)

  20. Syndrôme jonctionnel obstructif activitérésiduelleimportante absenced'excrétionspontanée absenced'effet duLasilix

  21. JPU partiellement obstructive

  22. Pas d'obstruction

  23. Suivi JPU partiellement obstructive 8% 18% 14% 24%

  24. Evaluation du geste chirurgical

  25. Évaluation duplicité urétérale

  26. Mégauretère gauche

  27. Problèmes méthodologiques • Moment de l ’examen : âge > 1 mois • Choix du traceur • Injection du Lasilix : avant, après? • Hydratation : naturelle, contrôlée? • Sondage vésical? • Position de l’enfant • Choix des ROI

  28. CONTROLABLES : Hydratation Réplétion vésicale Immobilisation ROI Injection diurétique Critères d ’interprétation INCONTROLABLES : Sévérité de l ’obstruction Fonction rénale Compliance des voies urinaires CAUSES D ’ERREUR Conway, Sem Nucl Med 1992, 22

  29. CONCLUSION • Examen performant mais : • Nécessité de standardisation • Paramètres non maitrisables • Performances variables • Discussion méthodologiques en cours • Intérêt de séries de validation • Problèmes des obstructions intermittentes

  30. Données de radioprotection r e i n v e s s i e o v a i r e t e s t i c u l e U I V 1 8 7 5 4 3 5 0 3 0 5 5 7 8 D M S A 1 4 6 0 3 6 0 4 0 2 1 ( 2 m C i ) ( - 2 2 % ) ( - 9 2 % ) ( - 9 9 % ) ( - 7 3 % ) D T P A 2 4 7 1 7 1 3 6 7 5 0 ( 5 m C i ) ( - 8 7 % ) ( - 6 1 % ) ( - 9 8 % ) ( - 3 6 % ) Les techniques isotopiques sont moins irradiantes

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