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L a déperdition au fil des trois vagues de l’enquête longitudinale Erfi-GGS

L a déperdition au fil des trois vagues de l’enquête longitudinale Erfi-GGS. Arnaud Régnier-Loilier, Nelly Guisse (Institut national d’études démographiques) Colloque francophone sur les Sondages 2012 – Rennes – 5 novembre 2012, session « Panels ». L’ enquête en 3 vagues… en 3 mots.

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L a déperdition au fil des trois vagues de l’enquête longitudinale Erfi-GGS

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Presentation Transcript


  1. La déperdition au fil des trois vagues de l’enquête longitudinale Erfi-GGS Arnaud Régnier-Loilier, Nelly Guisse (Institut national d’études démographiques) Colloque francophone sur les Sondages 2012 – Rennes – 5 novembre 2012, session « Panels »

  2. L’enquête en 3 vagues… en 3 mots Mise en place en France entre 2005 et 2011 (Ined, Insee) Déclinaison française du Generations and Gender Survey Thématique familiale ; 18-79 ans lors de la première vague Objectifs :  comparaisons internationales  dimension prospective : 3 vagues espacées de 3 ans Enquête non obligatoire Mêmes enquêteurs sollicités aux vagues succesives

  3. Au programme… • Procédure de “suivi” et nombre de répondants • Facteurs d’attrition entre V1 et V3 • Accentuation ou “sélection” : facteurs d’attrition identiques entre les vagues ( V1 / V2 et V2 / V3) ?

  4. 1. Suivi et nombre de répondants aux trois vagues

  5. Le suivi entre V1 et V3 Fiche de suivi à la fin de chaque vague Nom, prénom, adresse, téléphone,personnes relais Saisie manuelle des adresses par le SES : difficultés - pas d’outil existant - pas toujours le prénom du répondant Envoi de courriers de relance suite à V1 : - pour les répondants refusant le suivi - pour ceux n’ayant pas donné de relais Entre V1 et V3 : ~ 2 courriers / an, premiers résultats...

  6. Taux d’attrition entre V1 et V2 V1 2005 : 10 079 répondants - refus de poursuivre : 10 % - NPAI répétés, décès, parti à l’étranger, en institution : 8 % → échantillon 2008 : 8 341 personnes - refus de répondre : 8 % - impossible à joindre : 6 % - parti à l’étranger, en institution, inapte : 3 % - répondant 2008 ≠ 2005 (42 cas) V2 2008 : 6 534 répondants 35 %

  7. Taux d’attrition entre V1 et V3 1 274 non répondants à V2 396 (31%) 377 (30%) 73 (6%) 80 (6%) 348 “V1-3” V3 2011 : 5 781 répondants (ayant répondu à V1 et V3) soit une attrition de 43 % en 6 ans V2 2008 : 6 534 répondants - refus de poursuivre : 3 % → échantillon 2011 : 6 248 répondants à V2 - refus : 322 (5%) - IAJ : 226 (4%) - inapte : 117 (2%) - hors champ : 150 (2%) V3 2011 : 5 433 “V123” 13 % 73 %

  8. Refus de poursuivre ou autres raisons ? ~ 50 %de l’attrition(V123) s’explique par un refus de poursuivre ou de répondre à un moment donné ~ 50 % par d’autres raisons (impossible à joindre, perdu de vue, départ en institution, etc.) Proportions semblables entre V1/V2 et V2/V3 Sur l’ensemble des 18-79 ans n’ayant répondu qu’à la vague 1, environ 1/10e de l’attrition imputable à la mortalité

  9. 2. Facteurs d’attrition entre les vagues 1 et 3

  10. Géographie de l’attrition • Moindre attrition(<37 %) en : •  Auvergne •  Bretagne •  Pays de la Loire •  Loraine • Plus forte attrition (>50 %) en : •  Île de France •  Paca •  Languedoc •  Corse        

  11. Repéragedes facteurs « toutes choses égales » Beaucoup d’effets“liés” : type de commune, type de logement, intention de déménager... Régression logistique estimant la probabilité de ne pas avoir participé à la vague 3 Nombreux “essais” de modélisations pour s’assurer de la stabilité des résultats, tester des hypothèses, etc. Résultats difficilement “présentables” : synthèse

  12. Lieu d’habitation « Toutes choses égales », attrition plus forte... ... régions Île-de-France ... et Méditerranée ... des locataires ... en appartement ... ayant l’intention de déménager Moindre attrition chez les agriculteurs, communes <5000 habitants, et les propriétaires accédants (plus de refus) (moins de refus) (moins de refus) (autant) (moins de refus) (autant)

  13. Caractéristiques sociodémographiques (moins de refus) (moins de refus) (autant) (autant) (autant) « Toutes choses égales », attrition plus forte des... ... hommes ... âges extrêmes ... aucun diplôme ... chômeurs ... nationalités étrangères

  14. Santé, entourage, sociabilité (moins de refus) (moins de refus) (plus de refus) « Toutes choses égales », attrition plus forte des... ... très mauvaise santé ... seules (avec ou sans enfant < 3 ans) ... absence de confidence

  15. Posture par rapport à l’enquête lors de la 1ère vague (autant) (plus de refus) (plus de refus) « Toutes choses égales », attrition plus forte des... ... questionnaires courts ... personnes ne souhaitant pas recevoir les résultats ... refusant de répondre à questions → Chez les actifs, pas d’effet du temps de travail (proxi d’une plus ou moindre grande disponibilité)

  16. 3. D’une vague à l’autre :accentuation ou effet de sélection ?

  17. Question 35 % d’attrition entre V1-V2, 17 % entre V2-V3 : effet de sélection Mais les mêmes facteurs continuent-ils à jouer ? Hypothèses : → les facteurs liés à la mobilité, à l’accès au logement, à la santé, à la posture / à l’enquête se rejouent au fil du suivi → moindre effet des caractéristiques individuelles : diplôme, nationalité, sexe (effet de sélection)...

  18. Mise en œuvre Deux approches : - modélisation de la probabilité d’attrition V1/V2 et modélisation entre V2/V3 puis comparaison → les mêmes facteurs jouent-ils ? - modélisation unique sur l’ensemble des répondants à V1 (10079) et à V2 (6534) de la probabilité d’avoir répondu à la vague suivante, en intégrant des interactions entre la vague et chaque variable → une interaction significative indique que la variable joue différemment entre V1/V2 et V2/V3

  19. Résultats • Globalement, les mêmes facteurs se rejouent entre V2 / V3 avec une attrition plus forte pour... • Île-de-France, intention de déménager • refus de répondre, non intérêt pour les résultats • mauvaise santé perçue • Moindre attrition chez les agriculteurs, communes <5000 ha

  20. Résultats • Par contre : plus d’effet chez les non diplômés, les locataires, en région méditerranéenne ni de la longueur du questionnaire(effet de sélection) • Par contre, on retrouve le même effet entre V2 / V3... • des plus diplômés qui répondent mieux (accentuation) • de la nationalité (accentuation) • de l’âge (accentuation) • du sexe (accentuation)

  21. Résultats (synthèse) Moindre attrition entre V2 et V3 : effet de sélection après V1 Moindre qualité du modèle V2 / V3 (R²) : les facteurs expliquent moins l’attrition ? Effet de sélection ? Mais globalement, les mêmes facteurs se rejouent d’une vague à l’autre : accentuation de la déformation de la structure de l’échantillon (sauf non diplômé, méditerranée, communes > 100 000 ha) Au final : variance de la pondération normalisée > en V3

  22. Conclusion Attrition relativement élevée (43 – 46%)... ... “classiquement” moindre pour la 3e vague (sélection) Pour moitié des refus ; difficilement récupérables en V+1 Facteurs d’attrition “classiques”... ... avec une déformation de l’échantillon qui s’accentue au fil des vagues (attrition V2/V3 non uniforme)

  23. Conclusion • Analyses à poursuivre : • Mesure des biais sur les variables d’intérêt • Perspectives pour d’autres opérations longitudinales : • Importance de disposer d’au - 1 téléphone et 1 relais • un suivi “individualisé” serait-il envisageable ? (contacts plus rapprochés pour les plus mobiles, pour ceux n’ayant pas donné de personnes-relais... ?) • Un soin à apporter à la présentation de l’enquête pour les personnes a priori moins “concernées”

  24. www-erfi.ined.fr arnaud.regnier-loilier@ined.fr Pour en savoir plus sur l’enquête… Ont participé au suivi des répondants :Ruxandra Breda-Popa (SES)Lamia Zamouri (SES)Raphaël Laurent (SES)et ponctuellement l’ensemble du SES !Merci à Laurent Toulemon pour ses conseils

  25. Problème de cohérence d’unevague à l’autre de l’enquête Érfi-GGS : l’exemple du nombre d’enfants Arnaud Régnier-Loilier (Institut national d’études démographiques) Colloque francophone sur les Sondages 2012 – Rennes – 5 novembre 2012, session « Panels »

  26. Problèmatique 3 vagues d’enquête sur 6 ans : se pose la question de la stabilité des réponses d’une vague à l’autre “Stratégie” dans Érfi : éviter de collecter aux vagues successives des informations déjà connues (gain de temps, éviter les incohérences)... ... mais pas possible pour les enfants, leur situation pouvant changer d’une vague à l’autre Problème de cohérence rencontré lors de l’appariement des répondants V1 – V2 : moins d’enfants en V2

  27. Problèmatique • Détermination du nombre d’enfants dans Erfi par addition : • des enfants du logement • des enfants non cohabitants (hors logement) : {Nous avons déjà parlé des enfants vivant au sein de votre ménage.} Avez-vous adopté ou avez-vous eu vous-même {d’autres} enfants. Ne prenez pas en compte les beaux-enfants, les enfants accueillis ni les enfants aujourd’hui décédés, nous en parlerons après. Si oui : Combien? • des enfants décédés : Il arrive que l’on perde un enfant. Avez-vous eu d’autres enfants qui sont aujourd’hui décédés? Si oui : Combien? • Distinction des enfants placés, adoptés, beaux-enfants

  28. Problèmatique Pour V3 (2011) : - Insitence en formation d’enquêteurs sur ce problème - Inclusion d’un indicateur récapitulatif du nombre total d’enfants du répondant : Pour récapituler, combien d’enfants avez-vous eu vous-même en tout, qu’il s’agisse d’enfants eus ou adoptés, avec votre conjoint actuel ou avec un précédent conjoint ? Merci de prendre également en compte les enfants qui ne vivent plus avec vous ou qui sont aujourd’hui décédés.

  29. Au programme… • Confrontation des informations collectées par décompte en V1, V2 et V3 + récapitulatif en V3 • Quels enfants sont sous-déclarés ? • Un profil spécifique des sous-déclarants ?

  30. 1. Confrontation des indicateurs

  31. Nombre moyen d’enfants Plus d’enfants : naissances 0,3 enfant en moins en V2 et V3 Plus d’enfants : naissances 0,3 enfant en moins en V2 et V3 Décompte, V3 (2011) Récapitulatif, V3 (2011) Décompte, V2 (2008) Lecture : en 2005, les femmes de 25-29 ans déclarent en moyenne 0,5 enfant Décompte, V1 (2005) Champ : répondants aux 3 vagues d’enquête Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011 Note : données non pondérées

  32. Cohérence entre le décompte en V1 et le récapitulatif en V3 Plus d’enfants : naissances ? Autant d’enfants en V1 et d’après le récapitulatif en V3 Moins d’enfants en V3 qu’en V1 HOMMES Champ : répondants hommes aux 3 vagues d’enquête Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011 Note : données non pondérées ; âge en 2005

  33. Cohérence entre le décompte en V1 et le récapitulatif en V3 Plus d’enfants : naissances ? Au-delà de 45-50 ans, différence de réponse < 5 % Autant d’enfants en V1 et d’après le récapitulatif en V3 Moins d’enfants en V3 qu’en V1 FEMMES Champ : répondants femmes aux 3 vagues d’enquête Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011 Note : données non pondérées ; âge en 2005

  34. Cohérence entre le décompte V1, V2 et V3 Moins en V2, autant entre V2 et V3 (sur-déclaration en V1 ?) Plus d’enfants Moins en V2 Moins en V3 uniquement Autant d’enfants en V1, V2 et V3 d’après le décompte des enfants HOMMES Champ : répondants femmes aux 3 vagues d’enquête Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011 Note : données non pondérées ; âge en 2005

  35. Cohérence entre le décompte V1, V2 et V3 Moins en V2, autant entre V2 et V3 (sur-déclaration en V1 ?) Plus d’enfants Moins en V2 Moins en V3 uniquement Moins d’enfants en V2 ou V3 dans 21 % des cas chez les 50-79 ans (âge en 2005) Même proportion chez les femmes et les hommes Autant d’enfants en V1, V2 et V3 d’après le décompte des enfants FEMMES Champ : répondants femmes aux 3 vagues d’enquête Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011 Note : données non pondérées ; âge en 2005

  36. Conclusion intermédiaire - La méthode du décompte des enfants du foyer, hors foyer et décédés en V1 est cohérenteavec le nombre total d’enfantsobtenu avec la question récapitulative en V3 - Sous-estimation du nombre d’enfants en V2 et V3 par la méthode du décompte (au total, 21 % après 50 ans) - Même phénomène entre V1 et V2 ET entre V2 et V3, mais auprès de personnes différentes - Même phénomène chez les hommes et les femmes

  37. 2. Quels enfants disparaissent ?

  38. Hypothèses 1) enfants partis du foyer parental et non déclarés comme non cohabitants 2)sous-déclaration des enfants décédés aux vagues V+1 et V+2 (événement récent, sensible...) 3)effet enquêté : non déclaration des enfants non cohabitants 4)effet enquêteur ? ...

  39. Qui sont les enfants perdus de vue ? a. Faire appel à Jacques Pradel dans son émission « Perdu de vue »... mais elle n’existe plus hélas b. En descriptif, trois étapes : 1) On se limite aux personnes de 50-79 ans(en 2005)ayant moins d’enfants en vague V+1 qu’en V (n = 206 et 311) 2) Décomposition du nombre total d’enfants en 3 composantes : cohabitants, hors ménage, décédés 3) Confrontation de chaque “type” d’enfants entre V1-V2 et V3

  40. Les enfants sous-déclarés en vague 3 Exemple pour les enfants hors ménages Nombre de cas cohérents entre V1-2 et V3 concernant ce type d’enfants Nombre de cas avec plus d’enfants de ce type en V3 Nombre de cas avec moins d’enfants de ce type en V3 Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré moins d’enfants en V3 uniquement (n=206) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  41. Les enfants sous-déclarés en vague 3 Exemple pour les enfants hors ménages Nombre de cas cohérents entre V1-2 et V3 concernant ce type d’enfants Nombre de cas avec plus d’enfants de ce type en V3 Nombre de cas avec moins d’enfants de ce type en V3 Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré moins d’enfants en V3 uniquement (n=206) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  42. Les enfants sous-déclarés en vague 3 Exemple pour les enfants hors ménages Nombre de cas cohérents entre V1-2 et V3 concernant ce type d’enfants Nombre de cas avec plus d’enfants de ce type en V3 Nombre de cas avec moins d’enfants de ce type en V3 Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré moins d’enfants en V3 uniquement (n=206) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  43. Les enfants sous-déclarés en vague 3 Exemple pour les enfants hors ménages 2 résultats : 1) 91 % des sous-déclarants en V3 ont déclaré moins d’enfants non cohabitants en V3 2) parmi ces 91 %, 89 % sont passés de n enfants en 2005-2008 à 0 enfant non cohabitant en 2011 Nombre de cas cohérents entre V1-2 et V3 concernant ce type d’enfants Nombre de cas avec plus d’enfants de ce type en V3 Nombre de cas avec moins d’enfants de ce type en V3 Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré moins d’enfants en V3 uniquement (n=206) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  44. Les enfants sous-déclarés en vague 3 Exemple pour les enfants décédés 2 résultats : 1) 95 % des sous-déclarants en V3 ont déclaré autant d’enfants décédés en V3 2) 3 % des sous-déclarants en V3 ont déclaré moins d’enfants décédés en V3 Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré moins d’enfants en V3 uniquement (n=206) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  45. Les enfants sous-déclarés en vague2 Exemple pour les enfants hors ménages En vague 2, même phénomène : 1) 90 % des sous-déclarants en V2 ont déclaré moins d’enfants non cohabitants en V2 2) parmi ces 90 %, 85 % sont passés de n enfants en 2005 à 0 enfant non cohabitant en 2008 Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré moins d’enfants en V2 (n=311) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  46. Conclusion intermédiaire - La sous-déclaration des enfants tient principalement à la disparition de l’ensemble des enfants non cohabitants d’une personne - Légère sous-déclaration des enfants décédés - Autre cas possibles repérés : sur-déclaration des enfants en vague 1(un même enfant est déclaré comme appartenant au logement et comme non cohabitant) - Quelques rares cas de beaux-enfants déclarés comme enfants du répondant en vague 1, pas dans les autres

  47. 3. Profil des sous-déclarants

  48. Modélisation de la probabilité d’avoir sous-déclaré vs autant Caractéristiques individuelles :sexe, âge, niveau de diplôme Posture par rapport à l’enquête :refus de répondre au revenu, d’enregistrer les questions sensibles, refus de recevoir les premiers résultats, présence d’un tier pendant l’entretien Évènement vécu entre les vagues : séparation Nombre d’enfants des différents types en 2005 :cohabitant, non cohabitant, décédés Présence d’enfants avec qui le lien est rompu :+ interaction avec le sexe du répondant Champ : répondants aux 3 vagues, 50-79 ans en 2005, ayant déclaré autant ou moins d’enfants à une vague (n = 2010) Source : Ined-Insee, Erfi-GGS 123, 2005-2011

  49. Résultats de la modélisation Aucun effet des caractéristiques individuelles, de la posture par rapport à l’enquête, du fait de s’être séparé Mais sous-déclaration plus forte si : - présence d’enfants décédés en V1 - au moins 1 enfant non cohabitant en V1 (pas d’effet du nombre) - présence d’enfantsavec qui le lien est rompu en V1 ... avec un effet significatif de l’interactionavec le sexe (joue uniquement chez les hommes)

  50. Conclusion • Méthode de décompte des enfants cohabitants, hors ménage et décédés correcte, mais en V1 uniquement • Importante sous-déclaration des enfants non cohabitants en V2 et V3 (21 % chez les 50 ans et plus ; - 0,3 enfant en moyenne en V2, et également en V3) • Même phénomène entre V1-V2 et entre V2-V3 malgré formation accrue des enquêteurs • Même effet chez les hommes et les femmes

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