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L’Italie au XVIe siècle

L’Italie au XVIe siècle. La Seconde Renaissance. Seconde Renaissance - peinture. Leonardo da Vinci (1452 – 1519) Article par Jacques ROUVEYROL I. LA FORMATION

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L’Italie au XVIe siècle

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  1. L’Italie au XVIe siècle La Seconde Renaissance

  2. Seconde Renaissance - peinture • Leonardo da Vinci (1452 – 1519) • Article par Jacques ROUVEYROL • I. LA FORMATION • Enfant illégitime d’un notaire de Florence et d’une paysanne, Léonard ne fait des études qui permettent de dire de lui qu’il est un « lettré ». Sa formation artistique sera empirique. Il apprend dans l’atelier de Verrocchio. • II. DE LA PERSPECTIVE A L’OMBRE • 1.La préoccupation du mouvement. • C’est le mouvement des formes et les formes en mouvement qui l’intéressent. Spécialement la forme tourbillonnante. Pourquoi ?

  3. Seconde Renaissance - peinture • 2.La conception de l’espace. • C’est que l’espace n’est pas pour lui le réceptacle abstrait des corps, mais un « milieu », fluide, plastique, d’où émergent (et où retournent) les formes. De là, l’invention du sfumato qui efface la frontière nette de la ligne entre la forme et le fond. C’est dans cette marge où s’effectue le passage de l’informe à la forme que réside l’essentiel de la peinture. C’est cet invisible qu’il s’agit de faire voir.

  4. Seconde Renaissance - peinture • 3.Les paradoxes du dessin. • Léonard invente le dessin technologique. • - Le dessin d’une machine ou d’un organisme doit être précis à l’extrême car il doit présenter une efficacité démonstrative.

  5. Seconde Renaissance - peinture

  6. Seconde Renaissance - peinture • - Il doit montrer pourtant ce qui n’est pas visible (à l’œil nu). • - Le dessin anatomique, par exemple, offre des vues synthétiques de ce qu’on ne peut voir que par morceaux. • - Le dessin préparatoire pour la peinture a la même fonction mais s’y prend à l’inverse. Au lieu de définir la forme par le trait, il part d’un mouvement indéfini de la main et, du chaos des traits, devra surgir la forme.

  7. Seconde Renaissance - peinture

  8. Seconde Renaissance - peinture • Une fois inventée, la forme doit s’effacer pour montrer son origine : elle appartient au « milieu » dont elle est née.

  9. Seconde Renaissance - peinture • 4. Le rôle de l’ombre .L’ombre, chez Léonard, va jouer un rôle essentiel puisqu’elle va lui permettre d’abandonner la perspective avec laquelle il n’a d’ailleurs cessé de prendre des libertés. Le « milieu » (luminosité atmosphérique, éclairage : lumière et ombre, reflets) affecte et les couleurs et les formes.

  10. Seconde Renaissance - peinture • De la Vierge aux Rochers du Louvre (1483) à celle de Londres (1503) l’ombre a progressé, ramenant sur le devant les figures, unifiant davantage les figures et le fond.

  11. III. L’ŒUVRE. La période florentine (1470 – 1481/82) De la Madone Dreyfus à la Madone Benois c’est le mouvement de torsion des corps qui arrache les figures au fond et assure leur unité. Seconde Renaissance - peinture

  12. L’adoration des Mages non seulement néglige la perspective mais encore la règle albertienne qui veut que l’historia soit un lieu d’ordre. Ici, au tumulte de l’histoire humaine qui se déroule dans la partie haute s’oppose un autre tumulte, dans la partie basse, dont la signification est très différente. L’Epiphanie est un moment de «crise », en effet, mais cette crise est le passage du désordre d’un monde qui est celui du péché (du tumulte) à l’ordre d’un monde racheté par la venue de Dieu dans le premier. Seconde Renaissance - peinture

  13. La Cène est un autre moment de « crise » manifesté par le « tumulte » des figures libérées des contraintes de la perspective dans laquelle elles se trouvent. Cette crise correspond au moment du passage de la foi à la religion. Ce passage s’effectue par : 1) la constitution d’un signe (de reconnaissance) : l’Eucharistie et 2) par la constitution d’un groupe de fidèles adhérents à ce signe (L’Eglise), groupe lui-même fondé sur l’exclusion de ceux qui n’adhèrent pas : ici Judas. Le tableau représente le moment de l’Eucharistie et de la désignation d’un « traître ». Judas figure immédiatement à la droite de Jésus avec Saint-Pierre et Saint-Jean : les trois piliers de la religion catholique. Seconde Renaissance - peinture

  14. Seconde Renaissance - peinture

  15. Seconde Renaissance - peinture • 2.Les portraits. • Léonard de Vinci axe tout sur le mouvement de torsion qui fait sortir la figure du fond, amène celle-ci vers le spectateur pour le faire entrer dans l’œuvre.

  16. Seconde Renaissance - peinture • La Joconde, placée devant le parapet, est dans le même espace que celui qui la regarde. Son sourire qui semble faire un pont entre les deux niveaux de l’horizon qui encadre son visage se retrouvera dans toutes les œuvres suivantes. Le « sourire de la mère » , selon Freud.Il y a sans doute bien du mystère encore dans la vie et la personnalité de Léonard de Vinci. On retiendra cependant ce qui fait de lui : • 1.Un artiste de la Renaissance : la polyvalence des talents et des centre d’intérêt : dessin, peinture, architecture, machines, anatomie, philosophie, etc. • 2. Ce qu’il a apporté dans l’histoire de la peinture spécialement : le renoncement à la perspective et le développement d’une technique fondée sur l’ombre et la lumière, sur le rapport ambigu de la figure et du fond. • 3.Ce qu’enfin il contribue à inaugurer par son intérêt sur le mouvement spécialement de torsion : la figure serpentine de l’époque maniériste qui va suivre.

  17. L. Da Vinci – La vierge aux rochers : 1483

  18. L. Da Vinci – la Vierge, l’Enfant et sainte Anne : 1508 - 1510

  19. Seconde Renaissance : peintureMichel – Ange (1475 – 1564) • La chapelle Sixtine est l'une des salles des palais pontificaux du Vatican. À l'heure actuelle, elle fait partie des musées du Vatican. C'est dans la chapelle Sixtine que les cardinaux, réunis en conclave, élisent chaque nouveau pape. • La chapelle doit son nom de « sixtine » au papeSixte IV, qui la fit bâtir de 1477 à 1483. Elle fut consacrée lors de la fête de l'Assomption le 15 août1483. • La chapelle est située à l'angle sud-ouest du palais et communique avec les chambres de Raphaël et ce qui est actuellement la collection d'art religieux moderne. Son architecte est Giovanni dei Dolci. Elle comprend un souterrain, un entresol et la chapelle à proprement parler, bordée en hauteur d'un chemin de garde : la chapelle devait servir à un but religieux, mais aussi pouvoir assurer la défense du palais. • Son plan est très simple : une salle rectangulaire de 40 m de long, 13 m de large et 21 m de haut (on remarquera que 21/13=1,61 qui est le nombre d'or, on retrouve donc la proportion dorée, souvent utilisée par les architectes de l'époque), avec une voûte en berceau et 12 fenêtres cintrées qui l'éclairent. Le sol est couvert de marbre polychrome. Une transenne de marbre grillagée, œuvre de Mino da Fiesole, qui rappelle l'iconostase des orthodoxes sépare l'espace réservé aux clercs et celui alloué aux laïcs.

  20. Seconde Renaissance : peinturela voûte de la Chapelle Sixtine

  21. Seconde Renaissance : peinturela voûte de la Chapelle Sixtine (détails)

  22. Seconde Renaissance : peinturela voûte de la Chapelle Sixtine (détails)

  23. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des éléments architecturaux)

  24. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations)

  25. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations) • Les neuf scènes centrales du plafond de la chapelle Sixtine sont divisibles en trois sous-parties, la première décrit la création du monde, la seconde celle d’Adam et le paradis terrestre, la troisième l’histoire de Noé. • La création du monde représente successivement la séparation de la lumière et des ténèbres, la création des planètes avec le soleil, la lune et la Terre, et la séparation des eaux et de la terre. Ces trois scènes, premières dans l’ordre chronologique du récit biblique ont été réalisé en dernier et sont les plus dynamiques. Vasari souligne dans Le Vite que « Michel-Ange dépeint Dieu séparant la lumière des ténèbres, le montrant dans toute Sa majesté, flottant avec ses bras ouverts en une révélation de Son amour et de Son pouvoir créateur. » • La section centrale, en trois images fortes, montre l’histoire d’Adam et Ève avec la célèbrissime création d’Adam, celle d’Ève qui sort de la côte d’Adam endormi et l’expulsion du paradis terrestre. Les contemporains de Michel-ange ont immédiatement reconnu le caractère exceptionnel de ce chef d’œuvre et Vasari écrit « c’est une figure [Adam] dont la beauté, la pose et les contours sont tels qu’ils semblent être issu de cet instant même où Dieu créa Adam et de la main du Créateur suprême lui-même plutôt que du dessin et de la brosse d’un mortel. »

  26. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations) • Les personnages les plus larges, les plus visibles du plafond, sont les prophètes et les sibylles, représentés ici pour avoir annoncé la venue du Christ. Ces figures comportent sept prophètes d’Israël, tous des hommes, et des sibylles du monde antique, identifiés par des cartouches soutenus par des puttis. • Jonas (IONAS) est placé au-dessus de l’autel, sur sa gauche (à droite de l’autel pour le spectateur) et successivement, sont représentés Jérémie (HIEREMIAS), la sibylle persique (PERSICHA), Ézéchiel (EZECHIEL), la sibylle d'Érythrées (ERITHRAEA), et Joël (IOEL). Au-dessus de la porte d’entrée de la chapelle et face à Jonas se trouve Zacharie qui a annoncé la venue du Messie et la conversion de nombreux peuples. Sur le côté gauche, se succèdent, à partir de l’entrée, la sibylle delphique (DELPHICA) Isaïe (ESAIAS), La sibylle de Cumes, près de Naples (CVMAEA), Daniel (DANIEL) et la sybille lybique (LIBICA).

  27. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations) la Sybille lybique sur la voûte de la Chapelle Sixtine

  28. Dessin préparatoire à la plume pour une des figures de prophète Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations)

  29. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations) • Vingt ignudi, de jeunes hommes athlétiques, sont placés aux coins des scènes centrales. Ils portent ou s'enroulent avec nombre de choses dont un ruban rose, une guirlande de glands un coussin vert, etc. • Se souvenant du déroulement chronologique de la peinture du plafond, Michel-Ange commençant au-dessus de l'autel avec l'histoire de Noé et progressant en trois phases vers la porte et la création du monde, on ne peut qu'être frappé par la liberté progressive dans la pose des ignudi qui sont tout d'abord sagement assis et symétrique, de part et d'autre de la scène qu'ils encadrent, pour devenir de plus en plus animés, presque dansant. Ils sont une démonstration éclatante de la puissance créatrice de Michel-Ange. • Dans un cadre aussi religieux, à l’iconographie si soigneusement planifiée, le moins que l’on puisse dire est qu’ils détonnent. Par le passé, ils suscitèrent la réprobation. Citons à ce sujet le pape Adrien VI qui en souhaitait la destruction, ne voyant qu'« un pot-au-feu de corps nus » au plafond.

  30. Détail : un ignudi Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (organisation spatiale des représentations)

  31. Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (Le Jugement)

  32. Détail du Christ et de la Vierge Seconde Renaissance : peintureLa voûte de la Chapelle Sixtine (Le Jugement)

  33. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Assimilation du travail de Léonard de Vinci et de Michel-Ange • 1508 : il devient peintre officiel de la Papauté • Optimiste, il vise une peinture idéale, faisnt revivre l’idéal « païen » des Grecs • Il choisit pour ce faire des êtres beaux, jeunes, parfaits, des paysages de rêve, des sujets joyeux, des lignes pures et des compositions étudiées, symétriques et stables.

  34. Madone de Foligno – Vatican : 1511-1512 Commanditaire: Sigismondo de Conti Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520)

  35. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • En 1508, son rêve se réalise enfin : il est appelé à Rome par le pape Jules II pour travailler sur des fresques monumentales destinées à décorer les appartements pontificaux du Vatican. C'est certainement grâce à la recommandation de l'architecte Bramante, originaire d'Urbino et lié à la famille Santi, que le jeune artiste ambitieux à pu rejoindre le groupe de peintres appelé à travailler au Vatican. Il doit collaborer alors dans un premier temps avec Sodoma, Lorenzo Lotto et Giovanni Bazzi, groupe de peintres florentins dirigés par Pérugin.C'est dans un contexte politico-religieux particulier que va se dérouler le travail sur les fresques du Vatican : le pape Jules II et son successeur Léon X vont oeuvrer à imposer un pouvoir papal plus fort sur l'ensemble du monde chrétien. Les deux papes désirent renouer avec la grandeur de la Rome antique en la combinant à la philosophie chrétienne. Artistiquement parlant, le style "all'antica" est imposé et c'est Raphaël qui se montrera le plus talentueux à servir ce projet. Jules II donnera congé à ses collaborateurs et confiera à lui seul le soin de réaliser l'ensemble des fresques.

  36. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Les fresques du Vatican : l’école d’Athènes - 1510

  37. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Etude de composition

  38. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Les fresques du Vatican : l’école d’Athènes - 1510 (détail des figures centrales)

  39. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Les fresques du Vatican : l’école d’Athènes - 1510 (détail des figures périphériques)

  40. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Cet énorme chantier n'empêchera pas le peintre de traiter en parallèle de nombreuses commandes de portraits ou de tableaux d'autels pour d'importants mécènes italiens. Son organisation en système d'atelier lui permettant de diriger simultanément les travaux sur plusieurs fronts à la fois. En dehors de ses travaux de peinture, Raphaël reçu des commandes de tapisseries pour le Vatican et il s'attela également à des projets architecturaux pour lesquels il réalisa les plans et dirigea les équipes chargées de la construction. En 1520, Raphaël, âgé de 37 ans, est emporté par une fièvre fulgurante. Les nombreux dessins et carnets de croquis qu'il a laissé témoignent des incessantes recherches qu'il effectuait pour trouver la perfection dans la position des corps et dans la composition des tableaux. La modernité qu'il apporta à la peinture mis fin à la première renaissance pour entrer dans l'âge classique.Après Raphaël et son entrée au sommet du panthéon des plus grands peintres, les artistes n'auront de cesse de chercher de nouvelles manières de représenter la nature et les hommes. Cela donnera naissance au dernier courant de la renaissance : le maniérisme.

  41. Portrait de Baldassare Castiglione – Le Louvre Gamme de tons subtils Luminosité en contraste avec les plans sombres en harmonie avec l’impression d’ensemble qui focalise l’attention sur le personnage Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520)

  42. Portrait du pape Léon X avec les cardinaux Jules de Médicis et Louis de Rossi Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520)

  43. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Le triomphe de Galatée est une fresque de petite taille (2,25 x 2,95 m), proportionnellement aux dimensions habituelles des fresques classiques. Elle fut commandée à Raphaël en 1511, par le banquier Augustin Chigi, pour sa villa des bords du Tibre, aujourd'hui appelée la Farnésine. L'oeuvre fut achevée vers 1514.

  44. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Le triomphe de Galatée – détail des Amours

  45. Seconde Renaissance : peintureRaffaello Sanzio dit Raphaël (1485-1520) • Le triomphe de Galatée – détail de l’Amour posé sur l’eau

  46. L’Italie au XVIe siècle Le maniérisme

  47. Le Maniérisme • Raphaël est reconnu comme celui ayant réussi à atteindre la perfection en peinture. Les artistes de la génération suivante vont devoir trouver une nouvelle manière de s'exprimer. C'est dans le développement de leurs styles personnels qu'ils vont pouvoir proposer un langage pictural différent du classicisme et adapté à une époque ou l'ordre religieux se dirige vers le schisme entre catholiques et protestants.

  48. Le Maniérisme • Le terme « maniérisme » vient de l'italien manierismo (de l'expression bella maniera), dans le sens de la touche caractéristique d'un peintre en opposition avec la règle d'imitation de la nature • Le maniérisme, aussi nommé Renaissance tardive, est un mouvement artistique de la période de la Renaissance allant de 1520 (mort du peintre Raphaël) à 1580. Il constitue une réaction face aux conventions artistiques de la Seconde Renaissance.

  49. Le Maniérisme - caractéristiques • un espace désuni, et souvent défini • une image trouble et obscure • une déformation et une torsion des corps, dont la figure serpentina dessinant un S • des tons acides et crus, hérités de Michel-Ange et la chapelle Sixtine à Rome • une recherche du mouvement • un art de codes, de symboles, de citations d'artistes classiques • un art de cour, qui s'adresse à des gens cultivés et lettrés • une exagération des formes

  50. Maniérisme – architecturePalais du Té – Mantoue (1525) par Giulio Romano • Vue de face

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