1 / 19

Recherche clinique : Contexte et perspectives

Recherche clinique : Contexte et perspectives. Younès MAHI Pfizer. Pourquoi la Recherche clinique?. Pourquoi la Recherche Biomédicale ?. Espérance de vie aux US: 1920 = 54 ans 1960 = 70 ans 1999 = 76 ans

Télécharger la présentation

Recherche clinique : Contexte et perspectives

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Recherche clinique : Contexte et perspectives Younès MAHI Pfizer

  2. Pourquoi la Recherche clinique?

  3. Pourquoi la RechercheBiomédicale? Espérance de vie aux US: 1920 = 54 ans 1960 = 70 ans 1999 = 76 ans Tous les 5 ansdepuis 1965, environ un an d’espérance de vie supplémentaire à la naissance. …. les médicamentsinnovantscontribuent à l’augmentation de l’espérance de vie 3

  4. Pourquoi la RechercheBiomédicale? Un enjeu d'innovation, au bénéfice du patient • Accès précoce pour les patients à l’innovation diagnostique et thérapeutique • Haut niveau d’expertise médicale des professionnels hospitaliers en France : Ex: la réputation de la recherche française en cancérologie • Amélioration de la qualité des soins • Meilleur usage des médicaments • Meilleur connaissance des traitements avec une évolution positive du bénéfice patient • Enrichissement des connaissances sur les maladies 4

  5. Le contexte de la Recherche clinique

  6. La rechercheclinique au fil de l’histoire Élixir de sulfanilamide – 1937 1938 – Food, Drug, and Cosmetic Act (É-U) Procès de Nuremberg – années 1940 1947 – Code de Nuremberg Thalidomide – années 1960 1962 – Kefauver–Harris Drug Amendment (É-U) [IND] 1964 – Déclaration d’Helsinki 1968 – Medicines Act [CTC, CTX] (R-U) Inspections des investigateurs par la FDA 1972–1974 1977 – US FDA CFR : Obligations pour les promoteurs, moniteurs et investigateurs 1981 – Réglementation de la FDA sur le consentement éclairé et les comités d’éthique 1986 – Lignes directrices des BPF à l’échelle nationale Loi Huriet 1988 – 1997 – Lignes directrices BPC–ICH 2001 – Directive de l’UE sur les essais cliniques Loi de Santé Publique 2004 2006 – Décret d’application de la LSP Décision fixant les règles des BPC 6

  7. Développement d’un médicament molécules Années Coût 1 0 100 000 Identification de la cible Sélection de la molécule Optimisation de la molécule Amplification de la synthèse chimique Stabilité et développement de la formulation Études pré-cliniques (animal) Etudes cliniques (sujet humain) Mise sur le marché >1 Md $ US 12 1 7

  8. Les difficultés pour arriver au statut médicament Idées scientifiques 1-2 Médicaments Raisons d’échec • Toxicité • Dosages compliqués • Interactions médicamenteuses • Fabrication trop compliquée • Problème d’efficacité • Manque de bénéfice clinique Prospective Medicines Risque financier important 8

  9. Développement d’un médicament • Coût du développement en progression : +152% entre 1988 et 2002 • Investissement recherche de l’industrie pharmaceutique : 11% du chiffre d’affaires • Une recherche toujours sélective: 250 molécules en pré-clinique 5 molécules en clinique  1 molécule approuvée • > 1 milliard de $ en moyenne • Des investissements qui progressent mais moins de nouveaux produits approuvés • Contraintes strictes des critères de recrutement des centres, il n’y a plus de place au hasard LEEM 9

  10. L’industrie 11

  11. La recherche clinique et l’oncologie

  12. Modèlesprécliniques pas toujourssatisfaisants Essaiscliniques : le plus souvent non représentatifs de la population finale des patients Nombre de plus en plus important de patients dans les essais (augmentant avec la non-spécificité des drogues) Difficultés 13

  13. Contexte de l’oncologue • 99% des oncologues sont des investigateurs potentiels • Contradiction : très peu de structures disposent d’une RC professionnalisée

  14. Les acteurs de la Recherche Clinique

  15. Les professionnels en France • des centres d’investigation Clinique • des unités de Recherche Clinique • des bureaux d’étude (ou de recherche) Clinique • des associations loi 1901 (+++) • les équipes mobiles de RC de l’INCa : promouvoir les essais institutionnels hors CHU et hors CRLCC (screening, monitoring) • les équipes Cengeps : promouvoir les essais industriels dans les structures publiques (screening, pas de monitoring) Une certaine dispersion de moyens, un manque de savoir -faire en process et en méthodes: La recherche clinique est une vraie spécialité et un vrai métier

  16. Participation française en 2008 La position de la France se maintient par rapport à l’ensemble des pays Mais elle semble s’éloigner de la moyenne européenne : Notamment du fait de la progression de certains pays comme l’Espagne, la Scandinavie et l’Allemagne Mais surtout celle du Royaume Uni qui compense le recul constaté lors de la précédente enquête Les Pays de l’Est restent toujours en tête en terme de productivité globale Perception de la France : globalement progression Source Leem enquête attractivité 2008 25

  17. En 2010 330 étudesinternationalestoutes pathologies (avec participation française) de phase II et III, incluant 250 000 patients. Il en ressortqu’ausein de la compétitioninternationale, la France parvientà maintenirsa position avec :  - 8% des patients recrutés - 4,3 % patients recrutés par centre actif en phase II et 7,8 en phase III, (la moyenneeuropéenne se situe à 4,4 en phase II et 9,2 en phase III) 75% des patients ontétérecrutésdanstrois champs thérapeutiques : oncologie, anti infectieux/vaccins et cardiovasculaire/métabolisme : une reconnaissance de l’expertisefrançaisedanscesdomaines 26

  18. Un environnement qui évolue rapidement et apporte des nouveaux challenges Une forte contraintelégale… • Plan Cancer 2009-2013 un objectif de 10% d’inclusions • Une pression de plus en plus forte sur les coûts liés à la santé Les professionnels de santé doivent s’adapter… …maisaussimédicale • Incidence en augmentation de 3%* • Baisse de 9% du taux de mortalité* • Baisse de 7% du nombre d’oncologues* * Données disponibles sur les 5 dernières années www.e-cancer.fr

  19. Merci

More Related