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La réforme du Lycée Et . Le socle commun de connaissances et de compétences. ½ Journée Pédagogique. Vendredi 22 janvier 2010. La réforme du Lycée. Première partie : Donner du sens à ce qui doit changer. (Comprendre les raisons des réformes). Troisième partie: La réforme du lycée.
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La réforme du Lycée Et Le socle commun de connaissances et de compétences ½ Journée Pédagogique Vendredi 22 janvier 2010
Première partie : Donner du sens à ce qui doit changer.(Comprendre les raisons des réformes) Troisième partie:La réforme du lycée Deuxième partie : Les réformes qui ont déjà eu lieu.(L’influence de la construction européenne dans le système éducatif français)
Première partie : Donner du sens à ce qui doit changer(Comprendre les raisons des réformes)
I° La question fondamentale est celle de savoir comment gérer l’hétérogénéité des élèves. L’une des caractéristiques marquantes du siècle dernier est l’explosion des effectifs scolaires, à tous les niveaux et dans tous les pays. En France, on est progressivement passé à une scolarisation de: - environ 100% des 3-16 ans, - 95% des 16-19 ans (années lycée), - Bientôt 60% des 19-21 ans (les années du premier cycle de l’enseignement supérieur). Il y a donc nécessité de bâtir un système éducatif qui parvienne à gérer efficacement, structurellement et pédagogiquement, l’hétérogénéité croissante des élèves.
II° Les quatre grands modèles de systèmes éducatifs. Tout système éducatif contemporain doit répondre à deux objectifs : - évaluer et orienter les élèves dans le but d’assurer la satisfaction des besoins de la nation en personnels qualifiés aux divers niveaux attendus sur le marché de l’emploi, - intégrer socialement et culturellement l’ensemble des élèves en leur transmettant un socle commun de connaissances, de compétences et de valeurs partagées. L’école doit donc instruire et éduquer
Pour atteindre ces objectifs, il y a quatre modèles de systèmes éducatifs : 1) Le modèle de la séparation (en Europe centrale : Allemagne, Autriche, Belgique flamande, pays Bas, Suisse…) 2) Le modèle d’intégration individualisée ( en Europe du Nord : Danemark, Finlande, Islande, Suède…) 3 )Le modèle d’intégration à la carte (au Canada, Etats-Unis, Grande Bretagne, Australie, Nouvelle Zélande…) 4) Le modèle d’intégration uniforme (en France, Espagne, Portugal, Argentine, Chili…)
1) Le modèle de la séparation (en Europe centrale : Allemagne, Autriche, Belgique flamande, pays Bas, Suisse…) Il préconise un système d’orientation/sélection précoce, c’est-à-dire à la fin de la scolarité primaire, voire avant. Les élèves sont évalués de façon sommative et classés selon leurs résultats. Les filières sont hiérarchisées, hermétiques les unes par rapport aux autres. Le taux de redoublement est fort. Ce système fonctionne comme une sorte d’usine de décantation.
2) Le modèle d’intégration individualisée ( en Europe du Nord : Danemark, Finlande, Islande, Suède…) La priorité est donnée à l’accompagnement individualisé, en petit groupes, avec un faible recours au redoublement. L’évaluation est formative, au service de la mise en place d’une pédagogie de l’accompagnement de chacun, et donc de la réussite de tous les élèves, sous une forme ou sous une autre. L’école est unique, jusqu’au moins au niveau « fin de collège », voire même jusqu’au baccalauréat ou équivalent. La prise en compte des différences, se fait essentiellement par une part d’enseignements optionnels.
3 )Le modèle d’intégration à la carte (au Canada, Etats-Unis, Grande Bretagne, Australie, Nouvelle Zélande…) Ce modèle propose un enseignement unique jusque vers 15 ans (niveau fin de collège), la différentiation se faisant à l’âge d’entrée dans l’équivalent lycée. Pour gérer l’hétérogénéité, le système propose la répartition des élèves en groupes de niveaux dans les établissements primaires, puis de faire des regroupements d’élèves par discipline, en fonction du niveau atteint par chacun. L’usage du redoublement est fréquent, c’est le moyen de réguler l’insuffisance des résultats.
4) Le modèle d’intégration uniforme (en France, Espagne, Portugal, Argentine, Chili…) Il propose une école unique jusque vers la fin des «années collège» et fait du passage au lycée un important moment d’orientation ségrégative, avec une répartition des élèves dans des filières fortement hiérarchisées. L’usage de redoublement est fréquent comme moyen de traiter le cas des élèves en difficulté, donc comme moyen d’ajuster les flux d’élèves en séparant les uns des autres ceux qui ne sont pas au niveau (en France, le taux de redoublement 3ème/2nde est deux fois plus élevé que dans les pays de l’ UE) . L’évaluation légitimise les décisions d’orientation et est un instrument efficace au service d’une politique de décantation progressive.
III° Le modèle individualisé semble être le plus performant. Depuis 2000, l’OCDE mène, tous les trois ans, une étude comparative des performances des élèves de 15 ans dans 57 pays. Les résultats de 2003, et ceux de 2006 font apparaître un pays nettement en tête : la Finlande, pays qui renvoie au modèle d’intégration individualisée. Les études comparatives de l’OCDE montrent cependant que le modèle « à la française » donne des résultats dans les trois domaines observés (culture mathématique, culture scientifique et compréhension de l’écrit) éloignés de la tête de classement. Il n’est donc pas étonnant que les réformes qui nous sont proposées s’ inspirent profondément du modèle d’intégration individualisée
Deuxième partie : Les réformes qui ont déjà eu lieu(L’influence de la construction européenne dans le système éducatif français)
I° L’enseignement supérieur (processus de Bologne, 1998) mise en place du LMD (46 pays). A noter : En France, l’université scolarise 80% des étudiants. ECTS : unités de compte qui servent à valoriser les diplômes européens. Description du diplôme : description du contenu du diplôme (learning outcomes = compétences = acquis de l’apprentissage). On s’intéresse donc à ce que la personne sait faire (savoir faire en action et non pas bagage culturel) professionnalisation des formations. AERES (= agence d’évaluation et de régulation de l’enseignement supérieur) : dispositif « d’assurance qualité » combinant l’autoévaluation et l’évaluation externe. On a donc mis en place, au niveau de l’enseignement supérieur la structure socle commun + description de compétences + évaluation.
II° L’enseignement professionnel (processus de Copenhague 2002) Réforme de structure : disparition du BEP - Disparition du BEP (Bac Pro en 3 ans) - Reconnaissance des apprentissages à l’étranger, - Dispositif d’assurance qualité, - Promotion de la mobilité des jeunes en formation professionnelle.
III° L’enseignement secondaire : 3 objectifs. - l’acquisition decompétences-clés (socle commun). - l’équité : contrebalancer les facteurs générant un handicap éducatif (accompagnement éducatif). - l’inclusion scolaire plus large (accueil des handicapés prévu par la loi de 2005).
Trois leviers sont prévus pour ce changement • - la qualité de la formation initiale et continue des enseignants (masterisation…). • - la qualité des services de conseils : orientation, information. • - la qualité de la communauté scolaire.
Conclusion Aujourd’hui, notre système éducatif doit s’intégrer dans le système européen. On nous propose donc des réformes: - De structure (cf la réforme des universités, de l’enseignement professionnel, …) - De contenu (cf le socle commun à l’école primaire, au collège, réforme du lycée). Ces réformes s’inscrivent dans un dialogue culturel entre les jeunes et les adultes européens. Elles prennent en compte les deux formes d’enseignement qui s’affrontent en Europe : le système magistral et le système tutoral (cf. tableaux). Les réformes que nous allons devoir prendre en compte constituent un glissement vers le système tutoral. Cette évolution peut s’avérer insécurisante pour nous enseignants car, de part notre culture, la transmission reste facile mais l’accompagnement difficile, plus consommateur d’énergie.
I° Pourquoi réformer le lycée: Il fonctionne bien pour les bons élèves (en 80, 25% obtiennent le Bac, en 2010, 66%). MAIS: - 5000 jeunes sortent du lycée sans le bac, - 1 sur 2 échoue la 1ère année des études supérieures, - la France détient un taux record de chômage chez les jeunes. DONC : • - on consolide ce qui va bien, • on améliore certains points défaillants l’orientation, les filières, l’accompagnement personnalisé pour les élèves, les langues, la culture, l’autonomie de l’élève.
II° Une réforme en 6 points. 1) L’orientation. 2) Le rééquilibrage des filières. 3) L’accompagnement personnalisé pour tous les élèves. 4) Un plan d’urgence pour les Langues vivantes. 5) Une place centrale pour la culture. 6) La conquête de l’autonomie
1) L’orientation. • Elle est actuellement brutale et définitive, elle sera progressive et réversible d’où la mise en place dans le cadre de l’accompagnement personnalisé (2h00 par semaine pendant toute la scolarité du lycée) d’un temps spécifiquement consacré à l’orientation, la possibilité de réorientation en première… • Le redoublement doit devenir marginal. Pour que les élèves puissent passer en classe supérieure, les établissements organiseront des stages pendant les vacances, soit pour pouvoir changer de filière, soit pour un travail de remise à niveau. • Des plateformesnumériques vont être mises en place afin que tous les élèves puissent accéder à l’information sur l’orientation (site et numéro uniques). • Tout élève peut bénéficier pendant toute sa scolarité d’un tutorat. Ce tutorat est assuré par des enseignants dont les documentalistes, par des CPE volontaires. Chaque tuteur suit le même petit groupe d’élèves de la seconde à la terminale.
2) Le rééquilibrage des filières. • Les deux voies (générale et technologique) ainsi que les séries actuelles sont maintenues). • Dans la voie générale, le tronc commun en première permet la constitution de classes réunissant les élèves de différentes séries ou la mise en place de groupes de compétences en Langues. • - Le niveau en sciences de la terminale S est conforté. • - Rénovation (sauvetage) de la série L, grâce à la création d’un nouvel enseignement de langues et civilisations étrangères permettant une ouverture internationale, à l’introduction de disciplines nouvelles comme le droit, à la création d’un enseignement culturel et artistique ouvrant sur les métiers des loisirs. • - Dans les séries ES et L, un nouveau programme d’histoire-géographie, plus tourné vers la préparation aux études supérieures, est mis en place en terminale. • Dans la voie technologique, rénovation des filières technologiques STI et STL (les programmes datent de 1993) avec des places réservées pour les bacheliers technologiques en BTS, en IUT et dans des classes préparatoires spécifiques (forte demande de techniciens dans les domaines scientifiques et industriels).
3) L’accompagnement personnalisé pour tous les élèves. Notre système propose trop d’heures de cours (1036h annuelles contre 921h dans les pays de l’OCDE) et pas assez de plages de travail personnel. Les élèves de 2nde disposeront donc de 2h d’accompagnement pour du soutien, du perfectionnement ou de la préparation à l’orientation. Cette mesure sera également mise en place en 1ère en 2011 et en Tale en 2012. En seconde et en première, l’accompagnement est organisé de manière transversale. En terminale, l’accompagnement s’appuie sur les enseignements spécifiques de la série. Cet accompagnement devra être inséré dans l’emploi du temps et se fera à moyens constants.
4) Un plan d’urgence pour les Langues vivantes. • Les épreuves du Bac seront réformées pour laisser plus de place à l’oral. • On s’appuiera sur des assistants de langue et la visioconférence. • Les élèves seront regroupés par groupes de compétences. Certains enseignements disciplinaires en langue étrangère pourront se développer. • Chaque lycée devra passer un partenariat avec un établissement à l’étranger et proposer des voyages à l’étranger pour tous les élèves.
5) Une place centrale pour la culture. L’histoire des arts est introduite au lycée : un enseignement transversal d’histoire des arts sera introduit grâce à une réforme des programmes de Français, Histoire et Sciences ; il sera évalué au bac. Chaque lycée devra avoir : - un partenariat avec un établissement culturel local. Il devra nommer un enseignant « référant culture », - un ciné-club avec une salle équipée pour la projection (une plateforme développée par France Télévision mettra à disposition 200 films classiques utilisables en ce sens).
6) La conquête de l’autonomie La mission essentielle du lycée est d’aider les jeunes à devenir des citoyens autonomes, capables d’initiatives et d’esprit critique, à comprendre leur environnement et à s’y adapter. L’engagement associatif ou dans l’établissement des élèves sera reconnu dans le livret de compétences et sera un « plus » pour l’accès aux études supérieures (l’âge légal de la prise de responsabilité associative sera abaissé de 18 à 16 ans). Les élèves pourront être associés à la gestion de certains aspects de la vie scolaire.
III° La mise en œuvre. 1) En seconde application de la réforme à la rentrée 2010. 2) En première application de la réforme à la rentrée 2011. 3)En terminale application de la réforme à la rentrée 2012.
1) En seconde application de la réforme à la rentrée 2010. Objectif :redonner à cette classe sa vocation de classe de détermination. - 23h30d’enseignements généraux qui approfondissent ceux du collège (Français, Mathématiques, Histoire-Géographie, Langues et EPS) - 5h00 pour que chaque élève construise son parcours • 2h00 d’accompagnement personnalisé • 3h00 d’enseignements d’exploration
- un deuxième enseignement choisi par l’élève parmi les autres enseignements ou l’enseignement d’économie non pris en choix 1 • Création et innovation technologiques (voie technologique) • Sciences de l’ingénieur (voie technologique) • Santé et social (voie technologique) • Biotechnologies (voie technologique) • Sciences et laboratoire (voie technologique) • Méthodes et pratiques scientifiques • Littérature et société • Création et activité artistiques. L’enseignement d’exploration - Un premier enseignement choisi par l’élève parmi les enseignements d’économie (SES ou EAG). - Un deuxième enseignement choisi par l’élève parmi les autres enseignements ou l’enseignement d’économie non pris en choix 1 - Création et innovation technologiques (voie technologique) - Sciences de l’ingénieur (voie technologique) - Santé et social (voie technologique) - Biotechnologies (voie technologique) - Sciences et laboratoire (voie technologique) - Méthodes et pratiques scientifiques - Littérature et société - Création et activité artistiques. Cas particuliers : L’élève peut choir de remplacer le second enseignement de détermination par LV3 ou Latin ou Grec ancien (108h). L’élève peut choisir deux enseignements d’exploration parmi les cinq de la voie technologique en plus d’un enseignement d’économie. L’élève peut choisir de remplacer les deux enseignements d’exploration (108h) par EPS (180h), Arts de cirque (216h), Arts appliqués (216h).
Les dédoublements : Horaire-élève = 28h30 + ECJS = 0h30 + Heures pour la constitution de groupes à effectif réduit = 10h Soit un total horaire/classe = 39h (identique à l’horaire actuel).
2) En première application de la réforme à la rentrée 2011. Objectif : la rendre plus générale pour que soit possible un changement de trajectoire. - 8h30 à 10h00 d’enseignements de spécialisation selon la série - 15h00 pour un tronc commun d’enseignements (Français, Histoire-Géographie, Langues, ECJS et EPS). - Des TPE - 2h00 d’accompagnement personnalisé.
3)En terminale application de la réforme à la rentrée 2012. Objectif : le temps de la spécialisation en lien avec le projet d’études supérieures.
4) Des remarques et des commentaires Les heures permettant les dédoublements par discipline sont maintenues sous réserve de la demi-heure d’ECJS qui reste individualisée, elles sont globalisées pour permettre la constitution de groupes à effectif réduit en fonction des besoins des élèves. Nécessité de constituer un conseil pédagogique qui définit un projet de cadre général des 2 heures d’accompagnement personnalisé et des heures globalisées pour la constitution des groupes à effectifs réduits. Ce projet est validé par le Chef d’établissement.
Première partie :Qu’est-ce que le socle Commun ? Deuxième partie :L’évaluation du socle Commun Troisième partie :Pistes de travail
I° Le socle commun renvoie à un texte de LoiLoi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école (23 avril 2005, dite loi Fillon) - Un partenariat école-commissariat - Un contrat personnel de réussite - Une suppression du deuxième enseignement de détermination en seconde • 108 heures de présence hors cours dont 60 heures minimum d’aide personnalisée pour les professeurs des écoles - Des bourses au mérite - Un socle commun de connaissances, sur lequel le Haut Conseil de l'éducation donne ses préconisations.
« La scolarité obligatoire doit au moinsgarantir à chaque élève les moyens nécessaires à l'acquisition d'un socle commun constitué d'un ensemble de connaissances et de compétences qu'il est indispensable de maîtriser pour accomplir avec succèssa scolarité, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et professionnelet réussir sa vie en société. » le socle commun : UN objectif précis
Le socle commun s’acquiert progressivement de l’école maternelle à la fin de la scolarité obligatoire. Il définit un contenu terminal mais on peut aller au delà. Il crée des ponts entre les disciplines pour donner du sens. Chaque compétence qui le constitue requiert la contribution de plusieurs disciplines et, réciproquement, une discipline contribue à l’acquisition de plusieurs compétences. Dans ce cadre, les pratiques scolaires artistiques, culturelles et sportives y contribuent pleinement. À l’école et au collège, tous les enseignements et toutes les disciplines ont un rôle à jouer dans l’acquisition du socle. Quelques Rappels sur le socle commun
II° Le socle commun s’articule autour de compétences Chaque « compétence » est conçue comme une combinaison de : • Connaissances fondamentales pour notre époque • Capacités à les mettre en œuvre dans des situations variées • Attitudes indispensables tout au long de la vie : ouverture aux autres, goût pour la recherche de la vérité, respect de soi et d’autrui, curiosité et créativité ...
Les sept compétences sont : 1. la maîtrise de la langue française, 2. la pratique d’une langue vivante étrangère, 3. les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique, 4. la maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication (ce sont des outils), 5. la culture humaniste, 6. les compétences sociales et civiques : vivre en société; se préparer à sa vie de citoyen, 7. l’autonomie et l’initiative.
1 - La maîtrise de la langue française Le contenu du socle • Connaissances • L’élève doit maîtriser la langue française • Le vocabulaire • La grammaire • L’orthographe • Lire • Écrire • S’exprimer à l’oral • Utiliser des outils • Capacités • Lire • Écrire • S’exprimer à l’oral • Utiliser des outils • Attitudes • Développer une volonté de justesse dans l’expression écrite et orale • Le goût des sonorités • L’intérêt pour la lecture • L’ouverture à la communication, au dialogue, au débat
2 - La pratique d’une langue vivante étrangère • Connaissances • L’élève doit s’approprier un code linguistique • Posséder un vocabulaire • Connaître des règles grammaticales • Connaître des règles de prononciation • Maîtriser l’orthographe des mots • Capacités • Utiliser la langue en maîtrisant les codes de relations sociales • Comprendre un bref propos oral • Se faire comprendre à l’oral et à l’écrit • Comprendre un texte écrit court et simple • Attitudes • L’élève développe : • Le désir de communiquer avec les étrangers dans leur langue, de lire un journal… • Une ouverture d’esprit et la compréhension d’autres façons de penser et d’agir
3a – Les principaux éléments de mathématiques • Connaissances • L’élève doit connaître : • La numération • Les nombres • Les 4 opérations • Les techniques du calcul mental • Les identités remarquables • Gestion de données, fonctions • La proportionnalité • Les représentations usuelles • Le repérage sur un axe • Des notions de statistiques • Des notions de probabilités • La géométrie • Des propriétés géométriques • Les notions de parallèles… • Les transformations • Des théorèmes • Grandeurs et mesures • Les principales grandeurs • Les mesures à l’aide d’instruments • Capacités • L’élève doit être capable de : • Raisonner logiquement • Communiquer • Effectuer un calcul à la main, à la calculatrice, mentalement • Manipuler les écritures fractionnaires • Effectuer des tracés • Utiliser et construire des tableaux… • Utiliser des outils • Traiter mathématiquement une situation de la vie courante • Se repérer dans l’espace • Attitudes • L’élève doit développer : • La rigueur et la précision • Le respect de la vérité rationnellement établie • Le goût du raisonnement fondé sur des arguments dont la validité est à prouver