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A-LES RISQUES EN INDONESIE

A-LES RISQUES EN INDONESIE. Comment une région pauvre fait face à la catastrophe?. Le 24 décembre 2004, la région indonésienne de Banda Aceh au nord de l’île de Sumatra est frappée par un terrible séisme de 8,9 suivi d’un tsunami. Dés les premières heures le bilan est très lourd (25 000 morts ).

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A-LES RISQUES EN INDONESIE

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Presentation Transcript


  1. A-LES RISQUES EN INDONESIE Comment une région pauvre fait face à la catastrophe?

  2. Le 24 décembre 2004, la région indonésienne de Banda Aceh au nord de l’île de Sumatra est frappée par un terrible séisme de 8,9 suivi d’un tsunami. Dés les premières heures le bilan est très lourd (25 000 morts).

  3. « Nous n’avons jamais été confrontés à une crise de cette ampleur » confirme la responsable de l’ONG britannique Oxfam. « La zone est si sinistrée, le réseau routier si impraticable et le reste des infrastructures si déficient qu’on ne pourra avancer que très lentement alors que la population est dans une situation d’urgence, une partie d’entre elle étant même dans l’extrême urgence », conclut, inquiète, la jeune humanitaire. Le risque épidémiologique est à son paroxysme alors que des cadavres se décomposent toujours à l’air libre dans de nombreuses localités. « Nous attendons toujours que l’armée viennent les ramasser », confirme Azal, un des survivants du village de Kahju où une vingtaine de personnes sont mortes la semaine dernière d’infections pulmonaire. Dans les camps de réfugiés, qui ont déjà accueillis plus de 500 000 personnes, la situation sanitaire est également catastrophique. Les gens sont entassés dans des baraquements insalubres ou des bâtiments administratifs ravagés par le Tsunami. Les équipements sont sommaires et les condition de vie épouvantables. Plusieurs centaines de personnes se partagent trois ou quatre grands baquets d’eau pour se laver et les toilettes se résument souvent à un trou creusé dans la terre qu’un simple carré de taule ondulé protège des regards indiscrets. Le sol crasseux sert à la fois de table à manger et de matelas. L’addition des sueurs humaines, concentrées par la chaleur équatoriale, donne à l’endroit des relents de saleté irrespirables. À cela s’ajoute la faim. On se nourrit d’un bol de riz blanc par jour et l’eau non potable est bouillie pour être consommée. « Nous n’avons reçu qu’un seul colis humanitaire », se plaint cette veuve désespérée qui n’a pu sauver qu’un seul de ses quatre enfants du désastre

  4. Mots clés possibles pour votre trace écrite: situation d’extrême urgence/les conditions de vie épouvantables/ Les équipements sont sommaires/ Un bol de riz par jour/Eau non potable/ situation sanitaire catastrophique/Nous n’avons reçu qu’un colis humaniatire

  5. LE JDD, janvier 2005

  6. Débarquement du fret humanitaire sur la plage de Calang, à une dizaine d’heures de navigation au sud de Banda Aceh, les militaires indonésiens assurent la navette entre le bateau de pèche et la plage avec deux engins amphibies

  7. 2- L’Indonésie est un P.E.D. (Pays En Développement). Son gouvernement n’a pas été en mesure de fournir une aide d’urgence à sa population. Les autres pays et les O.N.G (Organisation Non Gouvernementale) comme Médecins Sans Frontières ont dû intervenir souvent dans des conditions difficiles à cause du territoire très morcelé de l’Indonésie.

  8. Un an après, les conséquences sociales, économiques et environnementales de cette catastrophe naturelle majeure sont encore très difficilement quantifiables. L'ONU estime tout de même que les dommages globaux pourraient excéder les 10 milliards de dollars. L'heure est à la reconstruction des lieux de vie : habitations, écoles, hôpitaux mais aussi hôtels et restaurants pour relancer l'économie touristique vitale pour la plupart des pays touchés. Les zones proches du littoral ont disparu, la plage a disparu, les rizières ont été transformées en lagons côtiers, explique Faizal Parish, directeur du Centre international de l'environnement en Malaisie. Mais les dommages les plus importants sont invisibles : pollution des sols par des produits chimiques déversés lors de la destruction des infrastructures, contamination des sources d'eau potable, salinisation du milieu. Aux Maldives, l'eau de mer a endommagé les 1.200 fermes et parcelles de terrain des petits exploitants. Au Sri Lanka, 62.000 puits d'eau douce ont été souillés par l'eau salée ou par les eaux d'égout.

  9. 3- Les effets de la catastrophe se font durablement sentir en Indonésie. La reconstruction économique du pays qui va prendre beaucoup de temps. (manque de moyens). Aussi des terres agricoles disparaissent. Enfin,les conséquences environnementales sont importantes.

  10. Victimes nombreuses. Impact fort sur les sociétés à long terme Conséquences environnementales graves Coût économique faible de la reconstruction Les enjeux du développement durable liés aux risques DANS LES PED (Pays En Développement)

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