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SHAKESPEARE

SHAKESPEARE. STRATFORD. Biographie. Son génie. Shakespeare. Textes. Défauts et Qualités. L’obscurité des oracles de Shakespeare. Elle n’est pas obscurité si on découvre ses beautés. Songe d’été, Acte II Le roi de fées dit à son confident :

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SHAKESPEARE

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Presentation Transcript


  1. SHAKESPEARE STRATFORD

  2. Biographie Son génie Shakespeare Textes Défauts et Qualités

  3. L’obscurité des oracles de Shakespeare Elle n’est pas obscurité si on découvre ses beautés

  4. Songe d’été, Acte IILe roi de fées dit à son confident : « Tu te souviens du jour qu’assis sur le haut d’un promontoire, j’écoutois les chants d’une sirène portée sur les dos d’un dauphin ; elle remplissoit les airs d’accents si doux et si mélodieux, que la mer en fureur se calma aux charmes de sa voix, et que certaines étoiles se précipitèrent follement de leurs sphères, pour prêter l’oreille aux sons harmonieux qu’elle faisoit retentir ».

  5. Sogno di una notte di mezza estate, atto II Oberon, il re delle Fate, dice al Demone, il suo confidente: “Tu certo ben ricordi quando, dalla cima d’un alto scoglio, ascoltai una sirena, assisa sul dorso d’un delfino, la quale effondeva nell’aria tanto soavi ed armoniosi accenti che il rude mare si ingentilì al suo canto, e alcune stelle, impazzite fuori balzaron dalle sfere per ascoltare la melodia dell’equorea (=del mare, marina) fanciulla”. Traduzione di Marcello Pagnini

  6. A Midsummer Night’s Dream, act II Oberon, the king of the Fairies, says to Puck, his jester and lieutenant: “…Thou rememb’rest Since once I sat upon a promontory, And heard a mermaid on a dolphin’s back Uttering such dulcet and harmonious breath That the rude sea grew civil at her song And certain stars shot madly from their spheres To hear the sea-maid’s music?”

  7. Dans cette allégorie l’auteur veut faire l’éloge et la satyre de Marie, reine d’Ecosse

  8. Maria I Stuart Maria I Stuart (Linglithgow 1542 – Fo-theringhay 1587), regina di Scozia. Figlia di Giacomo V e di Maria di Guisa, succedette al padre sotto la reggenza della madre, ma trascorse parte della sua giovinezza in Francia dove sposò (1558) il delfino Francesco. A partire dalla morte di Maria I Tudor (1558) si considerò regina e tale era agli occhi dei cattolici. Rimasta vedova (1560), tornò in Scozia, dove cercò di governare in accordo con i protestanti, ma finì per alienarsene le simpatie in seguito ai suoi matrimoni con il capo del partito cattolico inglese, lord Darnley (da cui ebbe un figlio, il futuro Giacomo I d’Inghilterra) e con il conte di Bothwell, sospettato di aver ucciso Darnley (1567). I nobili si ribellarono e Maria fu costretta dapprima ad abdicare e poi, dopo un vano tentativo di riscossa, a fuggire dalla Scozia (1568). Cercò allora rifugio in Inghilterra presso la cugina Elisabetta I, che la tenne tuttavia prigioniera per lunghi anni. Processata per aver partecipato a una congiura contro Elisabetta, fu condannata a morte e giustiziata.

  9. L’image de la sirène sur le dos d’un dauphin designe le mariage de Marie avec le dauphin de France. • Le poëte représente Marie sous l’image d’une sirène parce que: • elle était reine d’une partie de l’Île de la Grande Bretagne • Elle était fameuse par ses dangereux attraits (=seduzioni)

  10. “…remplissoit l’air d’accents si doux et si mélodieux…” Shakespeare fait allusion à l’esprit de Marie et à ses connaissances, qui l’ont rendue la femme la plus accompliée (=perfetta) de son temps.

  11. “…que la mer en fureur se calme aux charmes de la voix…” L’auteur entend l’Ecosse, qui a été longtemps contre la reine Marie. Puis l’opinion commune est que les sirènes chantent pendant la tempête.

  12. “…certaines étoiles…retenir (=riecheggiare)…” Toutes ces étoiles signifient en général les différents mariages qu’on lui a proposé. Mais cela regarde la célèbre negociation du Duc du Norfolk avec elle.

  13. Shakespeare sait remuer (=muovere) les passions. On ne doit pas lui reprocher son manque de littérature, parce que dans ses pièces il montre beaucoup de connaissances. Quelquefois il fait des défauts du style ou de composition des autres auteurs.

  14. Shakespeare DÉFAUTS QUALITÉS • Il n’y a pas la pureté ou la simplicité du language • La conduite du théâtre est révoltante • Il a un génie élevé et fertile • Il a écrit de belles pièces pour les deux genres du théâtre

  15. Selon Adisson, on peut comparer Shakespeare: “…à la pierre enchassée (= incastonata) dans l’anneau de Pyrrhus, qui représentoit la figure d’Apollon avec le neuf muses dans le veines (= venature), que la nature y avoit tracées elle-même, sans aucun secours de l’art...”

  16. Hamlet, Acte III HAMLET: “...Demeure, il faut choisir et passer à l’instant de la vie à la mort, ou de l’être au néant Dieux cruels, s’il en est, éclairez mon courage! Faut il veiller courbé sous la main qui m’outrage? Supporter ou finir mon malheur et mon sorte? Qui suis je? Qui m’arrête? Et qu’est-ce que la mort? C’est la fin de nos maux; c’est mon unique asyle; après des longs transports, c’est un sommeil tranquille…”

  17. Amleto, Atto III “…Essere o non essere. È il problema. Se sia meglio per l’anima soffrire oltraggi di fortuna, sassi e dardi, o prender l’armi contro questi guai e opporvisi e distruggerli. E dirsi così con un sonno che noi mettiamo fine al crepacuore ed alle mille ingiurie naturali, retaggio della carne!…”

  18. Hamlet, Act III “…To be or not to be – that is the question. Whether ‘tis nobler in the mind to suffer The slings and arrows of outrageous fortune Or to take arms against a sea of troubles And by opposing end them? To die, to sleep; No more? And by a sleep, to say we end The heart-ache and the thousand natural shocks That flesh is heir to…”

  19. Stratford Stratford ou Stretford est un bourg à marché d’Angleterre, dans le Warwick-Shire, sur l’Avon. Dans le bourg on peut admirer la maison, où Guillaume Shakespeare est né, a habité dans la jeunesse et de 1610 jusqu’à 1616, l’an de sa mort. Les habitants de Stratford sont très jaloux de cette maison et de la gloire de la naissance du génie sublime, le plus grand qu’on connaisse dans la poesie dramatique.

  20. La famille de Shakespeare Le père de Guillaume était un gros marchand qui, ayant dix enfants, dont Shakespeare était l’aîné, n’a pu lui donner l’autre éducation que de le mettre dans une école publique, pour qu’il suive ensuite son commerce. Il maria le fils à l’âge de dix sept ans avec la fille d’un riche paysan.

  21. La découverte de sa passion Quand Shakespeare est allé vivre à Londres, il a fait connaissance avec des comédiens. Il est entré dans la troupe et il s’est distingué par son génie tourné naturellement au théâtre anglois, “sinon comme grand acteur, du moins comme excellent auteur”.

  22. Le caractère de Shakespeare Son esprit et son bon caractère lui valurent la recherche et l’amitié de la noblesse et des gentilshommes du voisinage. Il a reçu des marques extraordinaire d’affection du comte de Southampton, qui lui a fait à une seule fois un présent de mille livres sterling. Donc Shakespeare a passé les dernières années de sa vie dans l’aisance.

  23. Les pièces On ignore quelle a été la première pièce de cet auteur et on a très peu de ses écrits, mais ceux qu’il a publiés pendant sa vie ont immortalisé sa gloire. Plusieurs de ces pièces ont été représentées devant la reine Elisabeth, qui ne manquait pas de donner au poète des marques de la faveur.

  24. Le rapport avec la reine Elisabeth • C’est évidemment cette princesse que Shakespeare a eu aussi en vue dans le “Songe d’été”, quand il dit:”une belle vestale couronnée dans l’occident”. • L’admirable caractère de Falstaff dans la pièce de “Henri IV” lui plut si fort, qu’elle a dit à Shakespeare de le faire paraître amoureux dans une autre pièce; ça a produit la pièce “Le commères de Windsor”.

  25. Une histoire intéressante • Le bon caractère de Shakespeare est témoigné d’un épisode assez plaisant: • Shakespeare était lié avec un vieux homme, Monsieur Combe, qui était connu par ses richesses et par son caractère usurier. • Un jour qu’il était en compagnie d’amis, M.Combe a dit en riant à Shakespeare qu’il avait dessein de faire son épitaphe et il le priait de la faire tout de suite: sur ce discours Shakespeare fit quatre vers, dont voici le sens: “Cy gît, dix pour cent ; il y a cent contre dix, que son ame soit sauvée : si donc quelqu'un demande qui repose dans cette tombe : Ho ! ho ! répond le diable, c'est mon Jean de Combe”. Ce Monsieur Combe est le même qui a un monument dans le chœur de l’église de Stratford, parce que il a légué diverses charités annuelles à la paroisse de Stratford.

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