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Historique. Dbut au XIXme sicleL'art d'imposer aux oprations de l'esprit la mesure et le nombre F.GaltonComprend: les tests mentaux, les chelles d'valuation, et plus rcemment les critres diagnostiques Comparaison soit une pop de rfrence, population gnrale ou population ayant une
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1. La Psychomtrie en Psychiatrie I.Amado
Praticien Hospitalier
SHU CPN U894
2. Historique Dbut au XIXme sicle
Lart dimposer aux oprations de lesprit la mesure et le nombre F.Galton
Comprend: les tests mentaux, les chelles dvaluation, et plus rcemment les critres diagnostiques
Comparaison soit une pop de rfrence, population gnrale ou population ayant une pathologie
3. Les chelles dvaluation Dbut ds la fin des annes 50
Reprsentent un jugement clinique codifi, pour valuer un certain nombre de variables cliniques
chelle de dpression: principaux symptmes cliniques dun syndrome dpressif. Comportent des items gradus avec intensit croissante.Somme totale: reflet de lintensit du syndrome dpressif.
Parfois valuent dautres traits accompagnant la dpression, ou le changement sous psychotropes.
4. Diffrents types dchelles Diffrent par objectif principal, contenu, mode de cotation ou domaine de pathologie
Cotation de symptmes, dtat somatique, de qualit de vie, adaptation sociale
Soit graduation dichotomique en absent/prsent; soit graduation selon lintensit(0/4; 0/7)
Selon la nature de la pathologie: chelles dapprciation globale, inventaires gnraux, ou chelles spcifiques dune pathologie dtermine (anxit, dpression...)
Selon le type de mesure: chelles nominales pour dsigner des catgories (echelle de dpression endogne/exogne); chelles ordinales pour indiquer un classement; si intervalle constant entre deux chiffres de cotation: chelles dintervalle
5. Calcul des frquences des diffrentes catgories et test du ?2, pour comparer les frquences
Analyses multivaries pour tudier les relations entre les diffrentes chelles nominales
Pour les chelles ordinales (par ex hamilton dpression) statistiques par des tests non paramtriques
6. Qualit mtrologique dune chelle Sensibilit: finesse discriminative. Permet de diffrencier un nombre suffisant de degrs distinct dune mme variable. Longueur corrle la sensibilit
Fidlit: bonne fidlit temporelle ou test/retest. Pour les chelles dvaluation importance de la fidlit interjuges. Apprcie par le coefficient de concordance intercotateur: kappa entre 0 et 1.
Fidlit interjuge apprcie lors de sances communes de cotation
Respect strict des consignes de cotation
Plusieurs entretiens sont remplis de manre semi-structure, voire entirement structure.
(ex: SCID selon le DSM IV)
7. Qualit mtrologique dune chelle (2) Validit: qualit la plus complexe tudier
Instrument valide sil mesure ce quil est cens mesurer.
Pme dj de la validit diagnostique et de lhtrognit des formes diagnostiques (schizophrnie)
Parfois on teste cette validit par rapport un instrument de rfrence.
Pour tudier la qualit dune chelle: tudier la cohrence, la consistance interne, sa structure et sa stabilit?homognit des diffrents items par ltude des corrlations des items entre eux: coeff alpha de Cronbach.
8. Qualit mtrologique dune chelle (3) Structure interne de lchelle: analyse factorielle. Regroupement de plusieurs items en facteurs indpendants, fonction des intercorrlations entre les notes des diffrents items. Explorent les dimensions fondamentales dune pathologie par ex.
Certains outils nexplorent quune seule dimension.
9. EX : La Brief Psychiatric Rating Scale
Overall et Gorham 1962
Outil multidimensionnel: on vrifie la stabilit de la structure au sein dun mme pays et pour des pays diffrents
Traduction et validation par Pichot et al. 1969
chelle globale en 18 items de 0 7
5 facteurs principaux: dlirant/hallu; hbphrnique, dpressif, paranoaque, psychotique aigu.
10. Positive and Negative symptom Scale (PANSS) Kay et al.1987 Permet de dterminer les symptmes positifs (productifs), ngatifs (dficitaires), et de symptmes gnraux
Sensibles aux variations de ltat clinique (amlioration si diminution de 30%); permet de dfinir des seuils pour lexcitation, les ides suicidaires, les symptmes ngatifs
ensibilit au traitement
Permet de calculer un sous score de dsorganisation
11. Ex 2: anxit de Max Hamilton (1959) Echelle de 14 items
Calcul dune note globale ld anxit avec anxit psychique et anxit somatique
Charge en items anxieux
Ex dchelles largement utilises mais avec instabilit factorielle: chelle de dpression dHamilton, ou MADRS.
Sensibilit au traitement
Permet de dfinir un seuil de svrit (>22 pour lchelle 17 items) (mais le seuil de la MADRS est plus pur >25)
12. Applications En pratique clinique: dpistage ou aide au diagnostic
Evolution sous traitement
En recherche: constitution de groupes de patients homognes
Identification de groupes de patients selon leur ractivit thrapeutique: tude de la reponse au traitement
Facilitation des communications entre chercheurs et permet la diffusion internationale
13. La psychomtrie des fonctions cognitives
14. Tests mentaux daptitude et dintelligence Premier test: Binet 1905
valuation trs controverse
La construction dun test repose sur un modle thorique
Chez lenfant, le QI reprsente un quotient: au numrateur le niveau de maturation/dnominateur lge rel (Stern, 1912)
Dveloppement intellectuel atteint un plafond ave lge au del duquel le rsultat naugmente pas
Chez ladulte: Wechsler 1925: repre la position relative du suejt / aux autres suejts de mme ge. Moy stat de 100 et cart type de 15
15. Que revt la notion dintelligence? Vaste ensemble de cognitions et efficacit avec laquelle elles sont mises en uvre
Capacit adapter un comportement aux contraintes environnementales
?flexibilit cognitive
Capacit adaptative qui a un certain degr de gnralit
-soit intelligence unique
-soit plusieurs formes dintelligence
16. Approche factorielle de lintelligence Trois ordres de facteurs
- facteur gnral (g) commun tous les tests
Facteur groupe (par ex facteur verbal ou spatial)
Facteur spcifique: particulier un test
But: apprhender le facteur g car il intervient dans toutes les oprations mentales.
17. Autres modles Apport des analyses factorielles qui ont dlimit diffrentes dimensions/conception unitaire
Rsolution du dbat gnral/multiple en modloe hirarchique 3 stades (Etude de JB Carroll sur 460 analyses factorielles et 130000 personnes)
-niveau facteur de russite: facteur g
-huit formes dintelligence dont lintelligence fluide (capa rsoudre des tches nouelles) et cristallis (somme des connaissances acquises/environnement et exprience)
-facteurs spcifiques: ex: mmoire associative
On peut tre performant dans un des facteurs sans ltre dans un autre.
Par ex: intelligence fluide explore dans la perception visuelle (Matrices de Raven), et intelligence cristallise explore dans la comprhension verbale ou intelligenc lexicale type Binois Pichot ou voc de la WAIS.
18. Tendances actuelles Incorporation dautres formes dintelligence
-connaissance de soi
-intelligence motionnelle
Mais souvent ce sont des tests anciens qui ont t adpats et rtalonns en fonction de lvolution sociale.
19. Examen des fonctions cognitives Bas sur la neuropsychologie cognitive
value diffrents secteurs: attention, mmoire, langage, fonctions excutives et visuospatiales
valuation vise diagnostique
Dpistage dune pathologie dgnrative dbutante
Choix dun instrument dpend de lge, du niveau ducatif, de ltat clinique
Mais les tests conus sont rarement purs et en gnral mesurent plusieurs fonctions.
20. Evaluation dun dficit intellectuel Analyse des performances aux tests relevant dun haut niveau dlaboration cognitive (raisonnement, laboration de problme, catgorisation)
Vulnrables latteinte organique et au vieillissement
Tests de raisonnement par analogie (Matrices progressives de raven), conceptualisation (similitudes de la WAIS), analyse et synthse (cubes de la WAIS)
Se mesure en diffrence significative/pop normale
21. Evaluation du fonctionnement excutif value des tches complexes diriges vers un but
Analyse dinformations, planification, catgorisation, dcision dun programme daction
Si atteinte dune composante: baisse du fonctionnement intellectuel
-flexibilit spontane: value par la fleucne verbale lexicale et catgorielle
Flexibilit ractive: trail making test ou WCST
Parfois preuves plus spcifiques: test de stroop, Go/No Go
Distinguent un profil normal dun profil pathologique
un dysfonctionnement frontal dans les erreurs de type persvration du Wisconsin par ex ou inhibition dune rponse automatique
Troubles dysxcutifs prsents dans lAlzheimer, les dmences forntotemporales, un moindre degr dans la schizophrnie ou les troubles obsessionnels compulsifs.
22. Mmoire Mmoire de travail: MCT qui permet le maitient temporaire des infos et la manipulation mentale pour stocker ensuite les informations en mmoire long terme
Explore par le test de double tche de Brown Peterson, ou digit span lendroit et envers de la WAIS.
Il existe une WM verbale, visuospatiale...
Fait aussi intervenir le fonctionnement frontal
23. Mmoire (2) Mmoire pisodique:
Mmoire relie un contexte spatial et temporel
Peut tre autobiographique ou non autobiographique
Test habituel: grober et Buschke: capacit dapprentissage verbal. Explore le rapple libre et indic: trouble de lencodage souvent vocateur dun Alzheimer dbutant; trouble de la rcupration souvent vocateur dune dmence sous corticofrontale.
Mmoire smantique:
teste les informations gnrales: test information de la WAIS: rappel des acquis sur les vnements historiques culturels...
24. Langage Dpiste des anomalies de lexpression orale, crite ou de la comprhension
Tests de dnomination dimages: sensible au manque du mot ou aux paraphasies
Voc de la WAIS: dfinir un mot: diffrentie le manque du mot (trouble daccs lexical/Alzheimer) de la perte des reprsentations smantiques (dmence smantique)
25. Attention Va de la ractivit globale, au temps de raction simple, multiple ou de choix.
Attention slective: capacit slectionner les infos pertinentes: test de barrage de chiffres ou de lettres (D2 cancellation test)
Attention soutenue: Continuous performance test: avec mise en jeu de la mmoire immdiate (identifier lorsque deux chiffres prsents successivement sont identiques); et diffre: se rappeler si le chiffre prsent est le mme que le chiffre antirieur avec une tche interfrente
26. Fonctions visuospatiales Capacit de traitement des relations spatiales entre des lments visuels
Test du cadran de lhorloge (Alzheimer)
Figure gomtrique de Rey ou rappel immdiat de la figure de Benton: dtecte des troubles visuospatiaux maladies dgnratives)
27. Evaluation neuropsychologique en clinique Permet dajuster un projet de vie en fonction des aptitudes
En vue dentreprendre une remdiation cognitive (schizophrnie, bipolarit, asperger, adhd, anorexie)
Permet daffiner lajustement professionnel
Trs important pour des perspectives de rhabilitation, pour la remdiation cognitive++
28. Apports de la recherche Examen des fonctions cognitives en psychiatrie
-permet dvaluer les troubles cognitifs accompagnant un tableau de pathologie mentale (dpression, anxit, schizophrnie)
-de modliser ces atteintes dans chaque pathologie
-de tester limpact cognitif dun psychotrope
-de tester des marqueurs cognitifs de vulnrabilit (chez des patients non traits, des apparents)
-couplage lIRM-F
29. Les tests de personnalit
30. MMPI MMPI: questionnaire de personnalit le plus cit depuis 65 ans
Nouvel essor avec le MMPI2
Historique: en 1917 cration des tests mentaux: moyen rapide de recruter une arme aux USA
1940: Minnesota Multiphasic Personnality Inventory (Hataway and Mc Kinley)
Cre pour reprer des sujets ayant des troubles psychiatriques
31. Construction du MMPI Passation de nombreuses questions des populations psychiatriques diffrentes: slection des questions discriminantes
Items distinctifs regroups en chelles de groupes pathologiques de rfrence: Hs (hypochondrie), Hy (hystrie), D (dpression), Pd (psychopathie), Pa (Paranoa), Pt (Psychasthnie), Sc (schizophrnie), Ma (Manie), Si (introversion), plus chelle Mf Masculin/fminin.
32. Questionnaire 550 questions vrai/faux/je ne sais pas
Champs divers des conditions physiques aux attitudes morales et conduites sociales
Profil: moyenne 50 et SD: 10
MMPI2: en rponse au fait que certaines questions taient obsoltes ou sexistes; meilleure adaptation au DSM + validation en population rurale du Minnessota
33. MMPI-2 Rvision partir des annes 1980
Adaptation franiase en 1997 partir dune validation dans 25 pays
576 items 13 items concernant les chelles cliniques ont t retirs et 86 items introduits
talonnage sur des populations amricaines dethnie et niveaux culturels varis (2600) + patients psy hospitaliss (423) et patients en addictologie (1212)
Trs bonne validation statistique (validit, meilleur talonnage)
Configuration gale du profil > note et sd pour chaque chelle
34. Contenu du MMPI2 chelle L lie: 15 questions de situations socialement dsirables: reprage des attitudes trop dfensives
Echelle F: tendance rpondre de faon atypique
Nombre de rponses je ne sais pas: attitude de coopration du sujet
En plus mesure dun changement d etype de rponse au cours du test, dune consistance interne pour dpister des rponses contradictoires ou incohrente
Fp: reprage des patients simulateurs
35. Contenu du MMPI2 (2) chelle Hypochondrie: proccupations excessives envers sa propre sant chez des sujets gocentriques et insatisfaits?ides dlirantes et somatiques
Echelle schizophrnie: tendance lisolement, lintroversion, aux difficults de communication, la schizodie
Echelles de base conserves mais 15 chelles de contenu spcifiques qui prcisent les configurations de personnalit
36. Interprtation Plus daccent mis sur les conduites et comportements/diagnostic psychiatrique
-analyse de base chelle par chelle
-mthode actuarielle: frquence dapparition de profils dtermins /chantillons prcis
-mthode des codes types: on retient les 2-3 echelles avec les scores les plus levs.
Aide diagnsotique, prdiction de la rponse au traitement, et indication du type de traitement
37. MMPI 2: Nouveaux champs dapplication MMPI-TP:Troubles de la personnalit (1985)
MMPI-A adolescents: normes pour populations de 14 18 ans avec items spcifiques pour immaturit, alination, troubles des conduites, faible aspiration, difficults scolaires.
Facilitation des indications thrapeutiques par chelle TRT pour tudier la motivation au traitement, et Es pour la proba dun gain thrapeutique
38. Limites et intrts Conditions de passation: sujets de plus de 18 ans, QI>90, lecture correcte
Niveau danxit, dagitation, mlancolie, confusion, intox mdicamenteuse ou toxique peut invalider le test
Facilit demploi; extension aux domaines mdico-lgaux, toxicomanie.
Monde du travail dpend de la lgislation en vigueur.
Cration de classifications relatives la douleur
39. Examen de la personnalitLe NEO-PI-R La personnalit peut tre envisage dans une perspective catgorielle ou dimensionnelle
Dans la perspective dimensionnelle, cest lorganisation dynamique des traits de personnalit qui dtermine ladpatation unique dune personne son environnement G. Alport
Le modle 5 facteurs propose un rsum de la sphre de la personnalit 5 dimensions: extraversions, nevrosisme,ouverture lexprience, agrabilit, caractre consciencieux.
40. Nvrosisme Predisposition ressentir et percevoir la ralit comme menaante, problmatique et pnible
Tendance lanxit, dpression, cupabilit, se sentent infrieures, avec une vision critique delle mme
Fort niveau de stress, plaintes somatiques
Tendance aux affects ngatifs
41. Extraversion introversion Extraversion ont tendance facilement se confronter aux expriences sociales. Gais, enthousiastes, ouverts aux autres
Introversion: plus rservs, ferms et vitent les circonstances sociales et les nouvelles expriences.
42. agrabilit Ouvert aux autres, en recherchant le bien dautrui
Caractre empathique, sensible au bien tre des autres
lautre extrme caractre goiste avec dimension agressive, qui peut tre manipulateur et cynique sur sa vision des autres.
43. Caractre consciencieux Lien avec les impulsions et les troubles des conduites
Notion de conformit aux normes lgales
Responsables et disciplins
loppos on retrouve des personnes qui agissement dans linstant, et se laissent guider par leurs motions
44. Utilit en psychiatrie 240 items regroupant 30 traits, traduction dans 40 langues diffrentes
Description des tendances de personnalit de ladulte
Bilan initial avant une thrapie par ex
Ex de relaxation prconise pour des sujets ayant un score lev de nvrosisme
Caractre introverti fort : obstacle une thrapie de groupe
Score faible pour ouverture ou caractre conscieucieux, peut tre prdicteur de ractions ngatives la thrapie
45. Les tests projectifs
46. Le Rorschach Utile comme approfondissement pour une confirmation du diagnostic
test des tches dencre de Hermann Rorschach (1921): ides que les maladies mentales influent sur la perception des formes des patients et les processus de traitement de linfo diffrent selon la personnalit dun individu.
Dc de Rorschach avant la fin de linterprtation de son test?interprtations diverses ensuite
En 1974: 1re version du systme intgr aux USA. ?outil dvaluation de la personnalit et des processus morbides psychomtriquement valide et standardis.
47. Apport du Rorschach en systme intgr dExner Test la fois catgoriel et dimensionnel.
Explore trois grands secteurs: fonctionnement cognitif, affectif et rapport du sujet lui mme et au monde.
Pour la schizophrnie: aide pour les formes psychotiques aigues, ou les tats limites et dpressions atypiques. Le Rorschach nest pas indiqu en aigu
-saisit le rapport soi, la rupture avec la ralit, parfois la dangerosit
48. Pour la dpression: lindice de dpression reflte un problme affectif, pas une catgorie diagnostic spcifique
-20 30% des schizophrnes ont un indice de dpression positif.
-Permet de reprer les pseudo-dpression: troubles de ladaptation et les vulnrabilits dpressives.
Troubles de la personnalit: permet de saisir la dynamique des processus qui caractrisent le rapport du sujet lui mme et au monde environnant
Risque suicidaire: ensemble de signes (s-constellation) qui ont une trs bonne valeur prdictive.
Troubles lis au stress:bonne apprciation de la tolrance au stress/diffrentiation des mauvaises gestion du stress et des stress paroxystiques
49. Indications Aide au dignostic
Aide pour les dmarches psychothrapiques: par ex exploration de la capacit adopter des stratgies de coping
Sensibilit lvolution du patient et permet de mieux poser des indications thrapeutiques.
50. Comparaison MMPI/ Rorschach Sensibilit similaire pour la dpression
Meilleure sensibilit du Rorschach pour les troubles psychotiques
Mais MMPI a de meilleures corrlations que le Rorschach avec les questionnaires psychiatriques
?aide importante au diagnostic psychiatrique
Apport pour une description approfondie du fonctionnement psychologique