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Université Sidi Mohammed Ben Abdellah École Supérieure de Technologie Fès

Université Sidi Mohammed Ben Abdellah École Supérieure de Technologie Fès. Licence Professionnelle: Management International. Les logiques productives au cœur de la mondialisation. Quelle régulation pour la globalisation. Mondialisation Les mots et les choses.

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Presentation Transcript


  1. Université Sidi Mohammed Ben AbdellahÉcole Supérieure de TechnologieFès Licence Professionnelle: Management International Les logiques productives au cœur de la mondialisation Quelle régulation pour la globalisation Mondialisation Les mots et les choses Gestion Stratégique Internationale Gestion Financière Multinationale Réalisé par Med Tahar RAHHALI A. Hafid KOUBRITI Mehdi BARROU Encadré par Mr. Ali BENGHAZI

  2. LP-MI 2007/2008 Gestion Stratégique Internationale Jak JABES Chapitres 3, 4 et 5

  3. LP-MI 2007/2008

  4. LP-MI 2007/2008 Développement des modèles reposant sur la valorisation technologique. Apparition de la variable technologique. Vulgarisation du concept de veille technologique. Définition: la veille est une notion parcellisée un système d’information cloisonné

  5. LP-MI 2007/2008 II- III- I- Comment maîtriser la veille concurrentielle Comparaison des valeurs culturelles des pays occidentaux et des PVD Facteurs de performance dans la gestion de projets de joint-venture

  6. LP-MI 2007/2008 Gestion des ruptures : • La veille concurrentielle: • Analysed’un système orienté vers • L’information. • La prévision. • L’évolution. • La décision. • Spéculatif. • Projectif. Gestion qui se développe en deux axes Le but est de faciliter la perception d’une rupture technologique

  7. LP-MI 2007/2008 Veille et processus d’innovation : Intervention de la veille concurrentielle tout au long du processus d’élaboration de l’innovation Participation à l’incorporation de l’avantage technologique Saisie de toutes les opportunités Recensement, connaissance et évaluation des ressources de l’entreprise

  8. LP-MI 2007/2008 1 La taille de l’entreprise. La structure de la concurrence. 2 Adéquation de la V.C Les objectifs stratégiques. 4 Les activités de l’entreprise. 3

  9. LP-MI 2007/2008 Organisation de la veille concurrentielle : Structure interne de l’entreprise Relation avec l’extérieur • Structure organisationnelle. • Veille centralisée ou décentralisée. • Veille concurrentielle autonome ou en collaboration. • Service achat. • Service commercial et marketing.

  10. LP-MI 2007/2008 Structure interne de l’entreprise

  11. LP-MI 2007/2008 II-I- III- I- Comment maîtriser la veille concurrentielle Comparaison des valeurs culturelles des pays occidentaux et des PVD Facteurs de performance dans la gestion de projets de joint-venture

  12. LP-MI 2007/2008 Application systématique des principes occidentaux Echec des relations avec les non-occidentaux Différences fondamentales de la culture Echec de certaines entreprises industrialisées dans les PVD

  13. LP-MI 2007/2008 Comprendre la culture : L’ensemble de ce que les êtres humains apprennent en commun La culture L’organisation sociale Les éléments matériels La langue parlée ou écrite Les principes de la société

  14. LP-MI 2007/2008 Sensibilité interculturelle Les valeurs culturelles, un essai de comparaison : Travail et gain matériel Les jeunes et la jeunesse La franchise Abondance et utilisation des ressources Gouvernement et structure sociale L’individualisme

  15. LP-MI 2007/2008 III-- II- I- Comment maîtriser la veille concurrentielle Comparaison des valeurs culturelles des pays occidentaux et des PVD Facteurs de performance dans la gestion de projets de joint-venture

  16. LP-MI 2007/2008 Les raisons de la joint venture : Exigence de certains gouvernements Pénétration de nouveaux marché La joint venture Partage des risques financiers et technologiques Accès aux ressources complémentaires

  17. LP-MI 2007/2008 Facteurs de performance des projets de joint venture : Facteurs endogènes Facteurs exogènes • Engagement des partenaires. • Contrôle exercé par les partenaires. • Relation de travail entre partenaires. • Objectifs des partenaires. • Evolution de la demande. • Niveau de la concurrence. • Taux de change. • Politique gouvernementale.

  18. LP-MI 2007/2008 Obstacles de performance des projets de joint venture : Excès du légalisme La précipitation L’opportunisme pervers Les obstacles lors de la phase pré-opérationnelle Le manque de suivi d’une joint venture une fois en opération

  19. LP-MI 2007/2008 Gestion des éléments critiques au succès de la création d’une J-V : Méthodologies de développement en gestion de projet de J-V Joint venture en tant que projet Les phases de la gestion de J-V en tant que projet

  20. LP-MI 2007/2008 Joint venture en tant que projet Emergence du projet de joint venture Conception, formulation et négociation du projet Décaissement des fonds, mise en œuvre et réalisation de la joint venture Passage au stade opérationnel

  21. LP-MI 2007/2008 Les phases de la gestion de J-V en tant que projet Phased’émergence Phasedeformulation Phasederéalisation

  22. LP-MI 2007/2008 La gestion de ces phases est influencée par trois facteurs L’environnement de la joint venture Projet de la joint venture Partenaires et ajustement de leur système managériale

  23. LP-MI 2007/2008 Gestion Financière Multinationale Jean KLEIN Bernard MAROIS Chapitres 4

  24. LP-MI 2007/2008

  25. LP-MI 2007/2008 Stratégie Financière Internationale L’expansion de l’entreprise à l’étranger Définition des règles du jeu Système de transfert de fonds intergroupe

  26. LP-MI 2007/2008 Complexité de l’implantation à l’étranger Dépendance de la décision de plusieurs acteurs Paramètres économiques et financiers

  27. LP-MI 2007/2008 II- III- I- Les éléments d’une politique d’investissement à l’étranger La création d’une filiale à l’étranger L’acquisition d’une société à l’étranger

  28. LP-MI 2007/2008 La décision d’investissement à l’étranger : Pourquoi investir à l’étranger ? • La diversification économique • Compensation des pertes dégagées dans un marché par des gains réalisés dans d’autres marchés. • La diversification politique • Eviter de mettre tous ses œufs dans le même panier à cause des incertitudes entraînées par la situation politique internationale. • La diversification financière • En s’internationalisant, l’entreprise diminue le risque global et augmente la rentabilité.

  29. LP-MI 2007/2008 Où investir à l’étranger ? Motivations liées au marché Motivations liées à la production • Elimination des barrières à l’entrée. • Existence d’incitations fiscales pour favoriser les IDE. • Existence de zones franches destinées à accueillir des usines de production. • Diminution du coût de production, de la main d’œuvre et de l’énergie. • Se procurer des matières premières indispensables. • Désir d’acquérir une technologie de haut niveau.

  30. LP-MI 2007/2008 Comment investir à l’étranger ? Présence légère: - Domiciliation chez une société tierce - GIE à l’exportation Intégration croissante Présence lourde: - Filiale commerciale - Filiale industrielle - Filiale atelier - Filiale relais GIE: Groupement d’Intèrêt Economique

  31. LP-MI 2007/2008 L’analyse d’un projet d’investissement : La création d’une antenne commerciale à l’étranger 1- Identification des différents postes de dépenses: par nature et par an. 2- Dressage d’un budget provisionnel de tout les coût que doit supporter l’entreprise. Création de l’antenne commerciale à l’étranger.

  32. LP-MI 2007/2008 L’analyse d’un projet d’investissement industriel à l’étranger Analyse des motivations et forme de l’implantation Les trois étapes d’une politique d’investissement dans un pays Identification des objectifs Définition d’une stratégie

  33. LP-MI 2007/2008 I- Analyse des motivations et forme d’implantation II- Identification des objectifs Déterminer le poids que devra représenter la filiale étrangère , sur le long terme, en terme du chiffre d’affaires et de contribution aux bénéfices. III- Définition d’une stratégie - Le mode d’implantation: Acquisition ou création d’une filiale. - Détention du capital de la filiale: 100%, plus de 50% ou moins de 50%. - Choix d’une localisation géographique adéquate.

  34. LP-MI 2007/2008 Création ou Acquisition : Création d’une filiale Acquisition d’une filiale • Circonstances: • Absence de candidats potentiels pour une acquisition. • Détention d’une technologie avancée. • Désir de réaliser une implantation progressive, « petits pas ». • Réglementations locales contraignantes. • Situations: • Existence d’une complémentarité. • Marché en surcapacité. • Sous-évaluation boursière/ évolution des cours de change.

  35. LP-MI 2007/2008 Législation locale sur les investissement étrangers. Existe-t-il une législation dans le pays d’accueil qui empêche l’acquisition/création d’une filiale? 1 La présence/absence des sociétés à racheter. Existe-t-il des firmes locales susceptibles d’être rachetées? 2 Critères de choix L’urgence de l’implantation dans le pays d’accueil. L’implantation est-t-elle urgente commercialement ou industriellement? 4 Les moyens financiers dont dispose la firme investisseuse. Le coût financier d ’une acquisition est-t-il supérieur ou inférieur au coût de la création d’une filiale? 3

  36. LP-MI 2007/2008 I- III- II- Les éléments d’une politique d’investissement à l’étranger La création d’une filiale à l’étranger L’acquisition d’une société à l’étranger

  37. LP-MI 2007/2008 L’étude financière : [ • L’estimation prévisionnelle • Présenter les états financiers prévisionnels de la filiale : bilan, compte de résultats, ressources…à partir des états fournis par les différents services de la filiale. • Les critères d’évaluation • Le calcul du taux de rentabilité: R. [ t=n Dt-Kt ∑ = 0 (1+R)t t=0 Avec: Dt = Les dividendes versés annuellement aux actionnaires. Kt= Le montant des capitaux investis annuellement dans la filiale.

  38. La prise en compte du risque pays • Destruction des actifs et atteinte aux libertés des personnes. • Nationalisation des actifs. • Intervention dans le gestion courante de la filiale.

  39. LP-MI 2007/2008 La mise en place de la filiale : Choix du site de l’implantation Critères logistiques Critères financiers • Infrastructure favorable. • Proximité des marchés visés. • Existence d’un tissu industriel. • Main d’œuvre qualifiée. • Sources d’énergie bon marché. • Coût de la main d’œuvre. • Existence d’incitations fiscales.

  40. LP-MI 2007/2008 Les étapes de la mise en place de la filiale 1 3 L’aménagement de la structure du capital de la filiale Le choix du mode de financement approprié 2 Le montage de la structure financière

  41. LP-MI 2007/2008 L’aménagement de la structure du capital de la filiale 1 L’élément prépondérant dans cette décision est le souci de l’investisseur de conserver le contrôle de ses activités ou, au contraire, de le partager avec d’autres partenaires industriels ou financiers. Les stratégies de contrôle absolu Les stratégies de contrôle partagé Le but est de conquérir de nouveaux marchés tout en conservant l’avance technique qui à fait le succès de la firme sur son marché nationale. Le but est de limiter le risque politique que pourrait supporter la filiale, ou le risque financier, lorsqu’il s’agit d’un projet à composante capitalistique importante.

  42. LP-MI 2007/2008 Le montage de la structure financière 2 - Diminuer le risque politique et réduire le coût financier. Accroissement de l’endettement. - Assurer le maintien d’une capacité de remboursement suffisante afin de limiter le risque de faillite. Diminution de l’endettement.

  43. LP-MI 2007/2008 Choix du plan de financement 3 Fonds propres Endettement • Epargne privée par cotation en bourse. • Investisseurs institutionnels locaux (banques, compagnies d’assurance, fonds mutuels). • Partage financier. • Prêts bancaires. • Prêts à long terme de la part d’institutions spécialisées de type crédit national. • Eurocrédits. • Euro-émissions.

  44. LP-MI 2007/2008 I- II- III- Les éléments d’une politique d’investissement à l’étranger La création d’une filiale à l’étranger L’acquisition d’une société à l’étranger

  45. LP-MI 2007/2008 L’évaluation financière : Calculs prévisionnels Prendre en considération l’évolution des taux d’inflation et des cours de change : facteurs déterminants dans l’évaluation de la société à acquérir. La notion de la comparabilité Effectuer des comparaisons avec d’autres firmes du même secteur.

  46. LP-MI 2007/2008 Accès aux sources d’informations Variabilité de la qualité des données statistiques et de la publicité financière concernant les sociétés industrielles ou commerciales. Excellente U.S.A et les pays anglo-saxons. Moins bonne Japon et certains pays européens. Mauvaise Pays moins industrialisés.

  47. LP-MI 2007/2008 Les modes de paiement d’une opération d’acquisition : La prise de contrôle du capital L’offre publique OPA & OPE L’achat de blocs d’actions Le ramassage en bourse

  48. LP-MI 2007/2008 L’acquisition des actifs L’apport partiel des actifs Achat d’une division jugée marginale d’une société La fusion Transmission de tout le patrimoine de la société absorbée à l’acquéreur

  49. LP-MI 2007/2008 • La mise en place d’une opération d’acquisition: Le processus d’acquisition Les premiers contacts et la lettre d’engagement. 1 La négociation . 2 La réalisation de l’opération . 3 La mise en place de la structure post-acquisition. 4

  50. LP-MI 2007/2008 Le coût et financement de l’acquisition - La non-proportionnalité des coûts d’acquisition à la taille de la société rachetée. - Tendance à diminuer en valeur relative lorsque l’opération de rachat concerne une société plus importante.

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