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Sujet. Dans quelle mesure l ’é ducation physique et sportive participe-t-elle à la culture des é l è ves ?. Raphaël LECA IUFM Dijon 2 novembre 2005. « Brain storming ». La réflexion préalable autour du sujet doit toujours être conduite autour de deux grands pôles :.

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  1. Sujet Dans quelle mesure l’éducation physique et sportive participe-t-elle à la culture des élèves ? Raphaël LECA IUFM Dijon 2 novembre 2005

  2. « Brain storming » La réflexion préalable autour du sujet doit toujours être conduite autour de deux grands pôles : Une réflexion « STAPS » Une réflexion de « bon sens »

  3. Préambule Il s’agit d’accrocher l’attention du correcteur, et simultanément d’  « amener » le sujet, c’est à dire de le contextualiser (si possible de façon non parachutée).

  4. Préambule 1 : une approche historique « Les activités physiques et sportives relèvent certainement de notre culture. Elles contribuent en outre à l’accroître et la diffuser ». Cet extrait des instructions officielles de 1967…

  5. Préambule 2 : une entrée par une des missions de l’école « Une première mission de l’école a toujours été de transmettre aux jeunes générations les éléments les plus stables de la culture ». Cette citation d’Alain Hébrard (1986)…

  6. Définition des concepts clés Il s’agit ici uniquement de définir le concept de « culture », et de profiter de cette définition pour commencer l’analyse du sujet.

  7. Définition des concepts clés • La définition se fait en trois temps : • d’abord une définition de la culture en général, • puis une évocation de la place de la culture à l’école, • enfin un début de définition concernant plus spécifiquement l’EPS (ce n’est qu’une ébauche, car tout le devoir répondra à la question « qu’est-ce que la culture en EPS ? »

  8. Définition des concepts clés Une première acception du concept de culture renvoie à « des manières de penser, de sentir et d’agir, apprises, partagées, et donc caractéristiques d’un groupe social » (G.Rocher, 1968).Il s’agit en quelque sorte de l’ensemble des aspects propres à une civilisation. Mais la culture est aussi un « ensemble de connaissances acquises qui permettent de développer le sens critique, le goût, le jugement » (Petit Robert, 1996). Dans cette perspective, la culture « c’est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublié » (E.Herriot, 1961).

  9. Définition des concepts clés Les rapports entre le système éducatif et la culture sont anciens, même si les domaines culturels d’excellence ont évolué avec le temps (des humanités aux sciences notamment). Pour P.Goirand (1989), « l’École a un rôle social : elle communique aux enfants les fondements de la culture, conditions du développement des individus et de leur insertion sociale ».

  10. Définition des concepts clés En éducation physique et sportive, un élève cultivé s’est doté, par l’apprentissage, d’un ensemble de connaissances aussi bien déclaratives que procédurales (C.George, 1989), connaissances qui portent sur les pratiques corporelles dominantes de notre société, à savoir les activités physiques, sportives et artistiques. Notons que la plupart de ces activités sont sportives, en raison de leur représentativité culturelle au sein du milieu social, mais d’autres ne le sont pas (arts du cirque, danse, étirements…).

  11. Définition des concepts clés • Faut-il définir l’éducation physique et sportive ? • Je ne le pense pas ! Pour autant, pour les « irréductibles », voici cette définition récente donnée par A.Hébrard : « L’EPS est faite d’un ensemble d’enseignements d’activités physiques sportives et artistiques qui visent la transmission d’une culture et le développement des conduites motrices que les valeurs admises conduisent à considérer comme souhaitables et susceptibles de procurer le bien-être ». (EPS interroge Alain Hébrard, in Revue EPS n°312, 2005).

  12. Questionnement • Principales qualités des questions : • elles sont pertinentes par rapport au sujet, et surtout par rapport au développement (des éléments de réponse doivent pouvoir être apportés dans la suite du devoir), • elles s’enchaînent, du général au particulier, • elles « préparent » (= circonscrivent) la problématique, • les réponses ne semblent pas, a priori, évidentes.

  13. Questionnement Qu’est-ce qu’un élève cultivé en éducation physique et sportive ? Qu’est-ce qui reste quand on a tout oublié ? De quelle nature sont les connaissances qui constituent la culture dans notre discipline ?

  14. Questionnement Partant du principe qu’être cultivé, ce n’est pas tout savoir, qu’est-ce qui mérite d’être enseigné en EPS ? Sur quels critères opèrent les choix de l’enseignant ?

  15. Questionnement Être cultivé, est-ce uniquement savoir, ou est-ce également pouvoir ? Le cas échéant, quels pouvoirs enrichissent la vie physique de l’élève cultivé ? Et comment l’enseignant d’EPS favorise-t-il leur construction ?

  16. Problématique • Qualités d’une bonne problématique : • claire = compréhension à la première lecture, • pertinente = permet de traiter la question posée par le sujet , • heuristique = non réductrice c-a-d ouverte vers la recherche de nombreuses idées intéressantes, • originale = hypothèse créative, mais surtout pas au détriment de la pertinence.

  17. Problématique 0 Nous montrerons qu’un élève cultivé en EPS est un élève qui dispose de connaissances et compétences portant sur les activités physiques, sportives et artistiques.  Irrecevable car aucune mention explicite n’est faite des interventions de l’enseignant (hypothèse qui ne traite pas le sujet).

  18. Problématique 1 Sur la base d’un ensemble de procédures d’enseignement judicieusement choisies et mises en œuvre par l’enseignant, nous montrerons que l’éducation physique et sportive participe à la culture des élèves, en leur permettant d’acquérir une gamme élargie de connaissances et compétences portant sur les activités physiques, sportives et artistiques.

  19. Problématique 1 • Recevable car les interventions de l’enseignant sont mises en relation avec une évocation sommaire de ce qu’est la culture en EPS. Assez basique néanmoins car ces interventions ne sont en rien précisées, et l’hypothèse repose uniquement sur l’idée qu’être cultivé, c’est avoir acquis des connaissances et des compétences.

  20. Problématique 2 Nous émettrons l’hypothèse selon laquelle l’éducation physique et sportive concourt à former un élève cultivé en opérant un traitement didactique sur les activités physiques, sportive et artistiques constituées en pratiques sociales de référence, en vue de favoriser l’acquisition d’une large palette de connaissances et de compétences.

  21. Problématique 2 (suite) Autrement dit, la culture acquise en EPS découle de l’existence sociale des APSA, et s’incarne dans des connaissances déclaratives et procédurales (informations, techniques et tactiques, connaissances sur soi, savoir-faire sociaux), et dans des compétences culturelles et méthodologiques.

  22. Problématique 2 • Plus évoluée car elle évoque explicitement l’ancrage culturel des APSA, ainsi que le traitement didactique de l’enseignant opérant sur ces pratiques. Elle mentionne aussi la variété des connaissances et des compétences en précisant leur nature. La reformulation de la problématique permet de la préciser ou de la clarifier.

  23. Remarque à propos de la reformulation La problématique peut être reformulée afin de rendre sa compréhension plus facile pour le correcteur. Il s’agit de reprendre l’hypothèse, sous une autre forme rédactionnelle. Un inconvénient : alourdir le paragraphe, Un danger : créer de l’ambiguïté, de l’incompréhension ou du paradoxe, si la reformulation évoque une autre idée.

  24. Problématique 3 En rejetant une conception encyclopédiste de la culture, nous défendrons l’idée selon laquelle un élève cultivé en éducation physique est capable de pratiquer, comprendre, et faire fonctionner plusieurs activités physiques, sportives et artistiques, qui sont les pratiques sociales de référence de notre temps. Dans cette perspective, les interventions de l’enseignant s’attacheront à favoriser l’intégration d’un certain nombre de connaissances déclaratives et procédurales en vue de construire une large gamme de compétences culturelles et méthodologiques.

  25. Problématique 3 (suite) Autrement dit, la culture en EPS n’est pas quelque chose qui se « contemple », elle est une source de pouvoirs nouveaux, et les procédures de l’enseignant visent moins à transmettre une culture, qu’à favoriser son appropriation.

  26. Problématique 3 • Encore plus évoluée, cette problématique révèle surtout une certaine conception de la notion de culture appliquée à l’EPS, et trace les contours de ce qu’est l’enseignement de la culture autour du principe d’une appropriation personnelle par le sujet.

  27. Plan 1 : entrée par les 3 grands pôles de la culture en EPS Partie I : acquérir des savoirs qui permettent d’agir avec efficacité en pratiquant les APSA Partie II : acquérir des savoirs qui permettent de comprendre et apprécier les APSA      Partie III : acquérir des savoirs qui permettent de faire fonctionner les APSA

  28. Plan 2 : entrée par la typologie des connaissances proposée par les programmes lycée Partie I : acquérir des connaissances déclaratives : des informations Partie II : acquérir des connaissances procédurales sur les APSA : des techniques et des tactiques Partie III : acquérir des connaissances sur les individus : connaissances sur soi et savoir-faire sociaux

  29. Plan 3 : entrée inspirée de la catégorisation d’Olivier Reboul(Qu’est-ce qu’apprendre ?, PUF, Paris, 1980) Partie I : Être cultivé c’est savoir que (mémoriser des informations) ; Partie II : Être cultivé, c’est savoir-faire (maîtriser des techniques et des tactiques) ; Partie III : Être cultivé, c’est savoir (juger, lier, comprendre).

  30. Plan 4 : entrée par la nature des interventions de l’enseignant Partie I : le choix et la planification des APSA  ; Partie II : le traitement didactique des activités et le choix d’un mode d’entrée  ; Partie III : les conditions d’acquisitions solides et stables sur le long terme (car la culture n’est pas évanescente).

  31. Plan détaillé autour de la proposition n°1 • 5 arguments sont proposés par partie • un devoir d’écrit 2 se compose idéalement de 3 arguments, • à vous de « retravailler » les arguments proposés pour ne retenir que ceux qui vous semblent les plus pertinents, • travail complémentaire : proposer une illustration concrète.

  32. Partie 1 Être cultivé en EPS, c’est disposer de savoirs qui permettent d’agir avec efficacité en pratiquant les APSA. Il s’agit pour l’essentiel de construire un certain nombre de « compétences culturelles », qui permettent « de confronter les élèves à la diversité des activités physiques, sportives et artistiques, à certaines de leurs pratiques sociales, de les faire accéder à la signification culturelle de chacune, de provoquer leur adaptation aux situations spécifiques qu'elles proposent » (Programme de la classe de seconde générale et technologique, 2000).

  33. Argument 1.1 • Choix équilibré d’APSA prenant en compte • « le patrimoine national et régional, dans ses dimensions passées et actuelles » • (Programme de la classe de sec. générale et technol., 2000), • confrontation de l’élève à la diversité des environnements physiques et humains que proposent ces activités ; • classification des programmes (collège  8 groupements, lycée  ensemble commun + ensemble complémentaire).

  34. Argument 1.2 • Prise en compte des évolutions socioculturelles récentes et des pratiques corporelles dominantes de la société au risque d’une dérive « aculturelle » (O.Bessy, 1991) • « culture sportive digitale » vs « culturelle sportive analogique » (A.Loret, 1995); • Enquête de P.Mignon et G.Truchot (2002); • Rôle de l’enseignant = « slalomer », par ses choix d’activités et de traitement didactique, entre les dérives que dénonce O.Bessy (ibid.)

  35. Argument 1.3 • Planification des APSA inspirée aussi par le principe • d’une démocratisation de la culture dans la • perspective d’une « égalité des chances » (article 1er • de la loi d'orientation du 10 juillet 1989) : •  Éviter un « effet Bourdieu négatif » (P.Arnaud, 1985); •  L’acculturation par l’EPS suppose ainsi une diversification de l’enseignement en vue de dépasser les déterminismes sociaux.

  36. Argument 1.4 • Le traitement didactique veillera aussi à ne pas dénaturer les activités sociales de référence car il est illusoire d’espérer faire accéder les élèves à une véritable culture corporelle en coupant leur pratique de la réalité sociale •  Respecter les logiques internes des APSA • enseignées ; •  Enjeu = ne pas « dévitaliser » les activités • enseignées de leur substance culturelle.

  37. Argument 1.5 • Place privilégiée aux techniques, car les techniques sportives sont éminemment culturelles  • (G.Vigarello, 1998). • Chez les élèves, les techniques sont souvent le noyau de leurs représentations; • Techniques = centre de gravité autour duquel se greffe les autres connaissances en EPS en leur permettant de ne jamais s’acquérir « à vide » (ce sont les actions motrices qui sont toujours au centre de la séance d’EPS).

  38. Partie 2 La culture, en EPS, suppose aussi l’acquisition de savoirs qui permettent de comprendre et d’apprécier les activités physiques, sportive et artistiques. Il s’agit, selon l’une des compétences méthodologiques du programme lycée, de « porter un regard critique sur les excès inhérents à la pratique de certaines formes d'activités, construire une opinion sur le sport, etc. Les élèves peuvent aussi commenter les performances des sportifs de haut niveau afin de devenir des spectateurs lucides et éclairés » (Programme de la classe de seconde générale et technologique, 2000).

  39. Partie 2 Être cultivé, en philosophie, c’est être capable de lire, de comprendre et d’apprécier les grands textes philosophiques. Être cultivé, en éducation physique, relève de la même exigence : être capable de pratiquer (1ère partie), mais aussi de comprendre et d’apprécier les pratiques corporelles dominantes de notre société.

  40. Argument 2.1 • Dans les activités morphocinétiques, il est possible de viser la construction d’un « amateur critique du sport » (D.Delignières, C.Garsault, 1993) capable de reconnaître le beau, le juste, le difficile, le dangereux, l’expressif… • solliciter, très tôt, l’activité de jugement et d’appréciation de l’élève (mises en projet, implication dans des procédures d’éval. formative, dévolution de rôles, exemple de la gym. ou de l’acrosport au bac…).

  41. Argument 2.2 • La construction d’une culture propre aux sports collectifs suppose surtout une « compréhension des modifications des rapports de force et de leurs implications sur les choix offensifs ou défensifs », ainsi qu’ « une meilleure maîtrise de l’alternative entre un jeu personnel et un jeu collectif » (Programme de la classe de troisième, 1998). • confrontation dès la 6e avec les situations de choix emblématiques des sports collectifs (passer, avancer ou tirer, jouer vite ou ralentir et poser le jeu, utiliser le jeu direct ou le jeu indirect, etc); • aider l’élève à « identifier des similitudes entre les situations d’apprentissages » (ex. des « situationsdéfis » de F.Taïana, 1994); • organiser des temps de réflexion au sein de chaque équipe (constituée de façon stable) autour des situations de jeu, • implication des élèves dans un « projet d’organisation collective en attaque et en défense » (Bac 2002).

  42. Argument 2.3 • Dans les sports individuels soumis à des barèmes, la possibilité d’apprécier le spectacle sportif suppose la possibilité de comprendre les performances sportives • ne pas évacuer la dimension « performance » des conduites motrices = par ex., utilisation d’un carnet EPS au collège, répertoriant l’évolution des performances en athlé., • conserver les situations compétitives emblématiques de chaque spécialité et préserver les problèmes fondamentaux à résoudre dans chacune d’elles pour favoriser « la connaissance des conditions d’efficacité des spécialités athlétiques et les ressources (énergétiques, biomécaniques, informationnelles) qu’elles sollicitent » (Programme de la classe de troisième, 1998).

  43. Argument 2.4 • Avec les activités artistiques, l’enseignant d’éducation physique dispose d’une nouvelle occasion pour enrichir la culture des élèves • autour de la création d’un projet créatif personnel et collectif, initier les élèves à une découverte du patrimoine chorégraphique, • ou encore établir des liens avec le patrimoine musical, en portant « une attention particulière à la relation monde sonore - mouvement, élément important de la culture artistique » (Programme du cycle central, 1997).

  44. Argument 2.5 • Approche interdisciplinaire au lycée dans le cadre des Travaux Personnels Encadrés (TPE) et permettant de comprendre les relations des connaissances avec d’autres disciplines : • comprendre les processus de régulation de l’organisme (avec le prof. de Sciences de la Vie et de la Terre), • comprendre l’histoire sociale des APSA (avec le professeur d’histoire géographie), • comprendre la déroulement, les exigences et l’intrigue d’une pièce de théâtre (avec le professeur de français).

  45. Partie 3 Être cultivé dans le domaine des activités physiques, sportives et artistiques ne se résume pas à la capacité d’agir avec efficacité dans ces activités, ni même à la capacité de comprendre et d’apprécier le spectacle sportif ou artistique : il s’agit aussi d’être capable de faire fonctionner, avec une relative autonomie, un nombre le plus élevé possible de ces activités.

  46. Argument 3.1 • Faire fonctionner une activité suppose d’abord de pouvoir la pratiquer en toute sécurité acquérir un certain nb de connaissances : techniques corporelles, informations, savoir faire sociaux et connaissances sur soi. • techniques = habiletés d’évitement (ex. savoir porter une charge lourde) et habiletés préventives (technique d’assurage à 4 temps en escalade) face au risque, • informations = règles de sécurité incontournables à vérifier avant de pouvoir s’engager physiquement (« check-list » avant la pratique), • savoir-faire sociaux = établissement d’un code de communication dans les activités dites « à risque » (entre l’assureur et le grimpeur par ex.), • connaissances sur soi = mieux gérer son propre risque par une adéquation plus juste entre risque perçu et risque préférentiel (D.Delignières, 1993).

  47. Argument 3.2 • Faire fonctionner une activité passe aussi par la possibilité de comprendre, appliquer, et faire respecter son règlement. La culture en éducation physique et sportive suppose la maîtrise d’un certain nombre d’informations(règles des différentes activités) + des techniques corporelles(code gestuel de communication propre à chaque activité) + savoir-faire sociaux(expliquer, justifier) + connaissances sur soi(confiance en soi et maîtrise de soi) •  dévolution de rôles et délégation de pouvoirs : d’arbitre, de juge, d’ « administrateur » (table de marque par exemple), ou encore d’organisateur d’une rencontre (rôle de l’association sportive).

  48. Argument 3.3 • Faire fonctionner une activité suppose aussi un certain nombre de connaissances sur le fonctionnement corporel : comprendre, justifier et construire un échauffement adapté à la discipline pratiquée, ou des techniques de récupération active, ou encore des techniques d’étirement, de relaxation.... Ces connaissances permettent de s’approprier une véritable culture corporelle. •  expliquer, justifier, plus dévoluer et responsabiliser ; •  travail interdisciplinaire possible avec le professeur de Sciences de la Vie et de la Terre.

  49. Argument 3.4 • Enfin, la capacité à faire fonctionner une ou plusieurs APSA peut trouver, au sein de l’association sportive d’établissement (AS), des prolongements intéressants pour engager les élèves vers « une formation au rôle de futur dirigeant sportif » ( D.Delignières et C.Garsault, 1993). • implication volontaire des élèves au sein du bureau de l’association ; • concrètement, la participation à l’organisation d’un tournoi de sport collectif, d’un cross ou d’une sortie VTT peut être l’occasion d’acquérir des connaissances et de construire des compétences susceptibles de préparer à un engagement associatif futur.

  50. ConclusionRéponse à la problématique • Phase clé de la conclusion : le candidat revient sur l’hypothèse formulée dans la problématique, et propose un bilan général à la démonstration : • revenir explicitement sur la problématique, • mais sans pour autant la paraphraser, • sans bien sûr remettre en cause son hypothèse de départ, • avec la possibilité pour le candidat de s’engager.

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