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1. La souplesse / la mobilit
2. Dfinition La souplesse : aptitude physique pouvoir atteindre de grandes amplitudes articulaires.
La mobilit : facult pouvoir raliser une action sur la plus grande amplitude articulaire possible et mobilisable.
Ltirement ou stretching : mise en tension dune chane musculaire autours dune articulation, avec traction sur les chanes lastiques et dformation du muscle. Cette dformation est ralise sous une forme dallongement.
3. Principe damlioration de la souplesse Notion de tension passive : les chanes lastiques lors dun tirement vont exercer une tension afin de ne pas trop se dformer et rompre. Cette tension est dite passive.
Notion de tension active : les muscles mme en relchement volontaire maximum sont tout de mme soumis une contraction. Cette contraction involontaire est due des excitations rflexes du motoneurone, et une prsence de calcium dans le sarcomre par un mauvais fonctionnement de la pompe calcique. Il va donc y avoir des tensions cres par la chane contractile.
Notion de blocage articulaire : les articulations sont maintenue par les ligaments et les surfaces osseuses. Ces lments vont donner un sens au mouvement et par consquent limiter les amplitudes articulaires. Il est impratif de ne jamais travailler sur lamlioration de la souplesse lorsque ces blocages sont mis en jeu.
4. Principe damlioration de la souplesse Pour amliorer la souplesse, nous pouvons envisager plusieurs solutions :
Amliorer les dformations des chanes lastiques, en permettant un allongment plus important (diminuer les tensions passives).
Diminuer les tensions actives en amliorant le contrle volontaire dexcitation et relchement des muscles, ou en aidant diminuer les rflexes de contraction.
Augmenter le seuil de sensibilit aux tirements (on tolre mieux la sensation dtirement).
5. Principe damlioration de la mobilit La mobilit est la capacit se mouvoir sur de grandes amplitudes. Pour cela, nous pouvons envisager plusieurs solutions :
Raliser des gestes conduits avec recherche de maintien sur les amplitudes maximum
Raliser des gestes de manire balistique mais matrise
Aider la mobilisation en allgeant les membres mobiliser (moins de force dvelopper)
Apprendre se servir dautres muscles participant ou limitant le mouvement (coordination intermusculaire avec les agonistes et antagonistes).
6. Stretching et souplesse Aspects physiologiques
7. Aspects physiologiques
8. Les rcepteurs articulaires
9. Les rcepteurs musculaires
14. Ce quil faut retenir
16. Les chanes lastiques parallles
17. Tissus conjonctif
20. Effets de ltirement sur les tendons
21. Les chanes lastiques en srie
22. Les chane contractiles Le rle des ponts actine / myosine
23. Le rle des chanes contractiles
24. Les techniques dtirement
26. Les mthodes dtirement
27. Les mthodes passives
28. Les mthodes passives
29. Les mthodes passives
30. Mthodes actives
31. Mthodes actives
32. Mthodes actives
34. Mthodes actives
36. Quelques Prcautions La respiration doit accompagner les tirements, afin de permettre un meilleur relchement psychologique (expiration lors de ltirement).
Le seuil de douleur ne doit jamais tre atteint ou dpasser lors dun tirement, sous peine de crer des rflexe nociceptif, et des risque de blessure.
Ne jamais chercher lapparition du rflexe dinhibition par intervention des OTG, pour augmenter le relchement et donc lamplitude.
Les tirements doivent tre progressif dans lintensit, et jamais tre raliss de manire brutale ou avec des -coups.
Procder des pauses de quelques secondes entre les phases dtirement pour ne pas crer une ischmie (pas dapport dO2 aux muscles par le sang), et donc viter des tirements de dures importante (Prvost prconise 10s max.)
Au del de 10s lefficacit de la facilitation neuro proprioceptive diminue.
Leffet antalgique dun tirement (diminution des sensations de douleur) dure tout au plus 1h, aprs cette priode les sensations reste les mmes.
Les tirements peuvent dans des situations de lsions musculaires aggraver les atteintes, et donc augmenter les dures de cicatrisation.
37. Intrt du stretching dans la performance et la souplesse
42. Conclusion Le stretching peut sapparenter un travail complmentaire, voire supplmentaire, la musculation, par augmentation des charges de travail sur les composantes contractiles en tension passive (proche de lexcentrique).
Les adaptations physiologiques et psychologiques nous invitent raliser ces mthodes rgulirement en veillant ne pas nuire la performance. Il faut donc planifier les sances dtirement en rapport avec ses objectifs, et en fonction des dures dadaptations ncessaire, et des caractristiques physiologiques que nous voulons amliorer.
Le stretching doit avant tout tre vu comme une technique de renforcement et non comme une mthode damlioration de la souplesse, bien quil puisse y participer.
