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Etudes expérimentales

Etudes expérimentales. Rayner, Sereno, Lesch & Pollatsek (1995): the birds prefer beech-trees for nesting the birds prefer jmbrs-trees for nesting F.

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Etudes expérimentales

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Presentation Transcript


  1. Etudes expérimentales

  2. Rayner, Sereno, Lesch & Pollatsek (1995): the birds prefer beech-trees for nesting the birds prefer jmbrs-trees for nesting F

  3. Rayner, Sereno, Lesch & Pollatsek (1995): the birds prefer beech-trees for nesting the birds prefer bench-trees for nesting the birds prefer beach-trees for nesting the birds prefer noise-trees for nesting F

  4. Effet d’amorçage dit de pseudo-homophonie:la lecture d’un mot écrit est facilitée par la présentation au préalable d’un pseudo-mot homophone de ce mot (par exemple, RAUZE — ROSE; en anglais: BRANE — BRAIN)

  5. Rayner, Sereno, Lesch & Pollatsek (1995):(durée de fixation de la cible, en moyenne, amorce mot) Cible Même Homoph. Vis. sembl. Différ.Durée de la « cible »30 msec 333 370 371 40036 msec 331 370 400 432

  6. Rayner, Sereno, Lesch & Pollatsek (1995): (durée de fixation de la cible, en moyenne, amorce pseudo-mot) Cible Même Homoph. Vis. sembl. Différ.Durée de la « cible »30 msec 326 368 366 40636 msec 329 378 405 411

  7. Les représentations pré-lexicales activées au cours du processus d’identification des mots écrits sont de deux types, orthographique et phonologique, et ces représentations sont hautement interconnectéesReprésentation pré-lexicale: représentation activée au cours de l’identification d’un mot et qui n’est pas influencée par l’information lexicale

  8. Chez le lecteur expert les représentations phonologiques ne sont pas que l’aboutissement du processus de lecture, elles interviennent dans le processus même d’identification des mots

  9. Kouider & Dupoux (2001):If there were some phonological processing of a non-identified written prime, then this stimulus should facilitate the identification of either a written or a spoken targetThis did not occur!

  10. Kouider & Dupoux (2001):there might be «a « phonological code specific to orthographic processing »

  11. A brain lesion can provoke pure word deafness without affecting written word comprehension; another brain lesion can lead to an inability to read words without preventing one from comprehending the same words when these are presented orally.This suggests that the processing of spoken and written words involves distinct sets of phonological representations.

  12. What is the degree of abstraction of the phonological representations involved in the processing of written words?Birch, Pollatsek & Kingston (1999):responses to — a phonetic pseudo-homophone (« nootle » » is phonetically nearly identical to « noodle », but not phonemically)—the non-homophonic control pseudo-word (« sootle »)

  13. Birch, Pollatsek & Kingston (1999):Response times (lexical decision):Pseudo-homophone Control Diff.884 823 61

  14. Birch, Pollatsek & Kingston (1998):responses to—a phonetic and phonemic pseudo-homophone (« speek » is both phonetically and phonemically identical to « speak »)—the non-homophonic control pseudo-word (« treek ») Response times (lexical decision):Pseudo-homophone Control Diff.858 769 89

  15. Birch, Pollatsek & Kingston (1998): Response times (lexical decision):PhoneticPseudo-homophone Control Diff.884 823 61PhonemicPseudo-homophone Control Diff.858 769 89

  16. Quelle est la relation entre ces représentations phonologiques et les représentations orthographiques?Rumsey et al. (1997): Lecture à voix haute de mots irréguliers vs pseudo-motsDécision lexicale “phonologique” (indiquer lequel de deux pseudo-mots se prononce comme un mot) vs “orthographique” (parmi deux séquences de lettres qui se prononcent comme un mot, laquelle est un mot)

  17. RésultatsLes contrastes orthographique vs phonologique (dans les deux tâches) présentaient des différences dans le degré d’activation mais pas de localisation. Correlations entre les régions temporale supérieure gauche et frontale inférieure gauche très similaires.De grandes différences entre les deux types de tâcheAucune région spécifiquement consacrée au traitement orthographique ou phonologique

  18. L’activation automatique de représentations phonologiques pré-lexicales doit être distinguée de la procédure de décodage grapho-phonologique contrôlé et séquentiel qui est typique du lecteur débutant

  19. Cette dernière procédure est contrôlée (stratégique ou attentionnelle): les mots irréguliers sont prononcés plus rapidement dans des listes pures que dans des mixtes (mélangés avec des pseudo-mots) et il y a aussi moins d’erreurs de régularisation (Baruch & Besner, 1991)

  20. Cf. Bell & Perfetti (1994)Neuropsychologie: rééducation de patients présentant dyslexie profonde ou phonologiqueCas PS (Small & Noll, 1998):Dyslexie phonologique à la suite d’accident vasculaire dans la région fronto-temporale gauche. RMNf avant et après ré-apprentissage des correspondances. En lecture de phrases (vs condition contrôle): avant, activation du gyrus angulaire dans le lobe pariétal inférieur gauche; après, du gyrus lingual gauche

  21. L’accès au lexique n’est pas direct; il implique l’activation de constituants linguistiques multiples

  22. Les représentations impliquées ne sont pas seulement des représentations des lettres et du mot tout entier mais aussi des représentations intermédiaires, telles que le graphème-phonème ou la syllabe

  23. The dual route model « uses only one size of orthographic unit (the grapheme) and only one size of phonological unit (the phoneme) » (Jackson & Coltheart, 2001, p. 66)

  24. Representation of the syllable:Spanish: Carreiras, Alvarez & de Vega (1993)English: Prinzmetal, Hioffman & Vest (1991)French: Colé, Magnan & Grainger (2000)

  25. Colé, Magnan & Grainger (1999):tâche: indiquer si une cible constituée de 2 ou 3 lettres formait ou non la partie initiale d’un mot écrit présenté immédiatement après la cible.Effet de congruence syllabique : réponses plus rapides lorsque la cible coïncidait avec la syallabe initiale du mpot écrit que lorsqu’elle en était une partie ou incluait une lettre en plus.

  26. Structure syllabique

  27. Syllabe« bright »Attaque Rime/Corps« br- » « -ight » Noyau Coda « -i- » « -ght »

  28. Treiman & Chafetz (1987):bright > br//ight > b//right = bri//ght

  29. Rey, Jacobs, Scmidt-Weigand & Ziegler (1998):word luminance was increased progressively so as to make the word emerge from the backgroundResults: words containing only first-order graphemes (i.e. each letter corresponds to a phoneme) are harder to identify than words containing higher order graphemes. Il faut plus de temps pour identifier un mot où chacune des lettres correspond à un phonème (par ex., « café ») qu’un mot qui contient plus de lettres que de graphèmes-phonèmes (par ex., « chat »)

  30. Dickerson (1999):YDc+h+u+r+c+hcHuRcHch+ur+ch

  31. Berent & Perfetti (1995):target « rake » — followed by « RIKK » « RAIB »

  32. Lee, Rayner & Pollatsek (2001): (fixation duration)delaying the onset of either a consonant or a vowel, by 30 or 60 msec no letter Vdelayed C delayed30 msec 323 358 37760 msec 326 393 396

  33. Radeau, Morais, Mousty, Saerens & Bertelson (1990, 1991):Uniqueness point (UP): point in a word from which the already presented string is compatible with only one word in the lexiconSimultaneous presentation: no UP effectIncremental presentation: UP effect!

  34. Radeau, Morais, Mousty, Saerens & Bertelson (1990, 1991):by syllable: ca came camem camemb camembert camembertby grapheme/phoneme: c c ca ca cam came camem camem camemb camemb camembe camember camembert camembert

  35. Stades de la décomposition grapho-phonologique:Stade 1: segmentation orthographiquemot syllabes attaque/corps graphèmesbrightness bright ness br ight… b r i ght…Stade 2: Conversion de l’orthographe en phonologiebraitniss braitniss br ait… b r ai t…Stade 3: Assemblage phonologique….. brait + niss br + ait + … b + r + ai + t + …ou b + r —> br + ai —> brai + t, etc...

  36. Patterson & Marcel (1992): segm. phonème assembl. phonèmes assembl. at/r.BBO 79% 30% 88%RTI 88% 10% 42%WB 83% 33% 13%DPR 25% 60% 92% Lesch & Martin (1998):ML segmentation en assemblage desyllabes 100 95attaque et rime 0 45phonèmes 0 0

  37. Goldman, Content & Frauenfelder (1996) Anglais FrançaisSyllabesFermées 73.4% 20.9%Ouvertes 26.6% 79.1%

  38. Lecture de mots polysyllabiquesBOSS - Basic Orthographic Syllabic Structure(Taft, 2001)BOSS inclut la coda la plus large possible principe de coda maximum vs principe d’attaque maximum (PAN + IC vs PA + NIC) Expérience: THUND ER plus facile de reconnaître que THUN DERmais cela est fonction de l’habileté du lecteur :les meilleurs lecteurs (en termes de compréhension) profitent davantage de la division en BOSS et les plus mauvais de la division syllabique

  39. 24 bons lecteurs: 28/57 réponses correctes de compréhension26 mauvais lecteurs: 10/57Tâche: décision lexicale (en combinant les deux parties) BOSS Syllabe Diff.Bons 726 (4%) 759 (6%) +33Mauvais 931 (7%) 894 (8%) -37

  40. Lee, Rayner & Pollatsek (2001): (durée de la fixation)en retardant le moment de présentation soit de la voyelle soit de la consonne, en 30 ou 60 msec sans retard retard V retard C 30 msec 323 358 37760 msec 326 393 396

  41. Trois possibilités: — le traitement de C et de V est asynchrone, celui de V ne commençant que lorsque celui de C est terminé— le traitement de V commence après le début de celui de C— le traitement se fait en parallèle, mais celui de C finit d’abord

  42. Phénomène universel ???Colombo et al. (1996): en italien résultats vont dans le sens opposé (paradigme de masquage) Nota bene: en anglais les voyelles écrites sont plus inconsistantes que les consonnes

  43. Décomposition morphologique? Anglais: Prinzmetal et al. Plusieurs modèles:— Décomposition pré-lexicale obligatoire et automatique— Décomposition lexicale— Décomposition supra-lexicale (avec activation en retour sur le lexique orthographique)

  44. Exemples pour le français:1. Pillon (1998): les mots pseudo-affixés comme « recruter », « déferler » et « insulter » prennent plus de temps à lire que les mots monomorphémiques comme « modérer ou « tolérer »: effet indépendant de la composition des listes (% de mots préfixés, fréquence des mots)

  45. 2. Giraudo & Grainger (2001): absence d’effet d’amorçage proactif sur la décision lexicale pour des pseudoracines (« laitue- LAITIER ») (contrôle : « gorille-LAITIER  »)mais effet de facilitation avec des amorces qui contiennent des racines complexes (« laitage-LAITIER) (même contrôle)Pour les suffixes: aucun effet de pseudo-suffixation

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