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Introduction au Mémoire de Fin d’Etudes Recherche et EBM La recherche en SSP

Introduction au Mémoire de Fin d’Etudes Recherche et EBM La recherche en SSP. Pascal SEMAILLE Michel ROLAND DMG/CUMG ULB. Au programme. Introduction au Mémoire de Fin d’Etude (nommé également « TFE » ) A la recherche d’informations pertinentes médicales

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Introduction au Mémoire de Fin d’Etudes Recherche et EBM La recherche en SSP

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Presentation Transcript


  1. Introduction au Mémoire de Fin d’Etudes Recherche et EBM La recherche en SSP • Pascal SEMAILLE • Michel ROLAND DMG/CUMG ULB

  2. Au programme • Introduction au Mémoire de Fin d’Etude (nommé également « TFE ») • A la recherche d’informations pertinentes médicales • La recherche en soins de santé primaire P.Semaille-M.Roland

  3. Introduction au mémoire de Fin d’EtudeS (ou TFE ) P.Semaille-M.Roland

  4. Epreuves finales du 4e Master Annéeacadémique2013-2014 Définitions et procédureshttp://www.ulb.ac.be/facs/medecine/publics/docs/Epreuve_finale2014M4vfinale.pdf concernent à la fois les étudiants inscrits en filière S qu’en filière G P.Semaille-M.Roland

  5. P.Semaille-M.Roland

  6. Définitions • La substance du mémoire consiste en un travail de recherche clinique ou fondamentale ou une étude clinique ou épidémiologique; il est personnel et original. • En cas de sujets cliniques, il s'agira, soit: • d'une revue rétrospective de dossiers (hospitaliers ou de médecinegénérale) • d’un travail de recherche (prospectif ou rétrospectif) en soins primaires • d'une étude prospective en milieu hospitalier; • de l'exposé d'un cas clinique isolé, nécessairement original et accompagné d'une revue personnelle et originale de la littérature. P.Semaille-M.Roland

  7. Définitions • La substance du mémoire consiste en un travail de recherche clinique ou fondamentale ou une étude clinique ou épidémiologique; il est personnel et original. • En cas de sujets cliniques, il s'agira, soit: • d'une revue rétrospective de dossiers (hospitaliers ou de médecinegénérale) • d’un travail de recherche (prospectif ou rétrospectif) en soins primaires • d'une étude prospective en milieu hospitalier; • de l'exposé d'un cas clinique isolé, nécessairement original et accompagné d'une revue personnelle et originale de la littérature. P.Semaille-M.Roland

  8. La recherche P.Semaille-M.Roland

  9. La recherche qualitative • Elle donne un aperçu du comportement et des perceptions des gens et permet d'étudier leurs opinions sur un sujet particulier, de façon plus approfondie que dans un sondage. • Elle génère des idées et des hypothèses pouvant contribuer à comprendre comment une question est perçue par la population cible et permet de définir ou cerner les options liées à cette question. • La recherche qualitative se caractérise par une approche qui vise à décrire et à analyser la culture et le comportement des humains et de leurs groupes du point de vue de ceux qui sont étudiés. Par conséquent, elle insiste sur la connaissance complète ou « holistique » du contexte social dans lequel est réalisée la recherche. La vie sociale est vue comme une série d’événements liés entre eux, devant être entièrement décrits, afin de refléter la réalité de la vie de tous les jours. La recherche qualitative repose sur une stratégie de recherche souple et interactive. Crabtree, B.F. et Miller, W.L., eds (1992). Doing qualitative Research. Newbury Park, CA: Sage P.Semaille-M.Roland

  10. La recherche qualitative • Les discussions en groupe et les entrevues individuelles en profondeur représentent les techniques qualitatives les plus fréquentes. • La recherche qualitative est fondée sur des entrevues semi-structurées ou même non structurées dans le cadre desquelles le modérateur ou l'intervieweur travaille avec un guide de discussion ou un guide d'entrevue élaboré selon le sujet et la cible de l’étude. • Comparativement aux techniques d’investigation sur la base de sondage, la recherche qualitative n'a pas recours à un questionnaire fermé. Le chercheur dispose d'une certaine latitude pour adapter le guide de discussion ou le guide d'entrevue selon les réponses et les expériences individuelles des participants. Le chercheur peut ainsi éliminer des secteurs de questions qui ne génèrent pas beaucoup d'informations utiles et ajouter ceux qui sont plus prometteurs. Crabtree, B.F. et Miller, W.L., eds (1992). Doing qualitative Research. Newbury Park, CA: Sage P.Semaille-M.Roland

  11. La recherche qualitative • Les méthodes de collecte de données les plus couramment utilisées en recherche qualitative présentent des avantages et limites spécifiques. Ces méthodes sont : • ‪Les entretiens non structurés‬ ; • ‪Les entretiens semi-structurés et structurés‬ ; • ‪Les entretiens de groupe‬ ; • ‪… P.Semaille-M.Roland

  12. Ex: Entretiens non structurés
(style conversation) • Les questions se présentent dans le contexte immédiat et sont posées naturellement ; il n’y a pas de définition au préalable des questions ou de la formulation des questions. • les questions correspondent aux individus et aux circonstances et permettent d’explorer des nouveaux thèmes. P.Semaille-M.Roland

  13. Ex: Entretiens semi-structurés
(avec guide d’entretien) • Les thèmes couverts sont spécifiés à l’avance mais l’investigateur décide de la séquence et de la formulation des questions pendant l’entretien qui reste du style conversation. P.Semaille-M.Roland

  14. Ex: Entretiens ouverts standardisés • La formulation et la séquence exacte des questions sont déterminées à l’avance. Les questions sont formulées de sorte que les réponses soient entièrement ouvertes. • Permettent de mieux comparer les réponses ; données complètes pour chaque participant; facilitent l’organisation et l’analyse des données. Appropriés lorsque le thème de l’étude est relativement bien connu • Mais peu de souplesse pour mettre en relation l’entretien avec les individus et les circonstances P.Semaille-M.Roland

  15. Ex: Focus Groups • Techniques d’entretien de groupe semi-structuré qui repose sur la discussion entre participants. • Peuvent fournir rapidement une grande quantité d’informations. Méthodes utiles pour identifier et explorer les croyances, les attitudes et les comportements et pour identifier des questions pertinentes pour des entretiens individuels. • Mais n’apporte pas d’informations sur la fréquence ou la distribution des croyances ou des comportements. • Les participants peuvent s’influencer mutuellement et, par conséquent il faut faire attention en analysant les résultats. P.Semaille-M.Roland

  16. Ex: Techniques d’entretien de groupe(non focus groups) • Technique d’entretien plus formelle qui tend à utiliser des groupes naturels préexistants. • Permettent de créer le rapport, d’identifier et d’explorer les problèmes et priorités communautaires, de sensibiliser aux problèmes locaux, de faire participer les gens à l’identification des solutions possibles. P.Semaille-M.Roland

  17. Travail de recherche prospectif ou rétrospectif en SSP • Questionnaires à destination des MG: biais de sélection+++ • Questionnaires à destination des patients • Focus-group: ++ • Interview semi-structurée: ++ P.Semaille-M.Roland

  18. Comité d’éthique • tous les travaux de fin d’étudeimpliquant des patients ou des volontaires sains doivent être soumis pour avis au Comité d’éthiquehospitalo-facultaire- ULB-Erasme (CE ULB-Erasme) ou à un autre Comité d’éthique ayant compétencecomplète • Mêmeles étudesrétrospectives (étude des dossiers médicaux a posteriori, sans contact direct avec les patients) doivent être soumises pour avis au Comité. • Pour le CE ULB-Erasme, le protocole d’étude et ses annexes doivent êtreadressés au secrétariat du Comité (Mr Georges Niset) l’étude ne pouvant débuter qu’après obtention de l’accord du Comité. Ce dernier se réunit 2 fois par mois, et le délai de réponse est en moyenne de 12 jours. • http://www.hopitalerasme.be/ethique.htm P.Semaille-M.Roland

  19. Comité d’éthique • Afin de couvrir ces travaux en responsabilité, l’Université et l’hôpital Erasme ont souscrit un contrat d’assurance avec prime forfaitaire qui n’est pas répercutéeauprès des différentesfacultés ou services. Il n’est donc pas nécessaire de faire de démarchespécifique en la matière (déclaration etc...), la soumission du travail pour avis au Comité étant suffisante. P.Semaille-M.Roland

  20. Le promoteur • L’étudiant choisit son promoteur et son co-promoteur éventuel parmi: • a. Les membres de la faculté de médecine ou de l’Ecole de Santé publique titulaires d'une charge d'enseignement • b. les agrégés et docteurs en sciences médicales, quels que soient leurs titres ou leur fonction (en ce y compris les médecins hospitaliers du réseau de l’ULB). • c. les médecins des hôpitaux et/ou services universitaires, détenteurs d’un mandat définitif (professeur associé, professeur, directeur de clinique, directeur de service, chef de clinique adjoint, chef de clinique, chef de service) ayant été crédités d’un avis académique favorable lors du processus de nomination. • d. les chercheurs de la faculté titulaires d’un mandat à duréeindéterminée • e. un médecingénéralisteagrégé, docteur ou titulaire d'une charge d'enseignement. • La liste de promoteurs est consultable à l’adresse suivante : http://www.medecine.ulb.ac.be/ P.Semaille-M.Roland

  21. Le promoteur • Le promoteur est choisi par l’étudiant- sur son site personnel - dans une liste reprenant les noms de tous les promoteurs potentiels. Il est bien entendu que l’étudiant a obtenu au préalable l’accord de principe du promoteur pressenti après une entrevue où d’un commun accord, les grandes lignes du projet auront été déterminées. • Une procédure informatique a été développée afin de s’assurer officiellement de l’accord définitif du promoteur. Dès que l’étudiant aura validé sur son site personnel le formulaire reprenant en particulier le titre du mémoire et le nom du promoteur, un email sera automatiquement envoyé au promoteur de façon à l’en informer. L’email contiendra un lien vers le site du promoteur lui permettant de confirmer son acceptation qui, en retour, sera automatiquement inscrite sur le site de l’étudiant concerné. • Le promoteur fait partie ex officio du jury avec voix délibérative. Au cas où il est remplacé par le co-promoteur lors de la défense du mémoire, ce dernier remplira le rôle de promoteur et aura donc une voix délibérative. il ne pourra pas faire partie des jurys des OAG des étudiants pour lesquels il est le promoteur. P.Semaille-M.Roland

  22. Le promoteur • Le travail de l'étudiantétant personnel, les missions du promoteur sont: • de conseiller l'étudiant dans le choix du sujet du mémoire; • d'indiquer à l'étudiant les règles de présentationécrite et orale du travail; • de guider l'étudiant dans la phase de rédaction. • Afin de ne pas léser certains étudiants quant à la qualité de la forme, le promoteur aide l'étudiant à trouver les moyens logistiques permettant une présentationdactylographiée et la réalisation des supports médiatiques (présentationinformatisée type « PowerpointPC/Mac » ou « Keynote Mac ») nécessaires. P.Semaille-M.Roland

  23. Co-promoteur • L’étudianta la possibilité de mentionner un co-promoteur. L’acceptation du co- promoteur suit les mêmesprocédures que celles décrites pour le promoteur. En plus, le promoteur doit également marquer son accord quant au choix du co-promoteur. • Le co-promoteur peut remplacer le promoteur lors de la défense du mémoire. Les conditions requises pour êtreco-promoteur sont semblables à celles du promoteur. P.Semaille-M.Roland

  24. Règles du document écrit • La forme et le volume du travail écrit sont ceux d'une publication reprenant les rubriques suivantes:Résumé, Introduction, Méthodes, Résultats, Discussion, Références. • Le mémoire comporte au maximum 20 pages dactylographiées de format A4: caractère12 points, interligne 1,5 ou 2, marge de 2 à 2,5 cm, correspondant à maximum 3.000 mots ou 20.000 caractèresespaces compris (hors table des matières, résumé, tables, figures et références). P.Semaille-M.Roland

  25. Règles du document écrit • Page de couverture : le nom et prénom de l’étudiant figurent dans le coin supérieurdroit+ les mentions de l’annéeacadémique, de la faculté de médecine, de l’université libre de Bruxelles. • La première page correspond à la table des matières • La 2e page à la listealphabétique des abréviationsutilisées dans le travail • La 3° page: Abstract: un résumé de 300 mots maximum (2000 caractères espaces compris) reprend obligatoirement les rubriques suivantes: Introduction (se termine par une phrase explicitant les objectifs du travail ), Méthodes, Résultats et Conclusions. P.Semaille-M.Roland

  26. Règles du document écrit • Les figures et tableaux sont à disposer dans le texte ou au dos des pages de manière à faciliter la lecture du mémoire. • Les annexes nécessaireséventuelles peuvent compléter le travail sans intervenir dans le décompte ci-dessus. Elles feront l’objet d’un complément annexé dans un document séparé. • Les références peuvent êtredactylographiées en caractères 10 points et interligne simple. • Les références, numérotées par ordre d'apparition dans le texte, et reprises dans le texte par leur numéro, ne dépassent pas 30. P.Semaille-M.Roland

  27. Remise du MFE • Minimum 6-7 exemplaires imprimés (1 pour chaque membre du jury + 1 pour le secrétariat facultaire) + une épreuve électronique format .doc et/ou pdf au plus tard le 21 mai 2014 P.Semaille-M.Roland

  28. Défense du MFE • la défense des mémoires sera organisée sur le campus Erasme le mardi 3 juin 2014 • (6 mai 14: finalisation de la composition des jurys et horaire) • La présentation orale du mémoire est limitée à 20 minutes; l'exposé est calqué sur une présentation scientifique sans interruption de l'orateur. L'étudiant est ensuite interrogé pendant 20-25 minutes sur le sujet du mémoire. P.Semaille-M.Roland

  29. Evaluation • La note globale est basée sur la moyenne des évaluations des membres du jury et établie sur 50 pts et ramenée sur 20 pts au 10e près. • Le mémoire compte pour 20 points sur les 100 dans la grille de délibération. P.Semaille-M.Roland

  30. Dernière période de stage 28/4 au 22/6 • Stage P7 à mi-temps du 28 avril au 25 mai • Pas de stage du 26 mai au 12juin • Reprise du stage à plein-temps du 13 juin au 21 juin 2014 P.Semaille-M.Roland

  31. Des questions?Commentaires/réflexions? P.Semaille-M.Roland

  32. A la recherche d’informations pertinentes médicalesL’EBM P.Semaille-M.Roland

  33. Médecine générale et accès à l’informatique/internet Enquête de l’INAMI 2007 Échantillon aléatoire de 1707 MG: • Critères inclusion: • Code de qualification 003 ou 004 en 2007 • Médecins plus jeunes ou = à 60 ans en 2007 • Au moins 250 patients attribués ou au moins 1250 contacts (sur base des prestations en 2005) • taux de réponse : 49,3% (842) P.Semaille-M.Roland http://www.inami.fgov.be/care/fr/doctors/promotion-quality/study_computer/index.htm

  34. Médecine générale et accès à l’informatique/internet Enquête de l’INAMI 2007 Échantillon aléatoire de 1707 MG: • Ordinateur fixe: 78 % portable: 49.5% (ordinateur portable ET ordinateur fixe 36,9%) • 8,4% n’ont pas d’ordinateur dans leur pratique • Connexion internet: 81.6% P.Semaille-M.Roland http://www.inami.fgov.be/care/fr/doctors/promotion-quality/study_computer/index.htm

  35. P.Semaille-M.Roland

  36. Articles Textbooks Journaux Conférences Internet Industrie pharmac. TV P.Semaille-M.Roland

  37. Les champs du savoir médical individuel Biomédecine Psychodynamique Médecine de famille Santé communautaire collectif Epidémiologie Anthropologie objectif/pragmatique subjectif/symbolique P.Semaille-M.Roland

  38. Les couches du savoir médical Connaissance commune de base Connaissance médecin généraliste Connaissance médecin spécialiste P.Semaille-M.Roland

  39. La connaissance médicale • La lecture n’est qu’un des moyens (passifs) de formation continue parmi d’autres. • 2 millions d’articles par an (>30% de redites). • 20 revues gratuites. • Nécessité de sélection rapide et critique. • JETER JETER et encore JETER pour ne garder et lire que ce qui est valide et applicable. • Lire vite, bien et utile = « lecture critique ». • Temps moyen de formation continue: 2h/semaine. P.Semaille-M.Roland

  40. Les sources de l’information médicale • Notes personnelles. • Information orale: • Discussions avec collègues généralistes ou spécialistes, • Délégation pharmaceutique, • Formation médicale continue, réunions scientifiques, dodécagroupes, • GLEMs. • Information audio-visuelle: • Medivision, • Medisound, • Radio, • TV. P.Semaille-M.Roland

  41. Les sources de l’information médicale • Journaux (et autres media) grand public. • Livres de référence (Textbooks, papier et CD ROM): • Médecine interne: Harrison, Cecil, Washington, Merckmanual. • Médecine de famille: Médecine Générale, concepts et pratiques (éd. Masson). • Diagnostic et traitement: CurrentMedicalDiagnosis and Treatment (Lange). • Prévention: Guide Canadien de Médecine Préventive. • Méthodologie et traitement de l’information: L’Information médicale, une jungle à défricher. • Systèmes d’information: Approches taxinomiques, CISP-2. • Publications électroniques: • EBM guidelines. • Up-To-Date. • Différents textbooks. • CEBAM. P.Semaille-M.Roland

  42. Les sources de l’information médicale • Journaux gratuits: • Le Généraliste. • Le Journal du Médecin. • Compendium. • Revues médicales gratuites: • Etat:FoliaPharmaceutica. • Organismes assureurs:FoliaDiagnostica. • Groupes financiers:Patient Care, Tempo Medical. • Revues universitaires payantes: • Revue Médicale de Bruxelles (ULB). • Revue Médicale de Liège (ULg). • Louvain Médical (UCL). P.Semaille-M.Roland

  43. Les sources de l’information médicale • Revues de sociétés scientifiques: • Huisarts Nu (WVVH). • Revue de la Médecine Générale (SSMG). • Minerva • Revues/périodiques scientifiques payants: • British Medical Journal. • New England Journal of Medicine. • The Lancet. • JAMA. • Annals of InternalMedicine • Prescrire. • European Journal of General Practice. • Family Practice. • FamilyMedicine. • Canadian FamilyPhysician. • La Revue du Praticien. • Médecine et Hygiène. « the big five » P.Semaille-M.Roland

  44. Les sources de l’information médicale • Revues et publications diverses: • Education à la Santé: Education Santé. • Santé Publique: Archives of Public Health, European Journal of Public Health. • Santé Communautaire: Santé et Communauté, Santé Conjuguée. • Internet: divers sites scientifiques. P.Semaille-M.Roland

  45. Différentes revues médicales • Littérature primaire:somme des articles de recherche, de revue, etc. • Littérature secondaire:organisation de la littérature primaire, rassemblement et indexation d’articles (Medline, Current Contents, Embase etc). • Littérature tertiaire:analyse critique des publications d’une discipline déterminée (Cochrane Library, Clinical Evidence, Minerva, etc). • Littérature quaternaire:guidelines, recommandations de bonne pratique (RBP). P.Semaille-M.Roland

  46. Les sources du savoir médical P.Semaille-M.Roland

  47. 1° source: les guidelines / RBP Littérature quaternaire: guidelines, recommandations de bonne pratique (RBP). Les guidelines (ou recommandation de bonne pratique) sont proposés comme des véhicules pour accélérer le transfert des connaissances dans les pratiques et comme des solutions au problèmes des variations de pratiques cliniques imputables en partie à un retard dans l ’adoption des nouvelles connaissances. La motivation de ces guidelines est d ’améliorer la qualité des soins (mais aussi de « contenir » l ’escalade des coûts de la santé) P.Semaille-M.Roland

  48. Les guidelines / RBP Les recommandations de bonne pratique sont des recommandations basées sur les meilleures preuves disponibles à un moment donné. Les auteurs rédigent comité scientifique: amendement, critique avis d ’experts externes: amendement validation: présentation, test « sur le terrain » remarques formulées recommandation reformulée mise à jour régulière P.Semaille-M.Roland

  49. Les guidelines et l’EBM • Les guidelines sont considérés comme les « véhicules » de l’EMB • Mais qu’est que l’EBM ? EBM= médecine factuelle, médecine basée sur les preuves (définition francaise) médecine fondée sur les données probantes (définition canadienne) P.Semaille-M.Roland

  50. La notion de preuve 2 dimensions: 1°) la nature des données qui s ’inscrit à l ’intérieur du cycle des connaissances: observation d ’un phénomène sur le modèle expérimental à sa confirmation dans le cadre de larges études cliniques. 2°) La suffisance des données une seule étude bien faite? plusieurs études de moins bonne qualité? P.Semaille-M.Roland

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