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L’ANTIQUITE : LA CONQUETE DE LA GAULE dossier CYCLE 3 (CE2). Document 1 : Vercingétorix, chef des gaulois. Vercingétorix, fils de Celtillos, Arverne, est un jeune homme parmi les plus puissants du pays. Il encourage ses compatriotes à prendre les armes pour la liberté de la Gaule.
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L’ANTIQUITE : LA CONQUETE DE LA GAULE dossier CYCLE 3 (CE2)
Document 1 : Vercingétorix, chef des gaulois • Vercingétorix, fils de Celtillos, Arverne, est un jeune homme parmi les plus puissants du pays. Il encourage ses compatriotes à prendre les armes pour la liberté de la Gaule. • Il ne lui faut pas longtemps pour avoir à ses côtés les Parisii, les Pictes, les Cadurques, les Turons,... Et tous les autres peuples qui touchent à l’océan. A l’unanimité, on lui donne le commandement suprême. • Il ordonne qu’un nombre déterminé de soldats lui soit amené. Il fixe quelle quantité d’armes chaque cité doit fabriquer. Il donne un soin particulier à le cavalerie. • Jules César, La Guerre des Gaules, 51 avant J.-C.
Document 2 : Le siège d’Alésia par Jules César • « César fit construire deux larges fossés (1). Il remplit de l’eau à l’intérieur. Derrière, il construisit une terrasse surmontée d’une palissade (2). Il éleva des tours (3) tout autour de l’ouvrage. On coupa ensuite des troncs d’arbres ayant des branches très fortes, taillées en pointe. On creusa des fossés continus, profonds et on y enfonça ces pieux (4). Il y en avait cinq rangées. Devant, on creusa huit rangées de trous (5) qui allaient en se rétrécissant vers le bas. On y enfonça des pieux lisses dont l’extrémité avait été taillée en pointe et durcie au feu ». • Texte écrit d’après Commentaires de la guerre des Gaules de Jules César.
Document 3 : Pièces de monnaie(datant du 1er siècle avant J.- C.)
Document 4 : La défaite gauloise • Ceux qui tenaient Alésia, après avoir donné beaucoup de mal à César et avoir eux-mêmes beaucoup souffert, finirent par se rendre. • Le chef suprême de la guerre, Vercingétorix prit ses plus belles armes, para son cheval et franchit ainsi les portes de la ville. Il vint caracoler en cercle autour de César qui était assis. • Puis, sautant à bas de sa monture, il jeta ses armes et s’assit lui-même aux pieds de César, où il ne bougea plus, jusqu’au moment où César le remit à ses gardes. • Plutarque, Vies parallèles, début du 2ème siècle après J.- C.