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Quelle est la relation entre les troubles du sommeil et les troubles psychiatriques ?

Association entre les problèmes de sommeil persistants chez l’enfant et le développement de troubles anxieux à l’âge adulte 1 L’insomnie s’est manifestée avant les troubles de l’humeur chez 40 % des patients 2

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Quelle est la relation entre les troubles du sommeil et les troubles psychiatriques ?

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Presentation Transcript


  1. Association entre les problèmes de sommeil persistants chez l’enfant et le développement de troubles anxieux à l’âge adulte1 • L’insomnie s’est manifestée avant les troubles de l’humeur chez 40 % des patients2 • Les pensées suicidaires sont associées à un sommeil non réparateur et à une courte durée de sommeil3 • Les troubles du sommeil chroniques augmentent le risque de développer une maladie psychiatrique et entravent le rétablissement chez ceux qui en sont atteints2,4,5 Quelleest la relation entre les troubles du sommeil et les troubles psychiatriques ? 1.Gregory AM et coll. J Abnorm Child Psychol. 2005;33(2):157-163. 2. Ohayon MM, Roth T. J Psychiatr Res. 2003;37(1): 9-15. 3. Park JH et coll. Psychiatry ClinNeurosci. 2013;67(1):28-34. 4. Ford DE, Kamerow DB. JAMA. 1989;262(11):1479-1484. 5. JuYE et coll. JAMA Neurol. 2013;70(5):587-593.

  2. Trouble respiratoire du sommeil Obésité Interrelation entre un sommeil perturbé et un dysfonctionnement Sommeil altéréou non réparateur Effets secondaires des médicaments Tendance suicidaire Troubles psychiatriques Altérationdu fonctionnement Utilisation de substances Morbidité Mortalité

  3. Agenda consensuel du sommeil1 • Index de la qualité du sommeil de Pittsburgh (PSQI)2 • Questionnaire sur la santé du patient (PHQ)-93 • Échelle du trouble anxieux généralisé à 7 items (GAD-7)4 • Dépistage de l’état de stress post-traumatique5 • Ce sont tous des outils du domaine public. Outils de dépistage utiles pour évaluer lestroubles du sommeil et psychiatriques Morin CM. Insomnie – Conférencesscientifiques. 2012;1(1):1-6. Sleep Quality Index (PSQI). Disponibleà : http://www.sleep.pitt.edu/content.asp?id=1484&subid=2316. Patient Health Questionnaire (PHQ)-9. Disponibleà: http://www.phqscreeners.com. Generalized Anxiety Disorder 7-item (GAD-7) Scale. Disponibleà: http://www.phqscreeners.com. The primary care PTSD screen (PCPTSD). Disponibleà: http://www.ptsd.va.gov/professional/pages/assessments/pc-ptsd.asp.

  4. Modification du sommeil dans les troubles de l’humeur PSG = polysomnographie

  5. TDM ou troubles bipolaires I et II • Pharmacothérapie • Options non pharmacologiques : TCC, psychothérapie interpersonnelle et des rythmes sociaux, stratégies d’hygiène du sommeil • La plupart des antidépresseurs ont un effet bénéfique sur le sommeil • De nombreux ISRS/IRSN peuvent contribuer à l’insomnie ou l’aggraver dans le TDM • Hypnotiques • Benzodiazépines à courte durée d’action • Agonistes non benzodiazépiniques : zopiclone, zolpidem Traitement de l’insomnie associée à des troubles de l’humeur TDM = trouble dépressifmajeur ; TCC = thérapiecognitivo-comportementale ; ISRS = inhibiteursélectif de la recapture de la sérotonine ; IRSN = inhibiteurde la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine

  6. Les problèmes de sommeil après un traumatisme prédisent l’ESPT1 • > 65 % des patients présentant un ESPT rapportent d’importantes difficultés de sommeil2 • Symptômes prédominants : insomnie et rêves et/ou cauchemars liés au traumatisme • Une mauvaise qualité de sommeil a un impact sur la sévérité des symptômes de l’ESPT et sur la santé mentale perçue2 • Traitement des cauchemars traumatiques3 • Prazosine • Thérapie par répétition mentale ; l’exposition, la relaxation et la thérapie de restructuration ; et le rêve lucide Les troubles anxieuxliés à l’insomnie : ESPT ESPT = état de stress post-traumatique Klein E et coll. J Sleep Res. 2003;12(1):35-41. Belleville G et coll. J NervMent Dis. 2009;197(2):126-132. Escamilla M et coll. CurrPsychiatry Rep. 2012;14(5):529-535.

  7. Le TAG est caractérisé par une anxiété excessive et des soucis pesants, une agitation, une fatigabilité, une tension musculaire, une irritabilité et des difficultés de concentration • Il existe une corrélation entre le degré d’anxiété et le nombre de réveils, le temps de latence du sommeil de stade 1 et le pourcentage de sommeil de stade 21 • Traitement de choix : ISRS (peut aggraver l’insomnie) • Utilisation d’un hypnotique pour stabiliser le sommeil et la performance diurne2 • Traitements non pharmacologiques3 • TCC, l’entraînement à la pleine conscience, les exercices de relaxation Les troubles anxieuxliés à l’insomnie : TAG TAG = trouble de l’anxiétégénéralisée Rosa RR et coll. BiolPsychol. 1983;16(1-2):119-126. Pollack M et coll. ArchGen Psychiatry. 2008;65(5):551-562. Davidson JR. Insomnie – Conférencesscientifiques. 2012;1(3):1-6.

  8. L’insomnie est un problème fréquent chez les patients atteints de trouble panique • Temps d’endormissement prolongé et réveils fréquents1,2 • Les attaques de panique surviennent souvent pendant le sommeil1 • 33 à 71 % des patients atteints de trouble panique rapportent des attaques de panique ; chez un tiers de ces patients, les épisodes sont plus fréquents durant leur sommeil que lorsqu’ils sont éveillés • Des attaques de panique nocturnes fréquentes peuvent mener à une insomnie secondaire • Traitements pharmacologiques et non pharmacologiques3 • ISRS/IRSN en première ligne ; besoin possible d’un SHA4 Les troubles anxieuxliés à l’insomnie : trouble panique Abad VC, Guilleminault C. Dialogues ClinNeurosci. 2005;7(4):291-303. Mellman TA. Sleep Med Clin. 2008;3(2):261-268. American Psychiatric Association. Practice Guidelines for the Treatment of Patients With Panic Disorder, 2eédition. Cervena K et coll. Sleep Med. 2005;6(2):149-153.

  9. L’insomnie sévère est l’un des signes prodromiques d’une exacerbation psychotique imminente ou d’une rechute après l’arrêt d’antipsychotiques1 • Complications liées au sommeil dans la schizophrénie2 • Un temps d’endormissement prolongé • Un temps d’éveil nocturne accru • Un temps de sommeil total réduit • Une réduction de la latence d’apparition du sommeil paradoxal • Une réduction du temps de sommeil à ondes lentes (delta ou N3) • Des associations inconstantes entre les indices de sommeil détectés dans les enregistrements PSG et les symptômes (positifs et négatifs) • Les antipsychotiques ont un effet sédatif • Optimiser ces effets par une bonne hygiène de sommeil3,4 Insomnie et schizophrénie Benson KL. Sleep Med Clin. 2008;3(2):251-260. Krystal AD. NeurolClin. 2012;30(4):1389-1413. Davidson JR. Insomnie – Conférencesscientifiques. 2012;1(3):1-6. MacFarlane J. Insomnie – Conférencesscientifiques. 2012;1(2):1-6.

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