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CYN 1. Objectif spécifique n° A3. L’olfaction. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 Sgt DIOLOGENT Th. 01/42. LE SENS LE PLUS DEVELOPPE CHEZ LE CHIEN.

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Presentation Transcript


  1. CYN 1 Objectif spécifique n° A3 L’olfaction CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 Sgt DIOLOGENT Th. 01/42

  2. LE SENS LE PLUS DEVELOPPE CHEZ LE CHIEN CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 02/42

  3. SYSTEME OLFACTIF CHEZ LE CHIEN CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 03/42

  4. SCHEMA DE L ’APPAREIL OLFACTIF DU CHIEN Cornet nasal supérieur Emplacement du cerveau Emplacement des narines Lame criblée Cornet nasal inférieur Communication avec le pharynx CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 04/42

  5. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 05/42

  6. STRUCTURE DE L ’OS ETHMOIDE Cloison nasale Lame criblée de l ’ethmoïde Volutes de l ’ethmoïde CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 06/42

  7. Superficie moyenne de la muqueuse olfactive Berger allemand = 200 cm2 Homme = 2 cm2 CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 07/42

  8. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 08/42

  9. Lobe olfactif Comparaison entre le chien et l’homme Chien : 1/10e du cerveau CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 09/42

  10. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 10/42

  11. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 11/42

  12. Physiologie de l ’appareil olfactif Le comportement olfactif du chien : • le chiot : on peut observer la mise en œuvre d ’un comportement olfactif dès les premières minutes de vie d ’un chiot (reconnaissance olfactive des mamelles de sa mère). • le flairage : il consiste en une série de brèves inspirations forcées qui ont pour but d ’augmenter l ’air envoyé au contact de la muqueuse olfactive. Par un bon flairage, l ’animal est capable de faire passer 100 % de l ’air qui traverse ses narines au contact du tapis de cils olfactifs, alors que lorsqu’il respire normalement seul 1% de l ’air inspiré suit ce trajet. L ’activité de flairage est donc primordiale pour augmenter la performance olfactive.  le rôle sociologique de l ’olfaction : - marquage du territoire (glandes anales) - langage olfactif (urines, phéromones) - mémoire olfactive (reconnaissance du maître, conditionnement à certaines odeurs : faim, peur). Capacité à adapter un comportement face à une odeur CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 12/42

  13. Physiologie de l ’appareil olfactif Les caractéristiques de l ’acuité olfactive du chien : • discrimination qualitative : la faculté de discrimination est le fait de pouvoir distinguer des odeurs différentes même proches les unes des autres ou mélangées entre elles. Cette faculté est considérablement développée chez le chien (différenciation des récepteurs membraneux). CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 13/42

  14. Physiologie de l ’appareil olfactif Les caractéristiques de l ’acuité olfactive du chien : • discrimination quantitative : chaque odeur a sur l ’organe olfactif un seuil d ’efficacité au-dessous duquel elle n ’est pas perçue. Ce seuil est très faible chez le chien, il correspond à un seuil de quelques centaines de molécules odorantes. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 14/42

  15. Physiologie de l ’appareil olfactif Les bases mécaniques de l ’olfaction :  notion de molécule odorante : pour être odorante, une molécule doit  être volatile(exemple de l ’éther ; très forte volatilité)  être odorante(l ’odeur est variable d ’un corps à un autre, elle dépend de la structure chimique des corps et de certaines de leurs propriétés physiques.  entrer en contact avec la muqueuse olfactive(expérience du film de plastique sur la muqueuse).  impression de la muqueuse olfactive : lorsque l ’on fait passer un courant d ’air chargé de molécules odorantes dans les fosses nasales d ’un chien on constate que l ’air en ressort « désodorisé ». La muqueuse olfactive a donc la faculté de capter les odeurs. En fait, les molécules odorantes se dissolvent dans le mucus de surface avant de parvenir au contact des cils. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 15/42

  16. Les facteurs pathologiques  l ’anosmie : c ’est l ’absence d ’odorat. Elle peut survenir (suite à une maladie, un accident) ou être congénitale (existe à la naissance), elle peut également être permanente ou temporaire.  l  ’hyposmie : c ’est le cas de l ’olfaction qui peut être simplement diminuée.  l ’hyperosmie : c ’est le cas de l ’olfaction qui peut être augmentée. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 16/42

  17. L ’entraînement  exemple de « nez » de la cosmétique : certains techniciens qui ne possèdent aucune qualité particulière au départ, sont formés à distinguer un grand nombre d ’odeurs différentes qui entrent dans la composition des parfums.  exemple de la cécité acquise chez l ’homme : les individus qui perdent la vue, parviennent à développer leurs aptitudes olfactives de façon étonnante. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 17/42

  18. Les facteurs ethniques et individuels Expérimentalement, on constate de grandes différences d ’acuité olfactive entre des chiens de même race pris au hasard et élevés dans les mêmes conditions. On reconnaît en général une bonne héritabilité aux qualités de nez. Il est donc possible de sélectionner des lignées de chiens de pistage. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 18/42

  19. Les facteurs individuels de variation xx millions de cellules réceptrices Teckel = 125 Bouledogue = 100 Loulou = 110 Cocker = 140 Fox = 147 Homme = 10 Berger allemand = 200 Labrador = 220 CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 19/42

  20. LES ODEURS CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 20/42

  21. Définition d’une odeur Une odeur est une émanation transmise par un fluide et perçue par l’appareil olfactif. Les récepteurs olfactifs sont situés dans les fosses nasales et sont reliés au cerveau par le nerf olfactif. Il existe sept odeurs primaires qui correspondent aux sept types de récepteurs sensoriels situés sur les cils des cellules olfactives. Des substances ayant des odeurs semblables ont des molécules de forme similaire. La forme d’une molécule détermine la nature de son odeur. Ces molécules se fixent sur les récepteurs. Une même molécule peut se fixer sur plusieurs sites si elle possède la " clé " de récepteurs différents. Ce phénomène est le début d’une série d’événements : transmission de l’influx par le nerf olfactif et perception d’une odeur par le cerveau. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 21/42

  22. Les 7 odeurs primaires On peut distinguer sept odeurs de base : Camphrée Musquée Florale Mentholée Éthérée Piquante Putride CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 22/42

  23. Combien d’odeurs différentes perçoit-on ? Environ 10 000, selon les neuro-physiologistes. Pourtant, la muqueuse nasale humaine ne dispose que de 350 types de récepteurs. Il n'y a donc pas de correspondance directe entre le nombre de capteurs et le nombre de stimuli olfactifs que l'on peut distinguer. En effet, chaque molécule odorante ne possède pas un récepteur spécifique. Non seulement chacun d'entre eux détecte plusieurs espèces chimiques différentes, mais une même molécule peut aussi activer plusieurs types de récepteur. Chaque molécule est ainsi identifiée par la combinaison spécifique de récepteurs qu'elle active. Mais ce n'est pas tout. Chacune de ces 350 familles de capteurs correspond à une population particulière de nerfs olfactifs. Le cerveau reconnait donc une odeur grâce à une combinaison complexe d'influx nerveux en provenance de la muqueuse. Les scientifiques utilisent le terme d'image olfactive. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 23/42

  24. Les odeurs naturelles du corps humain Généralités L’odeur est pour le chien une véritable carte d’identité. Un chien est capable de différencier les personnes par leurs odeurs, sauf s’il s’agit de vrais jumeaux vivant dans le même environnement. Cette discrimination de l’odeur spécifique est importante pour la reconnaissance olfactive du maître. Elle sera mis à profit dans l’identification, l’analyse des pistes, la détection de matière... CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 24/42

  25. On retrouve à la surface de la peau deux substances qui vont jouer un rôle important dans la diffusion d’odeur spécifique individuelle :  Le sébum  La sueur Dans l’épithélium de la peau, on trouve des annexes, qui sont les glandes sébacées, les glandes sudoripares et les poils CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 25/42

  26. Les Glandes Sébacées productrices de Sébum Le Sébum composé de corps gras est sensible à l’oxydation (rancissement). On comprend son intervention dans la formation de l’odeur corporelle. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 26/42

  27. 1 / Poil2 / Glande sébacée3 / Bulbe4 / Papille capillaire5 / Glande sudoripareOn trouve des glandes sébacées partout sur le corps, sauf sur les paumes de la main et la plante des pieds. Elles sont plus grandes au niveau du visage que sur les bras ou les jambes.Les sécrétions des glandes sébacées et sudoripares contiennent des substances importantes (mélange de graisse, de cholestérol, d'albumine et d'electrolytes) qui participent de la formation du film hydrolipidique. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 27/42

  28. Les Glandes Sudoripares productrices de Sueur CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 28/42

  29. Les glandes sudoripares sont divisées en deux groupes : • les glandes Apocrines • Les glandes Eccrines L’odeur corporelle provient en majorité de la sueur, dégradée par les bactéries présentes à la surface de la peau. De plus, l’épiderme desquame régulièrement. On retrouve à la surface de la peau des cellules mortes, qui pourront elles aussi être dégradées par des bactéries et tomber au sol. La spécificité de l’odeur tient au fait que chacun a une sueur de composition variable, pouvant être dégradée par différents types de bactéries. On comprend ainsi la grande variabilité de l’odeur finale. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 29/42

  30. Cellules de la peau vivante CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 30/42

  31. Cellules de la peau mortes (pellicules) CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 31/42

  32. Différentes bactéries (responsables de la dégradation des cellules et de l’apparition de l’odeur). CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 32/42

  33. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 33/42

  34. Les glandes Apocrines Elles participent à la thermorégulation du corps lors d’une élévation de température interne et lors d’un effort physique CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 34/42

  35. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 35/42

  36. Les glandes Eccrines Elles participent à la thermorégulation du corps lors d’une élévation de température interne, lors de fortes émotions et lors de consommation de certaines épices. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 36/42

  37. Résumé pore Muscle érecteur conduit eccrine Glande sébacée Follicule pilo-sébacé Glande eccrine Glande apocrine CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 37/42

  38. Récapitulatif Glandes sébacées Glandes Apocrines Glandes Eccrines CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 38/42

  39. Les odeurs artificielles de l’individu Généralités Elles sont constituées par les odeurs de la tenue vestimentaire et tous les objets que peut porter un individu. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 39/42

  40. Les vêtements et les chaussures : ont leur propre odeur, qui varient en fonction de leur nature (cuir, caoutchouc, tissu...), ainsi que de l’odeur qu’ils portent (tabac, friture...). Vêtements et chaussures agissent aussi sur la sueur de l’individu. Selon leur texture, ils laisseront dégager facilement les odeurs ou bien favoriseront la production de sueur s’ils sont fermés. Les cosmétiques : parfums, déodorants, savons, produits de beauté changent l’odeur individuelle. Ils peuvent simplement s’y ajouter, ou la modifier en inhibant la sécrétion de sueur ou en jouant sur la multiplication des bactéries. CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 40/42

  41. Odeurs naturelles Odeurs artificielles haleine déodorant sueur tissu cuir graisse CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 41/42

  42. Lorsqu’un individu marche, il produit un effort physique qui va faire augmenter sa température corporelle. Sous l’effet de cette élévation de température, le corps va procéder à sa propre thermorégulation et donc produire de la sueur. On comprend vite que certains facteurs vont accélérer ce processus : - température extérieure élevée - distance parcouru - vitesse de marche - dénivelé - stress CONDUCTEUR CYNOTECHNIQUE - CYN 1 MAJ 01/02/08 42/42

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