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URGENCES ET ENFANTS VICTIMES DE VIOLENCE Dr Bernard Kabuth Psy de l’Est 21 mars 2009

URGENCES ET ENFANTS VICTIMES DE VIOLENCE Dr Bernard Kabuth Psy de l’Est 21 mars 2009. Unité d’accueil et de soins des enfants victimes de sévices :. Pédiatres urgentistes : Dr A. BORSA DORION Dr S. CAVARE VIGNERON. Assistantes Sociales de l’Hôpital d’enfants : Mme V. BENBOUCHAIB

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URGENCES ET ENFANTS VICTIMES DE VIOLENCE Dr Bernard Kabuth Psy de l’Est 21 mars 2009

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Presentation Transcript


  1. URGENCES ET ENFANTS VICTIMES DE VIOLENCE Dr Bernard Kabuth Psy de l’Est 21 mars 2009

  2. Unité d’accueil et de soins des enfants victimes de sévices : Pédiatres urgentistes : Dr A. BORSA DORION Dr S. CAVARE VIGNERON Assistantes Sociales de l’Hôpital d’enfants : Mme V. BENBOUCHAIB Mme C. ROSSI Mme F. LAPERDRIX Pédopsychiatrie : Dr L. MAAZI : 80 % L. LE MOAL : 50 % O. PLUN : 50 % V. DIESTCHY : 20 %

  3. Collaborations • Avec « le pôle régional d’accueil et de prise en charge de victimes de violences sexuelles » - Dr Guillet May - maternité régionale de Nancy • Avec les services de police et gendarmerie • Avec la CEMMA (loi du 5 mars 2007) & l’Aide Sociale à l’Enfance

  4. Le parcours de la victime dans l’unité 1) Une plainte a été déposée : • Attente d’une réquisition • Suivi à déterminer : urgence, crise, moyen terme ? 2) Une plainte n’a pas été déposée : • Décision tripartite • Signalement à la CEMMA (voire au substitut des mineurs si urgence) • Suivi à déterminer : urgence, crise, moyen terme ?

  5. Schéma de prise en charge • Consultation à j 1 • Consultation dans les 8 jours • 8 consultations, en moyenne sur 3 mois

  6. La maltraitance à enfant regroupe des formes différentes « Des conduites qui, par leur violence ou leur répétition, sont susceptibles de retentir sur l’état général des enfants et de nuire gravement à leur développement physique ou psychologique » • Violence physique • Violence sexuelle • Violence psychologique  Où commence la maltraitance psychologique ?

  7. OBJECTIFS DE L’UNITE TRIPARTITE - Proposer la même unité de lieu et de temps pour l’enfant et ses parents sur 3 plans : pédiatrique, social, psychologique/pédopsychiatrique - Proposer à l’enfant des consultations qui permettent < de révéler les faits ( ou les infirmer), < de recevoir une écoute thérapeutique (type débriefing) < et de bénéficier d’une évaluation globale de son développement psycho-affectif pour diagnostiquer des troubles anciens, actuels peut-être futurs.

  8. OBJECTIFS DE L’UNITE TRIPARTITE - Aider la victime à se réapproprier l’événement traumatique afin de permettre une expulsion psychique - Reprendre les réactions, les sensations, les émotions - Réconfort, réassurance, empathie - Évaluation du degré d’urgence

  9. OBJECTIFS DE L’UNITE TRIPARTITE Éviter les risques d’évolution vers : - Sentiment d’être incompris comme victime, irritabilité, méfiance/autrui - Perte d’espoir dans l’avenir puis perte de l’élan vital et dépression - La déficience mentale - Quête permanente d’amour sans investissement affectif réel - Troubles de la sexualité

  10. Conclusions : les limites - Multiplication des réquisitions et sentiment d’être «utilisé » comme auxiliaire de justice, - Confusion entre la « vérité subjective de l’enfant » et « la vérité judiciaire »  rôle « vertigineux » que donne la Justice aux praticiens de la psychologie, - Burn-out des praticiens : voir au quotidien « le pire de l’humanité », sidération psychique réactionnelle

  11. Conclusions : les limites - Informatiques pédagogiques à renouveler sans cesse : «on bat, on viole un enfant » est une idée «irreprésentable » pour les praticiens non aguerris. - Problème de la prise en charge des mineurs/agresseurs. Merci de votre attention

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