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La Constante Macabre

La Constante Macabre. L’EPCC : un moyen de lutte contre l’échec scolaire. Intervention Vannes 18 Novembre 2009 Corinne Croc. La Constante Macabre: qu’est-ce ?. -Les trois tas. -La courbe de Gauss. cliquez-ici -C’est un phénomène inconscient

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La Constante Macabre

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Presentation Transcript


  1. La Constante Macabre L’EPCC : un moyen de lutte contre l’échec scolaire Intervention Vannes 18 Novembre 2009 Corinne Croc

  2. La Constante Macabre: qu’est-ce ? • -Les trois tas. • -La courbe de Gauss. cliquez-ici • -C’est un phénomène inconscient • -Toutes les matières ne sont pas concernées de la même façon. • -Tous les niveaux d’enseignement en sont victimes.

  3. Difficulté des questions posées. Des sujets trop bien équilibrés.  Des sujets trop longs. Barème. Rigueur dans la rédaction. A la recherche d’un beau sujet. La question réservée à l’élève Musclor. Désir de « balayer » le programme du contrôle. Une drôle de générosité La question cadeau. Comment obtient-on la Constante Macabre?

  4. Quels effets sur les élèves ? Stress La Constante Macabre Echec artificiel Démotivation Manque de confiance

  5. Le MCLCM créé en 2005 par • Le MCLCM , son comité d’organisation, son rôle, son site : mclcm.free.fr • L’appel lancé aux parlementaires. • Les signataires de l’appel. Cliquez ici cliquez ici

  6. Et à l’étranger?Cliquez ici Le Canada? La Belgique? L’Espagne?

  7. L’EPCCLe système d’évaluation par contrat de confiance Quatre étapes : • prévenir les élèves • la liste • l’heure de questions-réponses • le contrôle. .

  8. Une question? • Existe-t-il un seul exemple de situation d’évaluation en dehors de l’évaluation des élèves qui ne soit pas de type EPCC?

  9. Premier Bilan • La courbe de Gauss si elle existe n’est plus centrée à 10.   • Tous les élèves ne réussissent pas à refaire les exercices(hélas!).   • Les élèves travaillent plus.   • Les élèves sont plus attentifs plus motivés et plus concentrés en cours.  • Les notes augmentent en moyenne de 2 points.  • Les élèves moyens et travailleurs sont les grands bénéficiaires. • Les élèves sont moins stressés le jour du contrôle. • Les élèves reprennent confiance en eux et en nous. • La constante macabre est supprimée!

  10. Quelques remarques • Il est préférable de ne pas être isolé dans son établissement.  • Tout ne sera pas résolu par l’EPCC. • Les bons élèves sont moins enthousiastes et doivent être rassurés. • Il faut garder à l’esprit les dix pièges énoncés par André Antibi. • Il faut présenter l’EPCC dès le début de l’année (parents, élèves, collègues, direction, etc.)

  11. Un apprentissage par cœur est interdit( pas de qcm par exemple) • L’objectif n’est pas de mettre des bonnes notes à tout le monde mais de lutter contre une injustice( d’ailleurs 10% des élèves sont en échec malgré l’EPCC) • Rien à voir avec le système américain où on ne pose que des questions faciles auxquelles tous les élèves doivent répondre. • Attention à la notion de petites variations.

  12. L’EPCC n’est pas incompatible avec une évaluation par compétences. Au contraire elle peut aider à vérifier qu’une compétence est acquise ou non. • Avec l’EPCC on transmet une valeur importante : le travail est une valeur noble et doit être récompensé. • Dans les classes d’examens ils faut alterner les contrôles type EPCC avec des examens blancs. • L’EPCC est applicable dans toutes les matières. • Il ne s’agit ni d’être laxiste ni démagogue mais de donner à chacun les meilleures chances de réussite grâce à son travail.

  13. Témoignages d ’élèvescliquez ici

  14. Conclusion • Trois années d’expérimentation. • Quel avenir pour l’EPCC ? • Comment aller plus loin dansles changements de mentalité ?

  15. FIN

  16. Témoignages d’élèves du lycée Jacques Prévert de Pont-Audemer(27) • (élèves de sdes ou de 1ères) • Les connaissances à avoir sont plus ciblées, les exercices plus précis. On comprend mieux les questions. • Cela donne envie de réviser car on se dit qu’il y aura une bonne note à la clef. • D’habitude on ne sait pas exactement ce qu’il faut réviser. Du coup on ne comprend pas toujours les questions posées dans les contrôles. • Oui, car on sait exactement ce qu’il faut savoir. Tout ce que l’on révise est utile par rapport à d’habitude où l’on révise tout mais on n’utilise pas tout. • On sait exactement quoi travailler car le prof nous donne les exercices qui seront du même type que dans le contrôle donc si on apprend bien on sait ce qu’il y aura. • Ce type d’évaluation permet de moins stresser lors des révisions. On sait ce qu’il faut réviser, ce qui évite les mauvaises surprises pendant le contrôle.C’est plus motivant et plus encourageant de réviser dans ces conditions. retour

  17. APPEL POUR UNE ÉVALUATION PLUS JUSTE DU TRAVAIL DES ÉLÈVES ET DES ÉTUDIANTS En raison de conceptions ancrées sur le classement des individus, les pratiques d’évaluation apparaissent souvent comme un couperet destiné à sélectionner. Elles sont assujetties généralement à la règle des trois tiers : un tiers de « mauvais », un tiers de « moyens » et un tiers de « bons », y compris quand les objectifs ont été globalement atteints par la grande majorité des élèves. Ce phénomène, relaté sous le nom de « constante macabre »* se manifeste à des degrés divers aux différents étages du système éducatif. D’autre part, les moyennes singulièrement basses de résultats d’épreuves, y compris dans des classes de très bon niveau, font problème et ne peuvent être vues sous le seul angle du constat. Il en est de même pour les taux d’échec accablants à certains examens. Ainsi, sous la pression de la société, les enseignants sont souvent des sélectionneurs malgré eux, alors que leur vraie mission est de former. Ils peuvent ainsi contribuer au découragement de générations d’élèves qui, malgré leur travail et leur niveau, font partie du « mauvais tiers ». Une telle situation n’est pas fatale. Inverser la tendance est possible, rapidement, au bénéfice de toutes les parties prenantes. Cela suppose une prise de conscience de ce dysfonctionnement, et la volonté clairement affichée de l’éradiquer. Des solutions simples et efficaces existent, déjà expérimentées. Elles sont basées essentiellement sur une formulation bien plus précise, au niveau national, des capacités attendues chez l'élève, et surtout sur un climat de confiance entre l’élève et l’enseignant. En particulier, le contenu d’une épreuve d’examen ainsi que sa longueur doivent correspondre à un contrat clairement annoncé par l’enseignant, sans piège. Dans ces conditions, l’échec éventuel d’un élève ne serait plus ressenti comme une injustice. Tant dans le rapport Thélot que dans les débats relatifs à la loi d’orientation sur l’école, cette question centrale de l’évaluation n’est pratiquement pas abordée jusqu’ici. Les soussignés, partageant ce diagnostic, lancent un appel à un large débat afin de remédier très rapidement à ce très grave dysfonctionnement de notre système éducatif. Mouvement Contre La Constante Macabre (**)  03-11-04 * « La Constante Macabre » par André. ANTIBI, ed. Math’Adore – 2003, préfacé, entre autres, par Hubert CURIEN (ancien Ministre de la Recherche), Jean Fabre (Inspecteur Général), Recteur Philippe JOUTARD, André LEGRAND (ancien Directeur des Lycées), Jean-Christophe YOCCOZ (Médaille Fields).   ** Site internet : mclcm.site.voila.fr retour

  18. Courbe de Gauss 10 • Centrée à 10, pourquoi? • Gauss parlait de phénomènes naturels retour

  19. Et à l’étranger ?(Extraits du sd livre d’André Antibi , « les notes :la fin du cauchemar) Rappelons d’abord les résultats d’une enquête PISA, le Program of International Student Assessment, de l’OCDE, l’ Organisation de Coopération et de Développement Economiques. Cette enquête a été effectuée dans 41 pays auprès de 275 000 jeunes de 15 ans. Une question concernait le sentiment de bien-être des élèves à l’école. La France détient un bien triste record : 41ème sur 41 pays ! Le recteur Philippe Joutard, après un voyage d’études aux états unis « La différence d’atmosphère dans un établissement scolaire secondaire en Amérique et en France est immense. » Il poursuit : « En France, on a l’impression que pour les élèves ce n’est jamais assez bien. On insiste trop sur leurs lacunes et on ne met pas suffisamment en valeur les points positifs.  Aux USA, au contraire, tout est fait pour valoriser les élèves leur donner confiance en eux. Les élèves paraissent vraiment plus heureux. » retour

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