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Questions à choix multiples Le corrigé

Avec explications et commentaires. Questions à choix multiples Le corrigé. 1. Dans quelle phrase y a-t-il un mot mal orthographié ?. a) Vous me la baîllez belle. b) Il bâillait de sommeil. c) Il bayait aux corneilles.

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Questions à choix multiples Le corrigé

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Presentation Transcript


  1. Avec explications et commentaires Questions à choix multiplesLe corrigé

  2. 1. Dans quelle phrase y a-t-il un mot mal orthographié ? a) Vous me la baîllez belle. b) Il bâillait de sommeil. c) Il bayait aux corneilles.

  3. Il faut écrire : Vous me la baillez belle (sans accent). C’est une expression du jeu de paume qui voulait dire : Vous me donnez une belle balle et qui signifie aujourd’hui : Vous cherchez à m'en faire accroire, à me tromper.

  4. 2. Dans quelle phrase y a-t-il un mot mal orthographié ? a) Les enfants ont fait des bonshommes de neige. b) Les enfants ont fait des bonhommes de neige. c) Les hôtes nous accueillirent avec des airs bonhommes.

  5. Bonhomme en tant que nom fait son pluriel en bonshommes ; mais en tant qu’adjectif, ce sera bonhommes.

  6. 3. Un contempteur est une personne qui… a) admire. b) dénigre. c) médite. d) prie.

  7. Contempteur (n. m.) : [Littér.] Personne qui méprise, dénigre (qqn, qqch.).

  8. 4. Laquelle ou lesquelles de ces phrases comportent un ne explétif ? a) Je crains qu’il ne se soit trompé. b) Je le ferai si ce n’est déjà fait. c) Je ne saurai répondre. d) Ne vous déplaise !

  9. Un ne explétif ne marque pas la négation ; sa présence n’est pas indispensable au sens de la phrase. • Dans les trois autres phrases, ne marque bien la négation.

  10. 5. Quelle est la forme du verbe boire à la 1ère personne du singulier de l’imparfait du subjonctif ? a) Busse b) Buvasse c) Buvisse

  11. Pour former le subjonctif imparfait, prenez l’indicatif passé simple, 3ème pers. du sing. (but), ajoutez un t, s’il n’y est déjà, et un accent circonflexe (bût) ; puis déduisez-en les autres personnes : busse, busses, bussions, bussiez, bussent.

  12. 6. Qu’est-cequ’unambitus ? a) Une excroissance osseuse entre le radius et le cubitus pouvant rigidifier l’avant-bras. b) Au Moyen-Âge, un ouvrage comportant un texte rédigé en deux langues, le latin et une autre. c) L’étendue d’une mélodie, d’une voix, d’un instrument de la note la plus grave à la note la plus aiguë.

  13. Synonymes : registre, tessiture.

  14. 7. Qu’est-cequ’unpalimpseste ? a) Un puceron parasite des palmiers-dattiers. b) Un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture pour pouvoir écrire un nouveau texte. c) Un texte court et virulent attaquant une personne ciblée.

  15. 8. Parmi ces mots, lequel ne fait pas partie de la même famille étymologique que les trois autres ? a) Forain. b) Forum. c) Foire. d) Fourbu.

  16. Les origines de forain, forum et fourbu remontent à l’adverbe latin foris qui signifie « dehors ». Forain a eu d’abord le sens de « étranger ». Forum, mot latin, a d’abord désigné l’enclos en dehors et autour de la maison. Quant à fourbu, c’est le participe passé de l’ancien verbe forboire qui signifie « boire à l’excès ». Le nom foire, lui, vient du bas latin feria, de même sens. Donc, contrairement à ce qu’on pourrait penser, forain ne vient pas de foire.

  17. 9. Dans la phrase « Cette soupe n’est pas fameuse », la figure de style utilisée est : a) Un euphémisme, b) Une litote, c) Une hyperbole.

  18. Euphémisme : Expression atténuée d'une notion dont l'expression directe aurait qqch. de déplaisant, de choquant. « Handicapé » pour « infirme » est un euphémisme. • Litote : Figure de rhétorique qui consiste à atténuer l'expression de sa pensée pour faire entendre le plus en disant le moins. On suggère une idée par la négation de son contraire. « Va, je ne te hais point » [Corneille]. • Hyperbole : Figure de style qui consiste à mettre en relief une idée au moyen d'une expression qui la dépasse (opposé à litote). Emphase, exagération. C’est le plus beau jour de ma vie.

  19. 10. Quelestl’accord correct ? a) Les amours qu’elle s’est remémorée la rendent mélancolique. b) Les amours qu’elle s’est remémorés la rendent mélancolique. c) Les amours qu’elle s’est remémorées la rendent mélancolique.

  20. Le participe passé de ce verbe pronominal à sens réfléchi s’accorde avec le C. O. D. qu’ placé avant le verbe et représentant les amours. Et le mot amour est du genre féminin, quand il est au pluriel.

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