220 likes | 591 Vues
La RSE, prolongement de l’éthique des affaires La théorie des STAKEHOLDERS. Responsable du cours : M. Chiraz Ghozzi - Nekhili présentation préparé par : Mohamed Amin Arfaoui nidhal akermi Imen mallek Année universitaire : 2010/2011. Présentation de l’article.
E N D
La RSE, prolongement de l’éthique des affaires La théorie des STAKEHOLDERS Responsable du cours :M. Chiraz Ghozzi-Nekhiliprésentation préparé par :Mohamed Amin Arfaouinidhal akermiImen mallekAnnée universitaire : 2010/2011
Présentation de l’article • Nature de l’article :Article théorique • Auteures: Yvon PEQUEUX et Yvon BIEFNOT • Méthodologie: qualitative • Structure: Les auteurs commencent par définir la théorie des stakeholders ensuite ils examinent la question de cette théorie comme une science sociale en distinguant entre la théorie descriptive et celle normative des stakeholders et ils terminent par les point communs entre ces théories et les sciences sociales.
Définitions des stakeholders Freeman en 1984 défini les stakeholders comme « tout groupe ou individu qui peut affecter ou être affecter par la réalisation des objectifs de l’entreprise » • Selon Donaldson et Preston (1995) les stakeholders sont définis par leurs intérêts légitime dans l’organisation ce qui implique que : • Les ayants droit sont des groupes et personnes ayant des intérêts légitimes • Les intérêts de tous les stakeholders ont une valeur intrinsèque
Les recherches en théorie de stakeholders elles sont nombreuses mais on va retenir celle de Donaldson et Preston Pour expliquer d’une façon plus globale cette théorie et pouvoir expliquer certains traits que les travaux antérieurs laissent implicite ces deux auteurs se basent sur trois type de théories: • La théorie normative • La théorie instrumentale • La théorie descriptive empirique
La théorie des stakeholders comme une théorie normative Ce type de théorie nécessite de spécifier quelles sont les obligations morales de la théorie de stakeholders que les managers doivent avoir envers non seulement les actionnaires mais aussi les autres stakeholders
Les points de divergences entre la théorie des sciences sociales et la théorie interprétative • Les tenants du courant normative pensent que le comportement morale n’a pas à ce justifié avec des termes tel que instruments ou moyens et que la moralité elle même possède son propre mérite, et que la contribution de la théorie instrumentale permet la pénalisation de quelques formes de comportements moraux. • Les tenants de la théorie des sciences sociales pensent que la théorie narrative ne peut pas atteindre le niveau standard des bonnes recherche tandis que d’autre pensent qu’une théorie légitime pourrait émerger d’une représentation narrative • En sciences sociales le problème est l’impossibilité de validation des apports de la théorie narrative sans vérification empirique alors que le courant narrative rejettent les critères de bonne théorie qui biaisent selon eux la pensée théorique.
Les points communs entre la théorie des science sociale et la théorie interprétatives Les accords existent sur certains points : • Les valeurs partagées • -Rejet des fondements normatifs de la théorie des stakeholders, et un rejet de la théorie néoclassique des organisations . • Rejet de l’égoïsme c’est-à-dire aucun individu ne doit se limiter à servir ses propres fins. • L’intérêt porté aux autres est une norme standard qui s’oppose à l’intérêt porté à soi même. • La comptabilité entre la moralité et le capitalisme qui peut entrainer certains désaccords avec les tenants de la théorie des stakeholders. • Un raisonnable consensus que la santé du capitalisme efficient nécessite un niveau élevé de moralité.
Les points communs entre la théorie des science sociale et la théorie interprétatives • Les explications partagés: • Jones et Wicks pensent qu’un accord existe sur le développement d’une approche en terme de théorie descriptive. • Tout l’intérêt de la référence aux stakeholders tient à ce que l’opportunisme et l’intérêt personnel ne sont qu’une seule facette du comportement humain instinctif • Il existe une large conviction que les organisations qui s’intéressent au stakeholders et qui ont un comportement socialement responsable réalisent des meilleurs performances que les entreprises qui cherchent la performance financière
L’apparition de la théorie convergente de stakeholders • Les fondements normatifs de la théorie instrumentale ne sont pas exclusifs , il n’ya pas de raison que la théorie instrumentale ne soit pas considéré comme une classe de théories plutôt qu’une théorie en elle-même. • Les fondement narratifs ont une grande importance dans la théorie de stakeholders • La théorie instrumentale est également basée sur des principes de confiance mutuelle et de coopération • La théorie scientifique des stakeholders doit avoir des principes découlant de la morale.
L’apparition de la théorie convergente de stakeholders L’unification des deux approches a pour conséquence d’en dépasser la distinction, la complémentarité en est possible est même souhaitable. Une théorie instrumentale basée sur des valeurs ayant un fondement normatif pourrait ainsi être plus crédible. La théorie instrumentale sont des fondement normatifs est non seulement incomplète en sciences sociales mais elle viole également les prémisses des la théorie des stakeholders.
L’apparition de la théorie convergente de stakeholders Par ailleurs la théorie peut emprunter certains moyens de la théorie instrumentale sachant qu’elle admet les postulats suivants: • La nécessité de de la création dune bonne théorie éthique • La protection des intérêts des stakeholders • La mise au point de la théorie des stakeholders Ainsi les tenants de cette approche peuvent prouver que leurs travail peut mener aussi à des résultats satisfaisantes pour l’organisation.
Structure de la théorie convergente de stakeholders 1-Les postulats: • L’organisation opère dans un marché économique compétitif. • Les décisions sont prises par les managers professionnels. • Les comportements sont contingents. 2-le comportement humain est varié et variable et dépend des circonstances et du contexte. 3-la relation entre managers et stakeholders est basée sur des fondements moraux.
Structure de la théorie convergente de stakeholders 4- Cette théorie est simultanément normative et instrumentale , offrant des normes narratives et des résultats pratiques réalisables. 5- Un fondement normatif est explicitement moral et des moyens instrumentaux qui sont utilisés que pour des fins moraux. 6- La théorie convergente est basée sur le processus moyens/fins
suite • La théorie convergente a deux composantes : narrative et instrumentale • Trois notions peuvent expliciter la relation entre les branches empirique et normatives : le parallélisme, la symbiose et l’intégration ( deux théories peuvent appartenir à un même cadre théorique) • l’intégration totale de la théorie normative et empirique est difficile.
Critique de la théorie convergente par Freeman (1999) • Freeman a critiqué cette approche : • La typologie de Donaldson et Preston peut être contestée certains philosophes n’admettent pas la distinction entre le normatif et le descriptif et c’est du au positivisme (la théorie descriptive explique l’existence réelle du monde, la théorie normative explique comment il devrait être et la théorie instrumentale envisage comment faire ce monde) • La liaison entre la théorie instrumentale et l’éthique mène au débat entre déontologie et la théorie des conséquences.