1 / 27

Diagnostic parasitologique en pathologie infectieuse Dr Amiour. LE 25/09/2011.

Diagnostic parasitologique en pathologie infectieuse Dr Amiour. LE 25/09/2011. I-Objectifs:. Savoir quand et comment prescrire un examen parasitologique . Savoir comment interpréter un examen parasitologique.

mason
Télécharger la présentation

Diagnostic parasitologique en pathologie infectieuse Dr Amiour. LE 25/09/2011.

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Diagnosticparasitologiqueen pathologie infectieuse Dr Amiour. LE 25/09/2011.

  2. I-Objectifs: Savoir quand et comment prescrire un examen parasitologique . Savoir comment interpréter un examen parasitologique. Savoir quand prescrire un examen sérologique et comment l’interpréter.

  3. II-Introduction: Les examens parasitologique constituent une partie importante en pathologie infectieuse : - D’une part par la fréquence des maladies parasitaires. - D’ autre part par la gravité de certaines parasitoses surtout chez les sidéens . Ces examens se distinguent : - Examens directs. - Examens indirects ou sérologiques.

  4. L’examen direct constitue Le diagnostic de certitude des parasitoses et des mycoses par la mise en évidence de l’agent causale dans les milieux biologiques. Néanmoins, les tests immunologiques sont très utiles et parfois indispensables pour le diagnostic, le suivi thérapeutique, et les enquêtes épidémiologiques et ceci par la mise en évidence d’Ag parasitaires et/ou d’Ac antiparasitaire.

  5. III- Le diagnostic direct

  6. A. Interrogatoire

  7. Doit être minutieux: Age, profession, adresse. Signes cliniques : dlr abd, tble du transit, prurit, hématurie, leucorrhées…etc Présence d’animaux domestiques. Présence de cas similaire. Notion de séjour en zone d’endémie.

  8. B-Eléments biologiques d’orientation: Anémie. Hyperéosinophilie. Syndrome mononucléosique.

  9. C. Mise en évidence du parasite :

  10. Prélèvements : Ils dépendent de l’atteinte parasitaire et surtout de la voie d’ élimination du parasite. Le principe de prélèvement consiste à prélever là ou’ se trouve le parasite.

  11. Conditions de PVT: se fait en dehors de toute thérapie anti parasitaire. En cas de thérapie laisser une fenêtre thérapeutique d’au moins 1semaine avant le pvt. Pvt en quantité suffisante. Acheminement rapide du pvt. Pvt doit être accompagné d’une fiche de renseignement :nom/prénom, âge ,profession, adresse, voyage en zone d’endémie, R. cliniques/para cliniques, Trt reçu.

  12. Les différents Pvts Selles:. Régime alimentaire de 3jours avant pvt. Eviter certains produits: laxatif, pansement gastrique, produits de radiographie, charbon…. 1ère selles du matin ds une boite propre hermétiquement fermée. Ecouvillonnage rectal chez Nné ou prématuré. Faire 3 copro à 3 jours d’intervalle. Certains parasites intestinaux ne sont pas éliminés dans les selles , il faut les rechercher par le Scotch test anal ou test de Graham (oxyure, Taenia saginata)

  13. L’EPS se fait en 3temps: MEE des parasites intestinaux Examen macroscopique: consistance, couleur, présence de vers. Examen microscopique: comprend: - Examen direct à l’ état frais: forme végétative et kyste de protozoaires, œufs et larve d’helminthes. - concentration: Ritchie, Bailanger, MIF - coloration:– Ziehl-Neelsen(crypto, Isospora belli, cyclospora) – Trichrome , Uvitex (microsporidies) - Techniques spéciales: • Technique de Baermann (anguillule) • Scotch test anal (oxyure). 3. Coproculture: ankylostomiase,anguillulose .

  14. 2-Sang: Pvt veineux sur anticoagulante: EDTA. Pvt au doigt +++. Pendant le pic fébrile. Pvt nocturne ou diurne en fonction de la parasitose rechercher. Frottis sanguin et goutte épaisse. Recherche des parasites sanguicoles : paludisme, trypanosomiase, microfilaires.

  15. 3-urines: POUR la bilharziose: Schistosoma hématobium. - Urine de fin de miction . - Recueillis après effort. - Si enfant faire massage sus pubien. POUR la trichomonase vaginale, oxyurose, microfilaires lymphatiques: - Urine du 1er jet .

  16. 4-pvt génitaux: A la recherche de: T. vaginalis, oxyure. Pas de toilette avant le pvt . Pas de relation sexuelle au moins 24h avant le PV. Pvt par écouvillonnage sous speculum ,à plusieurs niveau de la muqueuse vaginale. Acheminement rapide . Pvt urétral: Recueillir la 1ere goutte qui s’écoule le matin de la muqueuse urétrale par écouvillon ou directement sur lame.

  17. 5-pvt buccal Ecouvillonnage le matin à jeun avant toute toilette : Entamaeba gingivalis, Candidoses. 6- Autres pvt: LCR: amibes, trypanosome(maladie du sommeil), Toxoplasme(neurotoxoplasmose). MO: leishmaniose viscérale. P PLEURALE: amibiase pleurale, ascaridiose. P ggaire : onchocercose. liquide duodénal: Giardiase, Isospora belli, anguillule, ascaris. Placenta: toxoplasme. Humeur acqueuse: Toxoplasme. Pus: amibes. Aspiration bronchique, LBA. Pvt cutané: leishmaniose cutanée. Gale, pédiculoses Biopsie(rectale, pulmonaire, musculaire).

  18. Diagnostic immunologique.

  19. I-Prélèvements: Sang prélevé sur tube sec. Examen fait sur sérum recueillis après centrifugation.

  20. II- Techniques immunologiques utilisées: Recherche d’Ac. détection d’Ag dans le sérum+++, le LCR ou d’autres liquides biologiques. Techniques de dépistage (sensibles). techniques de confirmation ( spécifiques). Aucune technique n’est parfaite : associer au minimum deux techniques de dépistage (une qualitative et l’autre quantitative) , si positivité ou discordance : technique de confirmation. Souvent, 2 prélèvements à 2 ou 3 semaines d’intervalle , traités en parallèle par le même laboratoire , la même technique et dans la même série. Pour les réactions quantitatives : suivre un seuil de positivité propre à chaque laboratoire

  21. Pour un diagnostic rapide : Agglutination des particules de latex : Amibiase viscérale, Toxoplasmose. Méthodes immuno-chromatographiques sur membrane: recherche d’Ag (Amibiase intestinale , Paludisme, Filariose). Pour un diagnostic quantitatif: IFI , ELISA, HAI.

  22. Pour un diagnostic qualitatif: Tests de dépistage: - Immuno-diffusion en gélose. - Electrosynérèse.

  23. Test de confirmation: - immuno-élécrophorèse. - Western Blot

  24. III- Indications: lorsque le diagnostic de certitude est impossible ou difficile: - Localisation tissulaire sans possibilité de sortie : KH , larva migrans viscérale , trichinose, amibiase viscérale, aspergillome intra cavitaire). - Phase de migration larvaire tissulaire :douve(90j),Ascaris(60j). - Faible parasitisme : schistosomiases , filariose. 2. Préciser le stade de la parasitose: - Infection récente , évolutive , ou ancienne (Toxoplasmose). 3. La surveillance post-thérapeutique. 4. Évaluer le statut immunitaire d’un sujet vis-à-vis du parasite: (Toxoplasmose chez la femme en âge de procrée). 5. Dans un but épidémiologique:prévalence des parasitoses, évaluer les mesures de lutte.

  25. IV-biologie moleculaire: Lorsque le dgc morphologique et/ou sérologique est impossible ou peu adapter. Consiste en la détection du parasite en recherchant son ADN. PCR. Applications: toxo , palu, leishmaniose.

  26. IV-CONCLUSION: Une bonne prise en charge d’un patient en maladie infectieuses demande une bonne corrélation entre le clinicien qui oriente et médecin biologiste qui recherche .

More Related